Pages d'Histoire - Librairie Clio

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‎[Guides noirs] – MASSON (Jean-Robert)(dir.).‎

Reference : 123789

(1980)

‎Guide du Val-de-Loire mystérieux.‎

‎ Editions Tchou-Princesse, 1980, in-8° oblong, 670 pp, nombreuses gravures, photos, cartes et plans dans le texte, reliure toile noire de l'éditeur, vignette polychrome et titre doré au 1er plat, titre doré au dos, bon état (Coll. Les Guides noirs)‎


‎La Loire, naguère encombrée de coches d'eau, de sapines et de gabarres, dort d'un sommeil peuplé de rêves entre ses rives plantées de saules. Les mariniers ont disparu, mais le fleuve se souvient de ceux qui hantèrent jadis ces parages gouvernés par les génies des eaux. Partout ici, les traces d'un passé merveilleux s'offrent au regard de qui sait voir. Ne riez pas si un paysan vous dit avoir aperçu le fantôme de Foulque Nera, le « Faucon Noir », condamné à errer pour l'éternité en expiation de ses crimes commis contre les gens de Blois. Car le Diable lui-méme a ses fiefs dans la région, et mieux vaut connaître les chemins où il ne fait pas bon s'aventurer par les nuits sans lune. Les auteurs de ce guide n'ont pourtant pas hésité à s'y engager. Ils vous invitent à les suivre. —Le sourire d'un paysage est souvent trompeur. Le promeneur qui s'est aventuré dans ces bois semés d'étangs ignore que du fond de l'eau d'étranges créatures le guettent. S'il n'y prend garde (mais les paysans solognots qui savent qu'une légende ne ment jamais tout à fait sont là pour le rappeler à la prudence), il risque de s'égarer en quelque lieu enchanté où d'invisibles mains le saisiront qui ne le lâcheront plus. Et même si le château qu'il voit surgir au détour d'un sentier n'est pas né du caprice d'une fée mais simplement du bon plaisir d'un roi de France, il lui faudra compter avec le peuple de fantômes que de telles demeures ne manquent jamais d'abriter. Ce guide lui permettra au moins de déjouer leurs pièges et de ne rien ignorer des mystères qui échappent d'ordinaire au voyageur trop pressé. — "Répond au même désir de complétude que les ouvrages. précédents de la même collection. Effort pour illustrer avec originalité des paysages et des monuments déjà si souvent exploités." (Bibliographie d'ethnologie française 1968, Arts et traditions populaires, 1969) ‎

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‎GUIET (François).‎

Reference : 100001

(1977)

‎"Journal" du château de Saint-André. Comptes rendus hebdomadaires adressés au marquis de Vichy par son intendant Guiet, 1790-1791. Présentation de Robert et Madeleine Bouiller.‎

‎ Saint-André-d'Apchon, "Les Amis de Saint-André", 1977, gr. in-12, 68 pp, 3 pl. de fac-similés hors texte, broché, couv. illustrée, bon état‎


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‎GUIGUE (Georges).‎

Reference : 27938

(1907)

‎Registre du secrétariat général des sections de la ville de Lyon (2 Août - 11 Octobre 1793). Suivi des Délibérations de la section de Porte-Froc (26 mai - 10 octobre 1793).‎

‎ Lyon, Librairie générale Henri Georg, 1907, gr. in-8°, xxi-672 pp, table alphabétique des sections, index, belle reliure bradel papier marbré bleu-vert, dos lisse, pièce de titre chagrin noir, bon état‎


‎Publication très importante. Georges Guigue (1861-1926) était l'archiviste de la Ville de Lyon et du département du Rhône. ‎

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‎GUILHAMON (H.).‎

Reference : 122865

(1952)

‎Journal des voyages en Haute-Guienne de J.F. Henry de Richeprey. I. Rouergue. – II. Quercy.‎

‎ Rodez, Archives Historiques du Rouergue, 1952-1967, 2 forts vol. gr. in-8°, lxxxvi-479 et 559 pp, une carte dépliante au tome I, préface de Jacques Godechot au tome II, index dans chaque volume, brochés, tome I en état correct : intérieur propre, mais couv. abîmée avec dos en partie manquant ; tome II en bon état (t. XIX et XX des Archives historiques du Rouergue). Le tome I a eu un tirage limité à 300 exemplaires. Il est rare. Le tome II a été tiré à 500 exemplaires ; envoi a.s. de Henri Guilhamon à Pierre Goubert au tome II‎


‎"Si toutes les provinces françaises étaient dotées pour le XVIIIe siècle d'un ensemble de documents d'une valeur aussi grande que celui que constituent pour le Rouergue et le Quercy les écrits d'Henry de Richeprey, comme la tâche des géographes préoccupés de décrire les anciens genres de vie serait rendue plus facile ! M. H. Guilhamon vient de publier, sous l'égide de la commission des Archives historiques du Rouergue, la première partie – consacrée au Rouergue – du Journal des voyages en Haute-Guienne, rédigé au cours d'une mission d'enquête dont Richeprey fut chargé en 1780. Cette mission en Haute-Guienne fut liée à la politique de réformes dont Necker avait fait admettre le principe par Louis XVI : une assemblée provinciale avait été créée dans la généralité de Montauban, qui avait alors le nom de province de Haute-Guienne. Elle se réunit le 14 septembre 1779 et nomma deux commissions chargées d'élaborer d'urgence un projet de reformes de l'assiette de la taille et de la capitation ; il apparut bientôt que la première tâche à accomplir était la réfection du cadastre : Richeprey fut chargé, avec le concours de quelques géomètres, de visiter les communautés de Haute-Guienne – Rouergue et Quercy – d'y examiner les cadastres, d'entendre les doléances des habitants, de proposer une classification nouvelle des sols et de nouveaux principes de détermination de revenu imposable. Richeprey se mit en route le 15 octobre 1780. En cinq mois, il accomplit à travers le Rouergue et le Quercy six voyages coupés par quelques jours de repos à Villefranche-de-Rouergue. Voyages exténuants, car Richeprey eut à parcourir à pied ou à cheval, en mauvaise saison, des pays accidentés aux chemins impraticables. La mission de Richeprey ne fut pas menée à bonne fin : arrivé le 24 février à Montauban, dans une ville où une majorité de propriétaires fonciers, disposant de terres peu imposées, avait de bonnes raisons de redouter une réforme des institutions, il se trouva aux prises avec une opposition farouche ; il y fit face courageusement mais, au bout de quelques jours, reçut l'ordre d'interrompre son ouvrage. Ces « incidents de Montauban » permirent à l'opposition parlementaire, écrit M. Guilhamon, de présenter à Louis XVI les réformes de son ministre comme génératrices de troubles dans les provinces. En fournissant aux adversaires de Necker un argument décisif, ils contribuèrent largement à sa chute. (p. LXIV). Mais pour nous, historiens et géographes, quel ensemble de renseignements précieux nous offre ce Journal ! C'est un ouvrage dont la lecture est passionnante, où se révèle toute la vie de communautés rurales à la veille de la Révolution. Pour en saisir toute la valeur documentaire, il faut savoir qu'à chaque village où il s'arrêtait, Richeprey convoquait les notables du lieu, curé, secrétaire de la communauté, avocat, notaire, médecin, principaux propriétaires ; il se faisait apporter le cadastre et, ce document en mains, invitait les personnalités présentes à dire sa valeur, à exprimer leurs idées sur le mode de répartition de la taille et de la capitation, à faire connaître les besoins de la communauté. Il arrive que de longues discussions s'engagent, que – comme à Laguiole – les thèses s'affrontent. (...) On saisit la richesse d'un tel document. Dans bien des cas, c'est une vraie monographie d'une communauté rurale à la veille de la Révolution que nous offre Richeprey. On y saisit non seulement les pratiques agricoles, mais encore les activités artisanales, la vie de relations, les conflits sociaux, et aussi les efforts faits ici et là pour améliorer les conditions de vie. Retenons au passage les pages instructives où sont décrits l'élevage dans le Larzac, la fabrication du fromage de Roquefort, l'empiétement des labours sur les pâtures et les conflits qui en résultent (pp. 120-129 ; 206-207) ; le remarquable chapitre qui évoque la vie de la montagne d'Aubrac (p. 51-60) ; l'analyse des migrations saisonnières ou définitives qui ont pour origine les pays les plus déshérités (pp. 38, 44, 49). Le Journal consacre de longues pages aux industries du Rouergue : les historiens y trouveront des données précieuses et ample matière à réflexion. A Saint-Affrique, nous dit Richeprey, « les manufactures ne sont pas d'aussi grands établissements que nous le présagions. Ce sont des artisants qui ont un ou deux métiers battants qui font des cadis dans la ville, car on ne fait plus de draps qu'à Saint-Félix... On ne fait à Saint- Affrique et aux environs qu'à peu près 2 000 pièces de draps ou de cadis. Le (ravail des petites communautés voisines y est compris parce qu'il est au compte des négociants de Saint-Affrique » (p. 220). Ici comme ailleurs en Rouergue, l'industrie en est encore au stade des petits ateliers. (...) Autant que les mérites de Richeprey, la qualité des commentaires et des notes dont est accompagné le texte du Journal font du livre de M. H. Guilhamon un ouvrage de qualité. L'introduction est excellente ; les notes, nombreuses et précises, accompagnent à chaque page le texte, l'éclairent, y apportent de précieux compléments, relèvent parfois des inexactitudes. La critique est toujours de bonne veine, et pertinente. Voilà du bon travail. Puisse le tome II, consacré au Quercy, voir bientôt le jour. Nous sommes un certain nombre à l'attendre avec impatience..." (Louis Papy, Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest. Sud-Ouest Européen, 1955) ‎

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‎GUILLAUME (Général Augustin).‎

Reference : 124295

(1978)

‎Guillestre, Mon Pays. Histoire d'un bourg haut-alpin.‎

‎ Gap, Société d'Etudes des Hautes-Alpes, 1978, gr. in-8°, 156 pp, 3e édition revue et augmentée, préface de M. l'Ambassadeur André François-Poncet, 16 gravures et photos, 3 cartes et plan dépliants in fine, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Inséré entre les communes du Mont-Dauphin et d'Eygliers, au nord, d'Arvieux et de Château-Queyras, au nord-est, de Ceillac et de Vars, à l'est, de Risoul au sud, de Saint-Clément et de Réotier à l'ouest, Guillestre est « niché dans une conque ensoleillée » dominée par la chaîne de Catinat, le pic de Guillestre (2611 m), la montagne de Combe Chauve et la chaîne de Parpaillan qui culmine à 3261 m. Ce site superbe fut peuplé dès la plus haute antiquité (découverte d'objets datant de l'âge du bronze et des débuts de l'âge du fer), traversé par les Gaulois en route vers l'Italie, au VIe siècle et par Hannibal, en 216 avant J.-C., cheminant par les vallées de la Drôme, de la Durance et du Queyras, puis occupé par les Romains. Les Guillestrins connurent peu de répit pendant les deux millénaires qui suivirent, avec les grandes invasions, le règne des archevêques (1147-1789), souvent troublé par les pillards, les guerres d'Italie (du XVe siècle jusqu'au traité d'Aix-la-Chapelle, en 1748) et les vicissitudes de l'histoire contemporaine... ‎

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‎GUILLAUMIN (Emile).‎

Reference : 111713

(1973)

‎Au vieux temps. Contes et légendes. Edition du Centenaire (1873-1973).‎

‎ Moulins, Editions des Cahiers Bourbonnais, 1973, in-8°, 231 pp, préface de Camille Gagnon, broché, couv. illustrée d'un dessin de Charles Didier, couv. lég. abîmée, état correct‎


‎Edition originale posthume, publiée à l'occasion du centenaire de la naissance d'Emile Guillaumin. L'écrivain projetait la publication en volume de son oeuvre de conteur, disséminée dans de nombreux journaux. Il avait préparé un choix, que ses enfants et amis livrent ici. — Les Contes de la pleine campagne ; Le Livre des légendes. ‎

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‎GUILLON de MONTLÉON (Abbé Aimé).‎

Reference : 48449

(1824)

‎Mémoires pour servir à l'histoire de la ville de Lyon pendant la Révolution.‎

‎ P., Baudouin Frères, 1824, 2 vol. in-8°, (2)-464 et 449 pp, un plan dépliant de la ville de Lyon en frontispice, reliures demi-basane havane, dos lisse avec filets dorés, pièces de titre et d'auteur basane noire, tranches mouchetées (rel. de l'époque), qqs rousseurs, dos lég. frottés, bon état (Coll. des Mémoires relatifs à la Révolution française). Manque le troisième volume qui est très rare‎


‎"Ces mémoires furent rédigées entre 1793 et 1797, donc sur le vif, par l'abbé Guillon, qui fut témoin de la plupart des événements qu'il relate dans cette histoire de la ville de Lyon durant la Révolution." (Fierro, 684) ‎

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‎GUILLOU (Anne).‎

Reference : 106879

(1990)

‎Les Femmes, la terre, l'argent : Guiclan en Léon. (Thèse).‎

‎ Brasparts, Editions Beltan, Les bibliophiles de Bretagne, 1990, gr. in-8°, 222 pp, dessins d'Isabelle Guyot, biblio, broché, couv. à rabats, C. de bibl., bon état‎


‎"Le livre d'Anne Guillou, qui est sa thèse de doctorat (elle enseigne aujourd'hui à l'Université de Brest), analyse la vie des femmes dans le milieu agricole du Pays de Léon (Finistère) dont, pour y être née, elle connaît intimement la population. Les exploitations agricoles y ont subi, depuis cinquante ans, d'importantes modifications structurelles : progrès rapide de la mécanisation, intensification de l'élevage bovin, création d'élevages industriels porcins et avicoles. La femme s'y taille un domaine qui recoupe celui de l'homme, mais ne coïncide pas entièrement avec lui, qu'il s'agisse d'élevage ou de culture des choux-fleurs, très importante dans cette région. Autre changement capital, la fin de la cohabitation avec les parents donne plus d'autonomie au jeune ménage et favorise la détente des rapports entre générations. L'agricultrice d'aujourd'hui met tous ses soins à aménager son intérieur, surtout quand elle a la possibilité de faire construire une maison, symbole de la rupture avec l'ordre ancien. Le rapport au corps et, à travers lui, à la vie sexuelle, à l'amour, au mariage et à la procréation, est un des domaines qui ont connu le plus grand bouleversement, lié, dans une large mesure, à une modification profonde des rapports avec la religion et avec le clergé, longtemps tout-puissant et très traditionaliste dans cette partie de la Bretagne. La Jeunesse agricole chrétienne a beaucoup fait, au lendemain de la guerre, pour ouvrir les esprits à une nouvelle conception du rôle et de la place de la femme en milieu rural. Les pages où Anne Guillou oppose les anciennes manières de voir et d'agir aux nouvelles attitudes sont parmi les mieux venues du livre. Au centre de la vie de l'agricultrice, sa collaboration au travail paysan. Elle y joue un rôle capital, mais qui varie beaucoup selon les exploitations. Tâches de production : s'occuper de la traite des vaches, nourrir les veaux et, quand il y a des choux-fleurs, aider à leur cueillette qui exige beaucoup de main-d'œuvre. Tâches de gestion : tenir la comptabilité, correspondre avec les banques, etc. Enfin, tâches de prévention : détecter à temps les maladies du bétail. Sans parler de la multitude de tâches annexes que le mari confie à sa femme : courses à faire en ville, coups de téléphone aux livreurs, etc. Tout cela est décrit et analysé avec le regard de l'ethnologue. On retrouve celui-ci, sa finesse et sa précision, dans les chapitres consacrés à la maison paysanne (le rôle de la cave, innovation dans ce pays, fait l'objet de pages savoureuses) et à la participation des femmes à la vie collective : affaires de la commune, des organisations professionnelles et vie mutualiste. Cette région a joué un rôle pilote en matière de syndicalisme agricole et de prise en main de leurs affaires par les paysans eux-mêmes. Ici encore les femmes, beaucoup plus instruites qu'autrefois, jouent un rôle discret, mais efficace. Le dernier chapitre, « Vieillir à la campagne », est un peu nostalgique : beaucoup de ces exploitations agricoles seront sans successeurs, car le processus de concentration des terres est irréversible. Les 185 exploitations recensées en 1982 se réduiront, dans une génération ou deux, à quelques dizaines, dont chacune dépassera cinquante hectares. Les jeunes ont tendance à émigrer vers des emplois urbains. Cette évolution ne peut que s'accentuer. La fin de la civilisation paysanne se marque par la disparition de l'« argent du beurre », qui, pendant des siècles, a procuré à la femme léonarde un pécule qu'elle gérait en toute autonomie. La production capitaliste introduit de nouvelles contraintes (calcul des rations, gestion des stocks de concentrés, etc.) dans le rapport entre les gens et les bêtes. L'homme tend à déposséder la femme de ses fonctions traditionnelles, mais la collaboration de celle-ci lui reste indispensable : seulement, elle est moins spécialisée, plus générale, plus cérébrale aussi qu'autrefois. Tandis que l'homme prend en charge tout l'aspect technique de la vie de l'exploitation, la femme assume le volet « social », à la gestion duquel elle est mieux préparée. Il en résulte certaines tensions, mais dans l'ensemble les couples d'agriculteurs léonards se sont remarquablement adaptés à la transformation radicale de la vie rurale constatée depuis quarante ans. Ce remarquable travail contribue à faire du Léon une des régions françaises les mieux analysées par la sociologie contemporaine." (Jean-René Tréanton, Revue française de sociologie, 1993) ‎

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‎GUILLOUX (Félix).‎

Reference : 117854

(1922)

‎Précis d'histoire de Nantes. Avec plans et gravures du Vieux-Nantes.‎

‎ Nantes, Librairie de l'Enseignement, Alfred Brelet, 1922, pt in-8°, 131 pp, préface de Marcel Giraud-Mangin, 3 plans et 8 gravures, broché, dos lég. abîmé, papier lég. jauni, état correct‎


‎Sur l'emplacement actuel de Nantes s'élevaient, il y a environ 2.500 ans, quelques huttes misérables. Le village gaulois devint sous la domination romaine une cité florissante qui, au Ve siècle, pour mettre fin aux ravages des barbares, s'entoura de solides murailles. Victime des invasions, Nantes redevient une ville prospère sous l'impulsion de ses évêques. Ruinée de nouveau par les Normands, elle trouve un sauveur en la personne d'Alain Barbe-Torte, qui mérite d'être considéré comme le deuxième fondateur de la ville. Le système féodal que ce dernier introduit en Bretagne, provoque de longues et sanglantes rivalités. Pendant que la France et l'Angleterre se disputent l'influence dans le duché, Nantes souffre mais se développe malgré tout. Après la guerre de Cent Ans, qui provoque en Bretagne une terrible guerre de succession, les ducs, dont Nantes est la résidence, s'appliquent à conserver leur souveraineté. Mais le mariage d'Anne de Bretagne avec le roi de France marque la fin de l'indépendance bretonne. La bourgeoisie nantaise, qu'un commerce de plus en plus étendu a enrichie, accroît peu à peu ses privilèges. La cité s'organise et se pare de quelques beaux monuments. Mais les épidémies – la peste, notamment – y causent de grands ravages. En lui accordant le droit de former une communauté de ville, les rois reconnaissent la puissance de la bourgeoisie nantaise. Au milieu des troubles religieux ou politiques, celle-ci défend ses privilèges, mais la prospérité de Nantes semble compromise par la décadence de son port au début du XVIIe siècle. Grâce aux efforts de ses armateurs et surtout aux mesures prises par Colbert, Nantes occupe, vers 1700, le premier rang mondial parmi les ports français. Enrichie au XVIIIe par la traite des Noirs, elle se transforme complètement. Ardent foyer révolutionnaire, après avoir brisé l'élan farouche de la Vendée, la ville subit la plus affreuse Terreur. Sa prospérité économique sombre alors dans la tourmente. Puis elle adhère avec ferveur à tous les régimes que la France se donne de 1800 à 1830. Les révolutions de 1830, 1840, 1870 trouvent un accueil sympathique dans la cité où les idées libérales ont fait de grands progrès. La renaissance économique se poursuit et en 1885, Nantes est redevenue un grand port qui se relèvera considérablement grâce à la création du canal maritime. Après le bouleversement de la Grande Guerre, Nantes s'apprêtera à devenir une grande ville industrielle. ‎

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‎GUIRAUD (Jean-Michel).‎

Reference : 116867

(1998)

ISBN : 9782862763408

‎La vie intellectuelle et artistique à Marseille à l'époque de Vichy et sous l'occupation, 1940-1944. (Thèse).‎

‎ Marseille, Editions Jeanne Laffitte, 1998, gr. in-8°, 356 pp, 60 photos et documents sur 36 pl. hors texte, sources, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Ouvrage fondé sur la thèse de doctorat d'histoire de 3e cycle de l'auteur soutenue à l'université de Provence en 1981, “La Vie intellectuelle et artistique à Marseille au temps du maréchal Pétain”. — "Bien charpenté et bien rédigé, étayé sur les meilleures archives écrites et orales, ce livre savant et plaisant est une belle « première » : voici la seule monographie régionale fiable sur une histoire encore en friche, celle de la culture au quotidien dans la France des années noires. C'est à l'évidence la défaite et la débâcle de 1940, nous dit J.-M. Guiraud, qui précipitèrent au bord de la Méditerranée tant de grands noms de la pensée et de l'art, dans un brouhaha d'excitation mondaine (le salon de la comtesse Pastré à Montredon est joliment croqué) et d'inquiétude. Mais la ville de Marcel Pagnol, d'Yves Montand et de Robert Laffont fut mieux qu'un hall brillant : elle avait amassé avant la guerre un capital culturel dont les “Cahiers du Sud” de Jean Ballard et la compagnie théâtrale du « Rideau gris » furent les valeurs les plus sûres. Le miracle se produisit donc, dans une brève osmose du cosmopolite et de l'indigène, avec cette fusion un brin artificielle des réfugiés dans une structure culturelle d'accueil. L'effervescence sera brève et, dès avant l'invasion de la zone « nono » en 1942, l'exil, la dispersion ou le découragement auront ruiné cette agitation prometteuse. Puis Marseille sombrera dans la guerre, l'occupation et les restrictions sévères : la culture passera après la survie. Et, à voir la faiblesse de son activité culturelle après la Libération, il est clair que Paris a pris dès longtemps sa revanche centralisatrice : la montée à Paris de l'éditeur Robert Laffont a valeur de symbole, tandis que les Cahiers du Sud périclitent. Mais cette histoire d'une éphémère décentralisation laissera des traces. Et, au passage, J.-M. Guiraud a révélé au prisme de la culture mille aspects très neufs d'une histoire de la guerre. Grâce lui en soit rendue. Et puisse-t-il avoir beaucoup d'émules dans d'autres régions françaises !" (Jean-Pierre Rioux, Vingtième Siècle, revue d'histoire, 1989) ‎

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‎GUITON (Paul).‎

Reference : 117145

(1949)

‎Savoie.‎

‎ Grenoble, P., Arthaud, 1949, gr. in-8° carré, 199 pp, 222 illustrations en héliogravure dans le texte et à pleine page, une carte dépliante volante, broché, couv. rempliée illustrée par Samivel, bon état (Coll. Les Beaux Pays)‎


‎"Ce volume, qu'illustrent de très belles héliogravures, nous promène à travers là Savoie en nous en décrivant les paysages, fouillant les villes, relevant à chaque pas les souvenirs historiques qui abondent en cette contrée." (Annales de Géographie) ‎

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‎GUITON (Paul).‎

Reference : 109316

(1939)

‎Toute la Savoie.‎

‎ Grenoble, Arthaud, 1939, in-8°, 160 pp, 90 héliogravures dans le texte et hors texte, broché, couv. rempliée illustrée en couleurs par W.-F. Burger, bon état (Coll. Les Beaux Pays)‎


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‎GUIVANDE (Paul).‎

Reference : 103419

(1974)

‎Connaissance de Provins.‎

‎ P., Editions du Hameau, 1974, in-8°, 224 pp, un plan et une pl. de dessins des portes de Provins, un plan dépliant volant, glossaire, biblio, broché, bon état. Edition originale‎


‎Des forêts gauloises aux grandes terres ; Heurs et malheurs de Provins ; Remparts - Monuments et vieilles demeures ; La ville des roses, cité littéraire ; Les roses, les promenades, les traditions, le Festival, le caractère du Briard. ‎

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‎GUTTON (Jean-Pierre)(dir.).‎

Reference : 116666

(1985)

‎Les Lyonnais dans l'histoire.‎

‎ Privat, 1985, gr. in-8°, 408 pp, 71 illustrations, biblio, reliure plein toile bleue de l'éditeur, jaquette illustrée, une page de garde à moitié découpée (envoi découpé), bon état (Coll. Les hommes dans l'histoire)‎


‎"L'ouvrage se compose de deux parties : une série d'instantanés de l'histoire lyonnaise (138-198, 840, 1320, 1463, 1562, 1788, 1834, 1942), puis un dictionnaire biographique des Lyonnais célèbres non vivants, le Lyonnais étant défini comme étant né ou mort ou ayant simplement vécu dans la cité. Lyon en 1788 est une ville de 150.000 habitants, à l'étroit dans son cadre géographique, où les maisons se signalent par leur hauteur. La circulation est difficile (un pont sur la Saône, deux sur le Rhône, dont celui de la Guillotière). La ville s'accroît au nord, au sud (les Brotteaux) et à l'est. Cette seconde ville de France, sans parlement et sans grands corps, est toute entière dominée par les activités économiques, négoce, banque, manufacture, qui fournissent une élite sociale à laquelle s'ajoute la bourgeoisie à talents qui peuple l'Académie, la Société d'agriculture, la Société philosophique des sciences et arts, les loges maçonniques (1500 maçons). Le médiocre rôle politique de la cité explique le peu d'importance qu'y prend la préparation de la Révolution. Dans la galerie des portraits, citons pour le 18e siècle, entre autres, le jacobin Jacques-Joseph Achard, Ampère, le libraire Jacques Anisson, Nicolas Bergasse, Cagliostro, Collot d'Herbois, les frères Flandrin, Jacques de Flesselles, l'inventeur Jacquart, les frères Jussieu, Lamourette (celui du baiser), les Montgolfier, l'architecte Morand, les abbés Morellet et Moreri, Laurent Mourguet, l'inventeur de Guignol, les sculpteurs Perrache, père et fils, Rameau (qui vécut deux ans à Lyon), Madame Récamier, Roland, Jean-Jacques Rousseau, Soufflot, le général Suchet, le cardinal de Tencin, Vaucanson..." (Claude Michaud, Revue Dix-huitième Siècle, 1988) ‎

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‎GUYARD (Jacques).‎

Reference : 121170

(1988)

‎1789. 10.000 citoyens prennent la parole. Les cahiers de doléances de la région d'Evry-Corbeil.‎

‎ P., ADEF, 1988, gr. in-8°, 240 pp, 143 gravures et fac-similés, glossaire, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Un ouvrage consacré aux cahiers de doléances du tiers-état pour certaines paroisses de la région. A Corbeil, en 1789, l’on demandait notamment le retour des foires qui s’y tenaient autrefois. — Ce livre contient les cahiers de doléances du tiers-état pour les paroisses de : Bondoufle, Corbeil, Essones, Etiolles, Orangis et Plessis-le-Comte, Ormoy-Villabé, Ris, Sainte-Geneviève-des-Bois, Saint-Germain-le-Vieux-Corbeil, Saint-Michel-sur-Orge, Soisy-sous-Etiolles, Villabé), ainsi que le cahier de la Manufacture royale des cuivres battus de Villabé, les cahiers de l'ordre du clergé, de l'ordre de la noblesse de la prévôté et vicomté de Paris hors les murs. Enfin les cahiers des demandes et instructions du tiers-état, ainsi que celui des voeux particuliers des habitants de Paris hors les murs ‎

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‎GUÉHO (Francis).‎

Reference : 105436

(1996)

‎Cent ans à Berneval. La vie d'un village du Petit Caux.‎

‎ Luneray, Editions Bertout, 1996, in-8°, 239 pp, nombreuses photos et documents, un plan, biblio, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Berneval-le-Grand, près de Dieppe. ‎

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‎GUÉRARD (Adolphe).‎

Reference : 112074

(1862)

‎Statistique historique du département de la Marne.‎

‎ Châlons, imprimerie-librairie de T. Martin, 1862, fort in-8°, (4)-619 pp, reliure demi-maroquin chocolat, dos à 4 nerfs filetés et soulignés à froid, titres et fleurons dorés, bon exemplaire très bien relié et sans rousseurs‎


‎Edition originale peu commune de cette bonne étude statistique : le géographe Adolphe Guérard (mort en 1868) était professeur au Collège de Sedan. La Champagne ; Arrondissements de Châlons, d'Epernay, de Reims, de Sainte-Menehould et de Vitry-le-François. ‎

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‎GÉNERMONT (Marcel).‎

Reference : 113747

(1934)

‎Les Monuments historiques de l'Allier. Le classement ; l'inventaire supplémentaire ; le mobilier. Les sites et monuments naturels.‎

‎ Moulins, “Les Imprimeries Réunies”, 1934, gr. in-8°, 48 pp, broché, bon état, envoi a.s.‎


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‎GÉRARD (Robert).‎

Reference : 95412

(1935)

‎Sur un prieuré bénédictin de la route des pèlerinages. Saint-Gilles de Montoire (XIe siècle).‎

‎ P., Editions d'Art et d'Histoire, 1935, pt in-4° (19 x 25), 70 pp, 24 planches hors texte en héliotypie présentant 34 reproductions des fresques de la chapelle Saint-Gilles et d'oeuvres du Moyen Age prises par l'auteur comme termes de comparaison, imprimé sur papier vergé, broché, couv. à rabats, bon état‎


‎Plusieurs fois abandonnée et reprise, la thèse du rayonnement d'art, parti du Mont-Cassin vers la fin du XIe siècle, semble devoir trouver une vigueur nouvelle dans l'étude de la vie des établissements bénédictins qui jalonnèrent les routes des pèlerinages, comme dans la constatation des rapports incessants, administratifs et religieux, qui lièrent étroitement entre eux, dès le haut Moyen Age, ces établissements, haltes des pèlerins. La remarquable étude de M. R. Gérard sur l'un des établissements situé sur la route du grand pèlerinage de Tours, puis de Compostelle, abonde, dans ce sens, en aperçus nouveaux. Consacré à l'importante décoration murale intérieure de la chapelle Saint-Gilles de Montoire, il sera fort utile à ceux qui cherchent à éclaircir le processus par lequel les ateliers ambulants, possesseurs des cartons et albums provenant vraisemblablement du Mont-Cassin, par l'intermédiaire de Cluny, les appliquèrent dans les sanctuaires bénédictins de France. Les différentes écoles, celles de Desiderius, c'est-à-dire du Mont-Cassin, et l'école plus particulièrement française y sont bien classées et examinées. — "En présentant la chapelle du prieuré bénédictin de Saint-Gilles de Montoire, M. Robert Gérard n'a pas eu la prétention d'en étudier l'architecture, qui a fait l'objet d'un travail très poussé que M. l'abbé Plat a écrit dans le volume du Congrès de Blois en 1925, aussi n'y consacre-t-il que quelques pages pour situer l'objet principal de son livre : les peintures qui l'ornent. Ce n'est pas que celles-ci aient échappé à M. l'abbé Plat, mais, depuis 1925, un fait nouveau a surgi, qu'il eût été bon de rappeler : il y a quelques années seulement, il a été retrouvé au Musée de peintures d'Orléans une suite d'aquarelles copiées très fidèlement en 1841, à Saint-Gilles de Montoire, par J.-J. Jorand, qui furent exécutées alors que les peintures étaient dans un état de conservation bien supérieur à celui d'aujourd'hui, où il est fort difficile de les examiner avec fruit . On peut maintenant retrouver les thèmes iconographiques, jusqu'ici, faute d'une bonne vision, mal interprétés, et la technique dont on se rendait difficilement compte. Ainsi armé, M. Gérard s'est attaché à rechercher les origines de cet ensemble et il l'a fait avec talent et courage : il ne craint pas d'aller à l'encontre de théories admises par de nombreux archéologues, et non des moindres. A bien lire l'auteur, non seulement il y a une école architecturale de Cluny, mais c'est à Cluny qu'on doit les peintures murales qui enrichirent les églises du XIIe siècle : « Ce sont les cartons et albums de mosaïques importés d'Italie pour Cluny qui servirent de base à la plupart des peintures murales du XIIe siècle. » M. Gérard étend même le sujet juscju'à rechercher les sources d'inspiration dont Cluny a bénéficié. Montoire, situé, – comme tant d'autres localités, – sur une route de pèlerins, devait subir cette emprise." (François Deshoulières, Bulletin Monumental, 1935) — "... Saint-Gilles de Montoire méritait bien l'honneur que vous lui faites, car il est peu d'églises du Moyen Age à présenter encore un tel et si curieux ensemble de peintures. J'ai lu avec beaucoup d'intérêt votre commentaire et je vous en félicite d'autant plus vivement qu'il contribuera, je l'espère, à attirer efficacement l'attention sur nosanciennes peintures murales, charmants vestiges d'un monde évanoui qui fournissent un témoignage beaucoup plus précis sur les origines de notre civilisation romanes que les sculptures et les miniatures des manuscrits." (Jean Hubert) ‎

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‎HACHETTE (Alfred).‎

Reference : 48705

(1923)

‎Le Couvent de la Reine à Versailles (Lycée Hoche).‎

‎ P., Laurens, 1923, gr. in-8°, 152 pp, préface de Louis Hautecoeur, 44 gravures dont 5 plans, broché, bon état‎


‎Le Couvent des Augustines de Versailles ou Couvent de la Reine était un couvent de chanoinesses augustines, consacrées à l'éducation des jeunes filles, fondé à Versailles par la reine Marie Leszczyńska. Conseillée par son confesseur polonais qui favorise ainsi un serviteur de son ancien maître, la reine confie la construction à un architecte lorrain qui a travaillé pour son père, Richard Mique. Grâce à cette première commande royale, il deviendra vite un des premiers architectes du roi. Il conçoit le couvent selon un plan orthogonal, comme une véritable cité religieuse et scolaire, comparable à petite échelle au développement de Versailles à cette époque. R. Mique bâtira également un hôpital (l'hôpital Richaud depuis) à proximité du couvent. Dès le début du XIXe siècle, un lycée occupe les bâtiments de l'ancien couvent des chanoinesses augustines. L'église devenue chapelle est classée Monument historique. Ce n'est qu'en 1888 que le lycée prend le nom de Lycée Hoche. ‎

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‎HALLAYS (André).‎

Reference : 15719

(1921)

‎En flânant à travers la France. Autour de Paris. Première et deuxième séries.‎

‎ Perrin, 1921, 2 vol. in-8°, 315 et 345 pp, 63 gravures hors texte, index, brochés, bon état‎


‎Tome I : Maintenon, La Ferté-Millon, Meaux et Germigny, Sainte-Radegonde, Senlis, Juilly, Maisons, la vallée de l'Oise, Gaillardon, de Mantes à la Roche-Guyon, Soissons, les Jardins de Betz, Chantilly, Wideville, Livry. — Tome II : Versailles : le charme de Versailles, le Grand Trianon, André Le Nôtre, Jean de La Quintinie. Saint-Cloud, le château du Val, Meulan, vallée du Thérain, l'abbaye du Val, Ognon, Raray, Nantouillet, Vitry, Conflans, Méréville, Jossigny, Provins, Château-Thierry. ‎

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‎HALLAYS (André).‎

Reference : 104673

(1912)

‎En flânant à travers la France. Provence.‎

‎ Perrin, 1912, in-8°, (8)-364 pp, 6 gravures hors texte, index, broché, bon état. Edition originale‎


‎Grignan ; La descente du Rhône et Orange ; Arles ; Aix - Montrieux et Valbelle ; Brignoles et La Celle ; Le Thoronet ; Lérins ; Fréjus ; Grasse ; Vence ; Vallée de la Durance ; Fontaine-l'Evêque et Riez ; Digne. ‎

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‎HAMON (Maurice) et Dominique PERRIN.‎

Reference : 59511

(1993)

ISBN : 9782909566054

‎Au coeur du XVIIIe siècle industriel. Condition ouvrière et tradition villageoise à Saint-Gobain.‎

‎ Editions P.A.U., 1993, fort gr. in-8°, 759 pp, 8 planches de gravures hors texte, cartes, tableaux, biblio, sources, index, broché, couv. illustrée, bon état (Prix Georges Goyau de l'Académie française 1994)‎


‎La naissance et le développement de la Manufacture royale des Glaces, dans le village picard de Saint-Gobain. Les études historiques du monde rural sous l'Ancien régime abondent, mais il en va tout autrement du monde industriel ou plutôt préindustriel. Difficultés d'obtenir des sources, nombre limité des projets industriels, utilisation erronée du modèle anglais ; les raisons en sont multiples. C'est tout l'intérêt de l’ouvrage de Maurice Hamon et Dominique Perrin que de nous livrer une vision résolument nouvelle de la France industrielle d'Ancien Régime. — "Cet ouvrage sur La Manufacture royale des Glaces de Saint-Gobain n'a pas l'ambition de faire l'histoire de l'entreprise, mais plutôt de replacer la manufacture et la vie de ses ouvriers dans leur environnement villageois et dans les conditions du développement de la grande industrie au 18e siècle. Le site de Saint-Gobain montre à quel point la dispersion géographique réelle des entreprises industrielles pouvait à l'époque recouvrir des concentrations caractéristiques : dans un village crédité de moins de 500 feux en 1788, la manufacture aurait employé jusqu'à 2000 ouvriers internes ou externes dans les années 80. Étude d'histoire sociale, le livre montre comment l'implantation au village de cette nouvelle entité, a transformé la vie et les mentalités, imposant sa logique, son pouvoir et ses privilèges. Cette histoire vivante s'appuie sur une documentation qui ne se limite pas aux archives déjà fort riches de l'entreprise, mais s'étend aux fonds locaux de l'état-civil, aux archives régionales de l'administration et de la justice." (Raymonde Monnier, Dix-Huitième Siècle) ‎

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‎HARDY-HÉMERY (Odette).‎

Reference : 1990

(1984)

ISBN : 9782724604955

‎De la croissance à la désindustrialisation. Un siècle dans le Valenciennois.‎

‎ Presses de la FNSP, 1984, in-8°, 401 pp, une carte, biblio, index, broché, qqs soulignures crayon, bon état‎


‎"Cet ouvrage est la réécriture allégée, ramassée, dense, d'une fort longue thèse d'Etat de quelque cinq mille pages dactylographiées (texte et annexes statistiques en parts égales) intitulée : “Industries, patronat et ouvriers du Valenciennois pendant le premier XXe siècle ; développements et restructurations capitalistes à l'âge du charbon et de l'acier”. (...) La recherche d'Odette Hardy a abouti à une œuvre fort solide. Elle fait honneur à l'historiographie française. Ajoutera-t-on qu'avec une grande pudeur Odette Hardy s'est cachée derrière son œuvre ? Elle parle d'un pays, d'un milieu, qu'elle connaît intimement et auxquels elle est profondément attachée." (Jean Bouvier, Annales ESC, 1986) ‎

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‎HARTOY (Maurice d').‎

Reference : 81672

(1933)

‎Au Jardin du Monastère. Vieilles légendes catholiques de Normandie.‎

‎ P., Honoré Champion, s.d. (1933), gr. in-8°, 120 pp, page de titre gravée, illustrations de Jean Gay (10 bois gravés hors texte sous serpentes), lettrines et cul-de-lampes, texte encadré d'un double filet rouge, couv. cartonnée rempliée de l'éditeur, bon état‎


‎L'auteur s'est appuyé sur les gestes du Moyen Age (VIIIe-XVe siècle ) et suit le calendrier religieux : Noël , L'épiphanie, la chandeleur... jusqu'à la Toussaint. Une importante contribution à la connaissance du légendaire normand du Moyen Age. — Rescapé de la Grande Guerre – il a été blessé –, Maurice-Lucien Hanot, né le 17 mars 1892 à Berneville (Pas-de-Calais), a revêtu un pseudonyme qui sent ses tranchées : Maurice d'Hartoy, où il est difficile de ne pas lire d'Artois. Homme de lettres, traducteur occasionnel de l'espagnol et éditeur, il s'était fait connaître avec un premier ouvrage intitulé “Au front, impressions et souvenirs d'un officier blessé” (Perrin, 1916). De retour à la vie civile, il dirige à partir de 1919 “Le Courrier de Paris, journal littéraire des anciens combattants” et fonde le 26 novembre 1927 une association d'anciens combattants, les Croix de feu, ou encore "Les Décorés au péril de leur vie", en réaction aux nominations abusives qui se pratiquaient alors dans les milieux où le clientélisme fait toujours un tabac. On connaît la postérité de cette association d'abord hébergée par “le Figaro”, et qui, à partir de 1931, passa sous le contrôle de son nouveau président le colonel de La Roque. Maurice d'Hartoy pour sa part ne disparaîtra que le 5 décembre 1981 dans sa commune maternelle, après avoir été ministre plénipotentiaire à la SDN et à l'ONU. En dehors de son activité militante, on lui doit plusieurs romans, des ouvrages de critique littéraire et des biographies d'écrivains. ‎

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Régionalisme - Pages d'Histoire - Librairie Clio
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