Buenos Aires. Editions des Lettres Françaises. 1942. Petit in-f°br., (235x305mm), second tirage tiré à 310 exemplaires, celui-ci un des 100 sur papier type Hollande. Couverture un peu salie, intérieur frais.
Rare exemplaire de tête hors commerce, non annoncé. Exemplaire Henri Hoppenot Buenos Aires, Éditions des lettres françaises, (25 août) 1942. 1 vol. (250 x 325 mm) de [108] p. Cartonnage vélin, dos lisse, titre à l'oeser noir et rouge, couvertures et dos conservés (reliure Schumacher - Berne). Edition originale. Un des rares exemplaires hors commerce sur papier pierre : seuls trois exemplaires (A, B et C) sont ainsi annoncés. Signalons néanmoins une publication à l'insu de l'auteur parue trois mois plus tôt, en mai 1942, par les soins de Jean Ballard, sous la forme d'un tiré à part à 200 exemplaires des Cahiers du Sud, imprimé à Marseille.
Exemplaire d'Henri Hoppenot, à qui Alexis Léger doit beaucoup. En août 1914, Henri Hoppenot fait son entrée au Bureau de la presse du ministère des Affaires étrangères. Alexis Léger, reçu au concours l'année précédente, est déjà dans la place. Quand ils entrent au ministère, s'y trouvent déjà les diplomates écrivains Giraudoux, Morand, Claudel. Pendant plus de soixante ans, Alexis Léger et Henri Hoppenot se côtoyèrent, s'éloignèrent au gré des postes, firent à nouveau route ensemble au Quai d'Orsay et se retrouvèrent sur le continent américain. Le premier - et seul poste à l'étranger - d'Alexis Léger sera en Chine, avant une brillante carrière à l'administration centrale : après la publication d'Anabase en 1924 sous le pseudonyme de Saint-John Perse, il laisse de côté sa carrière littéraire pour se consacrer entièrement à sa carrière diplomatique. Nommé directeur du cabinet du ministre Aristide Briand en 1925, il fait partie des plus hauts cadres du Quai d'Orsay. Il parvient à se maintenir en poste après la mort de Briand en 1932 et remplace Philippe Berthelot en tant que Secrétaire général du ministère de Affaires étrangères de 1933 à 1940 - soit le plus haut fonctionnaire après le ministre lui-même. Alexis Léger fera beaucoup pour favoriser la carrière d'Hoppenot : « Il m'a donné des coups de main plusieurs fois dans ma carrière, chaque fois qu'il a pu » (Ina, Archives du XXe siècle, interview d'Henri Hoppenot, 1971) - notamment sa nomination, en 1933, en Chine. En souvenir de cette période, Hoppenot fera imprimer, en 1937, une rareté : un compte rendu de mission d'Alexis Léger, imprimé sur les presses des Lazaristes à Pékin à dix exemplaires : la Relation respectueuse adressée par le secrétaire Lei Hi-Ngai [Alexis Léger] à son excellence le ministre Kang Te [Alexandre Conti ministre de France à Pékin]. Juste avant que les deux hommes ne se retrouvent à Paris, au Quai d'Orsay, entre 1937 et 1940. Désavoué en 1940, Alexis Léger est démis de ses fonctions le 18 mai 1940 par Paul Reynaud et s'exile aux États-Unis. Hoppenot, lui, paie sa proximité avec Léger : on lui refuse plusieurs accréditations en Europe et on l'envoie en Uruguay. Il démissionne du poste en 1942, quand est instauré le STO et promulgué un nouveau statut pour les Juifs. Révoqué le 6 mars 1943 de ses fonctions diplomatiques, il gagne alors Washington, où il retrouve Léger, ralliant la France Libre. Il sera nommé, en 1945, ambassadeur à Berne. Léger, qui a refusé de se rallier à de Gaulle, est réhabilité grâce à Henri Hoppenot et c'est lui qui permet son retour d'exil après la guerre. Hoppenot se fera le principal partisan pour l'obtention du prix Nobel de littérature en 1960 que Perse obtiendra, après avoir, dès 1944 basculé en poésie sous son nom de plume. Précieux exemplaire hors commerce du premier livre de Perse publié pendant l'exil. C'est le seul exemplaire sur ce papier qui soit connu. Dans quelles circonstances Hoppenot le reçut-il ? Il était, en août 1942, à Buenos Aires, et a donc pu le retirer sur place, grâce à un mot de Perse avec lequel il correspondait. Les deux hommes se voient en tout cas l'année suivante, à New York, mais on imagine qu'une dédicace serait alors venue enrichir un tel présent. Quoi qu'il en soit, Hoppenot regagne l'Europe en 1945, avec l'ouvrage : c'est à Berne - où il prend ses fonctions d'ambassadeur avec un jeune secrétaire d'ambassade, Romain Gary - qu'il fera relier l'exemplaire, ainsi que Pluies et Vents, par un fameux atelier de reliure situé dans la Kramgasse, l'une des principales artères commerçantes de la vieille ville : la maison Schumacher, fondée en 1840. Pendant la guerre, Perse vit lui à New-York puis Washington, avec le soutien d'amis américains dont le directeur de la Bibliothèque du Congrès américain, Archibald MacLeish, qui lui propose dès 1941 un poste de conseiller littéraire dans son institution. Les conditions matérielles le poussent à reprendre la plume, sous le nom de Saint-John Perse, et d'écrire Exil, un titre tout trouvé, le poète y ajoutant son nom de plume : « J'habiterai mon nom ». Les poèmes, composés dans le New Jersey, à Long Beach Island, sont dédiés à Archibald MacLeish et publié en pré-originale dans trois revues : Poetry (Chicago, en mars 1942), Cahiers du Sud à Marseille en juin, puis dans Les Lettres françaises / SUR, à Buenos Aires, en juillet 1942. L'édition de Buenos Aires est la seule reconnue par l'auteur : le tiré à part de Marseille fut publié à son l'insu, dans un texte non revu par lui - la mise en page, notamment, est particulièrement différente. Exil sera ensuite augmenté de Pluies, Neiges et Poème à l'étrangère.
Tiré à part à 200 exemplaires Marseille, Cahiers du Sud, 1942. 1 volume (165 x 265 mm) de 16 p. Broché. Édition originale. Tiré à part du numéro de mai 1942 des Cahiers du Sud. Un des 200 exemplaires sur vélin, justifié à la main (n° 81).
Editions des lettres françaises | Buenos Aires 1942 | 23.50 x 31 cm | broché
Deuxième édition, en partie originale, un des 100 exemplaires numérotés sur Hollande, tirage de tête avec 10 Whatman. Piqûres sur le premier plat, agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
ed. Les cahiers du Sud 1942 plaquette in-8 agrafee de 16 pages, tire à part du numero de mai des Cahiers du Sud, tirage limite à 200 ex. sur velin, numerote
1942 Buenos Aires, Éditions des Lettres Françaises, 1942. 30 x 23,5 cm, broché, non paginé [30 pp.]. Broché. Édition en partie originale. Tirage limité à 300 ex. numérotés sur Hollande (après 3 ex. Lettrés et 30 ex. sur Whatman). Exemplaire, du premier tirage (25 août 1942), en parfait état, non coupé. Rare recueil poétique de l'auteur. Exil parut initialement en revue dans les "Cahiers du Sud" en mai 1942. Un tirage à part à 200 ex. fut publié à cette date, à l'insu de l'auteur.
Editions De La Baconniere - Les Poètes Des Cahiers Du Rhône Neuchatel 1942 In-8 carré ( 190 X 140 mm ) de 34 pages, broché sous couverture imprimée rempliée. EDITION ORIGINALE, 1 des 1000 exemplaires numérotés sur papier vélin. Bel exemplaire.
ëd. de la Baconni¿re Broch D'occasion bon tat 01/01/1942 35 pages
Marseille Les Cahiers du sud 1942 1 vol. broché plaquette gr. in-8, agrafée, couverture imprimée, 16 pp. Édition originale publiée à l'insu de l'auteur constituant le tirage à part, à 200 exemplaires numérotés sur vélin, du n° 246 des Cahiers du Sud (mai 1942). Belle condition.
ed. Gallimard 1945 grand in-8 br., coll. «Metamorphoses», bande conservee «Portes ouvertes sur les sables, portes ouvertes sur l’exil», bien complet de l’important feuillet d’errata, ed. en partie originale
Paris, Gallimard, (3 septembre) 1946 1 vol. (190 x 240 mm) de 1 et [31] ff. Broché, non coupé. Couverture à l'état d'usage.
Paris, Gallimard, 1946. broché, légère mouillure au dos. in-4 de 82 pages ;
Phone number : 06 80 15 77 01
N.R.F. 1946. In-4° broché. Non paginé [60 pages]. Edition revue et corrigée.
Bon exemplaire.
Paris, 1945, in-8, 68pp, broché, Très bel exemplaire de l'édition originale numérotée. 68pp
Paris : Gallimard (Collection "Métamorphoses"), 1945 - un volume 18,8x23,8cm broché de 69 pages - Exemplaire numéroté - bon état - complet du feuillet d'errata -
Liège Editions Dynamo, Pie 1962 Plaquette in-12 assemblée par une cordelette, couverture imprimée.Edition originale, ornée en frontispice du portrait du grand poète hindou Rabindranath Tagore, gravé sur bois par Georges Aubert. Tirage limité à 51 exemplaires numérotés et signés par l'éditeur. Un des 10 premiers exemplaires sur vélin gris (après un exemplaire sur vergé de Hollande) comportant trois épreuves de la gravure.
Paris, Editions Gallimard 1965 225x140mm, frontispice, 816pages, broché. Couverture à rabats. Bon état.
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Ellipses Ellipses 1986, grand In-8 broché de 286 pages. Parfait état.
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1950 Paris, librairie Gallimard, 1950. In-8 broché, couverture illustrée rempliée, 188pp. 10° cahier, numéroté sur papier de châtaignier, spécial Saint-John Perse, contenant des textes de: Gide, Eliot, Fargue, Steiner, Larbaud, Caillois, Ungaretti, Rougemont, Fouchet, Picon, etc. Couverture de Fautrier.revue Créée après la guerre par Gaston Galllimard qui en confia la direction à Jean Paulhan,
Paris, Gallimard, 1950 ; grand in-8, broché, couverture bleue rempliée. - 188pp.-2ff. Dos légèrement frotté, si non bon exemplaire, non coupé.
Revue dirigée par Jean Paulhan, dont ce numéro est consacré tout entier à Saint-John Perse (Alexis Léger). Hommages et contributions sur l'oeuvre et l'écrivains par : A. Gide, L.-P. Fargue, R. Char, J. Supervielle, V. Larbaud, A. Breton, P. J. Jouve, M.-P. Fouchet...
1976 Aix-en-provence, Paris, 1976-1977 In huit, 150 pp, broché,comme neuf,
Catalogue d'exposition.
Catalogue de l'exposition présentée à Aix-en-Provence et au Musée Jacquemart-André. In-8° broché. Couverture illustrée d'après Georges Braque. 150 pages. Nombreuses planches hors texte. Bon état.
Saint-John Perse pour Fontaine Washington - 2800 Woodley Road, 2 mai 1948. 4 pages 1/2 en 5 f. (180 x 265 mm) sur papier vergé fin, à l'encre noire. Long courrier de Saint-John Perse au directeur de la revue Fontaine, Max-Pol Fouchet, alors que ce dernier envisage un numéro spécial consacré au poète.
Quinze jours plus tôt, Fouchet lui avait confirmé que tous les voyants étaient au vert : « Au travail, plus que jamais. Je n’ai pas cessé, d’ailleurs de préparer les futurs numéros, avec la certitude que Fontaine ne pouvait disparaître. L’hommage à Saint-John Perse n’a rien perdu de mes soins. Je le prévois pour le n° 66 (15 juillet). Tous les collaborateurs (André Gide, Denis de Rougemont, Gaëtan Picon, Albert Béguin, Marcel Raymond) ont été ‘relancés’. Dans une semaine, je vous dirai et le plan du sommaire et ceux qui y participent. Je viens d’écrire à Georges Schéhadé et à Gabriel Bounoure, que ce projet enthousiasmait. Dès que ces études me seront parvenues, nous bâtirons. […] » (lettre de M.-P. Fouchet à Saint-John Perse du 15 avril 1948). De si bonnes nouvelles, se réjouit le poète, alors que Fontaine connaît des difficultés : « Non, cher Ami, Fontaine ne pouvait pas périr !… Mais que votre lettre est émouvante dans sa simplicité. Je n’ai pas de peine à mesurer ce qu’a pu être votre épreuve, au plus intime et solitaire de vous-même. J’aime qu’à travers tout, j’aime qu’envers et contre tout, vous ayez su garder en vous le courage de ne pas désespérer. L’action est dure, pour l’entreprise intellectuelle, sur le plan des nécessités matérielles. Puissiez-vous, humainement, avoir trouvé du moins quelque solidarité de cœur, à Paris, parmi tous ceux qui doivent tant à la poursuite de votre effort. L’épreuve fait mieux comprendre ce qui a été en péril. C’est le destin même de votre Revue qui semble réaffirmé, et sa mission, mieux éclairée. Sa maladie de croissance est faite, à l’heure la plus malsaine, et sa survivance est assez symbolique pour animer autour d’elle le meilleur, et le plus sain, et le plus précieux. Mes félicitations pour votre victoire, et, pour votre nouveau combat, mes vœux, encore plus confiants et plus ‘exigeants’. Je m’emploierai de mon mieux, de ce côté de l’eau, à vous assurer le plus de sympathie possible, et, s’il se peut, de solidarité. Il y a là de la chose française en jeu, comme je souhaiterais qu’on l’entendît. Je suis touché de penser qu’au milieu de tant de soucis vous ayez gardé celui de ce numéro d’hommage dont vous voulez bien me reparler. » Le dernier numéro de Fontaine mis en vente date alors de… novembre 1947 (n° 63). Les sommaires, depuis, sont envisagés, les textes regroupés. Mais faire renaître Fontaine paraît vite impossible, malgré les envies. Une annonce aux autorités est même donnée le 28 avril 1948, avec un plan de parution détaillé. C’est probablement ce qui rend Fouchet si optimiste concernant son projet avec Perse, qui aurait représenté un retour à la littérature des plus importants. Las, la publication du numéro 64 sera sans cesse repoussée, prolongeant la lente agonie du titre, ce qui provoquera des inquiétudes, légitimes, chez le Saint-John Perse en juin. Ce numéro d’hommage sera néanmoins publié deux ans plus tard, « dans les Cahiers de la Pléiade, augmenté d’autres textes à l’automne 1950, c’est-à-dire quelques mois après la liquidation de la Société des Éditions de la Revue Fontaine, prononcée le 15 juillet 1950. Les noms de Max-Pol Fouchet et Fontaine n’y sont pas mentionnés une seule fois " (in François Vignale, La Revue Fontaine, Rennes, PUR, p. 247). Perse, de fait, avait tout prévu pour ce numéro spécial dont il attendait tant : « Voici, sans plus de phrases, mes réponses à votre lettre : 1° - Je vous envoie sous même pli le texte que vous attendez de moi – titre : ‘Et vous mers...’ (début de poème)’ - [ Faites imprimer en italiques une italique assez pleine, si possible) ; Et surtout assurez-moi, je vous en prie, la garantie d’un envoi d’épreuves à corriger moi-même. (J’y tiens essentiellement, ayant toujours eu tous déboires à cet égard : les ‘coquilles’ ont un goût particulier pour mes textes comme certains colimaçons pour les plantes des grèves.) ] Inutile de me renvoyer le manuscrit avec les épreuves. 2° - Les pages sur Briand dont vous a parlé Rougemont n’ont pas leur place dans votre numéro d’hommage littéraire. Simple discours de circonstance que j’ai eu à prononcer, à titre purement humain, dans une commémoration publique à l’étranger. J’ai pu le retrouver et vous l’envoie amicalement, puisque vous m’en parlez, mais à titre personnel et pas pour publication. Rien de moi, ni sur moi, hors du plan littéraire. Gardez-moi bien, autant qu’il dépendra de vous, contre tout rattachement de St.J.P. à Alexis Léger. Je vous ai déjà dit ce que je pensais des méfaits d’une telle liaison, entre mon plan absolu de poète et le plan latéral d’une vie professionnelle. Ma personnalité privée non plus n’appartient pas au public, et j’aime que vous ayez eu le tact de ne me demander aucun portrait. Si vous croyez devoir conserver telle quelle l’étude de Marcel Raymond, qui avait fait preuve envers moi de la plus grande délicatesse personnelle et à qui je n’ai marqué en fait aucune réserve, soit, mais pas d’autre exception dans ce sens. 3° - J’ai demandé à Breton et à Paulhan de vous donner quelque chose. Leur témoignage me ferait plaisir, amicalement autant qu’intellectuellement. Mais je ne sais s’ils sont informés de la résurrection de ‘Fontaine’ et de la reprise de votre projet. Voulez-vous vous en assurer directement auprès d’eux ? Dans les générations suivantes, que je connais mal, Michaux et Char sont les seuls dont la sympathie littéraire aurait un sens pour moi. Mais je ne connais pas personnellement le premier, et avec le second, que je tiens pour un vrai poète, je n’ai jamais eu qu’un bref échange de lettres. Je suis heureux de vous entendre mentionner Béguin. Je compte sur Rougemont pour me venger un peu d’absurdes interprétations littérales, lui qui a si intelligemment traité de l’ordre ‘fabuleux’ dans son dernier et très beau livre. Avec mon affectueuse pensée, transmettez-lui de ma part ce reproche : de ne m’avoir pas encore fait connaître son adresse en Europe. J’essaie de retrouver pour vous, dans les dépôts épars d’une vie sans foyer, la dernière et très longue lettre que j’ai reçue de Valéry, peu avant sa mort – intéressante, moins pour l’éloge excessif de les premiers poèmes (nous étions trop vieux amis pour qu’il ne fût point partial), que par d’étranges confidences, des plus inattendues, sur les limites de sa conception poëtique (nous n’avions jamais été d’accord à ce sujet). Je m’excuse, cher Ami, de n’avoir pu vous répondre plus tôt. À l’instant seulement votre lettre au retour d’un voyage dans le Sud. Encore tous les vœux que je mets pour vous dans une amicale et très cordiale pensée. Alexis Léger. »
Paris, Gallimard, collection Blanche, 1987, in-8 broché, 182 pp. Edition originale sur papier courant après les 32 grands papiers. TRES BON ETAT.
Liège Editions Dynamo, Pie 1963 Plaquette in-12 assemblée par une cordelette, couverture imprimée.Edition originale de ce texte publié en hommage à Jacques Rivière. Tirage limité à 51 exemplaires numérotés et signés par l'éditeur. Un des 11 premiers exemplaires sur vergé de Hollande.