Harlequin 2009 2009.
Reference : 500043417
Bon état
Démons et Merveilles
M. Christophe Ravignot
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Paris, Albin Michel, 1960 1 volume In-8° couronne (11,8 x 18,7cm) Broché. 240p., 2 feuillets. Bon état; papier bien blanc; petit ex-libris manuscit.
Roman du journaliste Xavier SALOMON, critique dramatique et cinématographique de "L'Echo liberté" et collaborateur de la revue "Résonances" (1923-1977): après 30 ans de "loyaux services" et une médaille du travail, un sous-chef de service, célibataire proche de la cinquantaine, est mis "à la porte" pour cause de rationalisation du travail. "Seul" et "meutri", il croisera "deux femmes étranges, dont l'une est diaboliquement préoccupée de nuire" (4è de couverture).
A. LAHURE/BOUSSOD, VALADON ET CIE. 9 NOVEMBRE 1889. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 781 à 796. Nombreuses illustrations en noir et blanc et couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Oiseaux de passage; aquarelle de Simon Durand, La vie de Paris par Gaston Jollivet, Galerie de 3 mètres, porte latérale des tissus, Un homme aveugle par Henri Liesse, Galerie de 30 mètres, porte latérale de l'horlogerie, Dix ans soldat (suite) par Charles Mismer, La piste de l'ennemi par Does, Le lac; aquarelle de M. L. Chialiva Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
"Opta Collection Mystère Magazine. 1970. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 128 pages, sur premier plat de couverture, photographie noir et blanc, "" Jean-Pierre Mocky "", tirée du film "" Solo "". Texte sur deux colonnes. Quelques illustrations en noir et blanc, dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"
Ellery queen , mystere magazine, La revue littéraire de tous ceux qui s'interressent au policier et au mystère. SOMMAIRE: L'homme qui parlait en vers- Jusqu'à la lie- Le point de non retour- Drôle de métier- La porte tournante- En attendant le couperet- Une aiguille en plein coeur- l'homme qui pouvait doubler- la taille des diamants- verdict- tele police- le crime passe en jugement.... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
NUIT ET JOUR. 1954. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Coiffe en tête abîmée, Quelques rousseurs. 125 pages. Quelques illustrations en noir et blanc, dans et hors texte. Texte sur deux colonnes. Dos abîmé.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Science fiction. SOMMAIRE: passage du pont par dave dryfoos, dans le torrent des siecles (3e partie) par cliford simak, la porte noire par alan nourse, il reve tout habille par richard matheson, le poison d'un homme par robert sheckley, l'homme du destin par john christopher, galerie des glacs par frederic brown Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
3 lettres signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, 1872, format in-12 de 2 ff. (4 pages), 2 ff. (4 pages), et 4 ff. (7 pages) et 1 brouillon autographe d'Edouard Dentu, s.d., format in-12, 1 f. (une page) : Suivent qq. extraits : 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"
Etonnante correspondance dont on ne sait s'il faut réellement l'imputer à la Comtesse de Scibor Ryslki (Agnès Veth ?) qui signe par la suite "Augusta". Mais curieux lot, révélateur de la passion que pouvait alors (toujours ?) susciter un éditeur célèbre du temps. Un mystère à élucider...