Paris, Toulouse Hachette, Privat 1866 Un volume in-12 broché, couverture verte, 297 pages, complet de ses 12 cartes. Bon état.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Zaltbommel, Europese Bibliotheek - Biblioth que Europ enne, 1972 Geillustreerde kartonomslag,76 pagina's, 15 x 20 cm.
Ottmann.Strassburg..XIXème.13 cartes entoilées en couleurs.Rempliées.TBE.Cartes dans un étui en forme de livre de format in-4,en demi-chagrin;caractères dorés.
1890 carte toilée 61 x 112 cms, texte entourant la carte, en couleurs. P. Baudry 1890,
Phone number : 33 (0)6 77 77 12 33
[Paris], Dépôt Général de la Marine, 1800. 415 x 530 mm.
Grand et beau plan figurant le port et la ville de La Havane, levé en 1798 par Don José del Río de La Cosa, capitaine de frégate de la Marine royale espagnole, gravé par E. Collin, et publié par le Dépôt Général de la Marine en 1800. Il est accompagné de 38 légendes numérotées, permettant de repérer la cathédrale, la nouvelle maison du gouverneur, la prison, les établissements religieux, les portes, les églises, ou encore les batteries. À l'entrée du port, on remarque les fortifications chargées de protéger la ville : le fort El Morro, la forteresse de la Cabaña, et la forteresse San Salvador de la Punta. Dans la ville sont nommés le Champ de Mars et l'arsenal. Autour de la ville, on peut voir les villages de Cojímar, Marimelena, Regla, Guanabacoa, El Horcón, ainsi que les magasins à poudre et les châteaux d'Atarés et del Principe. Le long des côtes figurent les mesures des profondeurs marines. L'orientation est inversée, le nord étant placé au bas du plan, indiqué par une fleur de lys. Bel exemplaire. Petite tache claire au niveau du titre. Catalogue des cartes, plans et vues de côtes qui composent l'hydrographie française, 1837, Tome 1, p. 32, 370 ; Phillips, p. 336, 69 ; Gazette nationale ou Le Moniteur universel, 1802, p. 774.
Duculot In-12°, 171 pages, bel ouvrage orné de 77 clichés à pleine page au format carte postale en noir et en couleurs.
Bon Etat Franco de port pour la France jusqu'à 30 euros. MONDIAL RELAY privilégié et disponible pour les pays suivants : Portugal, Pologne, Espagne, Allemagne, Autriche, Pays Bas, Luxembourg, Italie, Belgique. Paiement immédiat par Paypal : https://paypal.me/Artlink?locale.x=fr_FR . Chèques et virement acceptés. Nous accompagne toutes les étapes de votre achat. Achat et déplacement France Suisse.
1868 1 160 cm x 120cms Carte Entoilée indiquant les chemins de fer, les principales routes et les subdivisions des états, dressée d'après les documents officiels les plus récents.Géographie gravée par Blondeau et écritures par Rousset.
Bel Ouvrage Très Bon Etat Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg
1866. En 32 sections montées sur toile et pliées, formant une carte de 0,80 x 1,14 m ; étiquette de l'éditeur Lanée au dos de la carte ; sous étui de papier marbré.
Grand plan de Paris en 1866, dressé par Sagansan, géographe de l'Empereur et de l'administration des Postes. La ville est divisée en 20 arrondissements, lesquels furent créés en 1859. Autour de la ville figure l'enceinte de Thiers construite entre 1841 et 1844. Les voies projetées sont aquarellées en jaune, les lignes de chemins de fer en orange. Les bâtiments publics sont en noir. Au bas du plan figure un tableau des arrondissements et de leurs quartiers. Bel exemplaire aquarellé à l'époque. Étui usagé. Vallée, 2853.
Paris, chez l'auteur, 1860. En 36 sections montées sur toile et pliées, formant un plan de 0,79 x 1,14 m ; monté dans sa reliure éditeur en percaline noire (20,5 x 13 cm), contenant une nomenclature des rues de 104 pages ; titre en lettres dorées sur le premier plat.
Grand et beau plan de Paris en 1860, dressé par Sagansan, géographe de l'Empereur Napoléon III et de l'administration des Postes. Publié en 1860, c'est l'un des tout premiers plans montrant la nouvelle division de Paris en 20 arrondissements, avec 4 quartiers par arrondissement. Ces derniers furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre le mur des Fermiers Généraux et les fortifications de l'enceinte de Thiers, que l'on voit ici encerclant Paris, furent annexés à Paris. L'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, fut construite entre 1841 et 1844, à la demande de Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable. Constituée de 94 bastions, elle englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes : Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, Passy, etc. C'est aussi l'un des tout premiers plans figurant le Paris moderne, avec les travaux d'agrandissement du baron Haussmann qui débutèrent en 1853. Le plan montre les percées récentes, la plus importante d'entre elles étant le boulevard Sébastopol, inauguré en 1858, et dont la portion sur la rive gauche sera renommée boulevard Saint-Michel en 1867. Les voies en cours d'exécution sont marquées par un trait rouge, les voies projetées sont aquarellées en marron, les lignes de chemins de fer par un trait orange. Les bâtiments publics sont en noir. Le plan montre également le Bois de Boulogne, assez détaillé. En 1852, la propriété du bois de Boulogne fut cédée par Napoléon III à la ville de Paris, qui fut alors chargée d'aménager l'espace vert en quatre ans. Les travaux débutèrent l'année suivante, dirigés par Haussmann, qui créa pour son adjoint Jean-Charles Alphand, le Service des Promenades et Plantations de Paris. Rare exemplaire dans sa reliure éditeur, et accompagné d'un index des rues de 104 pages. Bel exemplaire aquarellé à l'époque. Légère brunissure au niveau du titre. Étui usagé. Vallée, 2850 (exemplaire sans la nomenclature des rues).
A Paris, Les Ed. nationales, 1934. 2 volumes in-4 de XV-390-[6] + 412-[12] pages, reliure d’éditeur percailne rouge, dos lisses ornés, plats ornés d’un médaillon doré en leur centre et encadré de 3 filets dorés, couvertures conservées.
Illustré de très nombreuses, gravures, dessins, cartes et plans.
Arras, Barbier, 1741. En quatre feuilles jointes formant une carte de 97,3 x 119,6 cm.
Splendide et très rare carte murale de l’Artois, dressée par le père Constantin de Saint-Alexis, Carme Déchaussé et professeur de théologie, et publiée par Barbier à Arras en 1741. Cette belle carte à grande échelle, gravée par Nicolas Bailleul, est la première carte de ce format qui soit entièrement consacrée à l'Artois. Elle est dédiée à Louis de Gand de Mérode de Montmorency, prince d’Isenghien, Maréchal de France, lieutenant général de la province d'Artois et gouverneur de la ville et citadelle d'Arras. Elle est ornée d'un grand cartouche de titre décoré des armoiries du dédicataire, d'attributs militaires, et des déesses Athéna et Cérès, déesses de la Sagesse et de la fertilité. En haut à gauche figurent un cartouche pour l'échelle, et une belle rose des vents. Les villes principales sont indiquées par une citadelle aquarellée en rouge. Selon le biographe Ernest Leroux, la carte de Saint-Alexis marqua un progrès considérable dans la cartographie de la France, et Cassini s'en inspira pour sa grande carte de la France. Aucune des petites cartes particulières des bailliages d'Artois de Desnos, pas plus que celles des diocèses d'Arras et de Saint-Omer, ne put rivaliser avec la carte de Saint-Alexis, qui, jusqu'à la confection de la carte de l'État-Major, en 1841, figura dans la sacoche des officiers français comme dans les bureaux des administrations. Bel exemplaire finement aquarellé. Petites déchirures restaurées. Leroux, Bulletin de géographie historique et descriptive, 1905, p. 48.
Ntel, société neuchâteloise de géographie 1943. Bel ex. broché, couv. D'orig. Gd in-8, 152 p. pour cette étude avec introductions, illustrations et sources.
Par son altitude, la Vallée de Joux occupe une place à part entre toutes les vallées jurassiennes. .. Au XVIIIe siècle, la Vallée sort de son isolement ...
Paris, Chez F.G. Levrault, 1834, in-12°, 216 p. + 3 cartes dépliantes, envois ms à la première page + stempel 'Hospice du Simplon', en page de titre. cartonnage originale illustrée. Bel exemplaire.
Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Paris, Saintin, 1821. 535 x 241 mm.
Rare carte de l'Italie, publiée lors des mouvements insurrectionnels de 1820-1821. L'Italie est divisée en six grandes régions : la Savoie et le Piémont, le royaume Lombard-Vénitien (dépendant de l'empire d'Autriche), le Duché de Parme, le Duché de Toscane, l'État de l'Église, et le royaume de Naples et Sicile. La carte est ornée en haut à droite de trois drapeaux arborant les armoiries du Piémont, de Naples et de l'Autriche. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1821, p. 164, n°131 ; Journal des débats politiques et littéraires, 16 mars 1821, 1821, p. 4.
[circa 1710]. En 2 feuilles jointes de 510 x 715 mm.
Beau plan manuscrit, encre noire et aquarelle, de la ville et des environs immédiats de Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais, et portant le tracé de l'Aa, le détail du plan de la ville, celui de l'enceinte fortifiée, des bastions avancés, ainsi que des canaux, marais et zones inondables tout autour de la ville. Saint-Omer, devenue française en 1678 après le traité de Nimègue, entra dans le système de fortification, dit du «pré carré», qui protégeait la frontière avec les Pays-Bas espagnols ; les fortifications de la ville furent remaniées par Vauban qui y superposa son propre système de défense avec des bastions avancés et des plates-formes pour l'artillerie. Marges écornées avec de petits manques sans importance sauf dans le cartouche de titre, petites mouillures, papier uniformément jauni.
[circa 1750]. En 2 feuilles jointes de 435 x 600 mm, sur papier fin huilé.
Beau plan manuscrit, encre noire et aquarelle, de la ville et environs immédiats de Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais, et portant le tracé de l'Aa, le détail du plan de la ville, celui de l'enceinte fortifiée, des bastions avancés, ainsi que des canaux, marais et zones inondables tout autour de la ville. Ce plan est très proche du précédent même si l'orientation est différente et l'échelle légèrement plus petite. Il est néanmoins postérieur au précédent car on y remarque un bastion avancé et quelques renforcements des défenses à l'ouest de la ville, et surtout la présence d'un fort bastionné sur la route d'Aire-sur-la-Lys, au sud-est de la ville, qui ne se trouve pas dans l'autre plan. Le plan est orienté, l'échelle est en toises. Traces de pliures anciennement doublées, papier fragilisé avec de petits manques dans les angles et au bas du plan.
(København, 1767). Kobberstukket prospekt af Sakskøbing. (17,8x25,5 cm.). Stukket af J. Haas efter tegning af I. Bang. Frisk eksemplar på skrivepapir.
Fra Erik Pontoppidans ""Den Danske Atlas"" 1763-81.
Belleville, A. Appert, [1855]. 580 x 824 mm.
Très rare et spectaculaire vue à vol d'oiseau de Paris sous le Second Empire, dessinée par Friedrich Salathé, gravée à l'aquatinte et publiée par Achille Appert à Belleville en 1855. La vue est prise depuis le Jardin des Plantes et le pont d'Austerlitz en regardant vers l'ouest, et offre une vue générale de la quasi-totalité des quartiers de Paris. Au premier plan, le pont d'Austerlitz, reconstruit en pierre en 1855 ; sur la rive gauche, le Jardin des Plantes où déambulent des promeneurs ; puis l'hôpital de la Pitié, situé à cette époque rue du Jardin du Roi, devenue la rue Geoffroy Saint-Hilaire en 1868, et transféré en 1911 sur le site de l'hôpital de la Salpêtrière, boulevard de l'Hôpital ; la Halle aux Vins ; l'Observatoire et sa coupole principale, dite coupole Arago, terminée en 1847 ; le Val de Grâce ; l'École normale supérieure, rue d'Ulm ; le marché des Carmes, ou marché couvert de la place Maubert, inauguré en 1819, dont l'emplacement est occupé aujourd'hui par le commissariat de police du 5e arrondissement ; l'église Saint-Nicolas du Chardonnet ; le Panthéon ; l'église Saint-Étienne-du-Mont ; le palais du Luxembourg ; les églises Saint-Sulpice et Saint-Germain-des-Prés ; l'Institut de France ; la basilique Sainte-Clotilde ; les Invalides ; et l'École Militaire ; sur la rive droite, au premier plan, la Colonne de Juillet sur la place de la Bastille, élevée entre 1830 et 1845 ; l'Entrepôt ou Grenier d'abondance, bâtiment conçu pour l'approvisionnement des boulangers en céréales, incendié pendant la Commune de Paris ; les églises Saint-Paul et Saint-Gervais ; l'Hôtel de Ville ; la Tour Saint-Jacques ; les églises Saint-Merry et Saint-Eustache ; la Halle au blé ; le Louvre ; la Bourse ; la Colonne Vendôme ; la Madeleine ; les églises Notre-Dame-de-Lorette et Saint-Vincent-de-Paul ; le Palais de l'Industrie, construit pour l'Exposition Universelle de 1855, soit l'année de publication de cette estampe, et détruit en 1896 pour laisser place aux Petit et Grand Palais ; la gare Saint-Lazare, édifiée en 1837 sous le nom de gare du chemin de fer de Rouen ; la gare du Nord, ouverte en 1846 sous le nom de gare du chemin de fer du Nord ; et enfin la gare de l'Est, ouverte en 1849 sous le nom d'Embarcadère de Strasbourg. Le panorama s'étend au loin jusqu'à l'Arc de Triomphe, et jusqu'aux collines du Mont-Valérien, de Montmartre et de Belleville. Sur la Seine, on peut voir plusieurs ponts aujourd'hui disparus : entre les îles de la Cité et Saint-Louis, le pont Louis Philippe, pont suspendu, inauguré en 1834 et nommé pont de la Réforme jusqu'en 1852, détruit et remplacé entre 1860 et 1862 par le pont actuel, reliant à présent l'île Saint-Louis à la rive droite ; et le pont Saint-Louis, pont suspendu construit en 1842, remplacé par un pont métallique en 1861, puis reconstruit en 1969. L'île de la Cité et la place de l'Hôtel de Ville sont également reliées par une passerelle ; ouverte aux piétons en 1828, cette passerelle ou pont suspendu, nommée pont de la Grève, puis pont d'Arcole en 1830, sera démolie et remplacée en 1855 par le pont de fer conçu par l'architecte Alphonse Oudry, tel que nous le connaissons aujourd'hui. Entre le pont au Double et le Petit pont, on peut voir le pont de l'Hôtel-Dieu et les bâtiments de l'Hôtel-Dieu qui seront détruits lors de la reconstruction de l'hôpital entre 1868 et 1878. Enfin, à la pointe orientale de l'île Saint-Louis, on peut voir trois passerelles aujourd'hui disparues, dont deux ouvertes aux piétons en 1836 et remplacées par le pont de Sully en 1876 : côté rive gauche, la passerelle de Constantine, qui reliait l'île au quai Saint-Bernard ; et côté rive droite, la passerelle de Damiette, qui reliait l'île à la rive droite. Entre les deux, la troisième passerelle, dite de l'Estacade ou de Béthune ; cette digue en bois, conçue vers 1820 afin de protéger la ville des crus et des glaces de la Seine, reliait le quai de Béthune de l'île Saint-Louis à l'île Louviers, avant que celle-ci ne soit définitivement rattachée à la berge en 1842, puis aménagée et réunie au quartier de l'Arsenal ; la passerelle de l'Estacade est ici à présent reliée au quai Henri IV ; incendiée en 1833 et 1843, puis emportée en 1910 par la grande crue, elle fut reconstruite en dur en 1913 avant d'être définitivement démolie en 1932. Cette vue illustre également les débuts des Grands Travaux de Paris sous le Second Empire, conduits de 1852 à 1870 par Napoléon III et le baron Haussmann, préfet du département de la Seine. Ainsi, on peut voir sur la rive droite une percée en cours, et l'une des plus importantes de ces travaux, le boulevard Sébastopol, qui sera inauguré trois ans plus tard, en 1858, et dont la portion sur la rive gauche sera renommée boulevard Saint-Michel en 1867. Peintre, aquarelliste, graveur et dessinateur, né à Bâle en 1793, Frédéric ou Friedrich Salathé fut l'élève de Peter et Samuel Birmann à Bâle. En 1815, il se rend à Rome en compagnie de Samuel Birmann, et reste en Italie jusqu'en 1820, date de son retour à Bâle. En 1823, il s'installe à Paris et se fait un nom comme graveur au lavis. Il a réalisé de nombreuses gravures au lavis et des eaux-fortes de vues et de panoramas d'après ses propres dessins, notamment : Bataille de Navarin ; Voyage dans la vallée de Chamonix (40 pièces) ; Vues de Bordeaux, Marseille, Toulon et Cherbourg ; Panorama, pris de la coupole du Palais de l'Industrie (deux feuilles, vers 1835) ; Vues de Venise, Turin, Bade et Leipzig ; Château et musée de Berlin ; Rio de Janeiro ; ainsi que Lyon d'après Brascassat (deux pièces) ; les chutes du Niagara d'après Seleron (deux grandes pièces). Sur le même format que notre vue de Paris, il a réalisé une vue de Naples ayant pour titre Aspect Général de Naples. Très rare. Nous n'avons trouvé que deux exemplaires dans les collections publiques (BnF et British Museum). Très bon exemplaire. Quelques piqûres au niveau du ciel et dans les marges, mouillure claire dans le coin inférieur gauche. Bibliographie de la France ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, Septembre 1855, p. 630, 1421 ; Le Courrier du Bas-Rhin, Niederrheinischer Kurier, Novembre 1855, p. 4 ; Denise, Bibliographie historique & iconographique du Jardin des Plantes, 1903, p. 165, 348 ; Bénézit, Tome troisième, L-Z, p. 45.
1812. 560 x 825 mm.
Carte manuscrite, encre brune et rehauts d'aquarelle, du village de La Chièse et ses environs immédiats, dans le département de l'Ardèche, portant le détail d'une partie des parcelles appartenant à M. Jala. Y sont figurés les villages de La Chièse et des Sauteaux, les chemins et les ruisseaux. La carte est orientée, l'échelle est en mètres, au 1/2500e. Le titre est inscrit dans un médaillon entouré de la mention «Règne de Napoléon Empereur des François 1812». Nombreuses traces de pliures et de frottements, marges écornées, taches.
Venezia, Giambatista Albrizzi, 1740. In-8 de [12]-502-[2]p. demi-basane brune, dos lisse, filets et fleurons dorés, pièces de titre et tomaison noir et orange (un mors fendu tristement recollé, coins tapés, rousseurs, annotations).
7 planches dépliantes (avec un manque sur une) sans les cartes.
London, John Boydell, March the 2.d 1772. 335 x 563 mm.
Belle vue dessinée par Thomas Sandby et gravée par Paul Sandby, montrant le Windsor Great Park ou Grand Parc de Windsor, au bord du lac de Virginia Water, nommé Virginia River, près de la résidence du Manor Lodge. Des hommes, des femmes et des enfants, réunis sous de grands chênes, attendent de saluer le prince et la princesse de Galles, arrivés dans une calèche, et accueillis par le duc de Cumberland. Sur le lac, on aperçoit un voilier, des petites embarcations et un yacht mandarin appartenant au duc, qui était également appelé "la jonque chinoise". Après avoir dirigé la répression de la rébellion jacobite de 1745–1776, William Augustus, duc de Cumberland, fut nommé Ranger du Grand Parc de Windsor. Il entreprit un programme d'aménagement paysager dans le parc, en créant notamment le grand lac de Virginia Water. Il chargea Thomas Sandby, qui avait travaillé pour lui comme arpenteur en Écosse, de concevoir un ensemble d'estampes du domaine rénové. Les Eight Views in Windsor Great Park ou Huit vues du Grand Parc de Windsor furent publiées une première fois vers 1754-1755, puis en 1772. Les graveurs comprenaient Paul Sandby, François Vivares, Edward Rooker et Pierre-Charles Canot. Natif de Nottingham, Thomas Sandby s'installa à Londres en 1741 pour devenir dessinateur au Board of Ordnance, ou Conseil de l'Artillerie. À ce titre, il accompagna le duc de Cumberland lors de campagnes militaires en Écosse et aux Pays-Bas au milieu des années 1740. En 1746, le duc fut nommé Ranger du Grand Parc de Windsor. Sandby devint son intendant en 1764, puis Ranger adjoint. Il a conçu plusieurs bâtiments dans le parc et a participé au développement du lac de Virginia Water. Il fut un membre fondateur de la Royal Academy en 1768, et devint le premier professeur d'architecture de l'académie. En 1777, il devint architecte des travaux du roi et, en 1780, maître charpentier au bureau des travaux. Bon exemplaire. Quelques taches sombres dans les marges, trace de pliure verticale au milieu de l'estampe.
Paris Benard circa 1850 216 x 295 mm.
Estampe figurant la ville d'Orléans, dessinée et lithographiée par Sandemann. Bel exemplaire.
Paris Benard circa 1850 222 x 295 mm.
Estampe figurant la ville de Bar-le-Duc, lithographiée par Leborne d'après un croquis fait sur les lieux par Sandmann. Bel exemplaire.
Paris Benard circa 1850 225 x 292 mm.
Vue de Lille lithographiée par Leborne, d'après le croquis fait sur les lieux par Sandmann. Bel exemplaire.
Paris, Benard, [circa 1850]. 212 x 298 mm.
Estampe figurant la ville de Melun, lithographiée par Villeneuve, d'après le croquis fait sur les lieux par Sandmann. Bel exemplaire.