Emile Blavet (1828-1924), journaliste, L.A.S., Paris, sd [janvier 1888], 2p in-8 (41 lignes). En-tête du Théâtre National de l'Opéra (Opéra de Paris). Il en était secrétaire général. Intéressant courrier autour de La Dame de Monsoreau, la célèbre ouvre de Dumas devenue ici un opéra composé par Gaston Salvayre (1847-1916). Scholl a dû lui reprocher de ne pas avoir pas avoir été invité à la représentation générale. « Les 800 spectateurs de la représentation générale de la Dame de Monsoreau sont pure légende. D'abord, il n'y a pas eu de représentation générale, et pour cause : pas de décors, pas de costumes et les deux principaux interprètes pas d'état de chanter ». Ils avaient néanmoins envoyé 40 laissez-passer à la presse, mais c'est Salvayre, Dumas et la famille Maquet qui ont amener du monde. Il y avait 500 personnes dont les deux tiers étaient des membres du personnel de l'Opéra. Scholl est bien sur la feuille de la première. L'opéra sera créé le 30 janvier 1888. [113]
Reference : 005172
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Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006157
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S., 1er mars 1881, 1p in-8. Importante lettre à Aurélien Scholl autour de la préparation d'un duel contre le comte Albert de Dion. La Forge sera le lendemain chez Clémenceau que Scholl est déjà allé voir. Scholl est l'offensé. Clémenceau sera un des deux témoins. La rencontre, le 7 mars 1881 (selon l'annuaire du duel mais une autre lettre semble indiquer le 8 mars), sera avortée suite à un désaccord sur la forme et la volonté de ne pas en référer à un arbitre. Beau document. [197]
Clément Laurier (1832-1878), avocat, homme politique, ami de Gambetta. Scholl aura un rôle dans la publication de ses ouvres (plaidoyers, poésies, etc.) en 1885.
Reference : 006237
Clément Laurier (1832-1878), avocat, homme politique, ami de Gambetta. Scholl aura un rôle dans la publication de ses ouvres (plaidoyers, poésies, etc.) en 1885. L.A.S., sd [samedi], 1p in-8. Petite lettre amicale donnant à Aurélien Scholl des nouvelles sur la santé de sa famille. [201]
Clément Laurier (1832-1878), avocat, homme politique, ami de Gambetta. Scholl aura un rôle dans la publication de ses ouvres (plaidoyers, poésies, etc.) en 1885.
Reference : 006240
Clément Laurier (1832-1878), avocat, homme politique, ami de Gambetta. Scholl aura un rôle dans la publication de ses ouvres (plaidoyers, poésies, etc.) en 1885. L.A.S., sd [samedi], 3p in-8. Longue lettre autour d'une affaire avec Aurélien Scholl. [201]
Louis-Stanislas Godefroy (XIXe), agent de la Société des gens de lettres.
Reference : 005540
Louis-Stanislas Godefroy (XIXe), agent de la Société des gens de lettres. L.A.S., Paris, 22 octobre 1856, 2p in-8 (30 lignes). En-tête du Comité des gens de lettres. Adresse autographe au dos (Scholl était alors à Gand). Importante lettre annonçant à Scholl son admission au sein de la Société. Il mentionne avoir communiqué la lettre de Scholl à Léon Gozlan, Isidore Taylor et Joseph Méry. « Ces messieurs ont été très touchés de l'expression de votre gratitude ». Il souhaite que Scholl rentre rapidement à Paris. « Les articles que vous envoyez au Figaro ou à d'autres journaux ne vous remplaceront jamais ». Notons que Gozlan est alors président de la Société, Taylor fait partie des fondateur et Joseph Méry deviendra rapidement un ami proche de Scholl, qui lui sera président de la Société en 1894. Beau document. Petite découpe pour enlever le timbre, sans manque de texte. [125]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006133
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S., 27 avril 1875, 1p in-8. Lettre confidentielle à Aurélien Scholl. Il est déçu de ne pas être d'accord avec Scholl, pour la première fois de leur vie. Scholl s'est séparé de lui et le remplace par Gaston Jollivet, choix que La Forge approuve. [196]