8, rue Bréa
75006 Paris
France
E-mail : clio.histoire@free.fr
Phone number : 01 43 54 43 61 Gallimard 1963, fort in-12 xxxvii-2080 pp, reliure plein cuir souple de l'éditeur, dos lisse orné de filets dorés, jaquette illustrée, rhodoïd, bon état (Coll. Bibliothèque de la Pléiade). Volume épuisé
Imago, 1997, in-8°, 329 pp, lexique fantomatique, biblio. Ouvrage issu de thèse
CAPELLE (Philippe) et Jean GREISCH (éd.).
Reference : 113875
(2004)
ISBN : 9782204074612
Editions du Cerf, 2004, in-8°, 391 pp, postface de Jean Ladrière, broché, couv. à rabats, bon état
Cet ouvrage rassemble les vingt-six contributions apportées lors du congrès organisé à l'Unesco-Paris, les 20-22 mars 2000, par la Conférence mondiale des institutions universitaires catholiques de philosophie (Comiucap) et l'Association française des professeurs de philosophie des Facultés catholiques de philosophie. Première tentative de réflexion universitaire à l'échelle des cinq continents, sur les rapports de la philosophie et du christianisme, ce congrès s'est donné une double tâche : examiner les différentes tensions, positives ou négatives, passées et présentes, qui s'observent entre la raison philosophique et le christianisme ; articuler les réalités contrastées des aires culturelles aux données évolutives des différents domaines du savoir. Deux questions ont commandé les débats: quelle habilitation le concept de "raison philosophique" peut-il recevoir face à la démultiplication des centres de pensée et à l'éclatement, depuis la fin du XIXe siècle, des régimes de rationalité ? Quelle est la spécification de l'espace philosophique au sein de l'intelligence de la foi ? Alors que se multiplient, à l'aube du IIIe millénaire, des tentatives de bilan général, les auteurs ont visé les choses mêmes, au plan où elles s'attestent, et confronté les figures d'une raison en acte incessant de métamorphose, à la longue et bien vivante tradition philosophique du christianisme.
Editions de la revue Conférence, 2013, gr. in-8°, 317 pp, traduit de l'italien par Christophe Carraud, préface par Aniello Montano, reliure toile éditeur, jaquette, une petite soulignure au feutre sur une page, bon état
"La Maison éditrice a recueilli dans ce volume les cinq essais qui ont mis en leur temps sur le devant de la scène la figure pudique de Giuseppe Capograssi. Ce sont les six essais [sic] inspirés par l’incertitude que déterminent les immenses tragédies vécues après la Première Guerre et culminant dans l’authentique catastrophe de la Seconde. Incertitude de tout, objectivement, donc incertitude sur l’individu qui devient subjectivement incertitude de l’individu. Un des essais les plus fameux prend précisément le titre d’Incertitudes sur l’individu, et il a été opportunément choisi comme titre de l’ensemble du recueil." (Salvatore Satta) — "On peut dire que le philosophe est celui qui a le devoir solitaire et singulier de recueillir les leçons secrètes de la vie et de les exprimer ; comprendre quelqu'un, c'est toujours chercher à en ressentir et à en éprouver à nouveau les exigences, les questions, les crises : en somme, ce pour quoi il a souffert" : telle est, chez Giuseppe Capograssi, la méthode de l'attention au monde concret des individus. “Incertitudes sur l'individu” montre cette méthode à l'oeuvre, et fait mesurer la puissance de pénétration de la pensée du philosophe dans tout l'entrelacs économique, social, juridique, métaphysique, de la réalité contemporaine. Y sont repris cinq textes décisifs de l'auteur, écrits dans la dernière partie de sa vie, de 1940 à 1955. Chacun d'eux poursuit la description de la dimension d'expérience des ordres divers par lesquels la vie se saisit elle-même (activité pratique, droit, économie, jugement...) : et cependant ces ordres en réalité n'en forment qu'un, par quoi l'individu se saisit lui-même comme vivant dans la vie concrète et poursuivant des valeurs que cette vie concrète riche d'incarner et risque de trahir. C'est à la description et à l'interprétation des modalités contemporaines de l'exister de l'individu – modalités complexes, ambiguës et souvent inquiétantes, du travail au divertissement, de la guerre à la frivolité, de l'Etat à l'action économique, de la monnaie au contrat, des fins privées à l'Histoire... – que sont donc invités les lecteurs de ces “Incertitudes”.
Gallimard, 1946, in-8°, 296 pp, 32 pl. de photos hors texte, 5 figures, une carte, biblio (Coll. Géographie humaine)
Toulouse, Privat, 1999, gr. in-8°, 320 pp, 20 cartes, index, broché, couv. illustrée, bon état (Bibliothèque historique Privat)
Une histoire où le continent européen est davantage défini par ses traits constitutifs culturels forgés au cours des siècles que par ses caractères géographiques. — Cet ouvrage envisage la période du XVe siècle à nos jours : les mutations culturelles de la Renaissance, les révolutions européennes – des savoirs, des pouvoirs, des droits de l'Homme – durant cette longue guerre civile que fut la parenthèse 1913-1989. — Cette Histoire est celle d'un "être historique", d'une "réalité indivise"; l'histoire d'une vaste communauté de civilisation qui tire son nom du continent dans lequel elle fut approximativement inscrite, non par la quête d'un espace identitaire mais par la force d'un destin hostile. Elle est l'histoire des hommes qui ont participé à la même aventure, connu les mêmes conditions, partagé les mêmes situations, vécu les mêmes événements ; aventure, conditions, situations, événements qui constituent leur passé commun, unique objet de cette Histoire. Cette Histoire est donc celle de l'Europe singulière – de l'Europe au singulier d'une part, de l'Europe dans sa singularité d'autre part. Dégager le tronc commun des mémoires européennes, l'élaguer des mémoires nationales qui lui font ombrage tant leurs branches ont poussé dru, tel est l'objet que poursuit cette Histoire européenne de l'Europe, telle est la raison qui a guidé le choix de son titre insistant. Car le temps est venu de dire aux Européens pourquoi ils sont Européens. Ils le sont certes pour des raisons géographiques – ils sont nés, ils vivent entre Oural et Atlantique – ou politiques – ils sont citoyens d'un Etat membre de l'Union européenne. Raisons existentielles ; raisons révocables. Ils le sont aussi, essentiellement, – mais le savent-ils ? – par décret de l'Histoire.
CARDINAL (Linda) et Pascale DEVETTE (dir.).
Reference : 119903
(2015)
ISBN : 9781927465240
Ottawa (Canada), Invenire, 2015, in-8°, 224 pp, broché, bon état (Coll. Métagouvernance collaborative)
Cet ouvrage se veut une introduction à l'oeuvre de Chantal Mouffe et en particulier à sa compréhension du politique. Les notions clés de démocratie radicale et de politique agonistique sont examinées. On éclaire l'oeuvre de Mouffe par le contraste avec celles de Camus, Lefort, Rawls et Dewey. — Chantal Mouffe est une figure majeure dans l’analyse du politique contemporain. Elle rejette les simplismes de l’économisme et de la lutte des classes comme seuls mécanismes déterminants dans les antagonismes au cœur de la société, et défend la nécessité d’une démocratie radicale et du pluralisme agonistique afin de permettre à tous les antagonismes de s’exprimer au sein de l’espace politique. L’objectif principal de cet ouvrage est d’ouvrir un espace de dialogue sur son œuvre, et en particulier sur sa compréhension du politique. Les concepts de démocratie radicale et de politique agonistique sont des notions clés dans ses analyses. On voudra comprendre comment ils peuvent nous aider à repenser le politique dans la conjoncture actuelle. La première partie de l’ouvrage porte sur les grands thèmes traités dans les travaux de Mouffe, et sur certains de ses concepts clés et de ses postulats de base. La seconde partie utilise un procédé cher à Chantal Mouffe – la mise en dialogue avec divers auteurs – pour éclairer son œuvre par le contraste avec Albert Camus, Claude Lefort, John Rawls, et John Dewey, parmi d’autres. La troisième partie s’inspire de la pensée de Chantal Mouffe pour examiner l’expérience de certains pays d’Amérique latine qui ont criminalisé l’action collective au nom de la démocratie. Pour conclure, un texte de Chantal Mouffe illustre ses préoccupations actuelles, et dévoile le rôle central de la notion d’agonisme pour l’avènement d’une pratique pleinement démocratique du politique. Une riche introduction à la pensée de Chantal Mouffe.
Domat, 1953, in-8°, 402 pp, 4 cartes et 8 tableaux hors texte, index, broché, sans la jaquette, bon état
"Ce livre est un essai de présentation, sous une forme simplifiée et synthétique, des données fondamentales de l'Europe d'aujourd'hui." (Avant-propos) — "Une expérience consommée des questions financières et une pratique confirmée des problèmes économiques européens désignaient particulièrement G. de Carmoy pour la rédaction d'un tel ouvrage. On ne s'étonnera pas que la question politique soit moins sûre que certains développements économiques et que, notamment, telle appréciation sur la lucidité des Américains ou sur la possibilité de « soumettre enfin aux Etats-Unis un plan coordonné d'expansion » soit plus contestable que les données statistiques sur le relèvement économique de l'Allemagne. Un chapitre est consacré à la population et à l'emploi. Le problème est correctement posé, et la solution antimalthusienne, ou du moins progressiste, expressément évoquée. Il eût été utile, sans doute, de mettre plus en évidence l'existence de problèmes économiques – et même démographiques – eurafricains. Ils s'imposent en effet avec une intensité suffisante par la force des contrastes, indépendamment de tout préjugé de caractère politique. Lecture facile et instructive." (Alfred Sauvy, Population, 1953)
Perrin, 1985, gr. in-8°, 330 pp, introduction de Pierre Chaunu, biblio, index, broché, couv. illustrée, dos passé, bon état (Coll. Histoire et décadence), envoi a.s.
"François Caron s'attache à retrouver les continuités qui ont tissé la trame du libéralisme. Sa quête le conduit à reconsidérer les thèmes originels nécessaires à la réussite de la Révolution industrielle. Egratignant Sismondi et Marx dans ce que leur pensée a de rétrograde, l'auteur donne en revanche une place prééminente à J.-B. Say, quelque peu délaissé de nos jours. L'essentiel du livre réside dans l'analyse des liens entre le changement technique et la recherche scientifique ; dans l'évolution des schémas de production et de consommation. S'appuyant sur des exemples qu'il connaît bien (sidérurgie, chimie, machines à vapeur) mais tout particulièrement sur l'électricité, F. Caron montre les interactions complexes entre science et technologie. Il met en exergue le rôle capital des besoins du marché, de la pression de la demande dans l'activité innovatrice. Il tente aussi de dresser le tableau de l'économie de l'innovation en distinguant produits et procédés. Il dénonce le rôle stérilisant des grandes entreprise vis-à-vis des possibilités créatrices ainsi que les dangers de certaines politiques d'intervention trop préoccupées des seules garanties sociales. Après avoir déroulé les différents modèles techniques qui se sont succédé en presque deux siècles, le livre se termine par l'analyse des atouts qui ont permis l'essor des Trente Glorieuses. S'il s'agit d'un livre en réaction contre le « catastrophisme » anticapitaliste ambiant, il faut aussi y voir une synthèse des connaissances sur les sources de la croissance des sociétés industrielles." (Alain Beltran, Vingtième Siècle. Revue d'histoire, 1985)
S.l.n.n., 1991, in-4°, 410-(6) pp, texte dactylographié, biblio, broché, bon état. Thèse de doctorat en psychologie sous la direction de Max Pagès soutenue en 1991 à l'Université de Université Paris Diderot - Paris VII
Cette thèse a pour objet d'étudier la manière dont les individus, issus de couches défavorisées en France et au Brésil, expriment leur souffrance psychique et se mettent à occuper une place d'assistés sociaux. Trois aspects sont examinés : 1) les individus ont tendance à utiliser leur corps pour exprimer leur subjectivité et ressentent de la difficulté à formuler des projets novateurs. Les récits recueillis mettent en lumière cette situation. 2) l'espace d'habitation apparaît comme un condensé des différents manques qu'endurent les individus. Il rend visible leur exclusion sociale. 3) les institutions de protection sociale, en admettant les sujets comme des malades devant être pris en charge, les reconnaissent comme des "citoyens diminués". Pour les personnes assistées, la souffrance est le seul capital dont elles disposent. La souffrance, devenue maladie, se transforme, pour elles, en projet de vie. La maladie permet aux sujets de combler les failles identificatoires pouvant exister entre leur position de fils, dans le système généalogique, et leur position de citoyen, dans le système social.
Editions de la Pensée Moderne, 1963, in-8° carré, 252 pp, illustrations à pleine page de G. de Sainte-Croix, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
Réponse féminine et humoristique au “Dictionnaire des Femmes”, par Anne-Marie Carrière (1925-2006), actrice, humoriste et chansonnière française. L'ouvrage a obtenu le Grand Prix de l'Humour en 1963.
Larousse/Paris-Match, 1974, in-4°, 400 pp, nombreuses illustrations et cartes en noir et en couleurs, biblio, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée (lég. défraîchie), bon état
Alexandre le Grand, Jean du Plan Carpin, Guillaume de Rubroek, Marco Polo, Ibn Battuta, Hernan Cortés, Francisco Pizarro, les Jésuites, Cartier, Champlain, Marquette, La Salle, Lewis et Clark, Alexandre de Humboldt, Livingstone et Stanley, la conquête des Pôles
Tchou, 1977, gr. in-8°, 288 pp, 24 pl. de gravures et photos en noir et en couleurs, broché, couv. illustrée, qqs rares soulignures crayon, bon état
Qui sont ces tatoués qui nous ont tous un jour intrigués par la vision furtive d'une arabesque bleuâtre sur l'avant-bras ou ailleurs ? Des marins, des bourlingueurs, des criminels ? Cela est vrai et faux. Saviez-vous que Winston Churchill, le comte Tolstoï et Charles Trenet figurent au rang de cette communauté étrange ? Saviez-vous que le tatouage est aujourd'hui très en vogue parmi les professions libérales, et que nombreux sont les avocats et médecins tatoués ? De telles révélations, W, Caruchet nous en livre tout au long de cet étonnant ouvrage consacré aux tatoués. Après une longue enquête – entamée il y a plus de huit ans – tout a la fois historique, ethnologique et journalistique, l'auteur nous initie avec rigueur et bonheur aux mille et un secrets du tatouage. A une époque comme la nôtre, en mal de communication, le tatouage loin de disparaître dans les bas-fonds ne pouvait que fleurir et s'épanouir. Les tatoueurs ne sont pas au chômage ! L'auteur nous précise d'ailleurs les différentes techniques de tatouages... et de détatouages que l'on pratique aujourd'hui. Car le tatouage, s'il demeura longtemps un signe de servitude, d'identification ou une marque judiciaire, est progressivement devenu un véritable langage. Amour, haine, espoir, foi s'y expriment avec force sur ce livre vivant qu'est le corps. Ainsi approchons-nous tour a tour Desfourneaux, le bourreau tatoué, les Maori de Nouvelle Zélande, les bataillons d'Afrique, beaucoup d'anonymes et certains grands de ce monde, qui tous forment sans le savoir une vaste confrérie, celle qui munit le mystérieux langage du tatouage.
France-Empire, 1973, gr. in-8°, 378 pp, 16 pl. de gravures et photos hors texte, annexes, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
"De Bakounine à la Bande à Baader flanquée de ses égéries armées, voici que surgissent campés d'un trait de plume aussi explosif que les manifestes et les bombes des légionnaires de la constestation sociale : le prince noir Kropotkine et la vierge rouge Louise Michel, le doctrinaire Max Stirner, un Kafka au vitriol, et Ravachol, un fantômas mâtiné de Frankenstein, les nihilistes russes et leurs bombes vivantes, les redoutables adeptes de la F.A.I, Bonnot et ses complices, Sacco et Vanzetti ainsi que les groupes estudiantins de Mai 68."
Vrin, 2007, in-8°, 48 pp, broché, bon état (Bulletin de la Société française de philosophie, 100e année, n° 4, octobre-décembre 2006)
Exposé de Barbara Cassin, suivi d'une discussion avec Francis Jacques, Catherine Kintzler, Sandra Laugier, François Marty, Simone Rinzler et Isabelle Thomas-Fogiel.
Aubier, Editions Montaigne, 1976, gr. in-8°, 503 pp, broché, bon état
Perrin, 1966, in-8°, 427 pp, nombreuses gravures et photos, reliure skivertex éditeur
P., Club des Amis du Livre (CAL), s.d. (1962), fort in-8° carré, (700) pp, nombreuses gravures dans le texte et à pleine page, texte sur 2 colonnes, reliure pleine toile décorée de l'éditeur (maquette originale de Jean Garcia), rhodoïd, ex. numéroté, bon état (Coll. Le Meilleur Livre de Luxe). Très jolie réalisation
Perrin, 1969, in-8°, 398 pp, nombreuses illustrations, reliure skivertex vert de l'éditeur, titres dorés au 1er plat et au dos, bon état
Charlemagne, ; Charles VI, le roi fou ; La fin de Byzance ; La traite des Noirs ; Le Vert-galant et ses amours ; Nicolas Fouquet ; Tourville ; Cagliostro ; Beaumarchais ; Les vrais compagnons de Jéhu ; Lady Hamilton ; Chateaubriand ; Joinville le marin ; L'exécution de Maximilien ; Gambetta amoureux ; etc.
Laffont, 1979 gr. in-8°, 635 pp, 27 cartes, 8 tableaux généalogiques, reliure simili-cuir carmin de l'éditeur, titres noirs et dorés au 1er plat et au dos, double encadrement doré au 1er plat, bon état
Perrin, 1982, in-8°, 505 pp, 16 pl. de gravures hors texte, biblio, reliure skivertex éditeur, demi-jaquette illustrée, rhodoïd, bon état
Minorité de Saint-Louis, folie de Charles VI, captivités de Jean le Bon et de François 1er, Saint-Barthélémy, krach financier de Law, répression de 1848, défaite de 1870 : à l'exception des premières régences des Capétiens et des deux plus récentes, celles exercées par le président Poher, les régences ont toujours été marquées par des événements houleux. L'histoire des régences – le duc de Castries est le premier historien à consacrer un ouvrage complet à ce sujet – est en quelque sorte le récit des temps troublés de l'histoire de France
P., Editions de la Réunion des musées nationaux, 1984, gr. in-8° carré, 421 pp, plus de 600 illustrations en noir et en couleurs dans le texte et à pleine page, broché, couv. illustrée, bon état
La Menil Collection est un musée d'art moderne et contemporain situé à Houston, au Texas, dans le sud des États-Unis, et qui rassemble les œuvres de la collection de Jean et Dominique de Ménil. Les collections ont fait l'objet d'une grande exposition aux galeries nationales du Grand Palais, en 1984, qui regroupait plus de 600 œuvres, un ensemble qui va du Paléolithique à nos jours dont cet ouvrage est le catalogue.
New York, Tudor Publishing, 1947, in-8°, xvii-802 pp, 8 pl. hors texte, index, reliure pleine toile noire de l'éditeur, édition originale, bon état
Payot, 1931, in-8°, 448 pp, 88 figures dans le texte, biblio, index, broché, bon état (Coll. Bibliothèque scientifique)
"... Maurice Caullery était également un historien des Sciences averti, à qui l'on doit d'importantes et très sérieuses études sur divers aspects de l'Histoire de la Biologie. (...) Dans son important volume sur le Problème de l'Évolution (1931), est donné un bon historique des principales théories évolutionnistes." (J. Théodoridès, Nécrologie de Maurice Caullery (1868-1958), Revue d'histoire des sciences et de leurs applications, 1959)
Hachette, 1965, pt in-8°, 255 pp, 97 illustrations en noir et en couleurs, biblio, index, broché, bon état (Coll. L'Univers des connaissances)
Cet ouvrage étudie les parallélismes et les divergences qui ont marqué l'histoire des mouvements politiques de gauche en Europe depuis la Révolution française. Qu'est ce que la "gauche" et comment se distingue-t-elle de la "droite" dans un contexte politique quelconque ? L'auteur nous propose d'abord une définition originale, en fonction de la souveraineté populaire. Il décrit la montée de la gauche dans les différents pays d’Europe, examine les dilemmes face auxquels elle s'est souvent trouvées : révolution ou réforme ? démocratie ou dictature ? capitalisme ou socialisme ? et il présente une "anatomie de la révolution", utilisant les événements des grandes années révolutionnaires depuis 1789 pour comparer les facteurs qui déterminent le cours des révolutions et leur succès ou leur échec final. Il considère ensuite les résultats obtenus par les mouvements de gauche dans l'exercice du pouvoir et leur embarras devant des questions comme le nationalisme et l'internationalisme. Enfin il se tourne vers la sociologie de la gauche et tente de répondre à ces questions : quelles classes sociales ont généralement soutenu la gauche, où, quand et pourquoi ? "La Gauche en Europe" est un ouvrage concis sur un immense sujet. Il dénonce quelques mythes familiers et propose des conclusions sur de nombreuses questions qui restent habituellement sans réponse ou qu'on ne se pose même pas,sur un point essentiel de l'histoire contemporaine. (4e de couverture) — "Une interprétation parfois contestable mais toujours stimulante et brillante de l'histoire de la gauche en Europe. Les premiers chapitres sont consacrés à une discussion de la notion même de gauche ; après en avoir rejeté plusieurs définitions, D. C. s'arrête à la notion de souveraineté populaire comme critère central. Les derniers chapitres sont consacrés à une brève sociologie de la gauche dans son rapport avec les différentes classes sociales." (Revue française de science politique, 1971)