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‎HUGO Victor‎

Reference : 69343

(1835)

‎Angelo, tyran de Padoue‎

‎Eugène Renduel, Paris 1835, 14x22cm, relié.‎


‎Edition originale parue dans les oeuvres complètes de l'auteur. Notre exemplaire est enrichi de deux portraits gravés dont un en frontispice. Reliure en plein maroquin rouge, dos à cinq nerfs, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, encadrement d'une dentelle dorée sur les contreplats, toutes tranches dorées, doubles filets dorés sur les coupes, très élégante reliure signée de Cuzin. Très bel exemplaire, sans mention d'édition, parfaitement établi en pleine reliure de Cuzin. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR2,300.00 (€2,300.00 )

‎(HUGO Victor)‎

Reference : 81893

(1902)

‎Carton d'invitation au bal du centenaire de Victor Hugo‎

‎Société littéraire Victor Hugo, Paris 1902, 14x10,5cm, une feuille.‎


‎Carton d'invitation au bal célébrant le centième anniversaire de la naissance de Victor Hugo se tenant à la salle des Ingénieurs civils, rue Blanche dans le neuvième arrondissement de Paris, le samedi 22 Février 1902. Bel et rare exemplaire malgré une toute petite tache en angle supérieur gauche du carton. Le bal est organisé par le comité de la "Société littéraire Victor Hugo" présidé par P. Heuzey. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR200.00 (€200.00 )

‎HUGO (Victor).‎

Reference : 15509

(1853)

‎Chatiments.‎

‎ 1853 Geneve et New York (Saint-Hélier, Ile de Jersey, Imprimerie Universelle), 1853.In-16, reliure demi chagrin epoque,dos leg.frotte,coins uses,VI (faux-titre, titre, préface signée V. H.) + 392 pp (Vicaire, IV-312p, ), Première édition complète avec toutes les remarques du premier tirage que signale Clouzot (page 90).,bon etat‎


‎En novembre 1852, il ecrit Nox , puis l'Expiation et Lux en decembre : l'architecture du recueil est trouvee; le titre definitif, Chatiments est choisi en janvier 1853. Mais Le 24 novembre le recueil est publie en deux editions, l'une expurgee, avec l'indication : Bruxelles, Henri Samuel , l'autre complete, sans nom d'editeur et avec la mention : Geneve et New-York . C'est un tres petit format in 32 (plus petit qu'un livre de poche) destine a faciliter la circulation de l'ouvrage. On se l'arrache, ‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

EUR150.00 (€150.00 )

‎HUGO Victor‎

Reference : 8743

‎CHÂTIMENTS‎

‎ Genève & New-York 1853, un volume in 18, Edition originale complète reliée. Photos sur demande / pictures on request ‎


Librairie Mahieu - Jouarre

Phone number : 33 01 60 22 24 84

EUR450.00 (€450.00 )

‎HUGO Victor‎

Reference : 158359

‎CHÂTIMENTS. - Discours de l'exil 1851-1854.‎

‎Imprimerie Universelle, St-Helier Genève et New-York - Jersey 1853 2 ouvrages reliés en 1 volume fort in-16 ( 110 X 70 mm ), demi-chagrin anthracite, dos à nerfs orné de caissons dorés. Très bel exemplaire, pur.- CHÂTIMENTS: Genève et New-York - Imprimerie Universelle, St-Helier, Dorset Street,19., 1853. III-392 pages. EDITION ORIGINALE.- Discours de l'exil 1851-1854. S.N., S.L.( Genève et New-York ), S.D. ( 1854 ). 53 pages. EDITION ORIGINALE. Le dernier feuillet est manuscrit.‎


Phone number : 04 91 42 63 17

EUR300.00 (€300.00 )

‎ HUGO (Victor).‎

Reference : 11295

‎Châtiments - Le Christ au Vatican - La voie de Guernesey. ‎

‎ Genève et New-York, (sans mention d'imprimeur), 1853 ; in-32. 2ff.-III-392pp. - 29pp. Plein veau cerise, dos à nerfs, titre et fleurons dorés, petits fleurons dorés aux angles des plats, filets dorés sur les coupes et dentelle dorée sur les chasse, tranches dorées. Plts tâchés, de légers frottements. Mouillure marginale sur les 8 premiers feuillets.‎


‎Retirage à l'identique de l'édition originale, Clouzot, p. 90, signale de l'éditeur bruxellois, Henri Samuel, a réalisé plusieurs rééditions du texte intégral des Châtiments dans le même format et à la même date. sans mention de nom d'imprimeur, et sans accent circonflèxe sur la a de "Chatiments" sur le faux-titre.Est relié à la suite un popuscule de 29 pages intitulé "Le Christ au Vatican" sous le nim de Victor Hugo. Londres et Genève, Chez les principaux Libraires, 1868, (imprimerie Wittmann) ; 29pp. Mais ce texte satirique qui avait déjà paru sans nom d'auteur en 1853 dans une édition de la Guerre des Dieux de Parny, puis en 1861 en brochure avec le nom d'Hugo, et enfin en 1868 associée avec un autre poème, La voix de Gernesey, n'est pas de l'auteur des Misérables, mais de Paul-Frédéric Cabantous. (E. Drougard, La légende du Grand Inquisiteur et Le Christ au Vatican. Revue des Études Slaves, 1934. pp. 224-227). La Voix de Guernesey avait paru au format in-16 en feuilles chez T. M. Bichard, à Guerney, en 1867. Hugo réagit à la défaite des Chemises rouges de Garibaldi contre les troupes pontificales et françaises à Mentana et écrit en quelques jours ce long poème, lettre ouverte à Garibaldi, imprimé pour être expédié clandestinement en France. ‎

Phone number : 04 70 98 92 23

EUR100.00 (€100.00 )

‎HUGO Victor‎

Reference : 79581

(1828)

‎Cromwell‎

‎Ambroise Dupont, Paris 1828, In-8 (13x19,5cm), 476pp., relié.‎


‎Edition originale. Tirage à 1075 exemplaires selon Clouzot. Reliure en demi veau glacé à coins lavalière début XXe signée Lavaux en haut de la première page de garde. Dos lisse orné de 5 fers , filets dorés et à froid. Tranches rouges. Dos uniformément éclairci. Rousseurs sur les 4 premiers feuillets et dans les notes et quelques rousseurs éparses sur l'ensemble. Bel exemplaire. La pièce de Hugo, d'une longueur inusité de 6920 vers fut réputée injouable, notamment en raison de ses nombreux changements de décor. Elle rompt définitivement avec le théâtre classique. La fameuse préface de la pièce demeurera comme un manifeste du théâtre romantique. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR650.00 (€650.00 )

‎HUGO Victor‎

Reference : 75957

(1841)

‎Discours prononcé à la séance publique tenue par l'Académie Française pour la réception de M. Victor Hugo le 3 juin 1841‎

‎Typographie de Firmin Didot frères, Paris 1841, 20,5x27cm, relié.‎


‎Edition originale, rare. Envoi autographe signé de Victor Hugo à Mélanie Foucher : "A ma chère soeur Mélanie. V." Reliure de l'époque en demi chagrin rouge à coins, dos à cinq nerfs orné de caissons à froid, plats de papier à la colle, gardes et contreplats de papier peigné, toutes tranches dorées. Une petite restauration de papier en marge basse de la page de titre. Une tache angulaire au verso du dernier feuillet. Deux ex-libris de Victor Foucher et Laurent Veydt encollés sur le premier contreplat et la garde suivante. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR4,000.00 (€4,000.00 )

‎HUGO (Victor)‎

Reference : 14404

(1830)

‎Hernani or the Honour of a Castilian‎

‎ London, W. Sams, 1830 1 vol. (130 x 205 mm) de [3] f. et 112 p. Cartonnage plein papier vieux rose, pièce de titre, tranches dorées (reliure de l'époque). Edition originale de la traduction anglaise. Portrait frontispice de l'auteur. Légère fente de papier sur un mors. De la bibliothèque Georges Claretie (le fils de Jules Claretie) avec une mention autographe "18th May 1904 J. Cl." et ex-libris imprimé.‎


‎Quand la presse prophétise juste... Deux jours avant la première d'Hernani, on pouvait lire dans le Journal des débats que la pièce serait sans doute choisie comme "champ de bataille" : d'un côté, les classiques, outré du ton libéral de l'oeuvre, de l'autre la jeunesse houleuse qui défendait, autour d Victor Hugo, la liberté de l'Art. On vint de Rouen, Angers, Dijon, Lille pour supporter Hugo qui, dan son appartement, distribuait des laisser-passer à ces trooupes de renfort. Le 25 février 1830, jour de la première, fut à la hauteur des prédictions : les acteurs jouèrent au milieu du désordre, des bagarres et des sifflets. Mais le succès égala le tumulte. Avant même la fin de la représentation, l'auteur vendit son manuscrot à l'éditeur Mame et l'on porta la pièce en ovation jusqu'à son domicile : la bataille d'Hernani était gagnée. La pièce fut jouée ensuite - toujours sous les huées - à quarante-cinq reprises au Théâtre français et fit carrière - les tournées pour des pièces contemporaines sont rarissimes à l'épouqe - en Italie et en Espagne. Elle sera traduite en anglais immédiatement. Bon exemplaire ; quelques manques de papier au cartonnage. De la bibliothèque Georges Claretie (étiquette) et Jules Claretie (ex-libris manuscrit, daté 1904, en tête). ‎

Librairie Walden - Orléans
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Phone number : 09 54 22 34 75

EUR100.00 (€100.00 )

‎HUGO (Victor)‎

Reference : 147

‎Histoire d'un crime. Déposition d'un témoin.‎

‎Paris Calmann-Levy 1877-1878 Deux volumes in-8 (26 x 19 cm), 323-(5) et 337-(3) pp. brochés, non rognés sous chemise et étui postérieurs.‎


‎Édition originale. Un des 40 exemplaires numérotés sur papier de hollande. Rare grand papier de ce réquisitoire contre Napoléon III écrit en 1851, mais publié vingt-six ans plus tard (Vicaire IV, p. 353). Dos des couvertures brochées refaits. Libraire membre du S.L.A.M. (Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne) et de la L.I.L.A. (Ligue Internationale de la Librairie Ancienne). N'hésitez pas à prendre contact par mail pour des photographies et des détails supplémentaires, pour des recherches ou des estimations de livres anciens et rares.‎

Phone number : 01 40 71 91 57

EUR1,300.00 (€1,300.00 )

‎HUGO Victor‎

Reference : 331087

‎Histoire d'un crime. Déposition d'un témoin. 2 tomes.‎

‎Calmann Lévy - Ancienne Maison Michel Lévy Frères Paris 1877-1878 2 volumes in-8 ( 240 X 155 mm ) de: faux-titre, titre, 1 f non chiffré, 323 pages faux-titre, titre, 337 pages, demi basane cerise, dos à nerfs ornés de filets et fleurons dorés. Edition originale avec mention fictive de cinquième édition sur le tome 1, sans mention au tome 2. Notre exemplaire possède bien l'inscription au verso du faux-titre du second volume: "L'Histoire d'un crime est complète en ces deux volumes." ( cf Vicaire et Talvart ). Dos éclaircis, beaux exemplaires non rognés, très purs sans rousseurs ce qui est rare. Clouzot p. 151. Vicaire, IV, 353.‎


Phone number : 04 91 42 63 17

EUR220.00 (€220.00 )

‎HUGO Victor‎

Reference : 48154

(1943)

‎... la bouche d'ombre‎

‎Gallimard, Paris 1943, 12x19cm, broché.‎


‎Edition originale sur papier courant de ce choix de poèmes établi par Henri Parisot, fausse mention de quatrième édition. Préface de Léon-Paul Fargue. Dos légèrement ridé et comportant une petite déchirure en pied. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR20.00 (€20.00 )

‎HUGO (Victor)‎

Reference : 3286

(1886)

‎La Fin de Satan.‎

‎Paris J. Hetzel et A. Quantin 1886 In-8 (24 x 15 cm.) 349 pp. broché. ‎


‎Edition originale. Rousseurs prononcées sur quelques pages. Libraire membre du S.L.A.M. (Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne) et de la L.I.L.A. (Ligue Internationale de la Librairie Ancienne). N'hésitez pas à prendre contact par mail pour des photographies et des détails supplémentaires, pour des recherches ou des estimations de livres anciens et rares.‎

Phone number : 01 40 71 91 57

EUR80.00 (€80.00 )

‎HUGO Victor‎

Reference : 60006

(1873)

‎La libération du territoire‎

‎Calmann Lévy, Paris 1873, 15,5x23,5cm, relié.‎


‎Edition originale vendue au profit des Alsaciens-Lorrains, mention de deuxième édition. Quelques rousseurs affectant principalement les premiers et derniers feuillets. Reliure à la bradel en plein papier marbré, dos lisse, pièce de titre de maroquin noir, couvertures comportant des piqûres conservées, tête dorée, reliure signée de Thomas Boichot. Envoi autographe signé de Victor Hugo à Léon Bienvenu. Provenance : de la bibliothèque de Léon Bienvenu avec le cachet imprimé de sa bibliothèque et numéroté de sa main sur la page de titre. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎HUGO Victor‎

Reference : 69841

(1873)

‎La libération du territoire‎

‎Michel Lévy frères, Paris 1873, 15,5x24cm, broché sous chemise et étui.‎


‎Édition originale, mention de deuxième édition. Notre exemplaire est présenté sous étui et chemise avec dos de toile verte et plats de papier marbré, ex-libris H. Bradley Martin encollé en pied du verso du premier plat de la chemise. Nous joignons la couverture du catalogue de la vente de la bibliothèque de George et Maurice Sand en 1890 sur lequel a été encollée la fiche descriptive de notre exemplaire avec son prix d'adjudication au crayon de papier. Exceptionnel envoi autographe signé de Victor Hugo à George Sand. «?Mais que pensaient-ils l'un de l'autre, ces deux personnalités marquantes de la vie littéraire du 19è siècle?? Parce qu'ils ne se sont jamais rencontrés ces deux-là, pourtant ils étaient parfaitement contemporains?: Victor Hugo (1802-1885), George Sand (1804-1876). Certes il y eu les aléas de la vie?: George Sand ne publie réellement qu'en 1832, à un moment où Victor Hugo est déjà au fait de sa gloire ; et puis il y eut l'exil de Victor Hugo de 1851 à 1870, mais cela n'explique pas tout?! Au début, ils ne font pas vraiment parti de la même coterie?: Victor Hugo, Pair de France, soutien de Louis-Philippe d'un côté, George Sand socialiste de l'autre. Ils ne s'apprécient pas vraiment même si George Sand porte une certaine admiration agacée à Victor Hugo, traité de grandiloquent?: «?le plus bavard des poètes sublimes?» tandis que Hugo lui, trouve carrément que «?Sand ne sait pas écrire?»?! Puis, avec le coup d'état de Napoléon III, Victor Hugo évolue politiquement ; rapidement il déborde George Sand sur sa gauche, s'exile alors que George Sand s'accommode de l'exil intérieur. Leur relation ne se réchauffe que très, très faiblement?: «?George Sand a du talent, c'est tout?». En exil Victor Hugo publie Les Châtiments, uvre très critique qui est évidemment interdite en France. George Sand aimerait bien que Victor Hugo soit moins intransigeant dans ses écrits de façon à être publié. La publication des Contemplations en 1856, nettement moins polémique, est saluée par George Sand et marque une nouvelle phase de leurs relations. En fait, leur premier contact épistolaire ne concerne pas la vie littéraire. Nini la petite fille de George Sand meurt en 1855, Victor Hugo toujours très marqué par le décès de sa fille Léopoldine compatit ; la perte d'un être cher les rapproche. Les voici amis, George Sand devient un «?génie?», elle sera souvent invitée à Guernesey ... sans suite, leur relation ne sera jamais familière. Victor Hugo lui apporte son soutien lors de la parution des Beaux Messieurs de Bois Doré (1858), mais George Sand s'énerve quand il refuse l'amnistie de 1859 alors que de son côté elle cherche à adoucir la situation des proscrits. Lors de la publication des Misérables (1862) Victor Hugo cherche le soutien de George Sand mais ce soutien lui fera défaut. Victor Hugo en est attristé, George Sand affirmera préférer la poésie de Victor Hugo à son uvre en prose. Au retour d'exil, avec la Commune, voici une nouvelle incompréhension ; Victor Hugo soutient, George Sand est horrifiée?: légaliste et choquée par la violence, elle condamne avec des termes extrêmement durs cette Commune de Paris. Néanmoins, à partir de là, ces deux-là se soutiennent et se défendent dès que l'un ou l'autre est attaqué. En 1876, c'est Victor Hugo qui prononcera le célèbre éloge funèbre de George Sand?: «?Je pleure une morte, je salue une immortelle ...?» Les relations de George Sand et de Victor Hugo ont donc beaucoup évolué au cours de leur vie. C'est sans doute le reflet de leurs évolutions personnelles mais peut-être que leur entourage, les idées politiques ou l'opinion que l'autre avait de sa propre uvre interféraient aussi avec la critique littéraire ; même nos grandes personnalités sont sous influence?! «?Victor Hugo et George Sand, et s'ils s'étaient rencontrés???» Voilà une uvre de théâtre fictionnelle que nous propose Danièle Gasiglia. Mais peut-être que, comme le suggère Danièle Bahiaoui?: «?Tous les deux dans une même pièce, c'est un de trop?!?»?» (Blog «?Nous en Boischaut Sud?» conférence de Danielle Bahiaoui, Arnaud Laster et Danielle Gasaglia) Provenance?: Maurice Sand (venet Ferroud, Paris, 24 février-3 mars 1890, lot 418), H. Bradley Martin (ex-libris gravé), Philippe Zoummeroff (vente Piasa, Paris, 2avril 2001, lot 112). - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR12,000.00 (€12,000.00 )

‎HUGO Victor‎

Reference : 244084

‎La Légende des Siècles - La fin de Satan - Dieu.‎

‎Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 1962 In-12 ( 175 X 110 mm ) de XVIII-1324 pages, pleine basane verte, dos lisse orné de filets dorés sous jaquette illustrée, rhodoïd et étui de carton gris. Edition établie et annoté par Jacques TRUCHET. Très bel exemplaire.‎


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EUR35.00 (€35.00 )

‎HUGO Victor‎

Reference : 355585

‎La légende des siècles - La fin de Satan - Dieu.‎

‎Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 1977 In-12 ( 175 X 110 mm ) de XVIII-1324 pages, pleine basane verte, dos lisse orné de filets dorés, sous jaquette illustrée, rhodoïd et étui de carton gris. ( Présentation de l'éditeur ). Edition établie et annotée par Jacques TRUCHET. Très bel exemplaire.‎


Phone number : 04 91 42 63 17

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‎HUGO Victor‎

Reference : 978784

‎La légende des siècles. - La fin de Satan. - Dieu.‎

‎Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 1984 In-12 ( 175 X 110 mm ) de XVIII-1324 pages, pleine basane verte, dos lisse orné de filets dorés, sous jaquette illustrée, rhodoïd et étui de carton gris. ( Présentation de l'éditeur ). Edition établie et annotée par Jacques TRUCHET. Très bel exemplaire.‎


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‎HUGO Victor‎

Reference : 153362

‎La légende des siècles - La fin de Satan - Dieu.‎

‎Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 1967 In-12 ( 175 X 110 mm ) de XVIII-1324 pages, pleine basane verte, dos lisse orné de filets dorés, sous jaquette illustrée, rhodoïd et étui de carton gris. ( Présentation de l'éditeur ). Edition établie en annotée par Jacques TRUCHET. Très bel exemplaire.‎


Phone number : 04 91 42 63 17

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‎HUGO Victor‎

Reference : 492414

‎La légende des siècles - La fin de Satan - Dieu.‎

‎Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 1955 In-12 ( 175 X 110 mm ) de XVIII-1324 pages, pleine basane verte, dos lisse orné de filets dorés, tête dorée, sous rhodoïd et étui de carton gris. ( Présentation de l'éditeur ). Edition établie en annotée par Jacques TRUCHET. Jaquette absente, dos insolé, bel exemplaire. UN INSOLITE de la Pléiade, en effet, cet exemplaire présente les particularités d'avoir la tête dorée et d'être relié dans une basane maroquinée ( Présentation très rare, volume qualifié de "SECRET", tout au plus une quinzaine d'exemplaires de ce texte présenteraient ces caractéristiques [provenance famille Gallimard] ). RARISSIME.‎


Phone number : 04 91 42 63 17

EUR60.00 (€60.00 )

‎Hugo Victor‎

Reference : XRP-11000

(1879)

‎La Pitié suprême‎

‎Paris, Calmann-Lévy, 1879.In-8,142 pp.,pleine reliure rouge,dos à nerfs titre et auteur au dos en lettres dorées,contre-plats et gardes de papier marbré,couverture originale conservée,couverture originale brunie, deux feuillets mal découpés in fine,petite déchirure sans manque au second plat de la couverture originale,reliure inégalement insolée au second plat, dos légèrement éclairci,petit frottement coiffe en tête, intérieur bien frais.Édition originale enrichie d'un envoi autographe signé de Victor Hugo à Monsieur Grenier,vraisemblablement Édouard Grenier,homme de Lettres, poète et diplomate français, ami de Lamartine. h06;‎


Phone number : 0695797810

EUR1,900.00 (€1,900.00 )

‎HUGO Victor‎

Reference : 45162

(1879)

‎La pitié suprême‎

‎Calmann Lévy, Paris 1879, 15x24cm, relié.‎


‎Édition originale. Reliure en demi chagrin bleu nuit à coins, dos à quatre nerfs sertis de pointillés dorés orné de doubles caissons dorés agrémentés d'arabesques latérales et d'étoiles dorées, date et mention «?ex. de J. Drouet?» dorées en pied, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures et dos conservés (restaurations marginales sur les plats), tête dorée, ex-libris Pierre Duché encollé sur une garde, élégante reliure signée de René Aussourd. Exceptionnel envoi autographe signé de Victor Hugo à Juliette Drouet, le grand amour de sa vie?: «?Premier exemplaire à vous, ma dame. V.?» Composé en 1857, ce long poème philosophique sur la Révolution était originellement destiné à conclure la Légende des siècles. Victor Hugo le publie finalement en 1879 à l'occasion de sa prise de position en faveur des communards. Plaidoyer pour l'abolition de la peine de mort, La Pitié suprême illustre l'une des premières et plus ferventes luttes politiques de Hugo, qu'il mène encore à l'aube de ses 80 ans?: «?Si mon nom signifie quelque chose en ces années fatales où nous sommes, il signifie Amnistie.?» (Lettre aux citoyens de Lyon, 1873) Confrontant Hugo et Machiavel, J. C. Fizaine souligne la rigueur intellectuelle du poète au service d'un humanisme érigé en principe universel?: «?Machiavel s'adresse à ceux qui veulent devenir princes. Hugo s'adresse pour commencer aux peuples, qui ont subi la tyrannie?: c'est La Pitié suprême, qui définit ce qui doit rester immuablement sacré, la vie humaine, sans que la haine, le ressentiment, le souvenir des souffrances passées autorisent à transgresser cet interdit, sous peine de ne pouvoir fonder aucun régime politique et de retomber en-deçà de la civilisation.?» (Victor Hugo penseur de la laïcité - Le clerc, le prêtre et le citoyen) C'est auprès de Juliette Drouet qu'il mène ce dernier combat. Publié en février 1879, peu après leur installation avenue d'Eylau, La Pitié suprême semble un écho politique à la nouvelle légitimité conquise par les deux vieux amants après cinquante ans d'amours coupables. L'ultime combat de Hugo en faveur de l'amnistie et le pardon résonne dans sa vie affective à l'instar du poème qu'il composera à la mort de Juliette en 1883?: «?Sur ma tombe, on mettra, comme [une grande gloire, Le souvenir profond, adoré, combattu, D'un amour qui fut faute et qui devint [vertu...?» Très bel exemplaire parfaitement établi et d'une extraordinaire provenance, la plus désirable que l'on puisse souhaiter. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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‎HUGO Victor‎

Reference : 46925

(1879)

‎La pitié suprême‎

‎Michel Lévy, Paris 1879, 15,5x23,5cm, relié.‎


‎Edition originale. Reliure en demi chagrin vieux rouge comportant quelques discrètes restaurations, dos à cinq nerfs, date en queue, plats de papier à la cuve, contreplats et gardes doublés de papier peigné, couvertures conservées, tête rouge, reliure de l'époque. Très précieux envoi autographe signé de Victor Hugo à Alphonse Daudet. Tampon de la bibliothèque de Madame Daudet sur la première garde. Victor Hugo représente pour Alphonse Daudet, comme pour les autres écrivains de sa génération, le maître incontesté du Panthéon des arts. Sa figure tutélaire parsème les uvres de Daudet, fréquemment convoquée aux côtés de celles de Rousseau, Byron, Sand et Delacroix. Si durant l'enfance et la jeunesse de Daudet, Hugo, géant exilé sur son île de Guernesey, demeure un idéal inaccessible, « presque en dehors de l'humanité », son retour en France lui permet de le rencontrer enfin. Aux alentours de 1875, peu après la parution de ses premiers ouvrages, Alphonse et Julia Daudet sont ainsi accueillis chez Hugo qui vit désormais avec Juliette Drouet. Ils deviendront dès lors des intimes de la maison jusqu'à la mort du poète. Victor Hugo participe à l'éducation du jeune Léon Daudet, meilleur ami du petit-fils de Hugo, Georges et, plus tard, époux éphémère de Jeanne. Dans sesSouvenirs d'un cercle littéraire, Julia Daudet évoque leur amitié de dix années avec l'« idole de toute la France poétique » : « Je vois Victor Hugo au grand bout de sa table ; le maître vieilli, un peu isolé, un peu sourd, trône avec des silences de dieu, les absences d'un génie au bord de l'immortalité. Les cheveux tout blancs, la tête colorée, et cet il de vieux lion qui se développe de côté avec des férocités de puissance ; il écoute mon mari et Catulle Mendès entre qui la discussion est très animée à propos de la jeunesse et de la célébrité des hommes connus et de leur séduction auprès des femmes. [...] Pendant le débat on est passé au salon, Victor Hugo songe au coin du feu, et célèbre, universel et demi-dieu, regrette peut-être sa jeunesse, tandis que Mme Drouet sommeille doucement. » L'amitié entre le dernier grand écrivain romantique et l'un des maîtres de l'école naturaliste naissante témoigne de l'acuité de Victor Hugo qui, au faîte de sa gloire, conserve une attention particulière et bienveillante pour la littérature moderne pourtant éloignée du lyrisme hugolien. Cette dédicace de Hugo à Daudet sur une uvre qualifiée, avecLe PapeetReligions et Religion, de « testament philosophique» par Henri Guillemin, résonne symboliquement comme le legs à un fervent disciple de la responsabilité politique et morale de l'écrivain. Provenance: Alphonse Daudet, vente Sicklès (1990, IV, n°1200) puis vente Philippe Zoummeroff (2 Avril 2001). Extrait deSouvenirs d'un cercle littéraire par Julia Daudet : " Comment oublier cette première visite chez lui, rue de Clichy, dans le modeste appartement tellement disproportionné à sa gloire, à l'idée qu'on se faisait de cette gloire qui eût comblé des palais: Il se lève du siège qu'il occupait au coin du feu, en face de Mme Drouet, sa vieille amie, (...) je suis étonnée de sa petite taille, mais bientôt, quand il va m'accueillir et me parler, je le trouverais très grand, très intimidant. Et cette timidité que je ressentis alors, je l'éprouverai toujours en face d Victor Hugo, résultat de cette grande admiration, de ce respect, comme d'un dieu absent, que mes parents m'avaient inculqué pour le poète de génie. Je ne vaincrai jamais ce tremblement de la voix chaque fois que je répondrai à ses paroles obligeantes, et je m'étonnerai pendant près de dis ans d'entendre des femmes, admises auprès de lui, l'entretenir de leur intérieur et de leurs futilités habituelles. Ce soir-là, quand il m'eut présentée, toute confuse, à Mme Drouet, elle me dit avec une charmante bonne grâce : Ici, c'est le coin des vieux et vous êtes trop jeune pour nous. Mais M. Victor Hugo va vous présenter à sa bru, Mme Lockroy; lui seul a qualité pour cela. Et je fus conduite à l'autre bout de la pièce, médiocrement grande, pourtant, mais qui était comme séparée en deux par une table surmontée d'un éléphant de bronze, très majestueux, japonais ou chinois, je pense. Il suffisait à faire deux petits groupements très distincts qui communiquaient facilement, mais sans se confondre. A ce moment de son retour, Victor Hugo était éblouissant d'esprit, de souvenirs nombreux et racontés avec une verve inépuisable, quand la politique n'envahissait pas trop sa table hospitalière. Et quelle grâce dans l'accueil, quelles nobles façons, quel beau sourire de grand-père sous ses cheveux que j'ai vus peu à peu blanchir jusqu'à la neige des quatre-vingts ans I Les poètes, tous les poètes fréquentaient ce salon de la rue de Clichy, et plus tard l'hôtel de l'avenue d'Eylau. Mais là, fut-ce le changement de place? Il y eut comme une marche descendue dans la santé, puis dans l'esprit du beau vieillard. Et pourtant, il aimait toujours à recevoir ses amis, et l'hospitalité de cette maison ouverte n'était pas un de ses moindres charmes, car, autour de la table, embellie en un bout par les deux petits-enfants du Maître, les convives cherchaient encore leur mot d'ordre aux yeux de l'hôte, et lui-même retrouvait parfois une veine de souvenirs si vivants, si pittoresquement exprimés, qu'on en restait ébloui toute une soirée. M mo Drouet vieillissait doucement auprès de lui, abritée sous deux bandeaux de neige, d'une élégance un peu théâtrale et surannée, jusqu'au jour où un mal impitoyable creusa ses traits si fins, en fit l'effigie douloureuse qu'a peinte Bastien Lepage, qui devait mourir en proie aux mêmes tortures. Dans les derniers temps, le Maître regardait douloureusement, aux dîners intimes, cette assiette vide, cette noble figure ravagée. Madame Drouet, vous ne mangez pas, il faut manger, avoir du courage. Manger! Elle se mourait. Le savait-il? Essayait-il de se leurrer lui-même le beau vieillard si résistant et si fort, et qui voyait partir cette compagne de cinquante années! Dans le grand salon où se penche le beau portrait de Bonnat, au geste paternel, où le buste par David préside immensément ; dans le petit salon, orné de ces tapisseries rayées et multicolores qui semblaient tendues pour Dona Sol ; dans le jardin rejoint à la vérandah par un perron de deux marches réapparaissent Leconte de Lisle, Meurice et Vacquerie, Paul de Saint-Victor, le souriant Banville, Flaubert et Goncourt conversant ensemble, Mallarmé, Léon Cladel, François Coppée, Catulle Mendès, Clovis Hugues, ombres dans un Eden évanoui ; puis Léon Glaize, Gustave Rivet, Pierre Elzéar, la toute petite Mme Michelet offrant des roses un soir de fête, puis des ambassadeurs, des diplomates, l'empereur du Brésil; des peintres, des sculpteurs, et tant d'hommes politiques que je n'en sais plus les noms ! Voici l'impression immédiate que je traçai de l'une de ces soirées où nous nous étions rendus, Alphonse Daudet et moi, un soir de neige, où pendant le trajet notre cheval tomba trois fois en traversant l'esplanade des Invalides : Je vois Victor Hugo au grand bout de sa table; le maître vieilli, un peu isolé, un peu sourd, trône avec des silences de dieu, les absences d'un génie au bord de l'immortalité. Les cheveux tout blancs, la tête colorée, et cet il de vieux lion qui se développe de côté avec des férocités de puis- sance ; il écoute mon mari et Catulle Mendès entre qui la discussion est très animée à propos de la jeunesse et de la célébrité des hommes connus et de leur séduction auprès des femmes. Alphonse prétend que dans un salon rempli de talents de toutes sortes, de tout âge, un tout jeune homme, l'auteur inconnu, le poète ignoré aura pour lui les regards féminins s'il est beau. Catulle Mendès lui répond qu'il restera d'abord inaperçu, et que toute les femmes iront à la notoriété : ceci me paraît plus vrai. Les femmes heureusement n'ont point que les yeux de leur visage, mais ceux de l'esprit et du cur. Pour les intellectuelles, la beauté d'un artiste, d'un grand poète ne compte pas, c'est le regard du penseur, la physionomie tourmentée de l'homme qui vit de ses sensations. Elles vont au talent, au chagrin qui passe, elles ne songent guère à la beauté physique. Maintenant on pourrait répondre que c'est par une sympathie ambitieuse qu'elles recherchent les auteurs célèbres, mais l'autre sentiment, celui qui les attirerait vers cette jeunesse tentante dont parle Alphonse, me paraît moins avouable. Et je ris de cette prétention des deux causeurs charmants, de nous classer, de nous analyser. Mais dire la femme, c'est comme si on disait l'oiseau ; il y a tant d'espèces et de genres, les ramages et les plumages sont tellement différents ! Pendant le débat on est passé au salon, Victor Hugo songe au coin du feu, et célèbre, universel et demi-dieu, regrette peut-être sa jeunesse, tandis que Mme Drouet sommeille doucement. Ses beaux cheveux blancs ombrant sa fine tête comme deux ailes de colombe, et les nuds de son corsage suivant sa respiration douce, presque résignée, de vieille femme endormie. Ce fut bientôt après cette soirée qu'eut lieu la grande manifestation de Paris défilant, avenue d'Eylau, devant les fenêtres de cette petite chambre qui devint mortuaire en mai 1885, remplie de roses et simplement meublée, telle que la représente, au musée Victor Hugo, une pièce prise dans l'ancien appartement du poète, place Royale. Bien évocateur, ce vieux logis du Marais," et quand on pense que Victor Hugo y composa presque toutes ses pièces historiques on se représente le poète, ouvrant, aux heures matinales qui lui étaient familières, cette haute fenêtre sur les hôtels tous égaux et du même style, qui entourent la Place, et se remémorant les tournois, les duels, les promenades et les agitations de plusieurs générations disparues sous l'ombre de ces arcades anciennes et solides et ne gardant pas trace de la fugitive humanité. Nous dînions encore chez Victor Hugo la semaine qui précéda sa mort. Il nous dit en entrant plus pâle qu'à l'ordinaire, la démarche fléchie : Je vais bientôt m'en aller, je le sens ; puis s'appuyant à l'épaule de Georges : Sans 'cela' il y a longtemps que je serais parti. Je n'ai jamais oublié l'accent un peu solennel et comme prophétique de ces paroles, j'en fus pénétrée de tristesse et de pressentiment; j'y sentis la dispersion de ce centre unique au monde et qui ne put se reformer jamais !" - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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Reference : 77555

(1879)

‎La Pitié suprême‎

‎Calmann Lévy, Paris 1879, 15x23,5cm, relié.‎


‎Edition originale. Reliure en demi maroquin caramel à petits coins, dos à quatre nerfs sertis de filets noirs, plats de papier à la cuve, gardes et contreplats de papier caillouté, ex-libris encollé sur un contreplat, tête dorée, couvertures et dos (insolé et comportant des manques) conservés. Discrètes restaurations aux mors. Bel exemplaire agréablement établi. Précieux envoi autographe signé de Victor Hugo à Constant Laurent. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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(1879)

‎La Pitié suprême‎

‎Calmann Lévy, Paris 1879, 15,5x25,5cm, relié.‎


‎Edition originale, un des 40 exemplaires numérotés sur Hollande, seuls grands papiers après 1 peau de vélin, 5 chine, 9 japon et 15 whatman selon Clouzot. Reliure en demi maroquin à grains longs rouge, dos lisse orné de doubles filets dorés, date dorée en queue, plats de papier caillouté, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures conservées, reliure signée Goy et Vilaine. Bel exemplaire agréablement établi. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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