‎Portefeuille intime.‎

‎ Adolphe Lainé 1871 1 vol. broché gr. in-8, broché, 65 pp. Edition originale (chez l'auteur, 1864, sous couverture et page de titre de relais d'Adolphe Lainé en 1871) avec un bel envoi de l'auteur au poète Auguste Barbier. Quelques rousseurs. Sinon bon état général.‎

‎La vie de toujours.‎

‎Paris Editions du Méridien 1947 1 vol. broché in-12, broché, 182 pp. Edition définitive avec un envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Petites piqûres à la couverture, sinon bon état.‎

‎L'explorateur d'épaves.‎

‎Rodez Fil d'Ariane 1998 1 vol. broché in-8, broché, 189 pp. Bel envoi de l'auteur à G.-E. Clancier "dans le souvenir de 57 années d'amitié...". Très bon état.‎

‎Respect au balayeur‎

‎Editions Subervie, Rodez 1968, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 100 exemplaires numérotés sur alfa, seuls grands papiers après 10 pur fil. Bel envoi autographe signé de Denys-Paul Bouloc à Raymond Fournier. Bel et rare exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎L.A.S. au secrétaire greffier du Conseil militaire séant à St-Brieuc‎

‎Lannion, 3 nivôse an 11, 1803 in-4, 1 pp., en-tête du substitut du commissaire du Gouvernement, département des Côtes-du-Nord, petite vignette ronde avec devise. ‎

‎Lettre du 3 nivôse an 11 (23 janvier 1803) du substitut du Commissaire du Gouvernement près le tribunal criminel, Boulon, concernant une affaire courante :"En conformité de l'ordonnance du Directeur du Jury de Lannion, je vous fais passer une procédure contre trois militaires inconnus de la garnison qui est en cette ville (…)."Belle vignette révolutionnaire représentant la Justice. ‎

‎Lettres autographes signées‎

‎Également connue sous le nom de Odette Valence. 11 lettres autographes signées. Agréable correspondance avec son ami Fernand Laplaud, à propos de son article sur Loti à paraître dans le numéro du Mercure de Flandre consacré à Pierre Loti (janvier-février 1931) et divers. On joint le tapuscrit original de cet article, signé Odette V. 1 page in-4° manuscite et 7 pages in-4° tapuscrites. Très bon Rochefort 1930 ‎

‎1912 - 2001. Écrivain, Grand prix du roman de l’Académie française. Académicien en 1981. L.A.S. datée 22 juillet 1963.‎

‎Les Aveux infidèles.‎

‎ Gallimard 1962 1 vol. broché in-12, broché, 232 pp. Edition originale. Exemplaire du service de presse enrichi d'un bel envoi de l'auteur à Jean Guéhenno. Prière d'insérer joint. Bon état.‎

‎Testament ‎

‎Paris dimanche 2 avril 1758, 13,4x19,2cm et 11,7x17,8cm, 2 feuillets.‎

‎Testament de Louise-Anne de Bourbon-Condé dite Mademoiselle de Charolais, recopié de la main de Jean-Baptiste-François-Joseph, comte de Sade (et père du Marquis), dans lequel cette dernière fait de son neveu, Louis-François Joseph de Bourbon, prince de Conti, son légataire universel. Une seconde partie concerne les legs aux gens de livrée, aux femmes et valets de chambre, à la femme de garde-robe, etc. Note de bas de page de la main du Marquis de Sade : « dite Mademoiselle de Charolais ». On y joint un billet de notes, rédigé de la main de Sade, en vue de la publication de la correspondance de son père. Ce testament a été rédigé cinq jours avant la mort de Mademoiselle de Charolais, dont le décès survint le vendredi 7 avril 1758 à la suite de trois mois de maladie. La seconde partie du testament est datée du dimanche 2 avril 1758, sur la première est mentionnée la date du dimanche 12 avril 1758 : il s'agit bien sûr d'une date fautive. La totalité de cette copie a été rédigée de la main du Comte de Sade qui vécut avec Mademoiselle de Charolais à son château d'Athis-Mons à partir de 1750 jusqu'à la mort de cette dernière. Le jeune Comte de Sade, envoyé par son père à Paris aux alentours de 1720, eut pour protecteur Louis-Henri de Bourbon, Prince de Condé, dit Monsieur le Duc. Dès son arrivée, le jeune homme apprécie la vie de cour et « Chose rare, il plaît aux femmes sans se faire haïr des hommes : d'où le nombre de ses amis, au moins aussi élevé que celui de ses maîtresses. [...] M. de Sade ne se contente pas de conquêtes faciles ; les bourgeoises l'indiffèrent. Celles qu'il recherche - et conquiert le plus souvent - sont des femmes de cour, non seulement pourvues d'esprit et de beauté, mais parées encore d'un nom illustre, de crédit, d'influence ou de fortune, capables en un mot de servir ses intérêts et de le mettre bien en cour. » (Lever, Sade). Parmi son tableau de chasse figure Mademoiselle de Charolais, de sept ans son aînée, soeur de son protecteur et alors maîtresse royale. Peu désireuse de se marier, elle préférera toute sa vie conserver le célibat et multipliera les aventures et les amants prestigieux. Elle fut notamment la favorite du Duc de Richelieu, mais aussi de Louis XV pour lequel elle recrutait de nombreuses maîtresses, écopant ainsi du sobriquet de « maquerelle royale ». La rencontre charnelle entre Mademoiselle de Charolais et le Comte de Sade eut lieu le 24 novembre 1725 alors que ce dernier était contraint de garder le lit à cause d'une entorse. Une lettre de Louise-Anne atteste de cette aventure naissante : « Le 24 novembre est le plus beau jour de ma vie si je suis rentrée en possession de mon royaume et de ma souveraineté, par les droits du lit où je vous ai prêté serment de fidélité. Je compte y avoir reçu le vôtre et je vis maintenant pour le plus joli roi du monde. » (Papiers de famille, p.20). La passion n'est pourtant pas réciproque et le volage Comte de Sade fait bientôt la rencontre de la Duchesse de la Trémoïlle. S'éloignant ainsi de Mademoiselle de Charolais, il lui écrit en guise de rupture : « J'ai regardé, Madame, les avances que vous m'avez faites, comme des agacements de votre esprit et point de votre coeur. Je n'avais point l'honneur de vous connaître, je ne vous devais rien, une entorse m'obligeait de garder ma chambre, j'y étais désoeuvré, vos lettres étaient jolies, elles m'amusaient, je me suis flatté s'il était vrai que j'eus fait votre conquête, que vous me guérissiez d'une passion malheureuse qui m'occupe uniquement. » (op. cit. p.23). En 1752, le Comte de Sade est ruiné par son train de vie, il a envoyé le jeune Donatien au collège Louis-le-Grand et loge chez sa bonne amie Mademoiselle de Charolais au château d'Athis-Mons : « Je me suis retiré chez Mademoiselle, quoiqu'il soit cruel à mon âge de dépendre de quelqu'un, pour diminuer ma dépense. » (Lettre du Comte de Sade à son oncle le prévôt de L'Isle-sur-Sorgue, 11 novembres 1752). Il demeurera chez son amie, l'accompagnant dans ses nombreux déplacements à travers l'Europe, jusqu'au décès de celle-ci. La correspondance entre le Comte de Sade et Mademoiselle de Charolais perdura, comme en attestent les lettres consignées par le Marquis de Sade qui, avec une grande piété, joua un rôle important de conservateur dans le but de publier un jour les oeuvres paternelles. Ce testament de la main du Comte de Sade a été conservé dans cet esprit. Le Marquis, admiratif de l'histoire de son père, conservera toute sa vie le portrait en habit de cordelier que Mademoiselle de Charolais avait offert au Comte de Sade et l'accrochera dans sa chambre à Charenton. Rare témoignage de la grande amitié du Comte de Sade et de Mademoiselle de Charolais, précieusement conservé par le Marquis de Sade. Provenance : archives de la famille. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Fille de Ferdinand VII, Reine d'Espagne, 1833-1868. L.A.S.‎

‎Bruxelles, 10 janvier 1845 in-8, 1 p. 1/2 ‎

‎Lettre adressée à un Comte. Elle regrette de ne pouvoir le voir.Isabelle est proclamée Reine en 1833, à l'âge de 3 ans alors que son oncle se proclame également Roi sous le nom de Charles V. Cette guerre de succession sera à l'origine des guerres carlistes.Elle épouse en 1846, à l'âge de 16 ans son cousin, François d'Assise de Bourbon, duc de Cadix. ‎

‎Sept Lettres autographes signées d'Ernest Olivier, Directeur de la Revue scientifique du Bourbonnais.‎

‎ Ensemble 7 L.A.S., dont 3 à l' entête de la " Revue Scientifique du Bourbonnais et Du Centre de la France. Direction de Mr Ernest Olivier", Moulins ( Allier)", 3 de Moulins, 1 de Besançon; au total 24pp. in-12° adressées à l' Abbé Aigrain, datées de 1894 et 1895.On a joint, adressées au même 1 L.A.S. de Besse, de Fribourg, 1895 et 1 L.A.S. de Reure, de St-Martin d'Estraux de 1913; 4 pages in-12° et in-8°.‎

‎Ces lettres adressées à l' Abbé Aigrain, érudit bourbonnais, directeur de la revue " Ecclesia" traitent de la teneur des articles à paraître dans la Revue concernant le voyage d' Ernest Olivier en Suisse, à l' occasion de la Session de la Société Botanique et dont il veut rendre compte. Il faudra intercaler des clichés du Mont St Bernard, de Zertmatt,etc.. ( Hachette veut bien exceptionnellement en céder deux pour la Revue)... Il y a des problèmes avec les noms de lieux suisses... On adopte ceux du guide Joanne, mais certains restent inconnus du Joanne et sont remplacés par ceux du Pfeiffer... , etc. ( Cl) ‎

‎Amer et profond sillon.‎

‎ Editions du Pont Saint-Martial 2001 1 vol. broché in-8, broché, 76 pp. Préface de Valérie Lavefve. Envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Très bon état.‎

‎Laudative lettre autographe signée adressée à Carlo Rim le félicitant autant pour son style que pour la justesse aigüe de ses caricatures : "Il y a du vitriol de haute qualité dans vos tracés, dans vos figures. Une vue profonde des âmes."‎

‎Paris 10 novembre 1924, 20x27cm, une feuille.‎

‎Admirative lettre autographesignée d'Antoine Bourdelle adressée à Carlo Rim, 22 lignes à l'encre noire. "Ami Carlo Rim, Il y a du vitriol de haute qualité dans vos tracés, dans vos figures. Une vue profonde des âmes, la découverte rapide des grands angles, des axes essentiels qui font gigoter le pantin. Le mistral brûle les os de vos bonhommes, le mistral révélateur qui jette un froid dans les cascades. Bravo ! C'est de la rude et bonne ouvrage. Et bien (mot illisible) du bel envoi. Votre tout attentif et avec grande estime. Antoine Bourdelle." Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Carlo Rim fut un écrivain provençal, auteur notamment de "Ma belle Marseille", un caricaturiste, un cinéaste : "Justin de Marseille", "L'armoire volante", "La maison Bonnadieu", et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Lettre autographe signée adressée à Carlo Rim concernant les différents états d'une statue d'Honoré Daumier et d'une statue d'Adam Mickiewicz sur lesquels il travaille et des affres de leur création : "...je sors de tourments immenses, de luttes atroces où la beauté du coeur semble devoir sombrer. Pendant des mois bagnar des travaux je n'ai plus su s'il y avait ailleurs des êtres humains..." ‎

‎S.n., Le Vésinet 5 mars 1929, 21,5x27,5cm, une feuille.‎

‎Lettre autographesignée d'Antoine Bourdelle adressée à Carlo Rim, 44 lignes à l'encre noire à propos d'une statue d'Honoré Daumier sur laquelle le sculpteur travaille et qui lui occasionne : "... de tourments immenses, de luttes atroces où la beauté du coeur semble devoir sombrer. Pendant des mois bagnar des travaux je n'ai plus su s'il y avait ailleurs des êtres humains... J'ai trop longuement souffert d'âme et de corps !" Il assimile aussi son travail de sculpteur à une certaine forme de militantisme : "C'est hagard que de loin je regarderai s'ériger mon oeuvre, oeuvre issue de mon âme de justice. Le mouvement double, Adam Mickiewicz et à la Pologne réssuscitée. Le grand Daumier aurait compris lui aussi avec Michelet avec Floquet l'élan de mon coeur vers la grande martyre..." , ilévoque également les diverses expositions de ses oeuvres à travers l'Europe :"Il y a eu du tonnerre à Bruxelles - où le Palais des Beaux-arts de là-bas a exposé presque toutes mes oeuvres (vers la moitié) Mais de grandes pièces capitales, j'avais le hall et 12 salles. Beaucoup sont exposées à Bâle pour l'instant." Mais c'est bien sa statue de Daumier qui requiert toute son énergie et son attention en ce moment : "Daumier me passionne au possible. Il sortira comme un lion. Souriant certes mais tout tendu par le dedans d'ongles acérés, qui gardaient cette âme d'apôtre de la bonté dans l'énorme grandeur." Trace de pliure inhérente à la mise sous pli et deux déchirures en marges droite et gauche de la lettre. Carlo Rim fut un écrivain provençal, auteur notamment de "Ma belle Marseille", un caricaturiste, un cinéaste : "Justin de Marseille", "L'armoire volante", "La maison Bonnadieu", et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Lettre autographe signée adressée à Carlo Rim concernant le projet de réalisation d'une statue d'Honoré Daumier initiée par le père de Carlo Rim : "...Je vous assure de tout mon dévouement affectueux à vous et à l'oeuvre qu'il nous faudra mener à bien, DAUMIER"‎

‎S.n., Paris Septembre 1924, 21x27cm, une feuille recto-verso.‎

‎Lettre autographesignée d'Antoine Bourdelle adressée à Carlo Rim, 62 lignes à l'encre noire sur un feuillet recto-verso à propos d'un projet de statue d'Honoré Daumier sur laquelle le sculpteur a primitivement travaillé avec le père de Carlo Rim, ce dernier reprenant le flambeau et pour lequel Antoine Bourdelle lui donne ses indications, notamment regardant un bas-relief : "Je suis infiniment touché de voir le fils continuer vers moi l'oeuvre l'oeuvre entreprise par le père." Il livre à Carlo Rim ses réflexions et son plan pour le bas-relief : "... l'orchestration du bas-relief est conduite par l'Aphrodite MASSILIENNE, née de la mer qui chante toute et secondée pour s'élever des flots par les grâces guidées par Eros... Donc thème dans sa vivante variété, voilà le sujet de la frise... Une création capitale...", dans la grande tradition de ses prédécesseurs bâtisseurs :"C'est ma volonté de retrouver les racines antiques des monuments polychromes. Toutes nos cathédrales l'étaient aux 1ères et grandes époques. Et tout le Parthénon était stucqué." Mais son enthousiasme est refroidi par les autres projets regardant la globalité du monument et qui rendront le résultat inharmonieux : "Et nous aurons l'ennui, hélas ! après avoir tout calculé... de voir venir partout des sculptres barbouillées de toutes couleurs inutiles ! et ne se tenant à rien. A cela nous ne pouvons rien ! Moi j'ai terminé mon travail." Afin de terminer sur une bonne note, Antoine Bourdelle écrit son attachement à Marseille, certains membres de sa famille y habitant encore. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli et petites déchirures en marges droite et gauche de la lettre. Carlo Rim fut un écrivain provençal, auteur notamment de "Ma belle Marseille", un caricaturiste, un cinéaste : "Justin de Marseille", "L'armoire volante", "La maison Bonnadieu", et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Lettre autographe signée adressée à Carlo Rim à propos d'une statue d'Honoré Daumier qu'il sculpte : "... la grande figure que je crée de Daumier battra son plein. J'espère bien aussi que nous la dresserons dans Paris."‎

‎S.n., Le Vésinet Juin 1929, 13,5x21cm, une feuille.‎

‎Lettre autographesignée d'Antoine Bourdelle adressée à Carlo Rim, depuis Le Vésinet, 26 lignes à l'encre noire à propos d'une statue d'Honoré Daumier sur laquelle le sculpteur travaille et pour laquelle Carlo Rim lui a fourni de la documentation. "Cher Carlo Rim, Merci du livre si beau sur Daumier. Je rentrerai à Paris vers octobre seulement alors la grande figure que je crée de Daumier battra son plein. J'espère bien aussi que nous la dresserons dans Paris. Mais j'ai le projet personnel pour ce faire - (deux mots illisible) et toute admiration en vous cher historiographe du grand maître. Votre Antoine Bourdelle. Le Vesinet Seine-et-Oise juin 1929." Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Carlo Rim fut un écrivain provençal, auteur notamment de "Ma belle Marseille", un caricaturiste, un cinéaste : "Justin de Marseille", "L'armoire volante", "La maison Bonnadieu", et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Lettre autographe signée à André Fontainas‎

‎s.l. 1er décembre 1925, 20,9x27cm, 2 pages sur un feuillet.‎

‎Lettre autographe signée d'Antoine Bourdelle adressée à l'écrivain symboliste André Fontainas. Deux pages sur un feuillet de papier pelure rédigées à l'encre noire. Nombreuses ratures et soulignements. Enveloppe jointe. Pliures transversales inhérentes à la mise sous pli de la missive. Une déchirure marginale sans manque ni atteinte au texte. Très belle et élogieuse lettre poétique dans laquelle le sculpteur fait part de son émotion après que son ami belge lui ait dédié des poèmes qu'il qualifie d'"haute oeuvre" : "J'ai éprouvé une joie très haute à l'audition de vos derniers poèmes. Je suis infiniment touché qu'ils me soient dédiés car je crois que les signes que vous avez su assembler là demeureront, tant qu'il y aura des lettrés."Emu, l'artiste offre à son ami une belle envolée lyrique : "En vous ami l'arbre est tout digne d'un tel fruit : loin des mensonges. Vous avez attiré l'heure qui descend des hauteurs, l'heure unique. Jadis j'ai entendu l'appel chevrier, si déchirant dedans les syrinx de mes oracles et maintenant dans vos vers. J'ai reconnu le pas du troupeau d'autrefois qui tout or broutait dans l'aurore. Mais vous, vous notiez la raison de la lyre cachée aux yeux humains. Et vos troupeaux étaient le vers, le vers divin montant, serré, ému, comme haletant oppressé de lumière, vers la cime étroite du Dieu." "Les relations amicales entre Bourdelle et Fontainas débutent à ce moment (1921). On sait qu'ils furent en rapport dès 1919, quand Fontainas voulut faire intégrer Bourdelle au Comité Emile Verhaeren, mais c'est bien avec le livre de Fontainas, L'Allée des Glaïeuls, que débute leur amitié. [...] Fontainas sera le premier à publier un livre sur Bourdelle après sa mort (1930)" (Paris Musées) - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Carte postale avec dédicace autographe signée au violoniste Théodore Spathis (1883-1943), représentant le Palais de l’Afrique Occidentale à l’Exposition Nationale et Coloniale de Marseille en 1922. « Au Maitre Musicien ».‎

‎Carte postale avec dédicace autographe signée au violoniste Théodore Spathis (1883-1943), représentant le Palais de l’Afrique Occidentale à l’Exposition Nationale et Coloniale de Marseille en 1922. « Au Maitre Musicien ».‎

‎Carte postale avec dédicace autographe signée au violoniste Théodore Spathis (1883-1943), représentant un Maure et ses Méharis à l’Exposition Nationale et Coloniale de Marseille en 1922. « Au Maitre compositeur ».‎

‎Carte postale avec dédicace autographe signée au violoniste Théodore Spathis (1883-1943), représentant un Maure et ses Méharis à l’Exposition Nationale et Coloniale de Marseille en 1922. « Au Maitre compositeur ».‎

‎Carte de visite autographe signée de ses initiales au photographe et galeriste français Eugène Druet. ‎

‎. « Voulez-vous bien faciliter à Monsieur Goutière-Vernolle [le critique d’art et fondateur de l’École de Nancy] la publication des photos du théâtre… ». Adresse imprimée.‎

‎A travers l'Algérie‎

‎G. Charpentier, Paris 1880, 12x19cm, relié.‎

‎Deuxième édition parue la même année que l'originale. Reliure à la bradel en pleine percaline souris, dos lisse légèrement passé orné d'un motif floral doré, double filet et date dorés en queue, pièce de titre de chagrin chocolat, couvertures conservées, reliure de l'époque signée à froid de Pierson. Envoi autographe signé de l'auteur qui fut le condisciple d'Arthur Rimbaud au collège de Charleville. Quelques petites rousseurs. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Les temps difficiles‎

‎Stock, Paris 1935, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale, un des ex du service de presse. Envoi de l'auteur au vicomte de Rohan. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Lettre manuscrite (destinataire inconnu).‎

‎s.l., s.d. (30 oct.), 21.5 cm x 17.5 cm, 12 lignes, écriture lisible, bon état.‎

‎Edouard Boudet (1887-1945): Auteur dramatique français, habile à la critique des moeurs. Administrateur de la Comédie Française. ‎

‎Margot. Pièce en deux actes et treize tableaux.‎

‎Paris Grasset 1936 1 vol. Broché in-12, broché, couverture illustrée, 234 pp. Édition originale illustrée de 32 compositions par Christian Bérard. Un des 50 exemplaires numérotés sur alfa, celui-ci n° 34, enrichi d'un envoi autographe signé de l'auteur "à François et à Jeanne Mauriac, leur ami, Edouard Bourdet". On joint une suite à part des illustrations.‎

‎Le drame de la Méduse‎

‎André Bonne, Paris 1951, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Envoi de l'auteur. Une petite tache en pied du dos. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎