‎Biggles. Tome 20 : Feu sur la Provence 2‎

‎ Editions Le Lombard - DL 08/2004 - Noté "Première édition" - In-4, cartonnage illustré - 44 planches en couleurs - Noté "13" au dos‎

‎Bon état - Coins et coiffes très légèrement frottés ‎

‎HISTOIRE DU PÉROU, par le P. Anello OLIVA Traduite de l'espagnol sur le manuscrit inédit par M. H. Ternaux-Compans‎

‎P. Jannet - "Bibliothèque Elzevirienne"- P. Daffis - Pagnerre Paris 1857 In-12 ( 165 X 105 mm ) de 1288 pages, pleine percaline rouge, dos lisse titré en lettres dorées et orné de la sphère elzévirienne dorée, plats ornés de filets d'encadrement à froid. Edition originale de la traduction de l'espagnol par M. H. Ternaux Compans de la première partie du manuscrit inédit du père OLIVA qui était divisé en quatre livres. Belle édition imprimée sur beau papier, volume non rogné. Très bel exemplaire. De la bibliothèque DE BARANTE ( Ex-libris ). Bibliothèque Elzevirienne.‎

‎RYTHME 50. Numéro 3. Novembre. "Tout est Icare".‎

‎Edition De Ritme Toulon S.D. (1950) In-16 carré ( 140 X 110 mm ) agrafé sous couverture illustrée, non paginé ( 8 pages ). Le texte d'OLIVE-TAMARI est illustré de 2 lithographies en couleurs hors-texte d'OLIVE-TAMARI. Edition originale et premier tirage limité à 100 exemplaires numérotés ( celui-ci N°21 ) tirés sur la presse à bras de "Ritme". Très bel exemplaire de cette intéressante et élégante réalisation.‎

‎Mouvement intellectuel de la Suisse. De son histoire. Extrait de la Revue des Deux Mondes‎

‎Extrait de La Revue des deux mondes, s.l. [Paris] 1844, 15,5x25cm, agrafé.‎

‎Edition originale. Sous couverture muette. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Essai sur la derniere révolution de l'ordre civil en France‎

‎S.n., à Londres 1780, in-8 (12,5x20cm), (4) 356pp. et (4) 370pp. et (4) 323pp., 3 volumes reliés.‎

‎Edition originale. Reliures en plein veau brun marbré d'époque. Dos à nerfs orné. Pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge. Un accroc à la pièce de tomaison du tome II. Traces pâles de mouillure au début du tome I. Quelques épidermures sur les plats. 2 petits manques, le long du mors supérieur du tome III. Bel exemplaire, relativement frais. Essentiel à la bonne marche de l'exécutif et du législatif, les Parlements, à commencer par celui de Paris, furent sévèrement réprimés par Louis XV. Après l'édit de décembre 1770 qui restreint les droits des Parlements, Louis XV fit arrêter et exiler 130 magistrats du Parlement de Paris.Le 18 janvier 1771, le Parlement de Paris ayant réitéré son refus de siéger pour entériner les décisions royales, le garde des sceaux Maupeou convainc le roi de briser son opposition systématique, et le Parlement fut dissous. Louis XVI rétablira les parlementaires dans leurs fonctions en 1774. L'ouvrage étudie soigneusement les articles de l'édit de 1770 et dresse l'histoire des Parlements, leur rôle en matière d'impôts, de crédit public. Le tome III contient les preuves et éclaircissements de cette histoire des Parlements quant à la démonstration historique et juridique de leur pouvoir. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Vente à l'Hôtel Drouot le 25 mai 2011. Résultats joints. Broché sans couverture illustrée Très bon Paris Olivier Couteau-Bégarie 2011 1 volume in-4°‎

‎édition originale‎

‎Trois Etats du Toi. ( Tirage hors commerce signé ).‎

‎ Editions La Sétérée / Jacques Clerc 1992. In-4 en feuilles de 44 pages au format 22,5 x 28,5 cm. Couverture rempliée avbec titre imprimé. Livre glissé sous emboîtage carton. Poèmes inédits de Mathieu Bénézet , Bernard Noël et bernard Vargaftig accompagnés de neuf lithographies originales de Olivier Debré réalisées sur presse à contre épreuves, ( portraits des auteurs ). Dos et bords des plats, très, très légèrement jauni, sinon superbe état de fraicheur, proche du neuf. Tirage unique à 130 exemplaires numérotés sur vergé. Le nôtre est un des 30 exemplaires hors commerce signé par les 3 écrivains et par l'artiste au colophon. Rarissime édition originale.‎

8 Images

‎ Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres‎

‎Faune de l'Allier ou catalogue raisonné des animaux sauvages observés jusqu'à ce jour dans ce département‎

‎Lib. H. Durond, Moulins 1890-1898, 14x22cm, 4 volumes reliés en 1.‎

‎Editions originales (réédition pour le premier volume). Reliure en pleine toile grise, dos lisse, gardes et contreplats de papier à la cuve, premiers plats de couverture conservés. Premier volume : vertébrés. Illustré de 4 planches in-fine. Deuxième volume : Annelés. Première partie : coléoptères. Troisième volume : annelés. Deuxième partie : orthoptères. Quatrième volume (un fascicule) : Embranchement II : Annelés. Sous-embranchement I : articulés. Classe I. Insectes. Ordre III : Hémiptères. Envoi autographe signé de Ernest Olivier sur le deuxième volume. Agréable ensemble. Rare réunion. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Voyage dans l'empire Othoman, l'Egypte et la Perse, fait par ordre du gouvernement, pendant les six premières années de la République. Atlas pour servir au voyage dans l'empire Othoman, l'Egypte et la Perse . [Empire Ottoman]‎

‎Chez H. Agasse, Paris 1799 - 1807, in-8 (12,5x21cm) ; Pet. in-folio , 7 volumes reliés.‎

‎Edition originale et seule édition, très rare complète. Les 2 premiers tomes à la date de 1799, les tomes 3 et 4 à celle de 1802, et les tomes 5 et 6 à la date de 1807. 8 années furent nécessaires à achever l'édition. Cette édition est parue également au format in-4.Edition originale de cet atlas contenant 50 planches et parue en trois livraisons. Première livraison : Empire Othoman, 17 planches. Seconde livraison : l'Egypte et la Perse, planches 18 à 33. Troisième livraison : Voyage en Perse, planches 34 à 50. On notera une carte générale de la Grèce, du Bosphore et de la Thrace, de la Troade, de l'Hellespont, de la Basse Egypte, de la Syrie, de l'Asie mineure... Planches de botanique, costumes, faune... Reliures en demi basane noisette légèrement plus tardive, vers 1815. Dos lisses ornés de 3 fleurons et de 7 séries de filets. Papier sur les plats rose. Les dos des tomes 2, 3, 4 éclaircis. Epidermures le long du mors supérieur du tome 2 et 6. Frottements sur les plats. Bon exemplaire, d'une bonne fraîcheur. Atlas :Reliure moderne en demi basane noisette. Adroit pastiche calqué sur la reliure des 6 volumes et utilisant le même type de fers et filets, et le même type de papier d'époque sur les plats. Trace de mouillure sur 3 planches (36 à 39) en partie basse. Rousseurs pâles éparses. Pliure au coin haut de plusieurs feuillets. Bel exemplaire. C'est en 1792 que fut confié une mission de voyage à Olivier, naturaliste et entomologiste, destinée à recueillir des renseignements et à établir des possibilités commerciales. Il fut accompagné par un autre naturaliste, Bruguière. La narration fait effectivement la part belle à l'économie et au commerce, d'une manière très scrupuleuse. Dans la préface, l'auteur prévient de l'entreprise sérieuse de son ouvrage, nullement destinée aux descriptions pittoresques ou romanesques, mais aux descriptions géographiques exactes et minutieuses, géologiques. Il réside 6 mois à Constantinople, attendant les fonds nécessaires à son voyage, puis visite les îles grecques durant un an, enfin il débarque à Alexandrie le 3 décembre 1794 et passe 6 mois dans le pays jusqu'à ce qu'il soit rappelé à Constantinople. Il se dirige alors vers la Perse et débarque à Beyrouth en octobre 1795. Il visite Sidon et Tyr, puis vont à Bagdad, lui et son collègue, où ils séjournent un mois. Leurs talents de médecin leur permirent de voyager sans encombre. Ils quittent Bagdad le 17 mai 1796 et prennent la grande route royale vers l'Asie centrale, passent par Hamadan, Ecbatane, et vont jusqu'à Téhéran dont le nouveau Shah vient de faire sa nouvelle capitale et qui ne compte que 15000 habitants. Après plusieurs mois d'attente, ils joignent une caravane qui va suivre l'Euphrate, puis 22 jours de marche leur seront nécessaire pour regagner Constantinople le 18 octobre 1797, où ils tentent de rassembler leur collection botanique et zoologique qui entrera au Museum d'histoire naturelle. Dans toutes les contrées qu'il traverse et où il réside, Olivier ne se contente pas de la monographie attendue de géographie physique, humaine et économique, il nous livre de longs chapitres sur l'histoire politique, et n'oublie jamais d'herboriser quand il le peut. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎POÈMES SUISSES. (JULIA ALPINULA LA BATAILLE DE GRANDSON). ‎

‎ Paris. Librairie de Delaunay. 1830. In-12, reliure romantique demi-veau blond, titre et motifs dorés au dos, tranches marbrées. 188 pages. E.O. Bon état. Rare. ‎

‎ N'hésitez jamais à nous joindre directement. Réponse immédiate pour d'autres titres non répertoriés sur LRB . Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 30 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques ( fractionnement possible) et virement acceptés. Nous accompagnons toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse pour vos propositions de ventes ( chiffrages et partages) .‎

‎Matériaux pour la connaissance limnologique des lacs mont-doriens‎

‎Imprimerie Générale, Clermont-Ferrand 1939, 17x25cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à petit nombre de ce tiré à part. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Cent poètes lyriques précieux ou burlesques du XVIIème siècle‎

‎G. Havard & fils, Paris 1898, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale, il n'est pas fait mention de grands papiers. Envoi de Paul Olivier à Henri Lefort. Avec une préface-poème de Jean Richepin. Dos fendu comportant de petits manques, petits manques angulaires sur le premier plat. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Raimu ou la vie d'un césar‎

‎Fournier Valdes, Paris 1947, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant. Papier jauni. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Constructions mécaniques n°60, fonctionnant au moyen du sable : Bateau pêcheur‎

‎Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Rousseurs marginales, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Constructions n°78 : Sloop, bateau de pêche‎

‎Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Une déchirure restaurée en marge inférieure n'affectant pas la gravure, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Constructions n°82 : Prussiens attaquant une place forte‎

‎Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères et marginales rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Constructions pour enfants n°21 : Cabane du pêcheur‎

‎Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères rousseurs marginales sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Constructions pour enfants n°7 : Corps de garde‎

‎Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Déchirures restaurées en marge gauche affectant légèrement la gravure et comportant de petits manques, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Le Petit constructeur n°41 : Épicerie‎

‎Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères et marginales rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Tableaux à mouvements n°50 : le Moulin à vent (ce sujet fonctionne au moyen du sable)‎

‎Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères et marginales rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Le maintien de l'ordre‎

‎Gallimard, Nrf, 1961. In-12 broché, 214 p. Edition originale sur papier courant. Etiquette sur le second plat, sinon très bon état. ‎

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‎Lettre suivie France métropolitaine; 3,60 euros‎

‎Karst. ‎

‎ Sainte-Croix-Vallée-Française : L’attentive (Collection « La langue antérieure ») dirigée par Bernard Noël, 2000. Un volume 13x22cm, deux feuillets pliés sur papiers vergé et Arches. Manuscrit comprenant le texte original, deux pages calligraphiées et un dessin original d’Eliane Kirscher. Edition originale manuscrite à 15 exemplaires, signée par l’auteur et l’artiste. Bon état. ‎

‎Traité des résections et des opérations conservatrices qu’on peut pratiquer sur le système osseux.‎

‎Paris, Masson, 1885-1888-1891 ; trois tomes in-8° brochés, chemise individuelle pour chaque tome : demi-chagrin bleu-marine, dos rond, faux nerfs, titre et date en queue dorés, plats de papier “oeil de chat” bleu et gris, étui de trois volumes, avec arrondi pour chaque tome, bordé et papier oeil de chat identique (P.Goy et C. Vilaine) ; VI, 664; 615 ; IV, 1032 pp. et en tout 508 figures légendées dans le texte. ‎

‎Edition originale des trois tomes, envois autographes signé “à Henry Lafon affectueux souvenir. Ollier” au tome premier et “De la part de l’auteur” au tome troisième, sur la couverture; cachet humide bleu rectangulaire “Bibliothèque H. Lafon Nimes” aux deux premiers tomes. Ouvrage considérable de la mise en pratique du “Traité expérimental et chimique de la régénération des os...” ; ce traité constitue la base de la chirurgie orthopédique moderne, avant les travaux d’Ollier, la chirurgie orthopédique était essentiellement mutilatrice ; c’est l’adoption de l’aseptie mise au point par l’Anglais Joseph Lister, qui va lui permettre d’assurer le résultat de ses interventions et de créer ainsi l’orthopédie réparatrice moderne. Exemplaire exceptionnel avec l’envoi autographe, Ollier n’a pas dédicacé beaucoup d’exemplaires de ses différents traités. Je voudrais remercier ici M. le docteur Charles Picault, qui m’a fait découvrir avec passion l’oeuvre de Louis Ollier. ‎

‎Traité expérimental et chimique de la régénération des os et de la production artificielle du tissu osseux. Avec 9 planches gravées sur cuivre et 45 figures intercallées dans le texte.‎

‎Paris, Victor Masson et Fils, 1867 ; 2 tomes brochés : 1) Partie expérimentale, XX, 443, [4] pp. ; 2) Partie chimique : Chirurgie conservatrice des membres. Résections sous-périostées. Ostéoplastie. [4], 531 pp. et en tout, 9 planches gravées sur cuivre et 1 tableau hors-texte dépliant et deux couvertures vert-clair imprimées. Chemise individuelle pour chaque tome : demi-chagrin bleu-marine, dos rond, faux nerfs, titre et date en queue dorés, plats de papier “oeil de chat” bleu et gris, étui de deux volumes, avec arrondi pour chaque tome, bordé et papier oeil de chat identique (P.Goy et C. Vilaine).‎

‎Edition originale peu courante d’une des oeuvres principales du docteur Léopold Ollier ; né aux Vans en Ardèche et décédé à Lyon, les spécialistes le considèrent à juste titre comme “le père fondateur de la chirurgie ostéo-articulaire”; il s’agit de la mise en pratique de ses travaux publiés en 1858 dans la Gazette hebdomadaire de Médecine et de Chirurgie sous le titre “Des moyens chirurgicaux de favoriser la reproduction des os après les résections” (G.M.420 : “Ollier’s layer”, “the osteogenetic layer of the periosteum”) et publiés en 1859 sous le titre “De la production artificielle des os au moyen de la transplantation du périoste et des greffes osseuses” ; l’orthopédie réparative moderne était né ! Bon exemplaire, rare et très recherché. ‎

‎Rene Magritte, 1898-1967 : catalogue du centenaire. ‎

‎Flammarion, Paris 1998, 24x30,5cm, broché.‎

‎Edition originale. Une pliure angulaire sur le premier plat, sinon agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎