un feuillet ancien XVIIIe s.,2p.- 30x22 cm,- dessins PROFILS de la cote
Paris Ministère de la Marine 1799 4 ff. in-folio, dont un blanc, papier vergé
État nominatif complet manuscrit, parfaitement lisible, des bâtiments de la marine française en 1799, à la fin du Directoire, classé par vaisseaux (48), frégates (50), corvettes (42), bricks (14), lougres (10), cutters (16), avisos (12), demi-chebecs (6), goélettes (11), flûtes et gabares (14), chaloupes canonnières (25), bateaux canonniers (135) et bateaux construits pour la déserte et Angleterre (177).Le ministère de la marine est, sous le gouvernement du Directoire, particulièrement instable, notamment l’année 1799 voit se succéder trois ministres : Charles Joseph Mathieu de Lambrechts (du 4 au 7 mars), Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord (par intérim du 7 mars au 2 juillet) et Marc-Antoine Bourdon de Vatry (du 2 juillet au 22 novembre). C’est à la suite du départ de l’expédition d’Egypte (19 mai 1798) que se dessine une crise maritime qui aboutira à la destruction par Nelson de la flotte française à Aboukir (1 août 1798).Les succès mitigés des Français en Orient coïncident avec le retour de Napoléon au Caire le 14 juin 1799 et son retour d’Orient à Paris le 16 octobre suivant. Le Coup d’État de Brumaire les 9-10 novembre 1799 place provisoirement Bonaparte, Sieyès et Ducos au pouvoir et, dès le 12 décembre, Bonaparte devient premier consul. C’est sous ce panorama militaro-politique que s’esquisse cet état de la Marine française, peu de jours avant la prise du pouvoir par Napoléon
1813 IN FOLIO broché,titre manuscrit sur chemise + 18 pages en feuilles ;datées 13 juillet 1810
bon etat,rare; complet
Livourne le 22 septembre 1808,In folio 9 pages manuscrites a l’encre a 2 colonnes + titre,bords marge tachées,
ecriture un peu passée
LIVOURNE 26 avril 1809,12 pages,in folio,pages manuscrites a l’encre bords marge tachées,signé Pouyer
bon etat
MANUSCRIT marine empire port de LIVOURNE 7e arrdt; Joseph BERARD, MARESTIER. Pouyer brig l’Inconstant
Reference : 20800
LIVOURNE,13 juin 1810,6 pages (double copie),in folio, 3 pages manuscrites a l’encre bords marge tachées avec manques angulaire,cachets,signé BERARD, MARESTIER. Pouyer
contrat d’ouvriers charpentiers.Basé a Livourne en 1814,l’Inconstant se trouve ainsi devenir le navire amiral de Napoleon à l’ile d’Elbe; chaque copie,rare
MANUSCRIT marine empire port de LIVOURNE Joseph BERARD, MARESTIER. Pouyer
Reference : 20799
LIVOURNE,13 juin 1810,17 pages,in folio,pages manuscrites a l’encre bords marge tachées,signé BERARD, MARESTIER. Pouyer
encre passée,lisible
, 1817, 1818, 1819, in-8, 2 vol, (2) ff. blancs, 254 pp. dont titre et table + (2) ff. : titre, table, (6) ff. blancs, 236 pp, pp. 236 à 250 : feuillets blancs, suivi de : "Des affections des parties génitales de la femme", Reliure demi-basane de l'époque, dos lisse, pièce de titre au dos, Leçons manuscrites copiées par un étudiant ou collaborateur qui a signé de son nom, sur les pages de titre : Denis fils. Volume 1 : "Table des matières contenues. Dans cette partie. Des plaies en général - Des plaies par instruments tranchants - Des plaies par instruments piquants- Des plaies par instruments déchirants - Des plaies envenimées - Des plaies par instruments contondants - Des plaies d'armes à feu." Volume 2 : "Table des matières contenue dans ce volume - Des maladies du système osseux. Des maladies des os, produites par des causes méchaniques dans leur continuité. - Contusions des os. - Plaies des os. - Fractures. - [Fractures] des os longs." Jean-Nicolas Marjolin (1780-1850) est un chirurgien français membre de l'Académie de Médecine et médecin du roi connu pour avoir publié en 1810 un Manuel d'Anatomie destiné à ses élèves qui pose les bases des dissections du corps humain. Il collabora ensuite, à partir de 1821, au Nouveau Dictionnaire Médical dont il rédigea plus d'une trentaine d'articles. En 1837, Marjolin entreprit la publication de son Cours de Pathologie Chirurgicale, dont seul le premier tome parut. Traces d'usage à la reliure, 1 accroc au dos du vol. 2, intérieur frais et rédigé dans une écriture régulière et propre Couverture rigide
Bon 2 vol., (2) ff. blancs, 254
1773. 48.5 x 37 cm - Manuscrit sur papier vergé. Diverses déchirures avec petits manques sans manque de texte ; taches claires. Document très lisible.
Précaution de confinement des bêtes malades (polmonera grava), surveillance et obligation de produire un certificat de santé lors du passage dans la région (Grand Croix où la maladie est déclarée, Moncenis, sur les routes de Savoie à Suse où doit se tenir une foire).
s.l., Martin, 1745, 1 1/4 de feuillet manuscrit (recto verso).
"Composition de médecine que m'a conseillé Mr Martin le médecin quand j'aurais besoin d'être purgé et dont il m'a donné la recette[...]".
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S.l., s.d. (vers 1895) fort vol. in-4, [2] ff. n. ch., puis ensemble chiffré de façon anarchique (alternativement folioté et paginé sans ordre repérable) 1-1274, [5] ff. n. ch. de table, demi-chagrin noir, dos lisse orné de filets et pointillés dorés Mors abîmés. (reliure de l'époque).
Il s'agit de l'exemplaire de Martinien lui-même, mis au propre, et apparemment disposé pour l'impression des épreuves. Rappelons que l'ouvrage parut pour la première fois chez Henri Charles-Lavauzelle en 1899, formant un fort volume in-8 de 824 pages.C'est là le principal ouvrage de l'historien militaire Aristide Martinien (1843-1912), bibliothécaire des Archives historiques de la Guerre. Ce travail monumental, toujours utilisé, avait été rédigé dans la suite de la Liste des officiers généraux tués ou blessés sous l'Empire, parue dès 1896, mais formant une plaquette de 36 pages seulement.Davois II, 214 (pour l'imprimé). LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Cahier in-4° , demi-velin à coins, plats de papier bleu, fermeture par lacets crèmes, 124 pages écrites ( sur environ les 200 pages que compte le cahier ).L'étude aborde les chapitres suivants : numération, addition, soustraction, réduction, multiplication; parties alliquotes, fractions, division, règles du cent, du millier, de trois, règle de compagnie, règle de tare, règle testamentaire, règle d'alliage, et les exercices correspondants, la règle de fausse position , dernière du cahier, est restée inachevée. Environ 80 pages sont restées vierges en fin de cahier.
Cours de mathématiques pratiques, ce cahier tenu en 1809 et 1810, regroupe les exercices de Pierre Mage de Poinsat en Auvergne et pour plusieurs exercices les cas soumis à l'élève sont tirés de la vie quotidienne de la famille, par exemple :" Gilbert Mage, Jacques , Pommerol et Pierre Mage font compagnie ensemble tant pour la perte que pour le gain…" pour la règle de compagnie, ou encore " Mage a vendu ou acheté en différentes fois..." pour la règle d'alliage . Belle mise en page et calligraphie. Les exercices relatifs la règle de trois dessinent des Z sur les feuillets, les divisions des losanges réguliers. Papier des plats frotté, quelques petites taches rousses en bordures de plusieurs feuillets. ( Reu-CH1)
S.l., s.d. (vers 1900) in-16 oblong (12 x 20 cm), [20] ff. n. ch., 27 ff. vierges, toile grège moderne, dos lisse muet (reliure de l'époque).
Petit carnet renfermant 20 dessins à l'encre de Chine, signés E. Mazéas, et représentant diverses scènes caricaturales, légendées ou non. Elles tournent généralement autour du mariage, des prostituées, des femmes.La date peut se déduire de celle figurant sur un calendrier à la caricature du f. [11]. Il n'a rien été trouvé sur ce Mazéas. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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S.l., s.d. (vers 1820) in-folio, [24] ff. n. ch., couverts d'une écriture moyenne et très lisible (environ 30 lignes par page), broché sous couverture d'attente de papier crème.
Le titre et le texte sont identiques à ceux du volume I de la série Batailles, combats et victoires des armées françaises, publiée en 1819 chez Tiger et déclinée en sept tomes et neuf volumes. En revanche, le nom d'Amédée Meurice est inconnu des bibliographies de la période. Les opuscules de la série sus-nommée sont demeurés anonymes et ne comportent comme mention d'auteur que C***, qui ne correspond de toutes façons pas aux initiales de Meurice. Nous avons peut-être ici le début d'une attribution qui a échappé jusque lors. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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S.l., s.d. (vers 1820) in-folio, [26] ff. n. ch., couverts d'une écriture moyenne et très lisible (environ 30 lignes par page), broché sous couverture d'attente de papier crème.
Reproduit exactement le titre et le texte imprimé par Tiger entre 1819 et 1825, et qui fait suite à la série des Batailles, combats et victoires des armées françaises (7 parties en 9 volumes).En revanche, le nom d'Amédée Meurice est inconnu des bibliographies de la période. Les opuscules de la série sus-nommée sont demeurés anonymes et ne comportent comme mention d'auteur que C***, qui ne correspond de toutes façons pas aux initiales de Meurice. Nous avons peut-être ici le début d'une attribution qui a échappé jusque lors. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Sans Sans lieu sans date vers 1950, classeur manuscrit format 24 x 20 cms, regroupant des dessins à la plume, certains coloriés de la période antique à 1900. Pages de textes manuscrits en regard des pages de dessins et croquis. Texte en néerlandais. Bien réalisé et en bon état.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Pacte de mariage, entre les familles de Vidau et de Prim ( avec les noms de Joan de Vidau, Joan de Lapeinade, son père et Marie de Vidau, sa mère, Jean de Lapeinade, de Bruquer, son oncle et M. Joan de Laforgue...Joan de Prim , Germaine de Mongoy sa mère, Jean de Prim son frère, Jean Penin de Prim, et de Joanpenin de Monirilou ?)... Acte signée Manchette, daté de Montaur, le 22 mars 1659. 2pp. in-4°.
Document conservé plié en 8 ( traces de plis jaunies), petits manques de papier en bordure de feuille, perte de quelques lettres. ( Cl Gr)
, 1865, in-4, titre, [1] f. blanc, [2]-572 pages manuscrites numérotées à la main, suivies de plusieurs feuillets blancs et [11] feuillets d'index in fine, demi-chagrin vert, dos à faux nerfs et orné, Intéressant manuscrit qui apporte de nouvelles informations sur la carrière du médecin et chef du service photographique de l'hôpital Saint-Louis, Arthur de Montméja. Il s'agit des notes, remises au propre, rédigées à la suite des 25 conférences (sur les os, les articulations, les muqueuses, la sphère ORL, les régions maxillaires, l'estomac et les intestins, le foie, etc...) auxquelles Arthur de Montméja assista dans l'année 1865 en vue de passer son Internat. Plusieurs feuillets numérotés sont demeurés vierges : sans doute en raison de retards ou d'absences de l'élève à quelques conférences. Un feuillet a été découpé à la suite du titre de la 1re conférence. La carrière de Montméja est étonnamment mal connue. Elle fut pourtant brillante. Nous savions jusque là qu'il avait été interne provisoire à l'hôpital Saint-Louis et, grâce à ce manuscrit, nous savons également qu'il tentait de devenir interne des hôpitaux de Paris. Il devint docteur en médecine en 1871, avec une thèse consacrée à la cataracte et, selon certaines indications, il fut chef de clinique ophtalmologique (on notera qu'à Paris la clinique ophtalmologique ne fut créée qu'en 1878). Montméja s'illustra particulièrement dans un domaine auquel il ne se destinait pas encore avant de devenir interne et d'avoir pour professeur l'éminent dermatologue Alfred Hardy : la photographie médicale. Il collabora en effet à la célèbre Clinique photographique de l'hôpital Saint-Louis (1868) en dirigeant l'atelier où furent réalisés les premiers clichés illustrant des pathologies de la peau. A la suite de ce travail, il publia, avec Jules Rengade et Désiré-Magloire Bourneville, la Revue photographique des hôpitaux de Paris (1869-1872), célèbre pour ses clichés représentant les maux et les pathologies du corps humain les plus rares et les plus spectaculaires. Propriétaire du château de Rouffilac à Carlux en Dordogne, Montméja décéda en 1910. Couverture rigide
Bon titre, [1] f. blanc, [2]-572
Paris, Collège Sainte-Geneviève, 1860-1861, in-4, [4]-486-[104] pp, Demi-basane verte de l'époque, Intéressant manuscrit de l'étudiant Arthur de Montméja (1841-1910), dont le nom et la signature apparaissent à plusieurs reprises. Ces cours comprennent des leçons d'algèbre (pp. 1-188), d'arithmétique (pp. 189-307), de géométrie (pp. 329-472), de physique (pp. [1-55]) et enfin des problèmes (pp. [71] et suiv.). L'ensemble a été rédigé à l'encre brune d'une écriture soignée et lisible, avec, en réserve, une marge importante, qui occupe toute la moitié gauche de chaque page : quelques figures y ont été dessinées, principalement pour les parties "géométrie" et "physique" ; cette dernière s'illustre entre autres de jolis dessins à l'encre et au crayon représentant des instruments (machine d'Atwood, machine à diviser, sphéromètre...). Plusieurs pages ont été laissées vierges entre les différentes parties. La carrière de Montméja est à la fois brillante et peu connue. La librairie a disposé de quelques manuscrits qui nous permettent de la connaître un peu mieux : celui-ci nous apprend ainsi que sa vocation première était de devenir ingénieur, en assistant aux cours préparatoires pour l'École Centrale donnés au collège Sainte-Geneviève dans les années 1860-1861. Finalement, Montméja s'est orienté vers la médecine, en devenant interne à l'hôpital Saint-Louis, puis docteur en médecine en 1871, avec une thèse consacrée à la cataracte, et chef de clinique ophtalmologique (on notera qu'à Paris la clinique ophtalmologique ne fut créée qu'en 1878). Il s'est particulièrement illustré dans le domaine de la photographie médicale. Propriétaire du château de Rouffilac à Carlux en Dordogne, il décède en 1910. Dos arraché. Couverture rigide
Bon [4]-486-[104] pp.
S.l., s.d. (vers 1660) in-folio, [254] ff. n. ch., couverts d'une écriture moyenne, soignée et très lisible (environ 20 lignes par page), veau brun granité, dos à nerfs orné de pointillés et de caissons fleurdelisés dorés, encadrement de double filet doré sur les plats, armes au centre, tranches mouchetées de rouge Restaurations habiles aux coins et coiffes. (reliure de l'époque).
Copié après la mort du cardinal-ministre, ce recueil très intéressant regroupe une partie des pièces que l'on retrouve dans le Recueil de plusieurs pièces servant à l'histoire moderne, paru à l'adresse de Cologne en 1663, et réédités jusqu'en 1723. La principale concerne effectivement la retraite de Gaston d'Orléans en 1632, mais d'autres documentent ses éternelles intrigues jusqu'en 1637, et enfin son accomodement avec Richelieu qui permit son retour à la Cour peu avant la mort de son frère.La personnalité de l'auteur est de premier plan : Claude de Bourdeille de Montrésor (1606-1663), petit-neveu de Brantôme, fut en effet l'acteur principal de la plupart des conspirations qui se tramèrent sans cesse autour de Monsieur. Favori écouté, il ne cessa de lutter contre Richelieu, et se trouva même compromis dans le complot de Cinq-Mars et Thou, n'échappant aux rigueurs de la vengeance cardinalice que par une opportune fuite en Angleterre.1. A partir du f. 114v, on a le texte suivant : Relation faicte par Mons. de Fonterailles des choses particulières de la Cour pendant la faveur de Monsieur le Grand.2. Puis, au f. 159r, Mémoire faict auparavant que le Roy partist de Montfrin pour s'en retourner à Paris au mois de juin mil six cens quarante-deux. Cette partie comprend en annexe de nombreuses lettres et rapports de ou à Gaston d'Orléans, ainsi que du cardinal de Richelieu ou adressées à ce ministre.Louis d'Astarac de Fontrailles (mort en 1677), autre conspirateur invétéré, avait participé à un des projets de Montrésor : il s'agissait, tout simplement, d'assassiner le cardinal-ministre. Il fut évidemment du complot de Cinq-Mars et retrouva Montrésor en Angleterre ; il a également laissé des mémoires, qui portent le même titre que notre mémoire (Relation des choses particulières de la Cour pendant la faveur de Monsieur le Grand, annexées au Recueil de Cologne de 1663). Cf. SHF, 764.Cf. SHF, Bourgeois & André, 731 (pour la version imprimée).Exemplaire aux armes de François Dugué, trésorier de France.OHR 335-1. Il est à noter que son fils, également prénommé François, président de la Chambre des Comptes, continua à faire usage de ces fers.Selon une collette contrecollée sur les premières gardes, l'exemplaire fit partie en 1746 de la vente de la bibliothèque de l'abbé Charles d'Orléans de Rothelin (1691-1744). Il figure effectivement dans le catalogue de la vente sous le numéro 3761.
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S.l. [Paris], s.d. (1807) in-8, [3] pp. n. ch., couvertes d'une écriture moyenne et lisible (environ 30 lignes par page), nombreuses ratures et biffures, en feuille.
Brouillon d'une recension critique d'un recueil de pièces en vers éminemment flatteurs publié en août 1807 : Les Triomphes, et la paix. Son auteur, Jean-Baptiste "Publicola" Chaussard (1766-1823), fils d'un architecte connu, ancien commissaire de la Convention en Belgique, puis chef des bureaux du Comité de salut public, avait été un des protégés de La Reveillière-Lépeaux et adhéra à la théophilanthropie. Il fallut bien le recaser sous le Consulat et l'Empire : ses amis le firent nommer, en 1803, professeur au collège de Rouen, d'où il passa, l'année suivante, à celui d'Orléans. En 1805, il obtint la place de professeur de poésie latin à l'Académie de Nîmes ; et deux ans après, il fut autorisé par Jean-Pierre Louis de Fontanes, Grand-Maître de l'Université, à rester à Paris, comme chargé de travaux classiques, en conservant son traitement et son titre.Quant à l'auteur de la critique, qui signe la pièce, il s'agit de Pierre-Nicolas André-Murville (1754-1815), gendre de Sophie Arnould, et qui déploya une grande activité littéraire dans les deux domaines de l'art dramatique et de la poésie. Ce qui n'a pas empêché les contemporains de le juger en-dessous du médiocre et lui-même de mourir dans l'indigence. Nous ignorons pour quelle revue cette critique a été composée, et si même elle a connu une publication.Quérard II, 164 (pour le recueil de Chaussard).
Partition manuscrite in folio, signée et datée Janvier 1872; 7pp.( titre, 5pp.de musique et 1p. des paroles).
L'auteur (s'agit-il du médecin ?) Louis Bourguet, a composé cette romance en l'honneur de sa fille disparue, Rachel. (GrMD)
Le compositeur Yves Dautun (1903-1973) était élève de Charles Koechlin. Il fut aussi journaliste et écrivain. Il était cousin germain de François Mitterrand. À la libération, Dautun fut frappé par les mesures d’épuration, pour ses activités contre la Résistance dans le sillage de Doriot. Cette parution est une œuvre de jeunesse. C’est une pièce symphonique conservée dans une chemise qui porte cette note : “Argument : un dimanche après-midi, la foule des sportsmen se dispose à participer, de platonique façon, à de retentissantes prouesses athlétiques”.Instruments : petite flûte, clarinette, contrebasson, trompette, cor, trombonne basse, 4 timbales, grosse caisse, caisse claire, caisse roulante, tambourin, 2 tam-tams, plaque de tôle, plaque de cuivre, 2 violons, 2 altos, 2 violoncelles et 2 contrebasses.Joint, 1 f. Suite des amours frelatés. Timbales.
Valence, 25 juin 1812 in-4, 1 page recto-verso. en feuille.
Acte passé devant l'inspecteur aux revues de l'Armée d'Aragon, Alexandre Lalance (1771-1822), établissant en faveur de Pierre-Nicolas Delachesnaye, propriétaire parisien, une procuration pour régir une ferme de la commune d'Elbeuf-en-Bray (Seine-Inférieure) appartenant au général baron Louis-François-Félix de Musnier (1766-1837), servant alors dans la région de Valence, à la suite du siège de cette ville (décembre 1811 - janvier 1812).
Paris, s.n, vers 1740, in-4, [250x170 mm], 1 ff, 82 pp, [5] ff. bl, pp. 82-138 et pp. 140-344, [1] ff. bl,18 pl. depl, demi-basane blonde à coins, tranches jaspées, Intéressant et beau recueil manuscrit des mémoires de l'Académie des sciences exclusivement consacrés à la mécanique, compilant les travaux publiés depuis l'établissement de cette société, en 1666, jusqu'en 1706. L'Académie royale des Sciences, fondée en 1666 par Colbert, décida la publication des mémoires données en son sein : la première publication parut en 1701 et la dernière en 1793, au moment de sa suppression sous la Terreur. L'ensemble forme 164 volumes. Ce volume manuscrit regroupe les tout premiers mémoires de l'Académie concernant la mécanique, la plupart composés par Varignon. Cette copie manuscrite est très vraisemblablement de la main d'un scientifique averti. D'une petite écriture nette et très lisible, elle contient quelques schémas dans le texte et surtout elle est accompagnée de 18 planches repliées dont deux seulement sont gravées, toutes les autres étant dessinées à la plume. Les figures reproduites montrent l'aisance et la connaissance du copieur. Les seuls renseignements connus concernant ce dernier sont ses initiales, C.Q.F.F.V. , données à la fin du volume. Cette copie forme un premier tome, mais il n'est pas sûr que l'entreprise ait été poursuivie. Détail des mémoires recopiés : 1668 : Comparaison des différentes forces de l'homme et des Machines. 1671 : De la résistance des Corps Solides. 1674 : Du mouvement des Corps et de sa Communication. 1674 : De la Communication Du Mouvement. 1675 : Du Choc Oblique. 1685 : Sur les Moïens d'arretter et de lâcher aisément les Cables sur lesquels on tire. (Perrault) 1691 : Sur une Machine dans laquelle il ne peut y avoir d'Equilibre (Varignon) 1692 : Des espaces parcourus par les Corps (Varignon) 1693 : Sur la force du Coin (Varignon) 1700 : Sur les forces Centrifuges (Marquis de l'Hospital) 30 janvier 1700 : Manière Générale de déterminer les forces, les vitesses, les espaces et les tems, une seule de ces quatre choses étant donnée dans toutes sortes de mouvements rectilignes variés à discrétion. (Varignon) 13 novembre 1700 : Des forces centrales ou des pesanteurs nécessaires aux Planètes pour leur faire décrire les Orbes qu'on leur a supposé jusqu'icy (Varignon) 1702 : De la Résistance des Solides en Général, pour tout ce qu'on peut faire d'hypothèses touchant la force et la ténacité des fibres du corps à rompre ; et en particulier pour les hypothèses de Galilée et de M.Mariotte. (Varignon) 1702 : De la Résistance des Cilindres creux et Solides (Parent) 1702 : De la figure ou Curvité des fusées des horloges a ressort. (Varignon) 30 juin 1703 : Sur les Courbes de la chute des corps. (Varignon) 1703 : Sur les courbes décrites par des forces centrales. (Varignon) 1703 : Sur les forces et les machines en général. 1703 : Sur les frottements. (Amontons) 1703 : Sur la Route que tiennent plusieurs corps liés entre eux par des cordes, et tirés sur un plan horizontal. 1703 : Démonstration Générale du centre de Balancement ou d'oscillation tirée de la nature du levier. 14 juillet 1703 : Du frottement d'une Corde autour d'un Cilindre immobile. ( Sauveur) 1704 : Démonstration du Principe de M.Huygens, touchant le centre de Balancement, et l'identité de ce Centre avec celui de la percussion. Lettre du 3 avril 1704. (Bernouilli) 1704 : Nouvelle Statique avec frottements et sans frottements ou Règles pour calculer les frottements des Machines dans l'état de l'Equilibre. (Parent) 1704 : Manière de discerner les Vitesses des corps mûs en lignes courbes... (Varignon) 1705 : Du mouvement des Planètes sur les Orbes. (Varignon) 1705 : Véritable hypothèse de la Résistance des solides , avec la Démonstration de la Courbure des Corps (Carré) 11 juillet 1705 : Sur la Réfraction des Balles de Mousquet dans l'eau, et sur la Couverture rigide
Bon [250x170 mm], 1 ff., 82 pp.,