1979 1 Editions Payot, Collection "Bibliothèque Historique" - 1992 - In-8 broché - 648 pages
Bon état - Couverture frottée
Paris, Panckoucke, 1770. In-4 de XIV-[2]- XIV-372 pages, demi-veau brun, dos à nerfs orné de filets dorés, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges. Reliure pastiche XXème.
Illustré d'un frontispice gravé, de deux cartes géographiques accompagnées chacune d'un tableau explicatif des mots allemands et des signes employés ainsi que 18 planches dépliantes. Edition originale de la traduction française. La première parue en 1760, en allemand. C'est là "un ouvrage riches de perspectives, ou l'auteur proposa la première théorie générale sur la période glaciaire et les glaciers, ainsi que la première carte suisse des lieux de découverte des minéraux". DHS. C'est le premier livre entièrement consacré aux hautes régions alpines de la Suisse et à ses glaciers. Péret nous dit que la planche XIII représente la plus ancienne vue panoramique connue du Mont Blanc (ou "mont maudit"). Bel exemplaire très grand de marges (27 x 21 cm.). Péret, II,2072; Péret, Regards sur les Alpes, n°13.
Rando Editions 2007 254 pages 24 6x2x17 4cm. 2007. Broché. 254 pages.
Bon état
O. O., ca. 1770. Kolorierter Kupferstich von Balthasar Frederic Leizel nach Perignan. Bildgrösse: 38 x 25 cm. Blattgrösse: 39,5 x 28 cm.
Die seitenverkehrte Ansicht limmataufwärts zeigt das Grossmünster noch ohne Helmkuppeln. – Blattrand stärker beschnitten (mit Text-, ohne Bildverlust). Rechter u. linker Aussensteg althinterlegt. Angestaubt u. leicht knitterfaltig. Mit Wasserfleck in oberer Ecke. Ecken mit kl. Einstichspuren.
Paris, Haar & Steinert, (circa 1900). in-8, XIIpp.-1f.-100pp. imprimées en rouge et noir. Cartonnage de l'éditeur toile verte, décor art-nouveau noir rouge et or sur le plat, avec un buste de Napoléon en médaillon, tranches rouges, gardes de papier noir au semis de fleurs de lys dorées, étui de carton avec étiquette imprimée.
Seconde édition française, la première a paru chez Eichler en 1899. 100 pages de planches montrant les combinaisons de cartes. - Intérieur de toute fraîcheur, légère décoloration à l'angle supérieur du plat et au haut du dos.
, s.l., France Loisirs, 1998, relie en maroquin noir sous jacquette d'editeur illustree, plattes interieures decorees, 250 x 290mm., 144pp., tres nombreuses illustrations (cartes postales et photos d'epoque ainsi que reproductions de courriers manuscrits en fac-simile) en noir et en couleurs.
Collection Radio France Les Locales. La force, la beaute et l'emotion des documents et des manuscrits originaux donneront au lecteur le sentiment de feuilleter un album de famille plein de souvenirs et de nostalgie. Comme nouveau.
[GUERRE 14-18 - CAMP DE PRISONNIERS FRANCAIS EN ALLEMAGNE DE HAMMELBURG] photographe inconnu
Reference : 26867
(1918)
hammelburg 1918 une carte-photo originale argentique en noir, format : 14 x 9 cm, ENVOYÉE DU CAMP DE PRISONNIERS FRANCAIS EN ALLEMAGNE DE HAMMELBURG (PRÉS DE FRANCKFORT-SUR-LE-MAIN) PAR ISAÏE MACÉ A SA FEMME HABITANT AU 31, RUE DU LÉGUÉ A SAINT-BRIEUC : VUE GÉNÉRALE D'UNE PARTIE DE CARTE DANS UNE CABANE DU CAMP DE HAMMELBURG (MÊME ENDROIT MAIS EMPLACEMENT DES 6 JOUEURS DE CARTES DIFFÉRENTS (AVEC UNE FLÈCHE AU CRAYON INDIQUANT ISAÏE MACE), et photos pas prises le même jour : LE 23/04/1918 et l'autre LE 1/04/1918,
Superbes Photographies ....... TRÉS RARE ... en trés bon état (very good condition). en trés bon état
1976 Paris, Hier et Demain, 1976, grand in 4° relié pleine toile de l'éditeur, jaquette illustrée, 135 pages ; importante iconographie, principalement en couleurs.
Bel exemplaire. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Emouvant lot de 2 Cartes Postales maunuscrits et 2 entiérement dessinées par un " Poilu " : le Caporal L.Didier, expédiées depuis le Front à son épouse. Correspondance des Armées de la République, datées de 1915. 2 cartes postales sont une correspondance entre le le Caporal L.Didier et son épouse, les 8 autres sont entièrement illustrées par de superbes dessins originaux, humoristiques, en couleurs signées du pseudonyme de Misti ou Mée. Une d'entre elle, adressée au fils de l'auteur, présente une découpe ou était glissé un brin de violettes. Toutes sont en superbe état, au format 13,5 x 9 cm. Magnifique et émouvant ensemble. De toute rareté.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Paris, A. Hauser, [1847]. 333 x 438 mm.
Belle et rare vue à vol d'oiseau de la ville d'Avignon, dessinée par Alfred Guesdon et lithographiée en deux tons par Georges Müller, pour la série Voyage aérien en France. La vue est prise depuis la nacelle d'un ballon : au premier plan le quai Saint-Lazare ou "quai au bois". On reconnaît, de droite à gauche, les vestiges des quatre arches du pont Saint-Bénézet, fameux pont d'Avignon enjambant le Rhône et qui reliait Avignon à Villeneuve-lès-Avignon, un peu plus loin, le pont suspendu construit en 1843 ; puis le Rocher des Doms, la cathédrale Notre-Dame des Doms et le Palais des Papes, les flèches des églises Saint-Pierre, Notre-Dame la Principale, Saint-Didier et Saint-Martial ; dans le fond, le confluent du Rhône et de la Durance. Peintre, lithographe et architecte nantais, Alfred Guesdon fut d’abord élève à l’École des Beaux-Arts de Paris comme architecte. Il voyagea beaucoup dans les années 1850, en Suisse, en Italie et en Espagne. Il fit publier ses Vues à vol d’oiseau des principales villes d’Europe du sud par les éditions Hauser et Delarue à partir de 1845. Bel exemplaire. Petites salissures dans les marges. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1847, p. 433, n°983 ; Maison Jean Vilar, Lorenzaccio. Mises en scène d'hier et d'aujourd'hui, 1979, p. 9, A.
Paris, Hauser, Carcassonne, Combélérant, [1848]. 329 x 440 mm.
Belle et rare vue à vol d'oiseau de la ville de Carcassonne, dessinée par Alfred Guesdon et lithographiée par Cuvillier, issue de la série Voyage aérien en France. La vue, prise depuis la rive gauche de l'Aude, montre la ville basse ou bastide, et la ville haute ou Cité, qui occupe la colline surplombant la rive droite de l'Aude. La citadelle ou Cité de Carcassonne remonte à l'époque romaine. Sauvée de la destruction au XIXe siècle, elle a été restaurée par Viollet-le-Duc à partir de 1850, et a été classée en 1997 au patrimoine mondial de l'Unesco. Peintre, lithographe et architecte nantais, Alfred Guesdon fut d’abord élève à l’École des Beaux-Arts de Paris comme architecte. Il voyagea beaucoup dans les années 1850, en Suisse, en Italie et en Espagne. Il fit publier ses Vues à vol d’oiseau des principales villes d’Europe du sud par les éditions Hauser et Delarue à partir de 1845. Bon exemplaire aquarellé à l'époque. Marge inférieure coupée aux mentions des éditeurs, petites salissures dans les marges, restes de bande adhésive au dos. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'imprimerie et de la librairie, 1848, p. 248.
Paris, A. Hauser, [circa 1840]. 318 x 434 mm.
Belle vue à vol d'oiseau de la ville de Dijon, lithographiée à deux tons par Springer d'après un dessin de Alfred Guesdon, de la série Voyage aérien en France. Cachet froid de l'éditeur. Petite déchirure dans la marge inférieure restaurée. Bon exemplaire.
Paris, Hauser, [1851]. 285 x 435 mm.
Belle et rare vue aérienne de Saint-Étienne, dessinée par Alfred Guesdon pour la série Voyage aérien en France, lithographiée en deux tons, et publiée par Hauser à Paris en 1851. Comme la plupart des vues de Saint-Étienne de cette époque, telles la vue de Théodore Müller, celle-ci est prise depuis le cimetière de Saint-Claude, qui se trouve en bas à gauche de la vue, aujourd'hui cimetière du Crêt de Roc, au nord-est de la ville. La vue nous permet de voir notamment la Promenade de l'Heurton avant la création du Jardin des Plantes, la place Chavanelle, qui accueillait les magasins de la Manufacture royale d'armes, l'église Sainte-Marie, la place de l'Hôtel de Ville, ou encore la place Marengo. Comme en témoignent les fumées de cheminées d'usines autour de la ville, Saint-Étienne était au XIXe siècle l'une des plus grandes villes industrielles françaises. Déjà ville prospère dans l'armurerie et la rubanerie, elle devint, grâce à la présence de houille dans la région, l'un des principaux centres d'usines métallurgiques de France. C'est aussi à Saint-Étienne que fut construite, en 1829, la première ligne de chemin de fer française par l'ingénieur Marc Seguin, la première à expérimenter en 1832 la traction par des locomotives à vapeur, transportant simultanément des marchandises et des voyageurs. En 1855, lorsque les communes limitrophes de Valbenoîte, Montaud, Beaubrun et Outre-Furan sont annexées à l'agglomération stéphanoise, la population passe de 30 000 à 80 000 habitants. Le 1er janvier 1856, elle devient le siège de la Préfecture du département de la Loire à la place de Montbrison. Peintre, lithographe et architecte nantais, Alfred Guesdon fut d’abord élève à l’École des Beaux-Arts de Paris comme architecte. Il voyagea beaucoup dans les années 1850, en Suisse, en Italie et en Espagne. Il fit publier ses Vues à vol d’oiseau des principales villes d’Europe du sud par les éditions Hauser et Delarue à partir de 1845. Bel exemplaire. Petites déchirures restaurées dans les marges. Bibliographie de la France ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1851, p. 346, 542.
Paris Gallimard - Collection "L'univers des Formes" 1963 In-4 Cartonnage toilé, jaquette illustrée Edition originale
EDITION ORIGINALE. Frontispice & 437 figures en noir et en couleurs, 5 cartes en couleurs dont 1 dépliante, bibliographie (422 numéros), index bibliographiques spécialisés, documentation iconographique. Bien complet de sa jaquette couleurs. Très bon 0
Paris, Gallimard, l'Univers des formes, 1963. fort in-4 de [8]-462-[4] pages, pleine toile rouge, jaquette illustrée.
Illustré de 438 reproductions en noir et blanc (imprimée en héliogravure!) et en couleurs, et 5 cartes géographiques. Edition originale que l'auteur dédicace à Claude Lévi-Strauss, en hommage à l'effort d'analyse et de lucidité qui a tant fait pour la survie et le renouvellement de l'Ethnologie.
Paris, Le Petit Journal, [1896]. 0,95 x 1,10 m ; montée sur toile.
Belle et rare carte de la France, dressée et dessinée à la plume par A. Guibal, gravée en couleurs et imprimée par Charaire et C.ie à Paris et à Sceaux, pour Le Petit Journal, quotidien parisien républicain et conservateur parmi les plus populaires sous la Troisième République, publié entre 1863 et 1944. En 1870, son tirage atteignait les 340 000 exemplaires, soit le double du tirage de la presse parisienne. La carte est décorée d'une vue de l'Hôtel du Petit Journal, qui était situé au 59-61 rue Lafayette à Paris. Les bordures sont illustrées des uniformes de l'Armée Française, de la Marine Française, de l'Armée Coloniale, et des écoles militaires pour officiers, dont Saumur, Fontainebleau, Polytechnique et Saint-Cyr, dessinés par Édouard Carrier. L'illustration comprend également des monnaies françaises depuis Napoléon Ier, les pavillons de différentes nations, et des décorations françaises et médailles commémoratives. En carton figurent sept cartes : environs de Paris, de Lyon, de Marseille et de Bordeaux, une carte de la Corse, une carte de l'Algérie française avec la Tunisie, alors sous protectorat français, et une carte du monde indiquant les possessions françaises et les grandes lignes françaises de navigation à vapeur. Très rare, comme la plupart des cartes qui étaient vendues par les journaux français à cette époque. Cette carte est annoncée pour la première fois dans l'édition du Petit Journal du 25 mars 1896 : "Nous venons de faire graver et imprimer spécialement pour les lecteurs du Petit Journal une superbe Carte de France mesurant 1 mètre 10 centimètres de long sur 94 centimètres de haut". Il existe une autre version, portant le titre La France et ses colonies, publiée en 1907 (Le Petit Journal, Mardi 25 juin 1907, p. 6). A. Guibal a également dressé pour Le Petit Journal une carte de l'Europe, et pour le quotidien toulousain La Dépêche, une carte de Madagascar en 1895. Bel exemplaire. Le Petit Journal, Trente-quatrième année, numéro 12143 du 25 mars 1896, 1896, p. 3.
Paris, Le Petit Journal, [1896. 0,91 x 1,06 m.
Belle et très rare carte de l'Europe, dressée et dessinée par A. Guibal, gravée en couleurs et imprimée par E. Charaire à Sceaux pour Le Petit Journal, quotidien parisien parmi les plus populaires sous la Troisième République, publié entre 1863 et 1944. En 1870, son tirage atteignait les 340 000 exemplaires, soit le double du tirage de la presse parisienne. Cette carte, très complète et dressée d'après les documents les plus récents, contient les renseignements de géographie physique et politique. Les bordures sont illustrées des uniformes des différentes armées européennes, et de vues des monuments les plus remarquables d'Europe (Château Saint-Ange à Rome, Alcazar de Ségovie en Espagne, Abbaye de Westminster à Londres, Kremlin à Moscou, Parthénon à Athènes, etc). En haut à droite se trouve une vue de l'Hôtel du Petit Journal, situé au 59-61 rue Lafayette à Paris. Au bas de la carte figurent deux panoramas, l'un montrant les plus hautes montagnes du globe, l'autre la hauteur des monuments les plus remarquables dans le monde. Très rare, comme la plupart des cartes qui étaient vendues par les journaux français à cette époque. Cette carte est annoncée pour la première fois dans l'édition du Petit Journal du 27 décembre 1896 : "Le succès colossal obtenu par notre Carte de France, dont le tirage a dépassé six cent mille exemplaires, nous a engagés à faire graver et imprimer spécialement pour les lecteurs du Petit Journal une superbe Carte d'Europe mesurant 1 mètre 11 centimètres de long sur 94 centimètres de haut". Il existe une autre édition de cette carte de l'Europe, publiée en 1913, sur laquelle le cartouche de titre a été remplacé par les portraits en noir et blanc de six chefs d'État européens, notamment le Président de la République Française Raymond Poincaré, et les uniformes ont été laissés en noir. A. Guibal a également dressé pour Le Petit Journal une carte de la France, et pour le quotidien toulousain La Dépêche, une carte de Madagascar en 1895. Bel exemplaire, replié, non doublé. Petites piqûres, petit trou dans les marges gauche et droite semblant avoir été fait avec une poinçonneuse de document. Le Petit Journal, Dimanche 27 décembre 1896, 1896, p. 4.
Paris, Le Petit Journal, [1907]. 0,91 x 1,07 m.
Belle et rare carte de la France et de ses colonies, dressée et dessinée à la plume par A. Guibal, gravée et imprimée en couleurs par E. Charaire à Sceaux, pour Le Petit Journal, quotidien parisien républicain et conservateur parmi les plus populaires sous la Troisième République, publié entre 1863 et 1944. En 1870, son tirage atteignait les 340 000 exemplaires, soit le double du tirage de la presse parisienne. Cette carte de la France est une nouvelle édition de la carte publiée en 1896, comportant des modifications essentielles qui en font une nouveauté. La carte proprement dite a été revue et mise à jour par l'adjonction des nouvelles lignes de chemins de fer. Cette nouvelle édition est également complétée par quatorze cartes des colonies françaises qui sont à cette date l'Algérie, la Tunisie, l'Indochine française, Madagascar et les Comores, le Sénégal et le Soudan français, la Guadeloupe, la Martinique, Saint-Pierre et Miquelon et les côtes de Terre-Neuve réservées par traités aux pêcheries françaises, la Guyane, les Îles de la Société, l'Île de La Réunion, la Nouvelle-Calédonie avec les Îles Loyauté, la côte française des Somalis (aujourd'hui république de Djibouti), et la côte des Indes françaises (Chandernagor, Pondichéry, etc), auxquelles on a adjoint un planisphère indiquant leur situation géographique. Cette nouvelle édition est également illustrée de dix-huit types différents d'habitants des colonies, et de vues d'Algérie (Alger), de Tunisie (quartier maure de Tunis), de Madagascar (Palais d'Argent de Tananarive), et de la Cochinchine (rives du Mékong à Phnom-Penh). Les cartes des environs de Paris, de Lyon, de Marseille et de Bordeaux, de la Corse, et de l'Algérie française avec la Tunisie, alors sous protectorat français, sont les mêmes que dans l'édition de 1896. En haut à gauche figure une vue de l'Hôtel du Petit Journal, qui était situé au 59-61 rue Lafayette à Paris. Très rare, comme la plupart des cartes qui étaient vendues par les journaux français à cette époque. Cette nouvelle édition de la carte de France est annoncée pour la première fois dans l'édition du Petit Journal du 25 juin 1907 : "Nous venons de faire paraître une nouvelle édition de la Carte de France du Petit Journal, dont une vente d'un million d'exemplaires était loin d'avoir épuisé le succès. Cette nouvelle édition se signale à l'attention de nos lecteurs par des modifications essentielles qui en font une nouveauté [...] Cette carte, luxueusement tirée en douze couleurs, sur beau et fort papier Japon, mesure 1 mètre 10 cent. de long sur 94 cent. de haut". A. Guibal a également dressé pour Le Petit Journal une carte de l'Europe en 1896, et pour le quotidien toulousain La Dépêche, une carte de Madagascar en 1895. Bel exemplaire, replié et non doublé. Petit trou dans les marges gauche et droite semblant avoir été fait avec une poinçonneuse de document, petites déchirures à la pliure médiane et dans les marges restaurées. Le Petit Journal, Mardi 25 juin 1907, 1907, p. 6.
GUICHONNET Paul; MOREL Maurice; MENABREA Henri; VESCO Emile:
Reference : 17252
(1947)
Paris, Editions de Horizons de France, Collection Provinciales, 1947. In-8 broché de 206 pages, couverture imprimée en couleurs.
Abondamment illustré de photographies, documents et cartes, principalement en noir, in et hors texte, certaines sont dépliantes.
in 8 reliure d’éditeur illustrations photographiques avec sa jaquette
Hachette, collection Diamant 1879 ; 528 pages. 1 volume cartonnage éditeur vert, pleine toile. in-16 Nombreuses illustrations, cartes, publicités.
Paris, Arthus Bertrand, [1856-1857]. 235 x 325 mm.
Panorama de la ville de Mogadiscio, capitale de la Somalie, lithographié par Eugène Cicéri. Il est issu de l'album accompagnant la très rare relation de voyage du capitaine de frégate Charles Guillain à la côte orientale d'Afrique entre 1846 et 1848, publiée à Paris par Arthus Bertrand entre 1856 et 1857. La vue est prise depuis la terrasse de la maison occupée par le capitaine Guillain à Mogadiscio. Entré dans la marine à l'âge de quatorze ans, Charles Guillain gravit les échelons pour finir gouverneur de la Nouvelle-Calédonie, commandant en chef de la division navale et contre-amiral. En 1846, le ministère des Affaires étrangères et le ministère du Commerce lui confient le commandement du navire le Ducouëdic pour une mission d'étude sur les côtes de l'Afrique orientale. Durant les escales, il pénètre dans l'arrière-pays et étudie la géographie physique et les populations Swahili et Somali. Après un séjour prolongé à Zanzibar, la mission regagne la France par le Cap. Ce voyage dura deux années. Guillain remit son rapport en 1850. Sa relation de voyage est extrêmement rare. Elle est composée de trois volumes de texte intitulés Documents sur l'histoire, la géographie et le commerce de l'Afrique orientale, et d'un album intitulé Voyage à la côte orientale d'Afrique exécuté pendant les années 1846, 1847 et 1848, par le brick le Ducouëdic sous le commandement de M. Guillain capitaine de frégate, composé de 55 planches lithographiées d'après des épreuves daguerriennes et les dessins de MM. Caraguel et Bridet enseignes de vaisseau. Bel exemplaire. Petites déchirures dans les marges restaurées.
Paris, Arthus Bertrand, [1856-1857]. En deux feuilles pouvant être jointes pour former un panorama de 430 x 606 mm.
Beau et rare panorama de la ville de Moutsamoudou ou Mutsamudu, capitale de l'île d'Anjouan, dans l'archipel des Comores. Il a été lithographié par Léon Sabatier d'après un dessin de l'enseigne de vaisseau Léon Exupère Hippolyte Caraguel. Il est issu de l'album accompagnant la très rare relation de voyage du capitaine de frégate Charles Guillain à la côte orientale d'Afrique entre 1846 et 1848, publiée à Paris par Arthus Bertrand entre 1856 et 1857. La vue est prise depuis la baie de Mutsamudu. Sur les hauteurs de la ville, posée sur une colline, on peut voir la citadelle, construite de 1782 à 1790 par le sultan Abdallah 1er pour se défendre des razzias malgaches sur l'île. Après l'annexion de Mayotte en 1843, l'archipel des Comores, comprenant également Anjouan, Grande Comore et Mohéli, devient protectorat français en 1886. En 1912, il est rattaché à Madagascar, puis devient en 1946 un territoire d'outre-mer. En 1974, Anjouan, Grande Comore et Mohéli choisissent l'indépendance vis-à-vis de la France, tandis que Mayotte devient une collectivité territoriale. Entré dans la marine à l'âge de quatorze ans, Charles Guillain gravit les échelons pour finir gouverneur de la Nouvelle-Calédonie, commandant en chef de la division navale et contre-amiral. En 1846, le ministère des Affaires étrangères et le ministère du Commerce lui confient le commandement du navire le Ducouëdic pour une mission d'étude sur les côtes de l'Afrique orientale. Durant les escales, il pénètre dans l'arrière-pays et étudie la géographie physique et les populations Swahili et Somali. Après un séjour prolongé à Zanzibar, la mission regagne la France par le Cap. Ce voyage dura deux années. Guillain remit son rapport en 1850. Sa relation de voyage est extrêmement rare. Elle est composée de trois volumes de texte intitulés Documents sur l'histoire, la géographie et le commerce de l'Afrique orientale, et d'un album intitulé Voyage à la côte orientale d'Afrique exécuté pendant les années 1846, 1847 et 1848, par le brick le Ducouëdic sous le commandement de M. Guillain capitaine de frégate, composé de 55 planches lithographiées d'après des épreuves daguerriennes et les dessins de MM. Caraguel et Bridet enseignes de vaisseau. Bel exemplaire. Déchirures restaurées dans les marges de la seconde planche.
Paris, Arthus Bertrand, [1856-1857]. 225 x 420 mm.
Panorama de la ville de Mogadiscio, capitale de la Somalie, lithographié par Léon Sabatier d'après un dessin de l'enseigne de vaisseau Léon Exupère Hippolyte Caraguel. Il est issu de l'album accompagnant la très rare relation de voyage du capitaine de frégate Charles Guillain à la côte orientale d'Afrique entre 1846 et 1848, publiée à Paris par Arthus Bertrand entre 1856 et 1857. Entré dans la marine à l'âge de quatorze ans, Charles Guillain gravit les échelons pour finir gouverneur de la Nouvelle-Calédonie, commandant en chef de la division navale et contre-amiral. En 1846, le ministère des Affaires étrangères et le ministère du Commerce lui confient le commandement du navire le Ducouëdic pour une mission d'étude sur les côtes de l'Afrique orientale. Durant les escales, il pénètre dans l'arrière-pays et étudie la géographie physique et les populations Swahili et Somali. Après un séjour prolongé à Zanzibar, la mission regagne la France par le Cap. Ce voyage dura deux années. Guillain remit son rapport en 1850. Sa relation de voyage est extrêmement rare. Elle est composée de trois volumes de texte intitulés Documents sur l'histoire, la géographie et le commerce de l'Afrique orientale, et d'un album intitulé Voyage à la côte orientale d'Afrique exécuté pendant les années 1846, 1847 et 1848, par le brick le Ducouëdic sous le commandement de M. Guillain capitaine de frégate, composé de 55 planches lithographiées d'après des épreuves daguerriennes et les dessins de MM. Caraguel et Bridet enseignes de vaisseau. Bon exemplaire. Traces de pliures dans les marges.
Segonzac, Syndicat de Défense de la Grande Champagne, 1938. 600 x 696 mm.
Belle et grande carte en couleurs figurant les crus de cognac en Charente, dressée par Jean-Marie Guillon, inspecteur de la Viticulture et directeur de la Station Viticole de Cognac. Elle a été publiée en 1938 à l'initiative du Syndicat de Défense de la Grande Champagne, créé en 1930 et dont le siège se trouvait à la mairie de Segonzac, avec l'approbation du Comité National des Appellations d'Origine, du Bureau National de Répartition des Vins et Eaux-de-Vie de Cognac et du Ministre Secrétaire d'État à l'Agriculture. Cette carte distingue, en six couleurs, la Grande Fine Champagne ou Grande Champagne, la Petite Champagne, les Borderies, les Fins Bois, les Bons Bois, et les Bois Ordinaires et Bois Communs dits à terroirs. Elle s'étend au nord jusqu'à l'Île de Ré et Niort dans les Deux-Sèvres, au sud jusqu'à Les Églisottes en Gironde, et à l'est jusqu'à Champagne-Mouton et Montbron. La carte indique également les chemins de fer à double voie, les routes nationales et départementales, les chemins départementaux et les cours d'eau. En haut à droite se trouve une carte de la France montrant la situation géographique des vignobles de Cognac. La première édition de cette carte de Jean-Marie Guillon a été publiée en 1887. Puis elle a été affinée en 1909, 1938 et 1941, au gré des nouveaux décrets émis par le ministère de l'Agriculture. La seconde édition a été mise à jour à la suite du décret du 1er mai 1909, qui fixait les limites géographiques de la zone de production du cognac. Cette délimitation allait poser les bases de la défense du cognac contre les usurpations, fraude et tromperie, devenues monnaie courante après la crise du phylloxéra. C'est à cette date que Jean-Marie Guillon dresse la carte des huit crus de cognac en s’appuyant sur les travaux d’Henri Coquand, géologue et paléontologue, dont les études sont à l'origine de la délimitation des crus de cognac, basée sur la nature des sols. Notre édition, la troisième revue en 1938, a été dressée d'après les décrets du 15mai 1936, définissant les conditions que doivent présenter les eaux-de-vie pour avoir droit à l'appellation contrôlée « Cognac », et du 13 janvier 1938 pour les appellations d'origine contrôlées « Grande Champagne», « Grande Fine Champagne », « Petite Champagne », « Fine Champagne », « Borderies », «Fins Bois » et « Bons Bois ». Selon ce dernier décret, l'appellation contrôlée de Fine Champagne ne pouvait être accordée qu'au mélange des eaux-de-vie provenant des deux régions de Grande Champagne et de Petite Champagne, et contenant au minimum 50% d'eau-de-vie de Grande Champagne. Enfin, la dernière édition sera publiée en 1941, à la suite de la création du Bureau National de Répartition des Vins et Eaux-de-vie de Cognac. Bel exemplaire. Petits trous d'épingle dans la marge supérieure. Annuaire du tout Sud-Ouest illustré, 1909, p. 545 (pour l'édition de 1909).