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ARBELET Paul
Stendhal au pays des comédiennes.
Grenoble, B. Arthaud, 1934. 14 x 20, 198 pp., quelques illustrations, broché, bon état.
Reference : 85057
N° 605 sur 800 exemplaires numérotés sur papier vélin du Pont-de-Chaix.
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Premier voyage de Stendhal au pays des comédiennes.
Cahiers de la quinzaine, 1928. In-12 broché, 62 pages, frontispice, Tirage limité à 1760 exemplaires sur vélin alfa. Excellent état, très frais.
STENDHAL AU PAYS DES COMÉDIENNES.
Grenoble. B. Arthaud (successeur des Editions J. Rey). 1934. Grand in-8° broché. Couverture bleu turquoise rempliée, imprimée en rouge et noir. 198 pages. 1/800 sur vélin du Pont-de-Claix. [50 vélin de Rives / 800 sur vélin du Pont-de-Claix].
Très propre. DEMANDEZ NOTRE CATALOGUE "STENDHAL ET LES EDITIONS DU DIVAN".
PREMIER VOYAGE DE STENDHAL AU PAYS DES COMÉDIENNES.
Cahiers de la Quinzaine (16e cahier de la XVIIIe série). 1928. In-8° broché. 62 pages. E.O. 1/1.500 sur alfa de Navarre. [110 vergé d'Arches / 1.500 alfa Navarre]. Très bon état.
DEMANDEZ NOTRE CATALOGUE "STENDHAL ET LES EDITIONS DU DIVAN".
Premier voyage de Stendhal au pays des comédiennes.
Paris, L'Artisan du Livre, Cahiers de La Quinzaine, 1928. In-12, broché, non coupé, 62 pp.
Édition originale numérotée. Photos sur demande.
Premier voyage de Stendhal au pays des comédiennes.
Paris : L'Artisan du Livre, Collection "Cahiers de la Quinzaine", 16e cahier de la 18e série, 1928. Édition originale numérotée non coupée. Un des 1500 exemplaires sur papier alfa Navarre destiné aux abonnés. 62 pages. 13x19.
Les Cahiers de la Quinzaine, revue théoriquement bimensuelle et néanmoins irrégulière, furent créés par Charles Péguy en 1900 au moment de l'affaire Dreyfus. Révolté par l'antisémitisme, cette affaire marquera sa jeunesse socialiste, libertaire, anticléricale, faisant l'objet de nombreux articles dans cette revue, laquelle proposait un espace de réflexion critique sur l'époque : "Dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité, dire bêtement la vérité bête, ennuyeusement la vérité ennuyeuse, tristement la vérité triste" (Lettre du provincial). Elle comptait 238 numéros à la mort de l'écrivain en 1914. Reprise par son fils aîné, Marcel, éditeur intellectuel des œuvres de son père, elle renaît sous une forme plus strictement littéraire, en une nouvelle série.
