Paris Grasset 1928 In12 - broché - 257 pages - dos fortement bruni - envoi autographe signé de Léo Larguier en page de garde à Paul Chaponnière critique , journaliste et romancier .
Satisfaisant Dédicacé par l'auteur
Paris Editions de la nouvelle France 1946 In12 - broché - dos fortement bruni - 1 page de garde détachée - long envoi autographe signé de Léo Larguier en page de garde à Irène Rathbone romancière Britannique .
Satisfaisant Dédicacé par l'auteur
Paris Plon 1938 In12 - demi basane - dos à nerfs orné - couverture conservée - 246 pages - belles photographies de Jean Roubier en hors texte - Envoi autographe signé de Léo Larguier en page de faux titre a Hubert-Rouger , maire de Nimes çà l'époque - Ex libris Hubert-Rouger contre collé .
Très bon Dédicacé par l'auteur
Paris Marabout 1979 In12 - broché - 149 pages - Envoi autographe signé à Roxanne Dubuisson célèbre collectionneuse Parisienne sur ... Paris ainsi qu'une enveloppe collée en 1ere page blanche et petit montage fait par Léo Mallet .
Bon
S. n. | s. l. [Paris] 1983 | 21 x 29.50 cm | une feuille
Lettre tapuscrite, en date du 29 juin 1983, signée de Léo Malet au photographe Bruno de Monès dans laquelle l'écrivain remercie son photographe : "... multipliant autour de moi les images de ma "petite chérie" que j'éprouve le besoin de vous envoyer encore un bouquin..." et se permet de lui demander un renseignement à propos d'une colle et d'un papier noir dont il se sert afin de réaliser es collages souvent d'inspiration pornographique. A la fin de la lettre tapuscrite, à en-tête de son adresse à Châtillon, Léo Malet se fend d'un "Bien à vous. Léon Malet." manuscrit. Traces de pliures centrales inhérentes à la mise sous pli. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Léo MALET - [Montpellier 1909 - Chatillon-sous-Bagneux 1996] - Ecrivain français
Reference : 33253
1 page in4 - Très bon état malgré deux trous de classeur dans la marge gauche -
Il vient de recevoir 6 exemplaires de Matulu - Son envoi personnel et celui de Ch. Martini "doivent faire actuellement les délices de facteurs peu scrupuleux" - Il lui envoie une petite rectification - "Ce n'est qu'un texte indicatif (à propos d'un indicateur)" - Il lui demande de remercier Mr Michel Mourlet, le rédacteur en chef de Matulu, pour lui avoir consacré un dossier -
s. d. [1948] | 21 x 27 cm | quatre feuillets
Manuscrit autographe signé intitulé "A Compiègne et au Palais Bourbon" de Léon Blum, 3 pages et demi à l'encre bleue, au verso de quatre feuillets à en-tête du journal Le Populaire (Organe central du Parti Socialiste S.F.I.O). Nombreux passages biffés et réécrits à l'encre noire. Trace de pli horizontal sur chaque feuillet, notes d'un précédent bibliographe au crayon en tête du premier feuillet. L'article est paru dans le quotidienLe Populaire le9 mars 1948. Belle et virulente diatribe de Léon Blum, à l'issue du discours de Compiègne du général De Gaulle, dénonçant ses manuvres vers un «Etat fort». Il dresse un tableau plein d'espérancede la réconciliation allemande, la construction européenne, ainsi que du plan Marshall bientôt ratifié - dont il avait été le grand négociateur. Le 7 mars 1948, le général qui venait de fonder le Rassemblement du Peuple Français, fut invité par le nouveau maire Jean Legendre, rallié au RPF. A un moment charnière de tensions internationales,devant plusieurs dizaines de milliers de personnes rassemblées place du château, De Gaulle appela les Français à se rassembler pour refonder la IVe République et les pays libres à s'unir contre le communisme, au lendemain du « coup de Prague ». Restant écarté du pouvoir, il entama alors sa traversée du désert jusqu'à son retour en 1958, à la faveur de la crise algérienne, où sombra la faible IVe République. Ayant mis en place les fondements de cette même République, Blum réprouve dans ces pages la remise en cause par De Gaulle des institutions parlementaires - alors même que ses propres députés gaullistes entravent les débats à l'assemblée. Il oppose au discours catastrophiste du général une vision optimiste de la reconstruction européenne et internationale, persuadé de la grande résilience de la nation française et confiant en ses institutions. «Chose curieuse, c'est la presse gaulliste qui attendait le discours de Compiègne avec la curiositéet l'impatience la plus marquées. [...] En fin de compte, le discours de Compiègne n'a apporté rien de neuf. Il a fait entendre que toutes ses mesures étaient arrêtées, et que sans doute aussi ses hommes étaient choisis. Il a déclaré que la situation était trop critique, en France, en Europe et dans le monde, pour permettre qu'on différât davantage. Mais il a persisté cependant à affirmer - c'est du moins ainsi que j'interprète un texte volontairement obscur [biffé: ambigu] - qu'il ne gouvernerait pas dans le cadre des institutions présentes [biffé: anciennes], et qu'il n'accepterait qu'un pouvoir taillé à sa mesure [...] Rien de bon ne peut en sortir, a-t-il conclu; il n'est que temps de tirer la France de ce marécage pour l'installer sur le sol ferme et salubre de l'Etat fort. Tout cela va fort bien. Seulement à l'heure même où le général prononçait contre les partis et les institutions parlementaires le réquisitoire altier, l'Assemblée nationale siégeait au Palais Bourbon. Elle promouvait l'examen des propositions relatives au prélèvement René Mayer. Et là, on voyait la coalition du parti gaulliste, avec ces mêmes «séparatistes» que le discours de Compiègne dénonçait comme des traîtres, s'étaler avec une impudence plus scandaleuse de jamais [...] Dénoncer l'impuissance parlementaire tout en l'organisant, stigmatiser la malfaisance et l'immoralité des partis tout en en fournissant l'exemple éhonté, c'est une attitude commode, mais qui brave par trop violemment le bon sens et l'honnêteté. [...] Certes, la situation intérieure est sérieuse, et la situation internationale ne l'est pas moins. Mais le redoutable hiver s'achève, le ravitaillement s'améliore. La tendance s'améliore vers la baisse des produits alimentaires s'accentue et s'accentuera dès que le courant parti des Etats-Unis aura atteint l'Europe. A Londres, pour la première fois, des possibilités d'accord sont apparues pour les problèmes allemands, même sur les Réparations, comme j'essaierai de le montrer à Charles Ronsac. A Bruxelles, Grande-Br
Phone number : 01 56 08 08 85
1 page in8 - En tête Chambre des députés - bordure de deuil - Très bon état -
Il n'a trouvé sa dépêche qu'à son retour à Paris, après quelques jours de repos complet - "Je suis absolument désolé" -
Léon BOCQUET - [Marquillies 1876 - Paris 1956] - Poète et romancier français
Reference : 34933
2 pages in4 - enveloppe - bon état - En tête de la revue "Le Nord" -
Des besognes urgentes et une crise de furonculose l'ont empêché de lui répondre - Il est prêt à lui fournir toute indication qu'il lui plaira sur la situation littéraire actuelle de la région du Nord - Quant à une étude sur son oeuvre, il y est très sensible venant d'un jeune confrère et compatriote - Il lui envoie un no des Actualités qui lui fournira des éléments - Voir aussi l'édition Poètes d'aujourd'hui ainsi que le no d'octobre [1927] du Nord littéraire - En février paraitront deux livres qu'il lui fera envoyer -
1464 Carte au format 9 x 12,5 écrite recto-verso - bon état -
Il ne se souvient pas trés bien du tableau de son amie mais il fera son possible pour lui être agréable -
1464 1 page in8 - bon état - encre un peu pâle -
"On ne chasse pas demain" - Il est trés heureux de ce contrordre qui lui permet d'accepter sa "gracieuse invitation" -
1464 1 page in8 - bon état - En tête de l'Union syndicale des Sociétés françaises d'artistes -
Il lui rappelle la date et le lieu de l'Assemblée générale de l'Union syndicale des Sociétés françaises d'artistes -
1 page in4 - bon état - En tête de la Fraternité des Artistes -
Il lui adresse les vifs remerciements du Comité pour son chèque et l'assure de la vive affection de ses collègues qui espèrent qu'il va trouver à Bois le Roi le repos qui lui est nécessaire -
1 page in4 - bon état - En tête de la Fraternité des Artistes -
Lettre d'invitation personnalisée pour l'Exposition vente au profit de la Fraternité des Artistes qui sera inaugurée le mercredi 22 mai par le Président de la République dans les Galeries Georges Petit -
2 pages in8 - [on joint une Carte de visite avec 4 lignes autographes ] - bon état -
Il a reçu l'article "fort élogieux" qu'il lui a consacré dans la Petite Gironde - Il le remercie de parler de son oeuvre "bien humble" dans "une langue vibrante et colorée" - "Cette oeuvre, si modeste qu'elle soit, me devient plus chère encore puisque vous l'aimez" - Son étude a fait quelque bruit, à en juger par le courrier reçu - [Rousseur sans gène pour la lecture sur ue partie de la 1èr page de la lettre] -
1 page in12 -
Il a bien reçu sa lettre et regrette de ne pas lui avoir donner plus tôt sa nouvelle adresse - "J'habite à présent à deux pas de Gaston Deschamps" - Il le recevra bien volontiers le jour que bon lui semblera -
1 page in8 - bon état -
Il attends la lettre suivante pour être fixé - Quant à son "cor, qu'il soit cor au pieds, de chasse ou cor..ps", c'est entendu - Si son amie pouvait se hater pour Chauchard, il lui en serait reconnaissant "en galant homme" - "Mlle N.. est engagée à l'Opéra" -
Les irascibles, - Au paradis, le phare, , la ballade des pendus, Villon - Antigone - Prospero - Pervenche - Orens l’orpailleur - La farce des moutons - Le jeu de la vie et de la mort. format 20x15, en bon état, année 40/50 ref/10
2 pages in4 - Très bon état -
Interessante lettre à propos de Bernard Lucas de Valençay, Marionnettiste formé à l'école de Géza Blattner (et son collaborateur pendant cinq ans) et de la création d'une Association dramatique tourangelle - On joint 3 lettres dactylographiées signées de Bernard Lucas de Valençay en 1949 au sujet de son éventuel recrutement -
1 page 1/2 in8 - trés bon état -
Il vient de dévorer son livre dans la soirée - "C'est l'oeuvre d'un digne et fervent disciple d'Homère, de Phidias et de Socrate";.."celle d'un philosophe, d'un poète et d'un artiste" - Leur académie a eu la main heureuse en le nommant son secrétaire - Son instinct d'artiste l'avait plutôt "pressenti que deviné" - "Je suis dans une veine de misanthropie et de doute sur l'avenir de l'art en songeant que pas un ne m'avait indiqué votre drame antique" - Comme compensation à cette inexplicable froideur, il n'aborde plus une personne sérieuse sans lui demander: "Avez vous lu Phidias?"[paru en 1863] - Il félicite ceux qui sont assez jeunes pour jouir longtemps de ses travaux -
1 page in8 - trés bon état -
"Mille fois oui" - Il demande pardon pour la peine qu'il lui a donné - Comment a-t-il pu supposer que son vote n'était pas acquis pour leur bon vieux camarade? - Ce n'était pour lui qu'une affaire de forme - "et la forme, autant j'aime à la retrouver en peinture, autant peu j'y tiens pour tout le reste" - Rémond (?) : ses souvenirs sont les notres; il est facile à vivre; il remplit toutes les conditions - "Quand l'un de nous (ce que le bon Dieu veuille reculer encore longtemps) viendra à manquer à l'appel, que l'absent soit aussi bien remplacé que notre pauvre ...(?)" -
1 page in8 - trés bon état - encre un peu pâle -
Ne sachant s'il va le rencontrer et ne voulant pad le déranger, il réclame un service de plus à son extrème obligeance: un billet d'entrée pour l'exposition - "Je désire beaucoup voir bientôt à mon aise l'ensemble des oeuvres françaises et étrangères" -
2 pages in8 - trés bon état -
Comme promis son tableau de St Etienne a pu être décroché dans l'après midi - Mais il été dans un tel état qu'il ne pouvait l'envoyer sans le nettoyer - Il ne pourra donc le faire porter à l'exposition que le lendemain - Il regrette que son grand tableaux ne soit pas placé au dessus de ses petits - Il désirerait cependant que "Les Innocents" et "Saint Etienne" soient placés aussi bas que possible - Il tient à ce qu'ils ne soient pas vus défavorablement -"Je ne suis plus à l'age ou l'on peut prendre sa revanche d'une mauvaise exposition" - Qu'on ne lui fasse pas croire que les moins exigeants sont "toujours les plus sacrifiés" -
Léon DAUDET (1867-1942), écrivain, polémiste, journaliste et homme politique français.
Reference : AMO-4531
(1936)
Phryné ou Désir et Remords. Roman contemporain. 131 feuillets in-folio (37 x 24 cm) rédigés au recto seulement, le tout contenu dans un double-feuillet de même papier titré et signé par l'auteur : Léon Daudet de l'Académie Goncourt // Phryné (souligné trois fois) ("grand titre" entouré) // ou // Désir et Remords (souligné deux fois) ("petit titre" entouré) // Roman contemporain. [1936] Les feuillets sont regroupés par chapitres retenues ensemble par un trombone (sauf le second et le cinquième chapitre qui ont perdu leur trombone). Le feuillet replié qui sert de couverture a quelques salissures et déchirures au dos. Tous les autres feuillets sont en très bon état. Collationné complet. Ecrit sur papier à petits carreaux. Ratures et corrections de la main de l'auteur. Texte très proche de la version définitive publiée en 1937.
Phryné ou Désir et Remords, roman contemporain, paraît chez Flammarion au début de l'année 1937. De nombreux articles de presse donnent un compte-rendu de ce nouveau roman du polémiste de l'Action Française, fils aîné d'Alphone Daudet. En parallèle de ses actions politiques Léon Daudet donnera un très grand nombre de romans presque toujours mêlant les personnages de la vie réelle à ceux de son imagination. Phryné ou Désir et Remords sont les amours, les frasques, les humeurs et les désirs du sculpteur Auguste Estian. Comme le signale plusieurs articles de presse à l'époque, Estian fait beaucoup penser à Auguste Rodin : il en a le physique, la barbe et ce haut goût de la femme. On a aussi évoqué les amours de Rodin et de Camille Claudel comme source d'inspiration de l'auteur. Il y a certainement quelques vérités dans ces suppositions. Mais c'est avant tout un roman de moeurs, un roman d'amours malheureux, de la vie d'un homme qui se décrit lui-même ainsi : "Je ne suis qu'un dégoûtant animal, qu'une brute incapable de résister à ses instincts. Il est vrai que ceux-ci alimentent mon talent. Sans eux, je ferais des navets, comme un Dalou, un Falguière, ou moins encore ...". On lit encore ailleurs cette critique : "Grands hommes et fantoches, amours et infamies, apparences, illusions, beaucoup de vanités, des laideurs en marge de quelque beauté, c'est là une tranche d'histoire des moeurs qu'il faut prendre telle qu'elle fut et qui n'a, au fond, rien d'exceptionnel. Ni ange, ni bête ! Mais la bête l'emporte souvent !" Ce n'est pas Violante, dit Phryné, qui tient le rôle principal dans ce drame des sens déchaînés. On la voit désabusée, meurtrie, défigurée, quitter la scène avant le dernier acte, tandis que l'homme qui l'a éveillée, séduite, continue ses exploits, du reste peu glorieux. Une gloire pourtant, une gloire de l'art, cet Auguste Estian, sculpteur fameux, barbu, velu et ardent comme un faune et qui ressemble fort à feu Auguste Rodin." (Paris-Midi, 24 mars 1937) Selon le bord politique des journaux de l'époque, les critiques sont loin d'être toutes aussi élogieuses. On lit ailleurs : "Incontestablement. M. Léon Daudet est un grand, un très grand écrivain, disons le mot : un écrivain de génie. Mais c'est un fichu romancier. Phryné ne dépare pas la collection de ses romans contemporains, où l'intrigue est forcée, sans vraisemblance, les personnages horriblement conventionnels, les débats pyschologiques d'une déconcertante ingénuité. M. Daudet qui a peint en traits prodigieux la réalité et les êtres vivants semble frappé d'inhibition dès qu'il touche au roman. Ce ne sera pas l'une des moindres surprises des historiens de l'avenir quand ils se pencheront sur l'étude de son extraordinaire personnalité. Sauf à complaire à l'auteur, pour des raisons politiques de parti, ou par une servilité naturelle à la plupart des critiques littéraires ou par crainte des représailles du terrible polémiste, on ne peut pas dire que cette Phryné mérite l'acquittement de l'aréopage." Dans un autre journal on lit : "Le nouveau roman, que M. Léon Daudet intitule Phryné ou désir et remords, est une platée d'ordures. C'est l'oeuvre d'un obsédé qui revient, sans jamais se lasser, à ses vomissements, c'est-à-dire à la luxure sous toutes ses formes." (in Revue des Lectures) Républicain converti au monarchisme, antidreyfusard et nationaliste clérical, député de Paris de 1919 à 1924, Léon Daudet fut l'une des principales figures politiques de l'Action française (école de pensée et mouvement politique français nationaliste et royaliste d'extrême-droite). En décembre 1937, durant la guerre d'Espagne, il signe le Manifeste aux intellectuels espagnols en soutien à Franco. Il souhaitait depuis plusieurs années l'arrivée du maréchal Pétain au pouvoir lorsque la défaite amène, pour reprendre l'expression de Charles Maurras, la « divine surprise ». Il meurt d'une hémorragie cérébrale en 1942 à Saint-Rémy-de-Provence, dans le pays des Lettres de mon moulin. Sa tombe est visible au cimetière de Saint-Rémy. Précieux manuscrit autographe complet.
Phone number : 06 79 90 96 36
1 page in8 - En tête de "Agence Havas" -Très bon état - On joint un envoi autographe signé sur le faux-titre de "Pipe-en-Bois" -
Il le remercie de ses "aimables paroles" dans La Volonté et aura grand plaisir à lui faire hommage de son livre "dès qu'il sera publié" -