CLAUDEL (Paul) - WELLS (Herbert George) - VERHAEREN (Emile) - JAMMES (Francis) - GOURMONT (Rémy de) - MARDRUS (J.-C.) - REGNIER (Henri de) - GUERIN (Charles) - DELARUE-MARDRUS (Lucie) - RACHILDE - BLOY (Léon) - GORKI (Maxime) - DUJARDIN (Edouard) -
Reference : 40304
Paris : Société du Mercure de France, 1901 - quatre forts volumes in-8 (15,5x23,2cm) demi vélin souple à coins, avec pièces de titre, d'année et de tomaison (reliure de l'époque), 880, 864, 848, 864 pages - Papier uniformément jauni sinon exemplaire en bon état - Au sommaire : Paul Claudel : La ville ; Herbert George Wells : L'ile du Docteur Moreau (XII - XIV, fin) ; Emile Verharen : L'art, Kato, Art moderne, Les salons ; Francis Jammes : Notes ; Rémy de Gourmont : La jeune fille d'aujourd'hui, Epilogues, Variétés, Le chemin de velours, Le succès et l'idée de beauté ; J.-C. Mardrus : Les mille et unes nuits ; Henri de Régnier : La course, Revue du mois ; Charles Guérin : Les nymphes de la forêt ; Lucie Delarue-Mardrus : Vers, Visions ; Rachilde : Revue du mois ; Léon Bloy : Exégèse des lieux communs ; Maxime Gorki : Les fermoirs d'argent ; Edouard Dujardin : Petits poèmes d'autrefois ; etc. Dessins de Laurent Malclès, Auguste Donnay, Armand Rassenfosse, etc.
Créé en 1890 et animé par Alfred Vallette, Le Mercure de France s'est imposé rapidement comme la revue de nouvelles générations d'écrivains réunis autour de Rémy de Gourmont : Rachilde, Henri de Régnier, Marcel Schwob, Emile Verhaeren, Pierre Louys, Léon Bloy, Paul Léautaud, André Gide, Alfred Jarry, Guillaume Apollinaire...
Paris : Académie des Bibliophiles, Edition Louis Lacour, imprimée par D. Jouaust, 1867. In-8 demi-maroquin rouge à coins, dos à nerfs avec auteur et titre dorés (reliure de l'époque), 309 pages. Comprend : Les Satyres de sieur Regnier d'après l'édition de 1613, Oeuvres nouvelles et Pièces apocryphes (59 poèmes), index et glossaire, Notes et variantes. Exemplaire numéroté : un des 500 sur papier vergé. Belle reliure d'époque, intérieur très frais.
editions c l 1942 1942. Paule Régnier: L'expérience d'Alain/ Editions C.L. 1942 . Paule Régnier: L'expérience d'Alain/ Editions C.L. 1942
Bon état
Grasset 1924 1924. Paule Régnier: La Vivante Paix/ Librairie Grasset 1924 . Paule Régnier: La Vivante Paix/ Librairie Grasset 1924
Etat correct
Fayard 1929 1929. Paule Régnier: Marcelle faible femme/ A. Fayard & Cie 1929 . Paule Régnier: Marcelle faible femme/ A. Fayard & Cie 1929
Bon état
Paris : Morgand et Fatout, 1878. In-octavo demi percaline à la bradel, dos orné du titre, auteur, fleurons et filets dorés (reliure de l'époque), portrait, (2) feuillets, 125 pages, (1) feuillet. Traduction avec une notice biographique du médecin hollandais Regnier de Graaf. Jolies vignettes en bandeaux et culs-de-lampes. Un des quelques exemplaires du tirage de tête imprimés sur papier de Chine (Vicaire III, 1087) -
MOREAS (Jean) - REGNIER (Henri de) - MOCKEL (Albert) - TAILHADE (Laurent) - LERBERGHE (Charles van) - BARRES (Maurice) - DE VISAN (Tancrède) - SAINT-POL-ROUX - LE CARDONNEL (Louis) - THEVENIN (André) - FONTAINAS (André) - CLAUSSEN (Sophus) - OLIN (Pierre M.) - FORT (Paul) -
Reference : 33518
Directeur : Paul Fort - Secrétaires : André Salmon et Tancrède de Visan - grand in-8 broché de 124 pages - bon état - Exemplaire sur papier impérial du Japon (tirage non justifié) -
Revue phare, dans la sillage de la Revue blanche, qui comptera 36 numéros en 33 livraisons, 3 étant doubles. Durant le temps de cette publication, Paul Fort réussit à grouper à la Closerie des Lilas, au Quartier latin, 150 à 200 écrivains pour deviser de littérature. Parmi eux, Gide, Jarry, Moréas, Rosny, Apollinaire, Jules Romains... Autant d'auteurs, poètes lyriques ou symboliques, qui tentent d'infuser un sang nouveau au vers libre.Cet exemplaire comprend : Jean Moréas : En voyage - Henri de Régnier : Le départ - Albert Mockel : Contes : Fée Papillonne - Histoire d'une princesse admirable - La voix - Laurent Tailhade : Le blason de Flore - Ch. van Lerberghe : Conte : La Grâce du sommeil - Maurice Barrès : Préface aux "Lettres à l'Elue" - Tancrède de Visan : Lettres à l'Elue (Fragment) - Saint-Pol-Roux : Poesia - Louis Le Cardonnel : Orphica - André Thévenin : Conte : Voyage et triste fin de Notre Seigneur Hamlet - André Fontainas : Poèmes - Sophus Claussen (trad. Guy-Charles Cros) : A Ingebord Stuckenberg - Tancrède de Visan : Sur l'oeuvre de Paul Fort - Pierre M. Olin : Séquence et Allitérations - Paul Fort : Le voyage de Jason -
Hachette 1884 293 pages 1884. 293 pages.
Hachette 1928 271 pages 1928. 271 pages.
STEVENSON (Robert-Louis) - SCHWOB (Marcel) - REGNIER (Henri de) - LAUTREC (Gabriel de) - COQUIOT (Gustave) - FRANC-NOHAIN - KAHN (Lucienne) -
Reference : 42532
Paris : Rue des Ecoles, 1899. Directeurs : Tristan Klingsor et Henri Degron. Un volume 12x18,3cm broché, de 74 pages. Dos fendu avec petits manques en coiffes, et manque angulaire en première de couverture, rousseurs en couvertures. Exemplaire sous papier cristal.
Instigatrice du mouvement symboliste, La Vogue compte trois séries. La première en 1886 (6 numéros), la seconde en 1889 (trois numéros) dirigées par Léo d’Orfer, Gustave Kahn et Félix Fénéon. Exemplaire de la troisième et dernière série qui compte 24 numéros mensuels parus du 15 janvier 1899 au 15 décembre 1900. Ce numéro comprend notamment Will du Moulin, de Robert-Louis Stevenson, La Légende de Serlon de Wilton, de Marcel Schwob, Les Amis, de Henri de Régnier.
Précieux et remarquable exemplaire, l’un des deux répertoriés conservés dans sa première reliure en vélin de l’époque en tout premier tirage avant la mention ajoutée sur le titre général dans le second tirage « qu autres des plus signalez Poetes de ce temps ». Paris, pour Gilles Robinot, au Palais en la Gallerie des prisonniers, 1614. Avec privilège du Roy. In-8 de (4) ff., 123 ff., (1) f. de privilège. F. de titre légèrement effrangé, infime galerie de vers dans la marge blanche inf. des ff. 83 à 88, pte. mouillure dans le coin inf. des ff. 104 à 112. Au f. 93 commencent les « Autres Satyres et Folastreries, tant du Sieur de Sigonne & Bertelot, qu’autres des plus signalez Poëtes de ce temps ». Plein vélin souple, restes d’attaches, dos lisse, nom de l’auteur calligraphié à l’encre à l’époque sur la tranche supérieure. Reliure de l’époque. 162 x 104 mm.
Très rare Première édition en partie originale du rarissime premier tirage des « Satyres » de Mathurin Régnier, fort apprécié du roi Henri IV, « le plus grand poète satirique du début du XVIIe siècle » (Pa. D), publiée après sa mort, la cinquième par ordre chronologique, contenant 16 pièces satiriques qui paraissent ici pour la première fois sous ce titre : « Autres Satyres et Folastreris, tant du Sieur de Sigonne & Bertelot, qu’autres des plus signalez Poëtes de ce temps », mais la meilleure. Tchemerzine, V, 386. « Les premières éditions de Régnier, publiées en 1608, 1609, 1612, et 1613 du vivant de l’auteur, sont d’une curieuse incorrection ; c’est que le poète vivant le pot en main dans les cabarets et les tripots, absolument insoucieux de sa gloire, était le plus détestable correcteur d’épreuves qu’on pût imaginer ; les éditions qui suivent la mort de l’auteur, arrivée en 1613, sont meilleures. » (Deschamps). Mathurin Régnier n'est pas seulement le plus grand poète satirique du début du XVIIe siècle, il incarne comme aucun autre l'esprit de la satire classique en vers, même aux yeux de Boileau, qui se voudra modestement son disciple. Il naquit à Chartres, en 1573, alors que les guerres de Religion faisaient rage. Le recueil de Satyres qu’il fait paraître en 1608 propulse Régnier au rang de chef de file des ronsardiens, mais aussi des poètes comiques les plus impertinents de l’époque comme Sigogne, Motin et Berthelot, les pourvoyeurs inlassables des recueils de poésies libres. Chacun s’accorde à reconnaître en lui une qualité d’inspiration comparable à celle d’Horace, de Perse et de Juvénal. « La réussite de Régnier est d’avoir su créer un espace poétique, où, à partir des lieux communs de la réflexion morale, il peut donner libre cours à son goût de la franchise et de la liberté. Il y développe une esthétique de l’humeur, de la nonchalance et du caprice, qu’il met au service de l’amitié, mais qu’il considère aussi comme un instrument d’émancipation individuelle au sens des libertins. A défaut de présenter une sagesse, il met en scène un tempérament, qui fait du poème un lieu et un ferment d’humour et de plaisir. Cette impulsion vitale et tonique caractérise sa verve comique. Il conçoit le vers comme une solution qui résout de manière jubilatoire les contradictions insurmontables de la vie morale. C’est pourquoi il recherche inlassablement le bon mot, le trait qui fait mouche, la formule burinée qui s’incruste dans la mémoire et déclenche un sentiment d’euphorie. Il a comme peu de poètes le génie de l’alexandrin robuste, énergique, gorgé de tonus : Il m’est comme aux putains mal aisé de me taire (Sat. II, v. 96) ; (Je) sentis à son nez, à ses levres décloses,/Qu’il fleuroit bien plus fort, mais non pas mieux que roses (Sat. XI, v. 219-220) ; Je fis dans un escu reluire de Soleil (Sat. XII, v. 24). A défaut de trouver la vérité, Régnier suscite un élan qui tire de l’apathie et de la morosité, qui restitue le frémissement et le tourbillon de la vie, qui sait recréer le fouillis et le brouhaha captivant des êtres et des choses, tirer joie de leurs contradictions. Son réalisme, c’est d’être avant Baudelaire un poète de la ville, de nous immerger dans le doux vacarme de la poésie sociale. A défaut de savoir où, Régnier est « une force qui va » : l’homme a au moins le pouvoir d’opposer à l’absurdité de vivre l’énergie de son humour et la fierté de son nonchaloir. Comme les plus grands satiriques, Régnier est un poète du temps actuel, celui qui nous contrarie sans cesse, mais qui se confond avec le mouvement et le jaillissement des jours. » Précieux et remarquable exemplaire, l’un des deux répertoriés conservés dans sa première reliure en vélin de l’époque en tout premier tirage avant la mention ajoutée sur le titre général dans le second tirage « qu autres des plus signalez Poetes de ce temps ».
RENARD (Jules). VERHAEREN (Emile). REGNIER (Henri de). MOREAS (Jean). BERNARD (Emile). SALMON (André). FORT (Paul). BRESLAU (Louise). OCHSE (Julien et Fernand). MOUREY (Gabriel). FOSCA (François).
Reference : 45629
Paris, directeur : Paul Fort ; rédacteur en chef : André Salmon. Un volume 16,8x25cm broché de 150 pages sur papier vergé. Manque au dos (0,5x3cm) sinon exemplaire en bon état.
Entre 1905 et 1914, la revue Vers et Prose de Paul Fort a publié tous les grands noms de la littérature. On y trouve tous les genres, toute l'Europe, toutes les écoles : Jarry, Valéry, Apollinaire, Claudel, Gide, Zweig, Stevenson, Mallarmé, etc.. C'est la revue où s'est élaborée la modernité. Between 1905 and 1914, the review Vers et Prose by Paul Fort published all the great literary names. Every genre, every school, every european litterature appeared in it. This undeservedly-forgotten review, compared by Jules Romains to the salons of Mme du Deffand, is a little-known site of modernity.
MARINETTI (F.-T.). MAETERLINCK (Maurice). ROLLAND (Romain). COPEAU (Jacques). KEATS (John). VIELE-GRIFIN (Francis). ROSNY AINE (J.-H.). SWINBURNE (Algernon-Charles)REGNIER (Henri de). DUMUR (Louis). DE VISAN (Tancrède). DELAW (Georges).
Reference : 45615
Paris, directeur : Paul Fort ; rédacteur en chef : André Salmon. Un volume 16,8x25cm broché de 190 pages sur papier vergé. Manque de 2x2cm au dos sans atteinte au texte sinon bon état.
Entre 1905 et 1914, la revue Vers et Prose de Paul Fort a publié tous les grands noms de la littérature. On y trouve tous les genres, toute l'Europe, toutes les écoles : Jarry, Valéry, Apollinaire, Claudel, Gide, Zweig, Stevenson, Mallarmé, etc.. C'est la revue où s'est élaborée la modernité. Between 1905 and 1914, the review Vers et Prose by Paul Fort published all the great literary names. Every genre, every school, every european litterature appeared in it. This undeservedly-forgotten review, compared by Jules Romains to the salons of Mme du Deffand, is a little-known site of modernity.
MOREAS (Jean). MOCKEL (Albert). REGNIER (Henri de). TAILHADE (Laurent). VAN LERBERGHE (Charles). BARRES (Maurice). DE VISAN (Tancrède). SAINT-POL-ROUX. LE CARDONEL (Louis). FONTAINAS (André).
Reference : 45624
Paris, directeur : Paul Fort ; rédacteur en chef : André Salmon. Un volume 16,8x25cm broché de 124 pages sur papier vergé. Petit manque au dos (1x3cm) sans atteinte au texte sinon exemplaire en bon état.
Entre 1905 et 1914, la revue Vers et Prose de Paul Fort a publié tous les grands noms de la littérature. On y trouve tous les genres, toute l'Europe, toutes les écoles : Jarry, Valéry, Apollinaire, Claudel, Gide, Zweig, Stevenson, Mallarmé, etc.. C'est la revue où s'est élaborée la modernité. Between 1905 and 1914, the review Vers et Prose by Paul Fort published all the great literary names. Every genre, every school, every european litterature appeared in it. This undeservedly-forgotten review, compared by Jules Romains to the salons of Mme du Deffand, is a little-known site of modernity.
GIDE (André). LOUYS (Pierre). GHIL (René). MARINETTI (F.t.). FRANCE (Anatole). SAINT-POL-ROUX. REGNIER (Henri de). VIELE-GRIFFIN (Francis). TAILHADE (Laurent). MACEDONSKI (Alexandre). FONTAINAS (André). MANDIN (Louis). DE VISAN (Tancrède).
Reference : 45633
Paris, directeur : Paul Fort ; rédacteur en chef : André Salmon. Un volume 16,8x25cm broché de 142 pages sur papier vergé. Exemplaire en bon état.
Entre 1905 et 1914, la revue Vers et Prose de Paul Fort a publié tous les grands noms de la littérature. On y trouve tous les genres, toute l'Europe, toutes les écoles : Jarry, Valéry, Apollinaire, Claudel, Gide, Zweig, Stevenson, Mallarmé, etc.. C'est la revue où s'est élaborée la modernité. Between 1905 and 1914, the review Vers et Prose by Paul Fort published all the great literary names. Every genre, every school, every european litterature appeared in it. This undeservedly-forgotten review, compared by Jules Romains to the salons of Mme du Deffand, is a little-known site of modernity.
DEUBEL (Léon). HIRSCH (Charles-Henry). MANDIN (Louis). DIERX (Léon). REGNIER (Henri de). VIELE-GRIFFIN (Francis). MOCKEL (Albert). VARLET (Théo). DUHAMEL (Georges). ROUVEYRE (André). KAHN (Gustave). GOURMONT (Rémy de). TCHOBANIAN (Archag). SKIPIS (Sotiris). DREYFUS (Albert).
Reference : 45634
Paris, directeur : Paul Fort ; rédacteur en chef : André Salmon. Un volume 16,8x25cm broché de 240 pages sur papier vergé. Exemplaire en bon état.
Entre 1905 et 1914, la revue Vers et Prose de Paul Fort a publié tous les grands noms de la littérature. On y trouve tous les genres, toute l'Europe, toutes les écoles : Jarry, Valéry, Apollinaire, Claudel, Gide, Zweig, Stevenson, Mallarmé, etc.. C'est la revue où s'est élaborée la modernité. Between 1905 and 1914, the review Vers et Prose by Paul Fort published all the great literary names. Every genre, every school, every european litterature appeared in it. This undeservedly-forgotten review, compared by Jules Romains to the salons of Mme du Deffand, is a little-known site of modernity.