Avignon chez Louis Chambeau 1777 1 vol. relié in-12, plein veau marbré havane, dos à nerfs orné de fleurons et encadrements dorés, pièce de titre, tranches rouges (reliure de l'époque), XXII + (2) + 441 pp. (petite fente au mors inférieur, en pied). Seconde édition après l'originale à compte d'auteur de 1690. Curieux traité sur l'usage des perruques et des coiffes suivant les époques, les cultures et les religions, pour dénoncer leur généralisation dans le clergé. Bon exemplaire.
Reference : 111030
Vignes Online
M. Henri Vignes
La Font Macaire
87120 Eymoutiers
France
05 55 14 44 53
conformes aux usages de la Librairie ancienne et moderne et, pour l'étranger, aux règlements en matière de paiement. Les prix indiqués sont nets, en euros. Frais de port en sus à la charge du destinataire.
Avignon chez Louis Chambeau 1777 1 vol. relié in-12, relié demi-veau havane, dos lisse, pièce de titre, tranches mouchetées (reliure de l'époque), XXII + (2) + 441 pp. (dos et bordures des plats frottés, un cahier un peu dérelié). Seconde édition après l'originale à compte d'auteur de 1690. Dans cet érudit et curieux traité, le théologien propose une histoire des perruques et des coiffes, analyse leur usage suivant les époques, les cultures et les religions, pour amener les ecclésiastiques à renoncer au port de celles-ci qui s'était généralisé à la fin du XVIIe siècle.
Chez Louis Chambeau Avignon 1779 In-12 ( 170 X 100 mm ) de XXII-441 pages, pleine basane fauve, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, tranches brique ( Reliure de l'époque ). Coins et coiffes usés, bon exemplaire. "les ouvrages de ce théologien sont remplis d'érudition, abondent en détails curieux et sont devenus rares" ( Brunet V, 819-820 )..Les Perruques.Ouvrage curieux. Antiquité des perruques. Les femmes juives en portaient. L'abbé de la Rivière, évêque de Langres, patriarche des ecclésiastiques perruquets. Des Barêtes. Des Mitres. Des Aumusses. Des Capuchons. Des Chapperons. Des Coiffes. Des Amitz. Des Camils. Des Bonnets Carrés. Des Calottes. Traditions de l'Église. Condamnation des cheveux bouclés et frisés. Cheveux, barbes et sourcils teints. Condamnation des perruques ecclésiastiques. Diverses sorets de perruques : Des grandes, des petites, des perruques à calottes, à Bichon, à la Moutonne, des perruques d'abbé, des perruques teintes, poudrées, parfumées, sans couronnes, à fausses couronnes, à couronnes de couleur de chair. Moyen pour empêcher les ecclésiastiques de porter des perruques.
Paris, aux dépens de l'auteur, 1690 ; in-12 de [12] ff., 544 pp., veau brun moucheté de l'époque, dos à nerfs orné, tranches mouchetées rouges.
Édition originale rare. L'ouvrage retrace l'histoire des perruques et des coiffes depuis l'Antiquité jusqu'au XVIIe siècle, tout en dénonçant leur usage abusif chez les contemporains de l'auteur – en particulier chez les clercs. « Comme presque tous les ouvrages de ce théologien sont remplis d'érudition et abondent en détails curieux sur les usages de l'Église catholique, on les recherche beaucoup » selon Brunet. Ex-libris armorié du bibliophile blésois Louis-Alexandre Gitton du Plessis, « l'un des bibliophiles les plus ardents » (Guigard, II, 194). Un autre ex-libris a été ôté. Charnière supérieure fendue, coiffes et coins abîmés.
PARIS. AUX DEPENS DE L'AUTEUR. 1690. IN-12 (10,5 X 17 CENTIMETRES ENVIRON) DE (24) + 545 PAGES, RELIURE D'EPOQUE PLEIN VEAU, DOS A CINQ NERFS ORNE DE CAISSONS A FLEURONS DORES, TITRE DORE SUR ETIQUETTE MAROQUIN BRUN, DENTELLE DOREE SUR COUPES, TRANCHES MOUCHETEES ROUGES. ILLUSTRE DE TROIS PETITS BOIS GRAVES PAGE 133. EDITION ORIGINALE. (BRUNET. V. 820). PETIT TRAVAIL DE VER EN MARGE SUPERIEURE DES PAGES 507 A LA FIN, QUELQUES PETITS DEFAUTS EXTERIEURS, DONT PETITS MANQUES DE CUIR SUR LES COIFFES, SINON BON EXEMPLAIRE. PEU COURANT.
1779 Avignon, Louis Chambeau, 1779, in-12 de XXII-(2) pp., 441 pp., reliure de l'époque du 1er tiers du XIXe siècle, demi-veau marron, dos lisse orné de fleurons, roulettes et motif romantique dans la hauteur, bon ex.
“Comme presque tous les ouvrages de ce théologien sont remplis d'érudition et abondent en détails curieux sur les usages de l'Eglise catholique, on les recherchent beaucoup, mais plusieurs sont devenus rares (...)". (Brunet V, 819-820).