Henri Laurens. Non daté. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos fané, Papier jauni. 128 pages. 24 reproductions en noir et blanc, hors texte. Nombreuses rousseurs. Coins frottés. 2ème plat tâché.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : RO30331509
"Collection ""Les grands artistes"". Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française"
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Paris, Masson et Cie, 245x164mm, 59pp+table, 1955, 3 planches et figures dans le texte, broché
Plaquette édité par la Présidence du Conseil, Commissariat à l'énergie atomique. Bon état, petites rousseurs en bas de couverture. Bon
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New York Edité par Tudor Pub. Co. 1973 Relié avec jaquette une lithographie tirée par Mourlot. (104505)
Très bon
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Paris, Librairie de L. Hachette et Cie, 1857-1858. 3 volumes in-12 de VII-[1]-310-[2]; [4]-II-308-[2]; VII-[1]-378-[2] pages, demi-basane gris plomb, dos à nerfs ornés de filets et fleurons dorés, tranches mouchetées de bleu.
Éditions originales, dont le premier volume est enrichi d'un envoi de l'auteur " A Madame la Comtesse Rewitzki. Hommage du plus profond respect. Charles Dider." "Il y a peu de mois que l'auteur publiait sous le titre de Séjour chez le Grand-Chérif de la Mekke, un voyage en Arabie exécuté par lui en 1854. Le voyage au Soudan, qu'il publie aujourd'hui, en est la suite, et commence où l'autre s'est arrêté. Parti du Caire le 16 janvier, le premier volume a conduit le lecteur jusqu'au 11 mars suivant, et l'a laissé à Djeddah, comprenant par conséquent un espace de cinquante-cinq jours. Ce second volume, comme son titre l'indique, n'en comprend que cinquante, du 12 mars à la fin d'avril, et va de Djeddah à Khartoum, c'est-à-dire de la Mer Rouge au Nil, pays peu connu, et dont la plus grande partie n'a jamais été décrite. L'auteur a donc l'espoir d'avoir enrichi la géographie d'un certain nombre de noms qui ne se trouvent ni sur les cartes, ni dans les livres. Une navigation de cinq cents lieues sur le Nil ramènera le lecteur au Caire et formera un troisième volume. Ecrite sur place et jour par jour, la relation qu'on va lire est, si l'on peut parler ainsi, une monographie du désert; un tableau fidèle et véridique des phénomènes qu'il présente, de la vie qu'on y mène, des rencontres qu'on y fait, des impressions qu'on en reçoit, des événements grands ou petits dont il est chaque jour le théâtre. L’auteur n’a rien inventé; il n’a fait comme toujours, que raconter ce qu’il a vu." introduction du deuxième volume. Bel ensemble très frais. Hage-Chahine 1325 et 1326, ne mentionne pas Cinquante jours au désert.
Paris, Arthus Bertrand, 1835. 3 volumes in-8 de [4]-XXXII-402-[2]; [4]-472; [4]-352-19 pages, demi-basane verte, dos (passés) à nerfs ornés de filets et fleurons dorés, tranches mouchetées.
Illustré de 5 cartes dépliantes. Édition originale de la traduction française. Jean Louis Burckhardt est né à Lausanne en 1784, fut un intrépide explorateur suisse. Après des études de langues, de droit et de statistiques en Allemagne, il part s'installer à Londres. Son érudition et ses compétences linguistiques le firent engagé par l'African Association. il va être investi d’une mission : résoudre le problème des sources du Niger et, chemin faisant, être le premier occidental à visiter la légendaire Tombouctou. Il parcourut la Syrie, le Liban, la Transjordanie, l'Égypte, la Nubie, l'Arabie et le Sinaï. En 1812 il découvrit Pétra et en 1813 fut le premier européen à Abou Simbel. Il se convertit à l'Islam. Burckhardt se rendit même dans les villes saintes de La Mecque et de Médine entre 1814 et 1815. Il parvint à entrer dans La Mecque en se faisant passer pour un mendiant. Les écrits de Burckhardt sont les premières sources primaires sur La Mecque de la main d’un Européen. Lors de ses précédents voyages, il se faisait passer pour un marchand musulman du nord de l'Inde, dénommé Cheikh Ibrahim ibn Abdullah. Cette identité d’emprunt devait selon lui l’aider à dissimuler son arabe imparfait et à passer inaperçu aux yeux de la population locale et des fonctionnaires. Si l’on en croit les récits de Burckhardt, le stratagème fonctionna: à chaque fois que quelqu’un lui demandait comment dire quelque chose en hindoustani, Bucrkhardt répondait dans un suisse allemand teinté d’un fort accent. Il décède au Caire en 1833, après plusieurs crises de dysenterie. Il est inhumé au cimetière cairote de Bab el-Nasr, où sa stèle funéraire est encore visible de nos jours. Des rencontres que Burckhardt a faites au cours de ses pérégrinations dans les déserts arabes, il tire deux ouvrages synthétiques : un traité sur les Bédouins et une notice sur l’histoire des Wahhabites qui commencent à cette époque leur expansion hors du Nejd. Ceux-ci forment notre troisième volume. Bien complet du feuillet d'errata, suivi des 20 pages consacrées aux mots arabes. Très bel exemplaire de cette publication des plus rares. Hage-Chahine 715.
Genève, imprimerie A. Bernet & fils, 1949. Plaquette in-12 de 40 pages.
Édition originale du premier livre de souvenirs de l'auteur.