‎LA ROCHEFOUCAULD de (Duc) (SUARD M.)‎
‎Maximes et réflexions morales du duc de La Rochefoucauld.‎

‎Maximes et réflexions morales du duc de la Rochefoucauld, ornées de son portrait gravé d'après Petitot par P.-P. Choffard, et d'un modèle de son écriture par Miller‎

‎Paris Blaise 1813 In-12° (217 x 133 mm), [1] pl., [1] f. de fac-similé autographe contrecollé, 203 pp, veau blond, dos orné d'un décor de fers spéciaux (main écrivant à la plume, semeuse avec enfant, hibou sur une couronne de lauriers), encadrement sur les plats, roulette intérieur, tranches dorées (reliure de l'époque)‎

‎ENVOI AUTOGRAPHE SIGNÉ DU COMTE AYMAR DE LA ROCHEFOUCAULD. Édition peu courante des Maximes illustrée d'un portrait frontispice gravé par Choffard d'après Petitot (le même que celui de l'édition in-8° de l'imprimerie royale) et d'une lettre en fac-similé autographe. 17 des pensées y comportent des additions ou variantes inédites. Le frontispice a été partiellement mis en couleurs. Envoi autographe signé du comte Aymar de la Rochefoucauld (1843-1925 ?, on trouve des Aymar de la Rochefoucauld du XIIIe siècle à nos jours) : "Au docteur Maréchal de Calvie / hommage et souvenir affectueux / Cte Aymar de la Rochefoucauld" Il s'agit vraisemblablement de Charles Jacob Marchal dit Marchal de Calvi (1815-1873), professeur d'Hygiène à la faculté de Paris, chaire danatomie et de physiologie à lhôpital militaire du Val-de-Grâce, auteur d'une étude sur les eaux thermales de Corse et fondateur de la Tribune médicale. Les Maximes, composées dans le cadre du salon de Madeleine de Sablé, paraissent pour la première fois en 1664 ; cinq éditions portant toutes des corrections et modifications sont publiées du vivant de l'auteur. "Cette édition est remarquable, et par les pensées inédites de l'auteur, et par un fac-similé de son écriture qu'on y a joint." ( Brunet III, 846) La reliure, notamment les fers spéciaux, évoque le travail du relieur dijonnais Mairet. Cachet gratté au plat supérieur, entailles au plat inférieur. Rousseurs, petite tache d'encre bleue p. 8 ‎

‎Maximes et Réflexions morales du Duc de La Rochefoucauld.‎

‎ Amsterdam, sans nom, D'après l'Edition du Louvre, 1781 ; in-18 ( 7,5 x 13 cm)2ff.-XX-120pp.-6ff. Demi-veau blond, dos à nerfs soulignés de filets dorés et à froid, pièce de titre rouge, tête dorée. (Reliure XIXe s.). Vignette gravée en taille douce sur le titre aux armes de La Rochefoucauld. Rousseurs sur les derniers feuillets. Agréable exemplaire. ‎

‎Maximes et Réflexions morales du duc de La Rochefoucauld, - ornées de son portrait gravé d'après Petitot par P.-P. Choffard, - et d'un modèle de son écriture par Miller. ‎

‎ P., chez Blaise / chez Pichard, 1813. In-8°, basane brune, dos lisse, p.-de-t. rouge, titre doré, fers dorés, enc. de dentelle dorée autour des plats, tr. marbrée (reliure de l'époque). ‎

‎Reprise de l'édition de l'Imprimerie Royale de 1778, à laquelle a été ajouté le fac-similé. Bien complet du portrait et des 4 pages de reproduction d'un courrier de La Rochefoucauld adressé à la marquise de Sablé. Quelques rousseurs, mors des coiffes fendus, reliure frottée. ‎

‎MAXIMES ET REFLEXIONS MORALES DU DUC DE LA ROCHEFOUCAULD‎

‎LIBRAIRIE DE LA SOCIETE BIBLIOGRAPHIQUE. 1880. In-18. Cartonné. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 173 pages. Dos coins toilés rouge.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

‎Précédées d'une notice par Jules Levallois. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

‎Maximes et réflexions morales du duc de La Rochefoucauld, traduites en grec moderne par Wladimir Brunet, revues et corrigées par George Théocharopoulos avec une traduction anglaise en regard.‎

‎ Paris : Didot, 1828. Un volume in-8 (13,4x21,5cm), demi veau glacé havane, dos à nerfs orné de fleurons dorés et à froid, pièces de titre et auteur en maroquin, filets et roulettes dorées, tranches marbrées (reliure de l'époque). XXI-304 pages. Mors légèrement frottés sinon bel exemplaire de cette fine reliure signée au dos par Thouvenin. Belle impression grecque de Didot. ‎

‎Joseph Thouvenin (1791 - 1834), élève de François Bozerian, fut l'un des relieurs les plus prolifiques et talentueux de la Restauration. ‎