Paris, Gallimard, (4 février) 1977 1 vol. (140 x 215 mm) de 330 p. et [3] f. Demi-maroquin noir à coins, titre doré, tête dorée, date en pied, filets sur les plats, couvertures et dos conservés, étui bordé (reliure signée de Duhayon). Édition originale. Un des 170 premiers exemplaires sur vergé de hollande van Gelder (n° 25).
Reference : 25689
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Paris Gallimard 1977 In-8, broché, couverture à rabats, non coupé. 330 pp., [3 ff.]. ÉDITION ORIGINALE. 1/450 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches (n° 373). Le dernier livre de Malraux. Le pendant pour la littérature de ce qu'est la Métamorphose des dieux pour les beaux-arts. « Avec L'Homme précaire et la littérature, Malraux acheva plus que son oeuvre, sa vie même. En le lisant, on pense aux dernières oevres des grands musiciens, aux derniers quatuors de Beethoven et de Schubert, aux dernières compositions de Bach ou de Mozart, et tout autant aux Peintures noires de Goya, aux dernières toiles de Rembrandt et de Hals. » (Michaël de Saint-Cheron).
Edition originale
Paris Gallimard 1977 In-8, broché, couverture à rabats, non coupé. 330 pp., [3 ff.]. ÉDITION ORIGINALE. 1/170 exemplaires de tête numérotés sur vergé blanc de Hollande Van Gelder (n° 116). Le . Le dernier livre de Malraux. Le pendant pour la littérature de ce qu'est la Métamorphose des dieux pour les beaux-arts. « Avec L'Homme précaire et la littérature, Malraux acheva plus que son oeuvre, sa vie même. En le lisant, on pense aux dernières oevres des grands musiciens, aux derniers quatuors de Beethoven et de Schubert, aux dernières compositions de Bach ou de Mozart, et tout autant aux Peintures noires de Goya, aux dernières toiles de Rembrandt et de Hals. » (Michaël de Saint-Cheron).
Edition originale
Gallimard Broché bon état . Couverture piquée . Contenu propre . Pages légèrement insolées. 1977. 330 pages . L''Homme précaire et la littérature
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Nrf Gallimard , Paris , 1977 , .rand in-12 broché , .330 pages.
RAY G1
Tirage numéroté sur vélin d'Arches Paris, Gallimard, (4 février) 1977. 1 vol. (150 x 215 mm) de 330 p. et [3] f. Broché, non coupé. Edition originale. Un des 455 exemplaires sur vélin d'Arches Arjomari-Prioux (n° 512).
Dernier texte écrit par André Malraux, ce livre marque l'ultime étape d'une pensée qui n'a cessé d'interroger l'art, la culture, le destin des civilisations. Sous forme d'une méditation libre, subjective et passionnée sur l'histoire littéraire depuis le XIXe siècle, Malraux convoque les grandes figures (Balzac, Baudelaire, Hugo, Proust) pour servir un vaste propos : comprendre comment les formes de la littérature reflètent l'angoisse, la précarité et les métamorphoses de l'homme moderne. Affaibli par la maladie, Malraux achève ce texte à l'automne 1976, alors qu'il se sait proche de la fin. C'est Sophie de Vilmorin, sa dernière compagne, qui portera elle-même le manuscrit chez Gallimard, fin octobre. Malraux s'éteint le 23 novembre 1976, trois mois avant la parution de l'ouvrage.