Cymbalum Pataphysicum, 9 haha 104 - 14 octobre 1976 - ?Coll. "Maramoutéenne" n° 1 1974 In-4 En feuilles sous chemise rabat
Edition originale. 32 feuillets sous chemise à rabat: titre, préface tapuscrite et facsimile autographe du manuscrit de Freey, illustré par l'auteur. Colophon in fine. Un des 511 exemplaires de chevet numérotés sur papier jaune, sous chemise rose de vestale. Bien complet du feuillet d'explication des difficultés d'impression de la présente publication. JOINT sur un feuillet à l'en-tête du collége avec une grande chandelle verte un billet autographe signé de Ferry "Meilleurs voeux pour l'an 90!", rédigé à l'encre verte un peu délavée. Egalement joint 2 COURRIERS adressés à Jean Trubert, sous enveloppes du Collège oblitérées de 1961 et 1971. Le premier contient une carte postale illustrée par Siné "Nonne abbè: tas pacifique" et un billet tapuscrit signé de Fleury, Administarteur. Le second une carte de voeux illustrée du Collège, signée de 7 membres et accompagné d'un petit calendrier. ENFIN nous joignons un DESSIN original à l'encre signé de Jean Trubert, pour fêter l'an 100 (1972). >Bel ensemble. Très bon 0
Paris Arcanes, coll. "Ombres blanches" 1953 1 vol. broché in-8, broché, couverture illustrée par Max Ernst et Dorothea Tanning, 172 pp., 7 photographies hors-texte. Edition originale numérotée sur offset neige. On joint une carte de voeux du collège de pataphysique signée par Jean Ferry. Bel exemplaire de ce livre peu courant.
Introduction par Messire-Jean, 1 brochure in-8, Extrait de la Ve Olympiade, Album de l'Union des Poètes, Amable Rigaud, Paris, 1863, 29 pp. et 1 f.
Envoi autographe signé en couverture de François Fertiault "à mon bon vieil ami Jules Theuriet". Rare tiré-à-part critique de la poésie sensualiste : "Votre maîtresse, votre idole / C'est la matière, c'est le corps / Beaux ciseleurs de la parole / Vous ne sculptez que le dehors [... ]".
Paris, Fasquelle, Bibliothèque Charpentier, 1929 ; petit in-8°, broché, couverture jaune imprimée en noir; 196pp.1f.; petites taches à la couverture; papier d'édition un peu jauni en bordure des feuillets.
Envoi autographe signé de l' auteur au député du Cher Jules -Louis Breton.(GrMD) Je suis absente du 14 au 19 juillet. Vos commande seront enregistrées, mais nous ne pourrons pas y répondre avant le 20. Merci de votre compréhension et de votre patience.
1 L.A.S. de 4 pages, sur papier à son chiffre, s.d. [circa 1872] : "Voici cher et illustre maître quelques esquisses parisiennes écrites sans prétention, au jour le jour, sur le coin d'une table ou griffonnées à la hâte sur la feuille d'un carnet. Vous avez bien voulu, au moment de leur apparition dans le Gaulois me dire que vous leur trouviez quelques mérites, et votre suffrage n'a pas peu contribué, je l'avoue, à m'encourager dans la tâche que j'ai entreprise de peindre notre curieuse époque comme l'illustre Saint-Simon a peint la sienne dans ses splendeurs Louis-Quatorzièmes. C'est peut-être la seule valeur de ce volume, le premier d'une série qui en comptera six ou huit si Dieu me prête vie - c'est qu'il retrace fidèlement, photographiquement les choses, les hommes et surtout les femmes du Second Empire et de la phase transitoire que nous traversons. Il me semble que si nous possédions aussi des mémoires intimes sur la Restauration et l'âge de Louis-Philippe, les romanciers et peut-être les historiens trouveraient de curieux matériaux Peut-être aussi me trompais-je et la passion que j'ai pour Paris, que j'aime "jusque dans ses verrues" m'aveugle t'elle" [etc... ]
Rare L.A.S. de ce curieux personnage que fut le chroniqueur au Gaulois et romancier Léon Duchemin, alias Fervacques (1840-1876), surtout connu pour ses "Mémoires d'un Décavé" qui sera préfacé par Arsène Houssaye. Il est possible que le destinataire en soit Octave Feuillet, qui sera le dédicataire des "Nouveaux Mémoires d'un Décavé". S'il faut en croire Mirbeau, Fervacques serait notamment l'inventeur du mot "rastaquouère" !
[Imprimerie Nationale] - FERVAL, Claude ; [ AIMERY HARTY DE PIERREBOURG, Marguerite ]
Reference : 60832
(1920)
Exemplaire numéroté (n° 102), 1 vol. in-8 br. sous couv. rempliée, Imprimerie Nationale, Paris, 1920, 112 pp.
Bel envoi de Claude Ferval "à Madame Catulle Mendès, au douloureux poète, en affectueuse confraternité". Romancière et poétesse, les qualités littéraire de Claude Ferval (1856-1943) étaient appréciées de son ami Marcel Proust. Etat très satisfaisant (couv. un peu frottée et brunie avec petite fente à un mors, bon exemplaire par ailleurs) pour cet exemplaire de l'édition originale numérotée, tirée sur beau papier vergé.
Rome, 6 février 1806 in-4, [2] ff., écriture seulement au recto du premier, en feuille.
Composée par un secrétaire, la missive est signée du cardinal Fesch (1763-1839), alors ambassadeur de son neveu auprès de la Cour de Rome ; elle est adressée à une madame Borjou (?) à Pont-de-Vaux (département de l'Ain, dans le ressort archi-épiscopal lyonnais du cardinal), et forme bref compte-rendu d'une commission effectuée en faveur de la fille de la requérante. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris Grasset, coll. "Eglise et temps présent" 1962 1 vol. broché in-12, broché, 299 pp. Edition originale enrichie d'un envoi de l'auteur et d'une lettre autographe signée (intéressante protestation courant sur deux pages suite à un article critique d'un confrère). Parfaite condition.
Lettre tapuscrite signée adressée à Fernand Laplaud en 1930. À propos de Loti. Laplaud recherchait alors des témoignages sur le grand écrivain en vue du numéro spécial du Mercure de Flandre de 1931. Ce texte a été publiée page 110 de ce numéro. On joint une autre lettre de l'ambassadeur de Turquie. En feuilles Très bon Paris 1930 2 feuillets
Édition originale
[Imprimerie Administrative de Paul Dupont] - FEUGERE, Léon
Reference : 61614
(1845)
Extrait du Journal Général de l'Instruction Publique, 1 vol. petit in-8 reliure bradel demi-percaline verte, couvertures conservées, Imprimerie Administrative de Paul Dupont, Paris, 1845, 39 pp.
Envoi de l'auteur "à Monsieur Lebas, Membre de l'Institut, Homm. de l'auteur". Bon état (cachet de Ph. Le Bas, cachet d'ex-libris de Gustave Mouravit). Belle provenance double, des bibliothèque de l'helléniste, épigraphiste et archéologue Philippe Le Bas (1794-1860) et du fameux bibliophile Gustave Mouravit (1840-1920), notaire à Aix-en-Provence (il fut le notaire de la famille de Cézanne) puis établi à Marseille, avec son charmant petit cachet d'ex-libris à l'encre violette aux initiales M. et G (à l'envers).
1 L.A.S. datée de Paris, le 26 juin 1852, une page contrecollée en charnière sur carton fort, lettre adressée à M. Grün, rédacteur en chef du Moniteur : "Monsieur, L'organisation nouvelle, apportée au Moniteur, amènera peut-être dans la rédaction quelques changements" [ ... ]"Je saisis cette occasion de me mettre de nouveau à votre disposition, dans le cas où vous auriez besoin de quelques nouveaux rédacteurs. Pour la littérature classique, la littérature française des XVe et XVIe siècles, la littérature grecque et romaine du Bas-Empire, je pense particulièrement rendre quelques services, en raison de mes études antérieures" [il expose ses travaux souvent récompensés et ses participations à divers journaux ou à la nouvelle revue encyclopédique, etc... ]
Intéressante L.A.S. de Léon Feugère (1810-1858), professeur à Henri IV puis à Louis-le-Grand, qui sollicite une participation à la rédaction du Moniteur, au moment où celui-ci va devenir le "Journal officiel de l'Empire Français".
S.l.n.d. [1920 circa] 1 vol. broché in-8, en feuilles, sous chemise à rabats grise illustrée d'un tirage argentique original. Rare et curieuse suite de 13 planches photographiques par V. Quenin, chacune légendée par un quatrain du cinéaste et écrivain languedocien passionné de tauromachie, Louis Feuillade (1873-1925). Ces poésies qui célèbrent le renouveau printanier et l'arrivée des corridas avaient paru en 1905 et 1906 dans le journal "Le Torero". Exemplaire justifié "n°23" (d'un tirage qui n'a pas dû dépasser les 50 exemplaires), avec un envoi autographe signé du photographe V. Quenin. Chemise usée. Manque à la BNF.
Feuillet de Conches Félix-Sébastien, baron (1798-1887), diplomate, écrivain, collectionneur et même faussaire en autographes.
Reference : 000347
L.A.S., 30 janvier [1878], 1p In-4 (15 lignes). Il écrit au baron de Ruble qui lui demande de prêter des objets pour l'exposition universelle de 1878. Il refuse, en ayant déjà prêté pour « l'exhibition à l'alliance en faveur de l'Alsace-Lorraine » et sa famille étant opposée. Il sera en revanche honoré de sa visite et lui fera « les honneurs de quelques beaux volumes ». La lettre est écrite en 1878, le baron de Ruble ayant en charge une préparation de l'exposition universelle.
1873 Paris, Michel Lévy, Librairie nouvelle, 1873. 18,5 x 12 cm (R), in-12, 352 pp., reliure de l'époque de demi-veau grenat, dos à 5 nerfs orné, tête dorée.
Exemplaire enrichi d'un ENVOI autographe signé d'Octave Feuillet à l'Oeuvre des écoles professionnelles. Dos passé, sinon un très bel exemplaire.
1 page in-12 à son adresse imprimée, 23 octobre 1886 et une carte de visite à son nom imprimé. A propos de sa comédie Chamillac (lettre) ; il demande à Jules Claretie d'aider M. Conard à préparer une conférence qu'il doit donner (carte).
Ensemble de document de et sur Octave Feuillet [ Détail : ] 1 L.A.S. d'Octave Feuillet, 2 pages, datée du 5 juin : "Mon cher Docteur, Le beau temps me décide à hâter mon départ pour Contrexéville" [... ] "Vous seriez aimable de m'accorder quelques instants le soir même de mon arrivée [...] afin que je puisse commencer ma cure sans perdre un seul jour. Mes occupations me forcent et limitent mon séjour à la durée strictement nécessaire" [ ... ] ; [On joint : ] 2 cartes de visite signées d'Octave Feuillet, avec quelques lignes autographes, une enveloppe signée [On joint : ] manuscrit autographe signé d'André Chaumeix d'un article consacré à Octave Feuillet, 11 feuillets paginés de 3 à 12 (avec un 5 bis) ; [ On joint : ] Grand portrait d'Octave Feuillet, Pierre Petit photog. format 27 x 21 cm, sur chine monté, Imp. Lermercier et Cie Paris ; [ On joint : ] Eau-forte : portrait d'Octave Feuillet
Manuscrit autographe, incomplet des deux premiers feuillets, consacré par André Chaumeix (1874-1955) à Octave Feuillet. Une note au stylo sur le premier feuillet tend à indiquer une publication dans la Revue des Deux Mondes.
[A. Quantin, Imprimeur-Editeur] - FEUILLET, Octave ; FEUILLET Valérie
Reference : 59141
(1885)
Onze compositions par S. Rejchan gravées à l'eau-forte par Mme. Louveau-Rouveyre, MM. Daumont et Duvivier, 1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-maroquin à coins rouge, dos lisse orné en long, couverture conservée, tête dorée, collection Calmann-Lévy, A. Quantin, Imprimeur-Editeur, Paris, 1885, 311 pp. avec 4 L.A.S. sous 3 enveloppes
Jolie édition très bien reliée du chef-d'oeuvre d'Octave Feuillet, enrichie de 4 très intéressantes lettres autographes signées, dont 3 d'Octave Feuillet (8 pages au total) et une de son épouse Valérie Feuillet (8 pages), toutes adressées à M. Charles Sagnier, 41 rue de l'Observatoire à Paris. La première lettre de 3 pp., datée de Dijon"Hôtel de la Cloche", le 5 juillet 1886 évoque longuement la "vieille passion" d'Octave Feuillet pour Dijon : "Arrivé à Dijon par un ciel enchanté, dont j'avais complètement perdu l'habitude, je me suis cru en paradis, et j'y prolonge mon séjour au-delà de mes intentions premières. D'abord j'ai une vieille passion pour Dijon, et je vous dirai qu'il la mérite de plus en plus. A part ses vieux souvenirs historiques et ses vieilles maisons pittoresques, il a maintenant un quartier neuf, dont l'hôtel de la Cloche est un des plus beaux ornements et qui rappelle, avec son jardin public, les quais de Genève. [... ] J'avais du reste une autre raison que mon goût personnel pour m'arrêter quelques joursà Dijon. [... ] le spleen de Vittel pour ne pas parler d'un gros ennui que j'y ai eu à la veille de mon départ m'avaient beaucoup fatigué ! [ ... ] Il m'eût été difficile, partant par telle chaleur, de continuer dès le lendemain ma route sur Paris. [ ... ] Mais ma maison solitaire de Versailles m'attire peu, et Dijon, en tant que séjour, me plaît hélas ! infiniment davantage. Mon seul regret et de perdre la chance de nous revoir avant votre départ". Octave Feuillet tente de dissuader son correspondant de partir pour Nîmes et l'invite à venir à Dijon. Puis il évoque sa femme "qui n'est pas mécontente de son séjour. La présence concurrente de sa belle-soeur ne l'a nullement incommodée comme elle le craignait. Elle ne l'a même pas aperçu une seule fois". Un second billet autographe signé d'Octave Feuillet daté du 27 janvier 1887 donne rendez-vous à Charles Sagnier Hôtel de Rivoli. Enfin, une lettre non datée (évoquée dans la lettres suivante de Mme Feuillet et que l'on peut dater d'août 1887) de 4 pp., sur papier à en-tête du 38 Avenue de St Cloud, Versailles, commence ainsi : "J'ai donné à Sagnier la peine de copier la lettre que je lui avais écrite de Contrexéville pour qu'il pût juger lui même à tête reposée combien cette lettre pleine de confiance et d'abandon amical justifiait peu la réponse amère et boudeuse qu'il y a faite. En cette circonstance, il a obéi, avant tout, j'en suis sûr, à sa sollicitude pour nos intérêts sur lesquels j'ai été souvent très heureux de prendre ses bons conseils, mais il aurait peut-être dû se souvenir que l'intérêt matériel n'est pas la seule règle des actions d'un homme. Il aurait dû voir que dans ma lettre je lui faisais la confidence affectueuse d'une résolution arrêtée sur laquelle je n'avais à demander de conseils à personne puisque cette résolution m'était impérieusement dictée, comme je le lui disais, par les sentiments d'un homme de coeur et d'un homme d'honneur. Dès ce moment, il ne me devait, comme ami, ni conseils, ni reproches ! Il ne me devait que de l'approbation et du soutien. En supposant, ce qui n'est pas, que notre départ de Versailles fût pour moi personnellement un sacrifice douloureux, était-ce le fait d'un ami de me le rendre plus pénible, en insistant sur les amertumes qu'il pouvait m'offrir ? En supposant encore que ma femme eût à mon insu et en secret cherché des appartements à Paris (au lieu d'en chercher comme elle l'a fait en réalité d'accord avec moi) était ce le rôle d'un ami de me révéler en détail, au risque de m'irriter contre ma femme et de mettre un élément de trouble dans mon ménage ? Je n'insiste par sur le ton et les expressions de cette réponse qui devaient justement froisser un homme de mon âge de la part d'un jeune ami à qui je venais d'écrire avec tant de courtoisie, de confiance et d'expansion. Je ne veux plus toucher qu'un seul point. Sagnier m'avait vu au commencement de l'hiver aussi opposé que personne à l'idée de quitter Versailles. Rien n'était plus naturel que ce premier mouvement de résistance et de révolte pour un projet si soudain, qui engageait gravement mes intérêts. Mais rien de plus naturel non plus que le revirement qui s'est opéré dans mes idées à ce sujet, quand j'ai vu les souffrances de ma femme se prolonger et s'aggraver. C'est alors que la pensée de l'emprisonner dans cette maison funeste, contre l'avis des médecins les plus autorisés, serait devenue criminelle. Sagnier a cru sentir à ce moment quelque refroidissement dans mon amitié. [ ... ] Mais je le répète, nous avons été gravement froissé par sa lettre [ malgré cela, en raison de leur longue amitié, il ne souhaite pas rompre ]. La dernière lettre, de la main de l'épouse d'Octave Feuillet, datée de Versailles, le 17 août (1887) est également adressée à Charles Sagnier. Elle y évoque ses souffrances, et sa tristesse d'avoir vu son correspondant les dédaigner trop longtemps. La cure à Vichy ne le lui fait aucun bien,"j'ai beaucoup maigri et je n'ose plus me regarder dans la glace. La présence de mes enfants m'empêche de trop songer à ce qui pourrait advenir d'un tel changement, mais quand je ne les ai plus autour de moi, j'y songe. Mon mari vous aurait écrit s'il n'était pas repris depuis 4 jours de ses affreuses névralgies de la face. Dieu lui épargne le retour complet des tortures qu'il a subies il y a quelques années. Il me charge de vous remettre les lignes suivantes, que vous pourrez à peine déchiffrezr car elles ont été écrites au milieu de grandes souffrances. Vous voyez que le bonheur ne nous hante pas plus qu'à l'ordinaire. Mais mon mari est comme moi. Il veut aussi oublier. Lui et moi vous embrassons de tout coeur, ne voulant plus nous souvenir que des preuves de dévouement que vous nous avez donnés depuis tant d'années. Nous vous demandons, comme preuve d'amitié, de n'y pas revenir vous-même. Qu'il n'y soit plus fait aucune allusion ni par lettre, ni dans les conversations du retour, enfin ni demain ni jamais. Nous quittons Versailles dans les premiers jours d'octobre. [ Ils vont s'installer à Paris près du Parc Monceau, 6 rue Gounod : ] "nous avons deux appartements superposés communicant par un escalier intérieur. C'est simple mais suffisant". Bon exemplaire (qq. petits frott. et qq. rouss., très bon état par ailleurs).
1899 Besançon, Jacquin, 1899; grand in-8°, demi-toile granitée violine de l'époque, titre doré; 99pp., 3 illustrations hors texte et 1 dessin dans le texte.Toile insolée au mors du 1er plat et partie du dos (ors passés), rares rousseurs ( dont au titre)
Envoi autographe signé de l'auteur Julien Feuvrier sur le titre et sur le premier feuillet blanc, quelques corrections manuscrites de l'auteur dans l'ouvrage.Julein Feuvrier (1851 - 1936), fut Archiviste à Dole, Conservateur du Musée archéologique de Dole, qu'il créa (en 1899). (GrFC) Je suis absente du 14 au 19 juillet. Vos commande seront enregistrées, mais nous ne pourrons pas y répondre avant le 20. Merci de votre compréhension et de votre patience.
1880 plein chagrin bleu maroquiné, tr. dor., roulette intérieure, (la teinte du dos est passée, perte de teinte aux coins). in-12, (2ff.), 426pp., Paris Palmé 1880,
Agréable exemplaire d'un roman peu connu de Paul Féval.On a relié avec une lettre A.S. d'une page dans laquelle Feval donne des conseils de mousquetaire à son correspondant:"...allez en Bourgogne, mangez des limaçons de vigne, buvez du pomard, donnez vous en comme quatre!". La reliure, tres soignée, mérite une petite restauration pour les defauts signalés.
Phone number : 33 (0)6 77 77 12 33
1 page in8 + enveloppe - bon état -
Sa lettre lui a fait à la fois plaisir et peine - "puisqu'on me dit que vous avez été chagriné plus encore que je ne pouvais le croire...Je vous remercie de me l'avoir écrite...J'accepte avec reconnaissance la main que vous me tendez"...- Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Paris Amyot 1859 1 vol. relié 2 vol. in-12, bradel demi-percaline bleue, pièces de titre de basane verte et fleuron doré au dos, couvertures conservées, non rognés, 321 et 423 pp. Edition originale de ce roman dédié à Gustave Flaubert. Piquant envoi de l'auteur "à ma chère belle-mère qui ne m'aime plus". Rousseurs éparses et dos légèrement passés, ex-libris gravé.
1 L.A.S. d'une page sur papier bleu aux initiales, s.l.n.d. : "Cher Monsieur, Voici la 5ème partie. Je vous prie de la faire composer en entier, en ménageant la séparation des deux livraisons, comme je l'ai indiqué, à la page 326 chapitre XXXII. Je vous prie aussi instamment de me faire remettre les épreuves en double. Autrement, mon domestique pourrait bien encore les jeter au feu".
Lettre amusante pour sa remarque finale sur le danger de la domesticité pour les écrivains !
Hambourg, 18 juin.
Lettre autographe signée à Georges Feydeau, son fils dans laquelle il lui demande de trouver Paul Durand-Ruel qui lui doit de l'argent. Il évoque La Revue internationale de l'art et de la curiosité que ce dernier avait secrètement financé et qu'Ernest Feydeau dirigea. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Manuscrit autographe de 58 feuillets in-folio (de formats divers), foliotés de 69 à 126, repliés en liasse, s.d. (circa 1859-1860). qq. petits accrocs à qq. ff., mais bon état par ailleurs
Manuscrit autographe provenant du fonds de l'éditeur Edouard Dentu, chez lequel l'édition originale du roman fut publiée en 1860 (Vicaire, III, 698) ; on relève les noms des typographes apposés au crayon sur les feuillets. Le manuscrit est très abondamment corrigé et annoté par Ernest Feydeau, avec de nombreuses additions marginales, des passages biffés, de nouvelles rédactions contrecollées sur les versions antérieures. Il contient l'intégralité de la seconde partie (sur les 4 composant l'ouvrage), correspondant aux pages 159 à 288 du premier Tome, dans l'édition Dentu. L'ouvrage d'Ernest Feydeau (ami de Gustave Flaubert, père de Georges Feydeau) lui valut une défense de Sainte-Beuve (Lettre sur la morale et l'art, Le Moniteur, 20 février 1860) ) et un éreintement par Barbey d'Aurevilly (Les Oeuvres et les Hommes. Les Romanciers) qui mérite d'être cité : "Déjà M. Sainte-Beuve l'avait ondoyé sur le front byronien de Daniel, mais aujourd'hui il l'a tenu sur les fonts de baptême de la publicité, dans la personne de Catherine d'Overmeire, et il a répondu, à haute et intelligible voix, de son talent devant les hommes et devant Dieu" [... ] "Catherine d'Overmeire n'est pas une idée comme Fanny, mais de l’art pour l’art, un conte pour un conte, c’est le récit d’une séduction que rien, à coup sûr, n’empêche d’être vraie. En d’autres termes, c’est cette vieille et éternelle histoire, toujours vulgaire et toujours nouvelle, d’une femme séduite, enlevée et trahie par un homme, et que le romancier le moins éloquent, le moins pathétique et le moins habile, pourra toujours recommencer avec une inépuisable chance de succès, tout le temps que les hommes seront ce qu’ils sont, à si peu d’exceptions près, — de vrais jeunes gens jusqu’à la tombe. Née d’une séduction, Catherine d’Overmeire est victime d’une autre. Seulement, une fois parfaitement déshonorée, elle est épousée par un moraliste plein d’ampleur, qui n’y fait pas tant de façons, et qui tient la faute de la jeune fille bien moins pour une honte que pour un malheur."
PARIS. LES ORDRES DE CHEVALERIE. 1947-1948. IN-4 EN FEUILLES (20,5 X 29,5 X 6 CENTIMETRES ENVIRON) DE XXVII + (1) + 191 ET (2) PAGES, SOUS COUVERTURE VERTE REMPLIEE, ENTIEREMENT ILLUSTREE, CHEMISE ET ETUI CARTONNES VERTS DE L'EDITEUR. ILLUSTRE DE 13 LITHOGRAPHIES ORIGINALES EN COULEURS. PREMIER TIRAGE LIMITE A 350 EXEMPLAIRES NUMEROTES, TOUS SUR VELIN DE LANA, CELUI-CI NON JUSTIFIE, IMPRIME SPECIALEMENT POUR LUCIEN J... . EXCEPTIONNEL ENSEMBLE ENRICHI D'UNE SUITE SUR JAPON EN NOIR AVEC REMARQUES ET D'UNE SUITE SUR VELIN DE LANA EN DEUX TONS DES 13 ILLUSTRATIONS; D'UN ENSEMBLE DE 10 AUTRES PLANCHES DE L'OUVRAGE, DONT UNE EPREUVE D'ARTISTE. AVEC UN PROJET ORIGINAL A L'ENCRE VERTE ET NOIRE ET 3 PROJETS IMPRIMES DU FEUILLET DE TITRE, UN TEXTE MANUSCRIT DE 21 PAGES DE JACQUES CREPET CONSACRE AU TEXTE DE FANNY, 4 LETTRES AUTOGRAPHES DE JACQUES CREPET ADRESSEES A LUCIEN J... AU SUJET DE L'EDITION DE CET OUVRAGE, LE BON A TIRER APRES CORRECTIONS DATE DU 14 NOVEMBRE 1946 ET SIGNE DE JACQUES CREPET POUR L'ENSEMBLE DE SON TEXTE SUR 20 PAGES IMPRIMEES, 2 LETTRES ADRESSEES PAR GRAU-SALA A LUCIEN J... . BON EXEMPLAIRE.