‎Coste (Hilarion de).‎
‎Les éloges de nos Rois, et des Enfants de France, qui ont esté daufins de Viennois, comtes de Valentinois et de Diois. A Monseigneur le Dauphin. Avec des remarques curieuses du Pais & de la Noblesse de Daufiné, où se voient aussi plusieurs Armoiries blasonnées des Maisons de ce Royaume, & des Pais étrangers.‎

‎Paris, Sébastien Cramoisy, 1643. In-4 de (32)-431-(33) pp., veau marbré, dos orné à nerfs, chiffre répété sur le dos et armes sur les plats dans un double filet doré d'encadrement, tranches mouchetées (reliure de l'époque). ‎

Reference : 42319

‎Édition originale précédée de l'éloge du Dauphiné et des dauphinois. « Abrégé raisonnable » selon Charles Sorel de la vie des dauphins et rois de France par le Père Hilarion de Coste (1595-1661) religieux de l'ordre des Minimes qui a repris pour cet ouvrage la vie de Louis XIII qu'il avait écrite pour l'ouvrage de Jacques de Bie Les vrais portraits des rois de France, et l'a conduite jusqu'en 1643, suivie de détails intéressants sur les premières années de Louis XIV. Suivi de : De la Valeur et fidélité de la noblesse de Dauphiné avec les armes, cris et devises de quelques illustres maisons de cette province ; Historique des gouverneurs de la Province de Dauphiné.Pièces liminaires : dédicace « A l'Altesse Reale de Monseigneur le Daufin l'Esperance des François, fils aisné du tres-chrestien, tres-victorieux et tres-auguste Louis XIII », Épître à Charles de Valois, duc d'Angoulême, Avis au lecteur, Table des livres et écrivains, titres et mémoires dont l'auteur s'est servi, Table des éloges et des titres qui sont dans ce livre (Fin :) Table des matières, Table des armoiries, Privilège du roy, Licence.Titre rouge et noir. Exemplaire sans les deux suppléments dont "L'Imprimeur au Lecteur".Bel exemplaire aux armes et au chiffre sur le dos d'Antoine Barillon de Morangis, maître des requêtes ordinaires du Roi, intendant de Metz et du pays messin (1674), d'Alençon (1677) de Caen et d'Orléans (1686). Il mourut le 8 mai 1686, laissant une bibliothèque fort importante qui avait été commencée par son père, le président Barillon et augmentée de celle de son oncle, Barillon de Morangis, directeur des finances.Bourgeois et André, III, 1296 ; Saffroy, I, 12150 ; Olivier-Hermal-Roton, pl. 246. ‎