8, rue Bréa
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France
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Reference : 98147
(1947)
Vienne, 1947, gr. in-8°, 55 pp, 8 pl. de photos, hors texte, 10 figures et 3 photos dans le texte, broché, petit manque angulaire sur la plupart des pages, état correct
Gallimard, 1970, in-8°, 494 pp, traduit de l'anglais, 19 photos sur 16 pl. hors texte, plans, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Témoins)
Chanzeaux est, en Anjou, l'expérience recommencée d' “Un village du Vaucluse” : l'Ouest après le Midi, c'est le village noir après le village rouge. Laurence Wylie, professeur à Harvard, a mené son enquête à la tête d'une équipe de dix-sept collaborateurs. Et la France rurale encore traditionnelle du début des années 50 a fait place au dynamisme des années 60. Le changement n'en accuse que mieux les traits permanents et la spécificité nationale qui n'ont cessé de passionner ce témoin. — "... Ce n'est plus le sociologue américain découvrant avec étonnement la vie d'une communauté paysanne du Vaucluse et décrivant surtout sa vie quotidienne et ses liens sociaux. Il y a ajouté cette fois une rigueur quasi scientifique. Il n'est plus le chercheur solitaire ou presque, puisqu'il s'est adjoint une équipe pluri-disciplinaire de dix-sept collaborateurs, également américains. Une telle puissance de moyens associée à un sens aigu des relations humaines explique la richesse de la documentation rassemblée : aux innombrables témoignages individuels sont venus s'ajouter l'utilisation de toutes les sources traditionnelles (état civil, listes nominatives, cadastres, statistiques agricoles, bibliothèques privées...) et de nombreuses enquêtes. Le résultat en est à la fois une somme d'exemples et la synthèse sociologique d'une communauté villageoise. La localisation de Chanzeaux constitue le fil directeur de l'ouvrage. Nous ne sommes plus à « Peyrane » village de Provence, mais dans les Mauges, aux portes du « Pays Chouan ». Commune de bocage marquée par l'insurrection vendéenne, puis par la domination de la noblesse locale, puis les querelles religieuses du début du siècle, mais aussi intégrée à la vie des campagnes françaises, prise entre la tradition et le renouvellement, entre la survie en tant que cellule indépendante ou l'association à l'agglomération d'Angers, Chanzeaux offre donc une multitude de liens et de contrastes. Ces faits sont analysés aussi bien au niveau de la commune que des hameaux, des groupements sociaux, des familles ou des individus." (Jean David, Revue de Géographie alpine, 1971)
Gallimard, 1968, in-8°, 403 pp, traduit de l'anglais, 25 photos sur 16 pl. hors texte, un plan, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Témoins). Edition originale
"Cet ouvrage remarquable prend une place originale dans la bibliographie du monde rural français. Il s'agit d'une étudie sociologique faite en 1950-51 par un professeur américain de civilisation française. Profitant de son année sabbatique, l'auteur s'est installé avec sa famille dans un petit village du Vaucluse, Roussillon, appelé pour la circonstance Peyrane. Tout en partageant la vie quotidienne de ses habitants, il a tenté de « décrire aussi honnêtement et aussi complètement que possible leur mode de vie ». Il l'a fait un peu à là manière de l'ethnologue découvrant une civilisation lointaine. L. Wylie voulait ainsi apporter à ses étudiants américains une documentation sur le monde rural français. Cet ouvrage possède en fait une portée bien plus vaste." (Jean David, Revue de Géographie alpine, 1970) — Le bruit courait qu'en 1950, un homme d'une espèce peu connue des villageois avait traversé l'Atlantique pour camper un an dans une chaumière sous le soleil. Il avait trinqué sous les tilleuls, assisté aux enterrements, envoyé son fils à l'école apprendre notre patois. Il avait beau n'avoir pas l'air de comprendre pourquoi les Pian ne votaient pas comme les Fabre, et fouiller les registres de la mairie, on l'avait adopté et en 1960 il revenait encore à Peyrane, à cinquante kilomètres d'Avignon. Les milieux informés – Laboratoire d'anthropologie, Institut d'études politiques – étaient allés jusqu'à prendre connaissance du récit de son aventure. Il y décrivait le jeu de boule et le service militaire, les tétines de biberons et les manuels de classe, la belote et le notaire avec une minutie d'amoureux et la patience d'un ethnographe devant les cérémonies bantoues. “Village in the Vaucluse” avait depuis longtemps sa légende en France quand l'auteur – il s'en explique dans sa préface – se refusait encore obstinément à laisser traduire cet ouvrage que travaillent tous les étudiants américains. Laurence Wylie nous tend le miroir : nous y reconnaissons-nous ?
Cintegabelle, chez l'auteur, 1998, in-4°, (6)-300 pp, 27 photos, 11 fac-similés, 4 sceaux et blasons, 5 cartes et plans, chronologie, sources, mouillure sur les 70 dernières pages, envoi a.s.
Auxerre, Ch. Gallot, 1855, in-12, 170-61 pp, broché, état correct
Presses Universitaire de Lyon, 1983, gr. in-8°, 472 pp, 19 figures et 46 tableaux dans le texte, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
I. Les sources et leurs cadres : Les sources ; Le cadre des recensements : les pennonages ; II. Familles, habitats, métiers : La famille lyonnaise ; Maison et habitants ; Les métiers ; III. Lyon et sa population : Les origines ; Les Savoyards à Lyon ; La population lyonnaise.
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1981, gr. in-8°, 439 pp, 2e édition, 146 héliogravures et 4 planches en couleurs hors texte, cartes et plans, index, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps 46)
"Terre de montagnes et de vallées lointaines, sans grandes cathédrales ni monastères célèbres, sans les grands centres d'urbanisation qui se trouvent en Provence rhodanienne, la Haute-Provence est une région peu connue des touristes et même des spécialistes en histoire de l'architecture. Il n'est donc pas surprenant que le livre de G. Barruol, second tome consacré à la Provence paru chez Zodiaque (le t. I, de J.-M. Rouquette, est paru en 1974), soit le premier à traiter exclusivement des bâtiments médiévaux de cette région obscure. Aussi beaucoup de surprises nous attendent dans les pages de ce livre, où l'on peut trouver un véritable trésor d'architecture presque inconnu jusqu'ici, d'un intérêt capital pour l'histoire de l'art roman. La première surprise tient au nombre d'églises se rattachant par leur style au premier art roman... L'exposé consacré au premier art roman en Haute-Provence est suivi par trois études, l'une sur le pays de Forcalquier, une autre sur le pays d'Albion, et la dernière sur le pays d'Apt..." (Alan Borg, Cahiers de civilisation médiévale, 1978)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1978, pt in-4°, 112 pp, 50 photographies en héliogravure sur 48 pl. hors texte, 10 cartes, index, broché, couv. illustrée, état correct (les travaux des mois 18)
Eglises et chapelles romanes de Provence.
[Zodiaque] – BAUDRY (Jean), Georges Barbier, Bénigne Defarges, André Gaudillière, Denis Grivot, Claude Jean-Nesmy, Angelico Surchamp.
Reference : 126449
(1954)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1954, gr. in-8°, 252 pp, 107 photographies en héliogravure sur 80 planches hors texte, 2 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des temps 1)
Tournus, Paray-le-Monial, Saulieu, Autun et Vézelay.
[Zodiaque] – BAUDRY (Jean), Georges Barbier, Dom Bénigne Defarzes, Abbé André Gaudillière, Abbé Denis Grivot, Dom Claude Jean-Nesmy, Dom Angelico Surchamp.
Reference : 112085
(1962)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1962, gr. in-8°, 261 pp, 4e édition, 107 héliogravures et 4 pl. en couleurs hors texte, très nombreux plans, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée (très lég. abîmée), bon état (la Nuit des Temps, 1)
Tournus, Paray-le-Monial, Saulieu, Autun et Vézelay.
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1962, gr. in-8°, 288 pp, 136 héliogravures et 4 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, index, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps 15)
[Zodiaque] – BERLAND (J.-M.), , Angelico Surchamp et autres.
Reference : 126454
(1956)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1956, gr. in-8°, 252 pp, 113 photographies en héliogravure sur 80 planches hors texte, 4 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des temps 1)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1966, gr. in-8°, 460 pp, 172 héliogravures et 6 pl. en couleurs hors texte, 209 figures dans le texte, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (Introductions à la nuit des temps 3)
L'une des dimensions mystérieuses de l'art roman, le monde des symboles est cohérent, il relève d'une façon de voir et de sentir les choses, d'un esprit. Le témoignage qu'apporte ici l'art roman ne peut manquer de frapper. Touriste ou pèlerin, intellectuel ou manuel, inquiet ou heureux, l'homme contemporain qui pénètre dans une église romane s'y sent immédiatement accordé.
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1957, gr. in-8°, 256 pp, 91 héliogravures hors texte, 18 pl. en couleurs hors texte, une carte, nombreux plans, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, étui carton, bon état (la Nuit des Temps 6)
"La Touraine romane, éditée par les soins de l'abbaye de la Pierre-qui-vire, vient prendre place dans une série déjà bien définie qui comprend des volumes consacrés à la Bourgogne, à l'Auvergne, au Val de Loire et au Poitou. Par rapport au Val de Loire roman, cet ouvrage concerne les pays situés plus en aval auxquels sont joints ceux de la vallée du Loir... A une introduction générale font suite des notices consacrées à un choix représentatif des édifices essentiels. Les textes sont soutenus et éclairés par une illustration photographique originale et, le plus souvent, d'excellente qualité tant en ce qui concerne la manière dont sont choisis les angles de prise de vues qu'en ce qui regarde les procédés de reproduction... Ce livre contribuera à mieux faire connaître les créations artistiques d'une époque attachante entre toutes." (René Crozet, Cahiers de civilisation médiévale, 1958)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1957, gr. in-8°, 256 pp, 91 héliogravures hors texte, 18 pl. en couleurs hors texte, une carte, nombreux plans, index, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps 6)
"La Touraine romane, éditée par les soins de l'abbaye de la Pierre-qui-vire, vient prendre place dans une série déjà bien définie qui comprend des volumes consacrés à la Bourgogne, à l'Auvergne, au Val de Loire et au Poitou. Par rapport au Val de Loire roman, cet ouvrage concerne les pays situés plus en aval auxquels sont joints ceux de la vallée du Loir... A une introduction générale font suite des notices consacrées à un choix représentatif des édifices essentiels. Les textes sont soutenus et éclairés par une illustration photographique originale et, le plus souvent, d'excellente qualité tant en ce qui concerne la manière dont sont choisis les angles de prise de vues qu'en ce qui regarde les procédés de reproduction... Ce livre contribuera à mieux faire connaître les créations artistiques d'une époque attachante entre toutes." (René Crozet, Cahiers de civilisation médiévale, 1958)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1955, gr. in-8°, 252 pp, 120 photographies en héliogravure sur 80 planches hors texte, 2 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, reliure toile éditeur, sans la jaquette, dos uniformément passé, bon état (la Nuit des temps 2)
L'Auvergne est l'un des hauts lieux de l'art roman français. Cinq églises du Puy-de-Dôme ont ainsi reçu l'appellation d'« églises majeures » car elles constituent des joyaux de l'art roman auvergnat. Toutefois, à côté de ces remarquables manifestations architecturales il existe toute une constellation d'édifices discrets, rustiques qui méritent d'être reconnus. N'est-il pas courant, en effet, de dire que plus de deux cent cinquante édifices romans sont présents en terre auvergnate !
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1961, gr. in-8°, 260 pp, 90 héliogravures et 4 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps 14)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1982, gr. in-8°, 376 pp, 3e édition, 152 héliogravures hors texte, 5 pl. en couleurs hors texte, plans, reliure toile éditeur, jaquette illustrée (pelliculage de la jaquette lég. décollé), soulignures crayon sur les 20 premières pages, bon état (la Nuit des temps, 16)
"Ce livre a la netteté et la clarté qui conviennent au sujet dont il traite. Il est également, ce qui explique ses qualités, l'œuvre d'hommes qui par leur vocation, leur vie et leurs travaux sont mieux à même que quiconque de dégager l'esprit qui imprègne l'art monastique en général, et plus particulièrement l'aspect exceptionnel que revêt l'art cistercien. Il s'agit de dom Angelico Surchamp, religieux bénédictin, et, pour la majeure partie de l'ouvrage, du r.p. Marie-Anselme Dimier, religieux cistercien, auteur de nombreux et remarquables travaux sur l'histoire, l'expansion et l'architecture de l'Ordre auquel il appartient. Les dernières pages du livre, consacrées aux manuscrits, ont été demandées à M. Jean Porcher, éminent spécialiste en la matière. Nous sommes ici pourvus de douze monographies solides et claires s'appliquant aux ensembles majeurs, entendons ceux qui nous sont parvenus. Le choix de ceux-ci ne pouvait être imprévisible ; cependant, des abbayes relativement peu connues comme l'Escale-Dieu, Léoncel ou Flaran sont mises ici très légitimement à l'honneur. On trouvera également, en tête de l'ouvrage, trente-six notices brèves consacrées trop souvent, hélas, à une manière de nécrologe dans lequel sont évoquées les abbayes mutilées dont certaines, ne seraient-ce que Cîteaux et Clairvaux, devraient revêtir, sans la stupidité des hommes, une importance capitale. Ces notices sont intelligemment présentées dans l'ordre historique, un index alphabétique permettant de retrouver aisément chacune d'elles. Tout cela, disions-nous, est clair, net, sans fioritures ni vaine littérature..." (René Crozet, Cahiers de Civilisation Médiévale, 1963)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1962, gr. in-8°, 356 pp, 150 héliogravures hors texte, 4 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps, 16)
"Ce livre a la netteté et la clarté qui conviennent au sujet dont il traite. Il est également, ce qui explique ses qualités, l'œuvre d'hommes qui par leur vocation, leur vie et leurs travaux sont mieux à même que quiconque de dégager l'esprit qui imprègne l'art monastique en général, et plus particulièrement l'aspect exceptionnel que revêt l'art cistercien. Il s'agit de dom Angelico Surchamp, religieux bénédictin, et, pour la majeure partie de l'ouvrage, du r.p. Marie-Anselme Dimier, religieux cistercien, auteur de nombreux et remarquables travaux sur l'histoire, l'expansion et l'architecture de l'Ordre auquel il appartient. Les dernières pages du livre, consacrées aux manuscrits, ont été demandées à M. Jean Porcher, éminent spécialiste en la matière. Nous sommes ici pourvus de douze monographies solides et claires s'appliquant aux ensembles majeurs, entendons ceux qui nous sont parvenus. Le choix de ceux-ci ne pouvait être imprévisible ; cependant, des abbayes relativement peu connues comme l'Escale-Dieu, Léoncel ou Flaran sont mises ici très légitimement à l'honneur. On trouvera également, en tête de l'ouvrage, trente-six notices brèves consacrées trop souvent, hélas, à une manière de nécrologe dans lequel sont évoquées les abbayes mutilées dont certaines, ne seraient-ce que Cîteaux et Clairvaux, devraient revêtir, sans la stupidité des hommes, une importance capitale. Ces notices sont intelligemment présentées dans l'ordre historique, un index alphabétique permettant de retrouver aisément chacune d'elles. Tout cela, disions-nous, est clair, net, sans fioritures ni vaine littérature..." (René Crozet, Cahiers de Civilisation Médiévale, 1963)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1969, gr. in-8°, 364 pp, 163 héliogravures et 8 photos en couleurs hors texte, cartes et plans, index, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps 31)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1978, gr. in-8°, 344 pp, 155 héliogravures et 3 pl. en couleurs hors texte, très nombreux plans, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (la Nuit des Temps, 49)
Nous avions déjà, dans la collection « Zodiaque », un Languedoc roman de Jacques Lugand, Jean Nougaret et Robert Saint-Jean ; il était centré sur le Languedoc méditerranéen. Le Haut-Languedoc est celui du Toulousain et de l'Albigeois – étendus jusqu'à Saint-Antonin, Varen et Lasplanques qui n'avaient pas trouvé place dans le Rouergue roman. Que le choix de Marcel Durliat s'imposât pour la rédaction de ce volume n'est que trop évident ; que les éditeurs de la Pierre-qui-Vire fussent d'emblée assurés d'un texte de premier ordre ne l'est pas moins. L'illustration ayant par ailleurs la qualité à laquelle cette collection nous a accoutumés, la réussite est assurément exemplaire. (Francis Salet, Bulletin monumental, 1979)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1964, gr. in-8°, 260 pp, 2e édition, 88 héliogravures et 6 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (la Nuit des Temps, 7)
"Nul n'était plus qualifié que M. Marcel Durliat pour conduire cette étude. Depuis plusieurs années, en effet, il s'est entièrement consacré à l'art roman en Roussillon ; il a patiemment et inlassablement fouillé les richesses ; toutes ses recherches, tous ses travaux ont été orientés dans ce sens et les nombreuses publications qu'il a déjà donnée sur la sculpture, la peinture murale, les manifestations de la civilisation sont significatives d'une activité productrice qui lui a permis d'embrasser le problème de l'archéologie médiévale dans son ensemble et d'en saisir les véritables caractères. L'ouvrage s'ouvre sur une vue générale de l'art roman en Roussillon, suivie d'un aperçu très rapide sur une trentaine d'églises. Et puis, fidèle aux formules particulières adoptées par les éditeurs, l'auteur ne les étudie pas individuellement dans le détail, mais choisit simplement les plus typiques, celles qui, par elles-mêmes, traduisent une originalité de style ou permettent de suivre une évolution architecturale et sculpturale. Celles-ci sont encore présentées suivant la conception adoptée pour les divers ouvrages de la collection, avec un aperçu général, une notice historique, un plan de visite suivant un itinéraire intelligemment conçu et une illustration photographique. (...) Tout est à retenir et à méditer dans ce beau livre, depuis les descriptions objectives, les aperçus concrets, les hypothèses savamment appuyées sur des arguments chronologiques et techniques, jusqu'aux planches photographiques, saisissantes de netteté et de vie et qui traduisent encore, par leur éclectisme et la pureté de leurs lignes ce que l'auteur a si heureusement exposé en style simple et concis, sans cesse relevé par une sûreté de vues et une érudition qui n'est jamais en défaut." (André Dupont, Annales du Midi, 1959) — "Cet ouvrage, très important et nouveau lorsqu'il fut écrit, continue d'être indispensable à toute étude sur le Roussillon à l'époque romane." (Xavier Barral i Altet, Bulletin Monumental, 1974)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1958, gr. in-8°, 260 pp, 94 héliogravures et 4 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, index, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps, 7)
"Nul n'était plus qualifié que M. Marcel Durliat pour conduire cette étude. Depuis plusieurs années, en effet, il s'est entièrement consacré à l'art roman en Roussillon ; il a patiemment et inlassablement fouillé les richesses ; toutes ses recherches, tous ses travaux ont été orientés dans ce sens et les nombreuses publications qu'il a déjà donnée sur la sculpture, la peinture murale, les manifestations de la civilisation sont significatives d'une activité productrice qui lui a permis d'embrasser le problème de l'archéologie médiévale dans son ensemble et d'en saisir les véritables caractères. L'ouvrage s'ouvre sur une vue générale de l'art roman en Roussillon, suivie d'un aperçu très rapide sur une trentaine d'églises. Et puis, fidèle aux formules particulières adoptées par les éditeurs, l'auteur ne les étudie pas individuellement dans le détail, mais choisit simplement les plus typiques, celles qui, par elles-mêmes, traduisent une originalité de style ou permettent de suivre une évolution architecturale et sculpturale. Celles-ci sont encore présentées suivant la conception adoptée pour les divers ouvrages de la collection, avec un aperçu général, une notice historique, un plan de visite suivant un itinéraire intelligemment conçu et une illustration photographique. (...) Tout est à retenir et à méditer dans ce beau livre, depuis les descriptions objectives, les aperçus concrets, les hypothèses savamment appuyées sur des arguments chronologiques et techniques, jusqu'aux planches photographiques, saisissantes de netteté et de vie et qui traduisent encore, par leur éclectisme et la pureté de leurs lignes ce que l'auteur a si heureusement exposé en style simple et concis, sans cesse relevé par une sûreté de vues et une érudition qui n'est jamais en défaut." (André Dupont, Annales du Midi, 1959) — "Cet ouvrage, très important et nouveau lorsqu'il fut écrit, continue d'être indispensable à toute étude sur le Roussillon à l'époque romane." (Xavier Barral i Altet, Bulletin Monumental, 1974)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1965, pt in-4°, 204 pp, 2e édition, 77 héliogravures en noir et 2 pl. en couleurs hors texte, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Les Points Cardinaux, 1)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1959, gr. in-8°, 260 pp, 86 héliogravures et 16 pl. en couleurs hors texte, plans, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps 9)