Bergerac, Gilbert Vernoy, 1614. In-8 de (14)-566-(1) pp. (sign. *6, A-Z8, Aa-Mm6, Nn4), vélin souple à recouvrement, restes de lacets (reliure de l'époque).
Édition originale de ce poème inspiré de l'Évangile, dédié à Jacques Ier, roi d'Angleterre, à travers lequel Étienne Sanguinet, poète-soldat gascon qui fut un temps au service de Maurice de Nassau, chante les prophéties, incarnation, naissance, souffrances, mort, résurrection et ascension de Jésus-Christ.Titre-frontispice gravé sur cuivre orné des figures allégoriques de la Justice et de la Paix ; marque typographique (au recto du dernier feuillet), lettres ornées, bandeaux et culs-de-lampe gravés sur bois. Le douzième et dernier chant traite de l'Enfer des diables & des damnez.Très rare impression de Bergerac, place forte des protestants dans le Bordelais, sortie des presses de Gilbert Vernoy, typographe actif dans la ville entre 1608 et 1634. On ne connaît qu'une poignée d'exemplaires de cette édition.« Véritable trouvaille que ce volume. Où est-il mentionné ? Ni l’abbé Goujet, ni Viollet le Duc n’en parlent. Il n’est pas à notre connaissance qu’il ait passé dans aucun des catalogues de ventes qui ont été publiés depuis trente ans. Il faut que l’édition ait été jetée dans la Dordogne ou dans la Garonne. Les derniers exemplaires, traqués par les catholiques, auront quitté la France lors de la révocation de l’édit de Nantes. Le nôtre y est resté ou y est revenu, nous ne savons comment, et c’est vraiment bien heureux ; car c’est un beau volume imprimé à Bergerac, sur beau papier, avec de beaux caractères, dans toutes les conditions enfin qui constituent une belle édition. Le titre porte une marque en harmonie avec le nom du libraire ; on y voit un oranger tout chargé de feuilles et de fruits dans la tige duquel s’enroule un ruban avec cette légende : Sic omni ternpore verno. Aux deux côtés de l’arbre et sous ses rameaux sont une femme et un guerrier qui regardent vers l’arbre et la légende. Cette femme, c’est la muse ; ce guerrier, c’est l’auteur, qui n’est pas homme, croyez-îe bien , à se dérober derrière son libraire, et qui trouve peut-être que nous eussions dû parler de lui d’abord et rendre compte de son oeuvre » (Bulletin du bibliophile et du bibliothécaire, 1858).Titre doublé, quelques traces de vers dans la marge inférieure, mouillure marginale à quelques feuillets, vélin un peu usagée et tachée, le bas du dos restauré.Brunet V, p. 126 ; L. Desgraves, Répertoire des ouvrages de controverse, n°1682.
A Paris, chez Claude Mazuel, 1691. In-12 de (14)-297-(1) pp., maroquin rouge, dos orné à nerfs, filet doré d'encadrement sur les plats, coupe ciselée, dentelle interieure, tranches dorées (reliure de l'époque).
Envoi autographe signé de Santeul sur la garde supérieure : « A Madame Boisroger par son très humble serviteur Santeul de S Victor ce 5 juin 1691 ». Une signature ancienne Angélique d'Hapigny a été ajoutée par une autre main au milieu de l'envoi.Première édition française, traduite par Saurin, des hymnes latins de Santeul, « le plus célèbre des poètes latins modernes » (Larousse).Ces poèmes étaient initialement parus en 1689 et avaient notamment été choisis pour être chantés dans les églises parisiennes. « Comme les Hymnes de Monsieur de Santeul, que quelques-unes de nos plus célèbres Eglises ont substituées dans les divins Offices à la place de celles qui s'y chantoient auparavant, ont un degré d'excellence ou personne dans les derniers siècles n'avoit porte la Poésie Ecclésiastique ; c'est sans doute un Ouvrage tres-difficile que de les rendre en autant de vers François, avec toutes les beautez qu'elles ont dans leur Original. On peut cependant assurer que le pieux Ecclésiastique qui a tenté ce pénible travail, l'a fait avec beaucoup de succès ; et qu'en suivant le fidèle Traducteur exactement le sens du Latin, il ne lui a rien oté de ce qui le fait regarder avec justice comme un Ouvrage très-accompli » (Approbation).Bel exemplaire réglé, relié a l'époque en maroquin.
1656 Paris. Courbé. 1656. 1 volume in-4, plein veau, triple filets dorés en encadrement sur les plats, dos à nerfs orné. [6] ff. ; 284 pp. (pour 384) ; 193 pp. ; [3] pp.
Portrait-frontispice de l'auteur.Homme de talent et d'esprit, Sarasin jouissait d'une réputation de gaité bouffonne qui lui ouvrait les portes des plus grands malgré certains excès. Chargé de mission à Rome il s'empressa de dépenser les 4000 livres allouées en festin et maîtresses en Allemagne. Bien introduit dans le milieu littéraire, Pellisson qui rédige ici le discours sur l'oeuvre fit graver sur sa tombe cette épitaphe"Pour écrire en style divers,Ce rare esprit surpassa tous les autres ; Je n'en dis plus rien, car ses versLui font plus d'honneur que les notres"L'ouvrage comprend d'abord les oeuvres en prose : histoire du siège dunkerque, conspiration de Valstein, Pompe funébre de Voiture... ; puis les poésies et termine par un "discours" sur les oeuvres de M. Sarasin par Pellisson. Quérard VIII, 455. Brunet V, 138. Cioranescu 61496. Trace trace d'ex-libris avec manque au papier de garde. Reliure frottée, discrètes restaurations aux mors. Cachet "Petit Séminaire - Saint-Bernard".
A Caen chez Trébutien, à Paris, chez Le Cointe et Durey, 1824. In-8, broché couverture d'attente de l'époque, XV, 305 pp, 1 f non chiffré (errata), 5 ff non chiffrés. Ouvrage illustré d'un portrait de l'auteur en frontispice. Couverture défraîchie avec manques sur les plats et au dos, dos cassé ne tenant qu'a un fil, rousseurs.
Paris. Nicolas Le Gras. 1685. 2 parties en 1 volume in-12 (96 x 160 mm) plein veau porphyre, dos lisse orné, pièce de titre maroquin rouge, gardes marbrées, 5ff. titre et épistre à Mlle de Sudéry), 415, (2) et 321, (11) pages. A. G. de Mont Riche en lettres dorées sur le 1er plat, dorures du dos un peu effacées, petit grignotis à la coiffe inférieure, mais reliure solide, bon état intérieur.
Édition donnée par Ménage, avec un long discours de Pélisson. Elle renferme, entre autres pièces, la Conjuration de Walstein contre l'Empereur, morcceau qui selon Charles Nodier, est le premier de notre langue que nous puissions comparer à Salluste, dont il a quelquefois le nerf et la pureté. Ce volume contient encore une curieuse et savante dissertation :Opinions du nom et du jeu des Échets, où l'auteur a fait preuve d'une érudition tour à tour enjouée et sérieuse, et qui gagnerait à être plus connue, ne fût-ce qu'à titre de modèle. Parmi les poésies, on remarque le délicieux sonnet d'Eve, qui suffirait à la gloire d'un vrai poète. (Note de libraire collée au revers de la 1re garde).
Paris, Editions littéraires de France, s.d., 1 br., couverture rempliée, illustrée, sous emboitage. in-4 de 285 pp., illustrations de Paul Bourg, exemplaire numéroté, un des 1400 (sans précision de papier) ;
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Paris, Lemerre, 1880. 2 volumes in-16, demi chagrin à coins, dos à nerfs, titre dorés, tranches supérieures dorées, tome I: LIII, 370 pp; tome II: 309 pp. Edition sur papier Vergé. Ouvrage illustré d'un frontispice au tome I. Couvertures conservées. Quelques rares rousseurs, tampon de Henri Bitsch sur la couverture et à la page 15 du tome I, et sur la page de titre et à la page 15 du tome II.
P., Jouaust, Librairie des Bibliophiles,1880. 3 vol. in-12 reliés demi-maroquin citron à coins (signature Combe), dos orné, filets dorés sur plats, tête dorée, dos long orné, pièce de titre en maroquin marron, couv. et dos conservés, XXXII-250-228-178 pp. Illustrations de 9 Eaux-fortes sous serpente par L Flameng. Rares piqures et rousseurs, dos un peu foncés, bon état.
La librairie fermera ses portes en 2025. Des remises de 25 à 50 % peuvent s'appliquer au cas par cas.
Suites de Orfary et Preschac. Conclusions par Louis Barré, illustré par Edouard Frère. Paris. J. Bry. 1858. 2 volumes in-8 dos lisse basane brune, 255 et 240pp. Illustrations in et h.-t. en 1°tirage. Bon exemplaire.
Vicaire VII, 402-403. Carteret,I, 552.
Nouvelle édition revue sur les meilleurs textes. Paris. Garnier. Vers 1860. In-12 (118 x 184mm) dos chagrin bleu nuit à 4 nerfs, titre, caissons et filets or, plats mouchetés, gardes marbrées, 2ff., 412 pages. Des rousseurs sinon bel exemplaire, bien relié.
à Paris, Librairie artistique H. Launette et Cie, 1888.
SCARRON Paul, Le Roman Comique, illustré par Édouard Zier à Paris, Librairie artistique H. Launette et Cie, 1888. In-4 demi-maroquin à coins finement relié (reliure signée Bretault) couleur brique, dos à 5 nerfs avec titre et date dorés, tranche de tête dorée, feuillets de garde peignés, (xii), 453pages. Ex-libris gravé collé sur le deuxième feuillet. Couvertures et dos conservés. Accompagné de 350 illustrations du peintre d'histoire et illustrateur Édouard Zier (1856-1824). Paru entre 1651 et 1657, Le Roman comique "demeure sans doute encore l'un des chefs d'oeuvre du genre dans l'histoire de la littérature". "Paul Scarron possède au plus haut point le don d'animer ses personnages et de mettre en lumière les traits saisissants de leur caractère. Tout cela dans une langue hautement savoureuse, aisée, directe, farcie de boutades.'' Exemplaire en excellente condition.
sl, éditions La Tradition, 1945.
Ensemble de 3 volumes sous étuis et chemises cartonnées rouge cardinal, titres dorés au dos, en feuillets libres sous chemises souples rempliées, vol1:230pp;vol2:212pp;vol3:171pp. Exemplaire numéroté (451/525 dont 30 ex. hors commerce), celui-ci un des 293 ex. imprimé sur grand vélin d'Arches à la forme. Illustré d'eaux-fortes originales en couleurs de Joseph Hémard (1880-1961), considéré comme le ''Prince des humoristes''. C'est à Paris vers 1640 que Paul Scarron (1610-1660), poète burlesque et auteur dramatique entame une carrière de bel esprit et c'est en 1651 -2vol in-8, puis en 1657- qu'il publie son Roman comique, roman qui retrace la vie de comédiens ambulants. Le salon de Scarron, qui au moment de la Fronde devint foyer d'opposition, fut toujours très fréquenté : Saint-Evremond, Ménage, Ninon de Lenclos, Scuderi, La Fayette s'y retrouvaient, tous charmés par le burlesque de leur hôte. Très bonne condition de l'ensemble.
Paris. Garnier. 1876. In-12 (118 x 184mm) dos chagrin bleu nuit à 4 nerfs, titre, caissons et filets or, plats mouchetés, gardes marbrées, 430 pages. Des rousseurs sinon bel exemplaire, bien relié.
Paris, Chez Edmé Martin et Français Eschart, 1667. 2 parties en 1 vol. in-12 de (4)-122 pp. 1 f. blanc, 518 pp. 1f. blanc, frontispice, maroquin janséniste rouge, dos à nerfs, dentelle intérieure, tranches dorées sur marbrure (Duru et Chambolle 1863).
Édition originale illustrée d'un frontispice gravé d'après Chauveau, accompagnée de l'importante préface intitulée Les Jeux, servant de préface à Mathilde. « Non pas vraiment inconnue, mais plutôt méconnue, la nouvelle que fit paraître Madeleine de Scudéry en 1667 devrait pourtant connaître un autre sort. En effet, loin d'être alors un auteur sur le déclin, la romancière (1607-1701) y démontre ses qualités traditionnelles jointes à une audace littéraire - voire politique - qui surprend. En ressuscitant Laure et Pétrarque, elle fonde la légitimité historique du courant galant ; en racontant les amours d'Alphonse et de Mathilde dans l'Espagne sanglante du XIVe siècle, elle entrelace idylle galante et intrigues de cour, amour et ambition, comme le fera onze ans plus tard Mme de Lafayette dans La Princesse de Clèves; enfin, jouant de la fiction du non-fictif, elle va jusqu'à donner à son écriture historique des accents critiques étonnants. Frappée de mutisme pendant cinq ans à la suite de l'affaire Foucquet, Madeleine de Scudéry recommença à publier avec Mathilde, dont le texte constitue un des sommets de l'art de la romancière » (Nathalie Grande, édition moderne Honoré Champion). Le roman fut réédité sous le titre Mathilde d'Aguilar, histoire galante (1702).Provenance : baron Léopold Double (deux ex-libris dont une croix potencée, le second Ex museo L. Double), bibliophile et grand collectionneur, acquéreur en 1848 de la bibliothèque de Louis XIV ; Lucien Scheler, « Coll.complet » paraphé.Très bel exemplaire relié en maroquin janséniste rouge signé Chambolle-Duru.Tchemerzine-Scheler, V, p.786 ; Lever, Fiction narrative en prose au XVIIe siècle, p. 261 ; Catalogue de la bibliothèque M. Léopold Double, 1863, n° 204, acheté par le comte du Tillet pour 131 francs : Superbe exemplaire d'un volume rare.
Traduites par Mre François de MALHERBE. Lyon. Claude La Rivière. 1652. Fort petit in-12 (82 x 138mm) pleine basane mouchetée, dos à 3 nerfs, muet, filet or encadrant les plats, portrait de Malherbe en frontispice, 5ff., 632 pages. Petits défauts mais bon exemplaire.
Limoges, Ardant, s.d. (vers 1860), 1 cartonnage, encadrement décoratif, fleurons d'angle, décors losangés sur les plats, manques au dos. in-8 de 120 pp., frontispice ;
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Limoges, Ardant, s.d. (1852), 1 cartonnage, dorures sur papier gauffrées sur le plat inf., papier arraché au dos et sur le plat sup., carton mis à nu, exemplaire à restaurer. in-8, titre, 236 pp., dernier feuillet manquant, quelques rousseurs ;
Mmes Courtin, maitresses de pensionnat à Limoges.
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Paris, Blaise, 1826, 1 en cahiers, sans couverture, exemplaire à relier. in-8, f.t., titre, 4 pages de catalogue, XIV pp., 1 ff.n.c., IV-78 pp. + 1 fac-similé, quelques rousseurs ;
Introduction et observation, par L. J. N. Monmerque.
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Valence, Jamonet, 1837, 1 pleine percaline bradel, pièces de titres et tomaisons au dos. 3 volumes in-12 de XV-199, 219 et 201 pp. + 5 pp. (extrait du catalogue de la librairie de J.-F. Jamonet, à Valence (Drome)) ;
Choix de lettres, par l'Abbé Allemand, directeur des études au petit séminaire de Valence.En début d'ouvrage: Notice sur madame De Sévigné et "Du style épistolaire, et de madame De Sévigné", par M. Suard. En fin d'ouvrage, Lettres de Madame De Grignan et madame De Simiane.
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Edited with a scrupulous revision of the texte by Charles and Mary Cowden Clarke. The Leicester Square Edition with portrait and twenty-one illustrations from de Boydell Gallery in permanent photography. London. Bickers and son. 1875. Gd in-8 (180 x 244mm) plein maroquin violet à grains longs, dos à 5 nerfs richement orné, double filet or encadrant les plats, roulette sur les coupes, gardes jaspées, tranches marbrées, 2ff., LXI, (2), 1002, (1) pages. Texte sur 2 colonnes, illustrations photos collées hors texte. Report du portrait en frontispice sur la page de titre, tout petits défauts mais bel exemplaire superbement relié.
Paris. Plon. 1882. In-12 (112 x 164 mm) plein maroquin bleu nuit, dos à 5 nerfs finement ornés nolr, titre et dates dans les entre-nerfs, date de l' édition en queue, triple filet doré sur les plats, filet sur les coupes, triple dentelle intérieure, gardes marbrées, tête dorée, 2ff.b, du relieur, 4ff., 164, 1 pages et 2ff.b. de l'éditeur. Très bel exemplaire, 1 des 550 sur papier vélin après 80 Hollande, 20 Chine et 20 Japon.
Paris, Antoine de Sommaville, 1640. In-4 de (4)-360 pp., 1 f. (errata et privilège), vélin rigide à rabats, titre et date manuscrits sur le dos (reliure ancienne).
Édition originale de la seule fiction narrative de Charles Sorel (1582?-1674) portant son nom, à la fois roman d’initiation philosophique, récit généalogique et traité de morale pratique.« La Solitude et l’Amour philosophique de Cléomède, premier sujet des exercices moraux de M. Ch. Sorel, publié en 1640, est une fiction philosophique qui met en rapport les différents volets – romanesque et philosophique-didactique – de l’œuvre de Charles Sorel. Ce texte est en effet étroitement lié à La Science universelle, encyclopédie dont Sorel vient de publier les premiers volumes en 1634 et 1637. Dans La Science universelle, Sorel parle de La Solitude comme d’un « traité » qui doit expliquer la vocation de l’encyclopédiste. Plusieurs textes liminaires de l’encyclopédie mettent par ailleurs en rapport le héros éponyme de La Solitude et l’auteur de La Science universelle. La Solitude est donc un récit d’accès au savoir relatant l’initiation du personnage de Cléomède à l’« amour philosophique ». [Marie-Florence Sguaitamatti, Imiter Cléomède : légitimation de l’encyclopédiste et transmission des savoirs dans La Solitude de Sorel in Dix-septième siècle 2018/3 (n° 280), pages 445 à 460, PUF]. Rousseurs, feuillets liminaires réparés en coins.Lever, Fiction narrative, 393.
Paris, Delahays, 1858. In-12, percaline éditeur, dos lisse, titre doré, décor estampé à froid sur les plats, faux-titre, titre, 539 pp, 32 pp (catalogue de l'éditeur). Ouvrage imprimé sur papier vergé et illustré d'un frontispice, collection "Bibliothèque Gauloise". Coins inférieurs tordus, quelques rares rousseurs.
Prononcée dans l'Eglise et le Couvent des Carmes de Paris le 25 Juin 1643. Imprimé par Commandement de Sa Majesté. Paris. Claude Marette. 1643. In-8 (145 x 191mm) broché, sans couverture, tiré d'un recueil factice, 32 pages (les 4 dernières sont détachées). Nombreuses rousseurs, tache de 8mm de diamètre sur les pages 29-30. Etat très moyen. Rare. Pas à Cioranescu.
Précédées de son Éloge par Mme A. Tastu. Couronné par l'Académie Française. Avec l'Extrait du Rapport de M. Villemain et les réflexions sur le style épistolaire par SUARD. Nouvelle édition. Paris. Didier. 1872. In-12 (120 x 179mm) dos veau jaune brun, à 5 nerfs, caissons finement ornés or, pièce de titre havane, de tomaison bleue, plats et gardes jaspés, signet de soie verte, portrait en frontispice, 2ff., 641 pages. Rares rousseurs, petits défauts mais assez bel exemplaire.