8, rue Bréa
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France
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Phone number : 01 43 54 43 61 Payot, 1983, in-8°, 234 pp, traduit du russe, 12 gravures, une carte, biblio, broché, bon état (Coll. Bibliothèque historique)
L'Arménie – La Perse – Au pays des Turquoises – Le Vieux de la montagne et ses Assassins – Le haut-plateau du Pamir – Le pays du Jade et le pays des Sables – La Grande Muraille – Le Khan Koubilaï et sa Cour – La cité de Cambaluc – La vie en Chine – Ceylan et les Indes. — Par Victor Chklovski (1893-1984), personnage important de l'histoire intellectuelle russe, poète, romancier, critique littéraire, théoricien de la langue, notamment à l'origine de l'école formaliste russe et militant du mouvement futuriste. — "Bien qu'il ne soit pas à proprement parler du domaine de l'histoire de l'Art, nous signalerons ici ce volume, d'abord à cause de son puissant intérêt général, puis en raison des renseignements qu'il nous apporte sur les relations intellectuelles aussi bien que commerciales qui unissaient l'Orient à l'Occident au XIIIe siècle. La lecture en est des plus attachantes. La figure du grand Khan Koubilaï demeure inoubliable." (J. B., Gazette des beaux-arts, 1939)
Rennes, Ouest-France, 1985, gr. in-8°, 159 pp, biblio, broché, bon état
P., Au bureau central, 1839-1841, in-4°, 472 pp, texte sur 2 colonnes, qqs gravures en bandeaux ou culs-de-lampe (2 rehaussées en couleurs), reliure demi-chagrin vert bouteille, dos à 4 nerfs, titre (“Histoire de Pologne”) et caissons ornés dorés, bon état. Rare exemplaire sur papier fort à grandes marges (tirage de tête, exemplaire d'un des auteurs ou de l'éditeur ?), mais sans la page de titre (fournie en photocopie) et sans les planches de l'édition courante, et fort bien relié ainsi à l'époque
Scènes historiques, monuments, monnaies, médailles, costumes, armes ; portraits, esquisses biographiques, éphémérides ; sites pittoresques, chateaux, édifices, églises, monastères ; cultes religieux, curiosités naturelles ; peinture de moeurs, coutumes, cérémonies civiles, militaires et religieuses ; danses, contes, légendes, traditions populaires, impressions de voyages ; géographie, statistique, commerce ; littérature, poésie, beaux-arts, théâtre, musique.
P., Editions Duchartre et Van Buggenhoudt, 1930, in-8° carré, xliv-296 pp, précédé d'une étude par Maurice Garçon, 16 gravures hors texte, reliure demi-maroquin rouge, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés, couv. et dos conservés, un des 150 ex. numérotés sur papier de Rives, très bon état (Coll. Laque orange - Aventures et voyages)
Club des Éditeurs, 1960, in-8°, (8)-360-xxvii pp, 16 pl. de photos hors texte, fac-similés de lettres, chronologie, sources, index biographique, tirage sur pur alfa d'Avignon, reliure pleine toile blanche de l'éditeur avec un paysage d'Israël en photo contrecollé au 1er plat, titres bleus au dos, bon état (Coll. Hommes et faits de l'histoire)
"L'affaire Dreyfus et la recrudescence d'antisémitisme en Russie et en Allemagne font de l'écrivain T. Herzl le promoteur de l'Etat juif : il se lance dans la bataille politique, sollicite la plupart des hommes d'Etat européens et les riches Israélites, fonde le Congrès et l'Exécutif sionistes et meurt en 1904 avec la certitude d'avoir conduit le peuple juif sur le chemin du retour en Terre Sainte." (Revue française de science politique, 1961)
Perrin, 1970, in-8°, 470 pp, 16 pl. de photos hors texte, reliure skivertex havane de l'éditeur, titres blancs au 1er plat et au dos, bon état
Par Robert Christophe (1907-1983), Vice-Président de la Société des Gens de Lettres, Président honoraire de l’Association des Ecrivains Combattants, Grand Prix du journalisme de la Spezia, quatre fois couronné par l’Académie Française, dont le Grand Prix d’Histoire, Médaille d’Argent de la Ville de Paris.
Club Français du Livre, 1960, in-8°, 379 pp, traduit de l'anglais par Jean Rosenthal, 10 photos hors texte dont le frontispice, 9 cartes et plans, reliure demi-basane noire de l'éditeur, dos lisse, larges filets à froid et titres dorés, signet, bon état
Le jeune Winston au collège de Harrow, le sous-lieutenant de 21 ans arrivant en vue de l’île de Cuba, en révolte contre les Espagnols, le journaliste-combattant en Afrique du Sud, etc. — "D’une part, la traduction de Jean Rosenthal est si parfaite que l’esprit de l’auteur s’y retrouve pratiquement intact, et communique au lecteur ce mélange d’énergie et de jubilation qui émane immanquablement de toute œuvre churchillienne. D’autre part, ce petit livre, écrit en 1930, avait déjà au départ quelque chose d’unique : arrivé à l’âge de 56 ans, l’auteur, entamant sa traversée du désert et se croyant au crépuscule de sa vie, se penchait sur ses 28 premières années d’existence ; il voulait les narrer « candidement et avec toute la simplicité possible », en s’efforçant de s’exprimer successivement avec la mentalité de l’enfant précoce, du collégien difficile, du cadet enthousiaste, du sous-officier aventureux, du journaliste impertinent et du politicien résolument atypique." (François Kersaudy)
Flammarion, 1989, in-8°, 320 pp, 8 pl. de photos hors texte, 23 cartes et figures sans le texte, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Géographes)
Ce livre est un essai sur la civilisation nord-américaine : l'optique géographique permet d'en saisir les bases matérielles et les manifestations inscrites dans l'espace. Elle souligne comment paysages, sociétés et mentalités se combinent pour donner au Nouveau Monde son originalité. Paul Claval reconstitue les grandes étapes de la formation des Etats nord-américains et analyse leurs principes de base. Il montre ainsi que la source de leur dynamisme, ce n'est pas le gigantisme comme on le croit souvent, mais l'individu qui agit au sein d'une petite communauté démocratiquement gérée. Ces micro-structures permettent à chacun de faire l'expérience de la liberté dans une atmosphère d'inépuisable créativité. Depuis l'Eglise puritaine des Saints de Nouvelle-Angleterre, la dialectique du groupe local et des grands espaces n'a cessé de jouer : elle a fourni aux Etats-Unis le fondement de leur vie civique – et de leurs succès sociaux et économiques. Le Canada est aussi une terre de communautés, mais celles-ci y sont plus encadrées et ne génèrent pas autant d'initiatives sociales. L'atmosphère demeure subtilement plus européenne.
P., Ecole Française d'Extrême-Orient, 1999, gr. in-8°, 365 pp, 4 planches de photos en couleurs, 19 illustrations, une carte et un plan dans le texte, biblio, index, glossaire, broché, couv. illustrée, bon état
Entre 1863 et 1872, le maharaja de Jaipur, Ramsingh II (r. 1851-1880), accusa les chefs des sectes vishnouites d'hérésie et exerça sur eux diverses pressions politiques et financières afin qu'ils se conforment à sa vision de la vérité religieuse. La plupart des vishnouites se plièrent aux exigence royales mais non sans avoir tenté de se justifier. Quelques-uns quittèrent Jaipur en y abandonnant leurs établissements et revenus...
Armand Colin, 1938, in-12, 207 pp, 7 cartes et 2 plans, biblio sommaire, broché, C. de bibl., pt accroc au dos, bon état
"Un sujet passionnant : l'étude d'une renaissance. Un petit livre riche de faits, d'idées, de descriptions, de formules heureuses. M. Marcel Clerget connaît le pays et les hommes..." (Annales de géographie, 1939) — "Parmi les bouleversements dont la grande guerre a été la cause, il n'en est sans doute pas de plus profond, de plus saisissant que celui de la Turquie sous la direction volontaire du Gazi Mustafa Kemal." (Avant-Propos)
Armand Colin, 1912, in-12, 310 pp, deuxième édition revue, mise à jour et augmentée, 6 cartes et graphiques, reliure demi-percaline carmin, dos lisse avec fleuron et double filet doré en queue, pièce de titre chagin fauve (rel. de l'époque), bon état
"Dans cette 2e édition (la première date de 1908), P. Clerget ne s'est pas borné à mettre à jour les statistiques et à enregistrer les faits récents (« Notes additionnelles », p. 279-306. Il a ajouté un nouveau chapitre : « Les Français en Suisse » (p. 263-278) ; il y donne les résultats d'une enquête sur les relations franco-suisses, au point de vue intellectuel, économique et social." (Paul Girardin, Annales de Géographie, 1913)
Armand Colin, 2003, gr. in-8°, 255 pp, 4 cartes, biblio, index, broché, couv. illustrée, surlignures stabilo, bon état (Coll. U)
Le Moyen-Orient a été l'un des enjeux géopolitiques essentiels des XIXe et XXe siècles. Les Empires coloniaux puis les grandes puissances y ont cherché à prendre le contrôle des voies de communication jugées stratégiques puis l'économie pétrolière en a fait un intérêt vital pour les puissances industrielles. Son histoire est aussi celle de ses habitants qui, dans le cadre d'interventions étrangères permanentes, sont passés progressivement d'une société multiethnique et pluriconfessionnelle à l'intérieur du système ottoman à l'Etat nation moderne. Arabisme et islamisme sont les deux idéologies produites par la modernité qui accompagnent et façonnent cette transition parfois douloureuse. Terre d'origine de l'humanité comprenant les principaux lieux saints des trois religions monothéistes, cette région a vu aussi se développer le conflit israélo-arabe. A travers ce terrible affrontement, c'est la question du fondement des identités culturelles d'une bonne partie du monde qui est posée.
Perrin, 1996, in-8°, 354 pp, une carte, annexes, glossaire, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Au début du XIIe siècle, les sultans ayyoubides, Saladin en tête, se constituèrent une garde personnelle, formée de Mamelouks. Nés libres, non musulmans, ces anciens esclaves à la peau blanche se virent confier les hauts postes de l'armée, puis de l'État. En 1250, l'un d'eux, Baybars, ancien esclave kiptchak, assassina le dernier sultan ayyoubide et fonda ainsi l'Empire mamelouk qui, jusqu'en 1516, engloba l'Égypte et la Syrie. Ils donnèrent à l'Égypte et à la civilisation islamique un éclat sans pareil. Après la chute de leur empire, les Mamelouks restèrent le fer de lance de l'armée égyptienne, jusqu'au massacre de leurs chefs en 1811 sur l'ordre de Mehmet Ali.
Plon, 1993, in-8°, 302 pp, une carte, généalogie des Grands Moghols, annexes, repères chronologiques, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
Derniers de ces conquérants venus d'Asie qui dévalèrent, dès la fin du premier millénaire, les portes du nord-ouest pour envahir la péninsule indienne, mosaïque d'États hindous et musulmans en lutte continuelle, les Grands Moghols, la splendeur de leur cour et leurs légendaires richesses occupent, dans l'imaginaire occidental, une place voisine des califes de Bagdad contés par les Mille et Une Nuits, auxquels il n'est pas déraisonnable de les comparer. Ces Turcs, descendants de Gengis Khan et de Tamerlan, contemporains de François Ier et de Louis XIV, transformèrent l'Inde en quelques décennies, engloutissant principautés et royaumes, faisant surgir, sur le vieux fond indien, une civilisation aussi raffinée et somptueuse, qu'impitoyable pour ses ennemis. Ce fut la synthèse, dans les domaines artistique et intellectuel, de l'Asie centrale, de la Perse voisine, de l'Inde, et même des apports européens. Une administration de premier ordre – qu'utilisèrent les Anglais après la conquête –, une armée longtemps invincible, rappellent la France du Roi-Soleil, et l'Empire ottoman au temps de Soliman le Magnifique. Mais ces règnes glorieux – ensanglantés par de longues guerres de succession – s'achevèrent dans l'amollissement, l'immoralité, les désordres et la ruine. Des envahisseurs, venus eux aussi du plateau d'Asie, dépouillèrent l'empire de ses richesses. L'Inde retourne à son morcellement. En un siècle, l'Empire moghol se réduisit à un petit territoire autour de Delhi, dont le Moghol était une marionnette entre les mains des factions rivales. Jusqu'au jour où des envahisseurs venus, eux, du lointain Occident, occupèrent la grande péninsule et s'emparèrent de ses richesses...
Fayard, 1983, in-8°, 469 pp, 3 cartes, généalogie, chronologie, biblio, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
Soliman le Magnifique, le plus glorieux des sultans ottomans, fit trembler l'Europe pendant près d'un demi-siècle. En quelques années, il conduit son armée – la première du monde – jusqu'aux portes de Vienne, devient le maître de la Méditerranée et s'installe à Bagdad. Face à ce redoutable conquérant dont le devoir est d'étendre toujours plus les terres de l'Islam, la Chrétienté est incapable de s'unir : Charles Quint doit signer l'humiliant traité de Constantinople tandis que François Ier, le Roi Très Chrétien, se fait le complice du Grand Turc. "Ombre de Dieu sur la terre", mais aussi habile politique et despote tout-puissant, Soliman dirige fermement l'Etat avec l'aide de ses grands vizirs. Si Dieu lui a donné le pouvoir, c'est pour qu'il assure la justice et le bien-être de ses sujets. Il recula les limites de l'Empire plus qu'aucun des sultans ottomans, mais c'est sous le nom de Législateur qu'il est passé dans l'histoire de la Turquie. Dans cet empire qui règne sur trois continents, qui compte plus de 30 millions d'habitants et brasse presque toutes les races et les religions connues, la noblesse héréditaire n'existe pas : l'administration – remarquablement organisée – est tout entière aux mains de Chrétiens islamisés dont l'élite, parvenue aux honneurs et à la fortune, formera des esclaves dévoués au sultan jusqu'à la mort. Des finances prospères, une économie dirigée et autoritaire : c'est bien sous le règne de Soliman que l'Empire ottoman atteint son apogée. Les villes et les campagnes connaissent une croissance économique et démographique sans précédent. Istanbul d'abord, la plus grande ville du monde, où l'on assiste à un formidable renouveau des arts et des lettres, capitale prestigieuse, siège du Sérail et des plus sombres intrigues...
Fayard, 1993, in-8°, 469 pp, 3 cartes, généalogie, chronologie, biblio, index, reliure souple illustrée de l'éditeur, bon état
Soliman le Magnifique, le plus glorieux des sultans ottomans, fit trembler l'Europe pendant près d'un demi-siècle. En quelques années, il conduit son armée – la première du monde – jusqu'aux portes de Vienne, devient le maître de la Méditerranée et s'installe à Bagdad. Face à ce redoutable conquérant dont le devoir est d'étendre toujours plus les terres de l'Islam, la Chrétienté est incapable de s'unir : Charles Quint doit signer l'humiliant traité de Constantinople tandis que François Ier, le Roi Très Chrétien, se fait le complice du Grand Turc. "Ombre de Dieu sur la terre", mais aussi habile politique et despote tout-puissant, Soliman dirige fermement l'Etat avec l'aide de ses grands vizirs. Si Dieu lui a donné le pouvoir, c'est pour qu'il assure la justice et le bien-être de ses sujets. Il recula les limites de l'Empire plus qu'aucun des sultans ottomans, mais c'est sous le nom de Législateur qu'il est passé dans l'histoire de la Turquie. Dans cet empire qui règne sur trois continents, qui compte plus de 30 millions d'habitants et brasse presque toutes les races et les religions connues, la noblesse héréditaire n'existe pas : l'administration – remarquablement organisée – est tout entière aux mains de Chrétiens islamisés dont l'élite, parvenue aux honneurs et à la fortune, formera des esclaves dévoués au sultan jusqu'à la mort. Des finances prospères, une économie dirigée et autoritaire : c'est bien sous le règne de Soliman que l'Empire ottoman atteint son apogée. Les villes et les campagnes connaissent une croissance économique et démographique sans précédent. Istanbul d'abord, la plus grande ville du monde, où l'on assiste à un formidable renouveau des arts et des lettres, capitale prestigieuse, siège du Sérail et des plus sombres intrigues...
PUF, 1953, in-8°, viii-201 pp, tableaux, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
"Cette histoire économique est constituée par une série de conférences relatives, chacune, à un sujet bien déterminé : on n'y trouve donc pas un exposé chronologique ou général de l'évolution des Etats-Unis, mais, présentation beaucoup plus originale, une série de chapitres dont chacun traite de l'évolution d'ensemble d'un point particulier. Ainsi sont tour à tour évoqués la mécanisation de l'industrie, l'expansion de l'agriculture et l'intervention de l'Etat, le développement du transport et du commerce, l'importance de la monnaie et de la banque dans l'économie américaine, les problèmes humains (population, main-d'oeuvre, mouvement syndical), l'organisation économique (les vicissitudes des trusts, la révolution dans la direction des entreprises, la répartition des revenus et l'intervention de l'Etat). Le livre entier se lit avec plaisir, résume beaucoup de choses connues, apporte au passage des faits plus ignorés, mentionne des statistiques et donne une image vivante des grands aspects de l'histoire économique de ce pays." (Jacqueline Beaujeu-Garnier)
Editions Tchou, 1976, in-8°, 266 pp, 16 pl. de photos hors texte, 2 cartes, broché, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
Introduction. 1. Les origines : Les légendes. Les hypothèses. 2. L'Histoire : La dispersion tsigane. L'apparition en Europe. Les Tsiganes aux XVe et XVIe siècles. Les noms donnés aux Tsiganes. Les Tsiganes et les classes dangereuses. Les Tsiganes et la sorcellerie. Les Tsiganes et les répressions. Les Tsiganes en France sous l'Ancien Régime. Les Tsiganes en Europe pendant la période historique. Les Tsiganes au XIXe siècle. Les Tsiganes et le romantisme. 3. Les métiers : Le choix des métiers. Forgerons et travailleurs des métaux. Marchands de chevaux. Montreurs d'ours. La musique et la danse. Les arts divinatoires. 4. La tradition : L'organisation tribale. La Loi ou la Tradition tsigane. Les croyances religieuses. Démonologie. Magie. Pharmacopée et magie médicale. Sorcellerie. 5. La vie quotidienne : Stérilité et fécondité. Grossesse et accouchement. Naissance et baptème. Puberté et virginité. Amour. Fiançailles et mariage. Sexualité. Vêtements et parures. Habitation et moyens de transport. Nourriture et cuisine. Hygiène. La mort et les rites funèbres. 6. La langue et les moyens d'expression : La langue tsigane. L'écriture. Les moyens d'expression. 7. Les Tsiganes et la Société : Le nomadisme. Les Tsiganes dans le monde actuel. Les Tsiganes et nous. 8. Conclusion. Bibliographie sommaire.
P., Nouvelle Collection d'Auteurs Français, 1936, in-8°, 304 pp, 23 illustrations de Pellos, reliure demi percaline fauve de l'éditeur, plats de feutre havane clair, encadrement doré au 1er plat, coins lég. émoussés, bon état
Récits d'histoire coloniale se déroulant en A.O.F., au Maroc, en Algérie, mais aussi en Asie Mineure, en Turquie, au Turkestan, par le journaliste Henry Clérisse, familier de tous ces pays.
Les Indes savantes, 2008, gr. in-8°, 704 pp, nombreuses illustrations en noir dans le texte, 16 pl. de photos en couleurs hors texte, index, broché, couv. illustrée, pt choc au bas du dos, bon état
"Les cent cinquante-sept lieux recensés ne représentent qu’une petite partie des temples et monastères bouddhistes chinois, mais ils sont les plus importants. Christian Cochini s’est rendu dans chacun d’entre eux, a rencontré responsables et membres des communautés monastiques, a dépouillé les sources chinoises qui décrivent l’histoire, les biens culturels et la situation présente de ces temples. Somme sans nul équivalent, cet ouvrage n’est pas un « guide touristique », même s’il prépare aussi parfaitement au voyage, puisqu’il comporte toutes les données permettant d’accéder aux lieux décrits et d’y effectuer une visite bien préparée. ... Un inventaire des richesses culturelles et spirituelles du bouddhisme chinois."
Editions du Griot, 1993, in-8°, 264 pp, traduit de l'anglais, une carte, notes, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
Parti de Londres en 1820, John Dundas Cochrane, capitaine de la marine britannique, entreprend seul un voyage à pied à travers l'Empire russe, jusqu'aux frontières de Chine. L'expédition prendra trois ans au bout desquels il retournera au pays en compagnie d'une épouse, une jeune Kamtchadale. Les difficultés, les incidents sont innombrables. Notre singulier marcheur ne tient aucun compte des conditions météorologiques et prétend en plein hiver sibérien ne pas se vêtir autrement qu'en Ecosse. Pourvu d'un équipement rudimentaire, il lui faut une certaine dose de courage et d'inconscience pour parcourir ces contrées glaciales par des chemins, quand il en existe, impraticables. — John Dundas Cochrane, surnommé le « voyageur pédestre » est né en 1780 et mort à Valencia (Colombie) le 12 août 1825. Marin et voyageur anglais, neveu de l'amiral sir Alexander Cochrane, il était convaincu de la possibilité de faire le tour du globe à pied.
Oxford, Clarendon Press, 1969, in-8°, xvi-419 pp, un frontispice et 33 gravures, une carte dépliante in-fine, reliure percaline bleue de l'éditeur, bon état. Réimpression de l'édition de 1891.
De Boccard, 1964, in-8°, 494 pp, 2 tableaux généalogiques (les rois du Cambodge et les rois de Mojopahit), 5 cartes dépliantes in fine, index, broché, bon état
L'édition la plus complète : des origines à la prise de Malacca par les Portugais en 1511. —"Un volume de haute vulgarisation qui, grâce à la compétence de son auteur, apporte une remarquable contribution à l'histoire des pays indo-chinois. Il sera l'instrument de travail indispensable de tous ceux qui veulent s'initier au passé de l'Indo-Chine du VIIIe au XVIe siècle. Cartes et notes bibliographiques contribuent à rendre sa consultation très utile." (Revue d'histoire des colonies, 1948)
New York, Simon & Schuster, 1998, gr. in-8°, 272 pp, 16 pl. de photos hors texte, reliure éditeur, jaquette illustrée, bon état. Texte en anglais
L'histoire des gangsters juifs américains, à l'époque où le pouvoir était entre les mains du syndicat du crime, dirigé par Louis Lepke, Dutch Schultz et Bugsy Siegel. Conté par le petit-fils des propriétaires du restaurant où se retrouvaient les truands, ce récit restitue la truculente odyssée de ces fils d'émigrants, héros hors-la-loi, qui faisaient rêver les enfants du quartier...
Payot, 1931, in-8°, 554 pp, 5 cartes, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Bibliothèque historique)
"Mes plus chaleureuses félicitations pour votre "Histoire du Maroc". Sitôt reçue, je viens d'en lire attentivement la table et de feuilleter le livre, et je ne sache rien qui ait été fait jusqu'ici de plus complet, de plus clairement et méthodiquement présenté. C'est un ouvrage définitif. Merci et encore tous mes compliments." (Lyautey) — "Ce livre n'est pas une histoire du protectorat français, avec laquelle nous ont déjà familiarisés nombre d'érudits : le Maroc préhistorique, berbère et romain, les alternatives de puissance et de lamentable anarchie du Maroc musulman y tiennent la plus large place. Avec raison, car ce passé, même le plus lointain, survit et chaque jour nous composons avec lui. M. Coissac de Chavrebière, dont la documentation semble inépuisable, nous le raconte en cinq cents pages bourrées de faits..." (A. Reussner, La Quinzaine critique des livres et des revues, 1931)