Paris, Editions Prisma, 1954. 12 x 19, 240 pp., broché, bon état.
traduction de l'anglais par Bertrand Romanet.
Paris, Albin Michel, 1955. 11 x 16, 77 pp., cartonnage d'édition imprimé, bon état.
traduit de l'anglais par Pierre Coutelan, édition mise à jour par B. Romanet, comprenant le nouveau mode d'évaluation par points et les nouvelles enchères interrogatives.
36 cartes (86 x 56 mm chacune) à dos blanc, circa 1830-60. Légères taches et brunissures marginales (ces cartes étaient regardées par transparence à la bougie au XIXe s. !), un coin du 6 de coeur accidenté, bel ensemble
Rare ensemble de 36 cartes à jouer coloriées au pochoir, dont 10 portraits en pied, issu dun jeu de 52 cartes. Chacune de ces cartes cache une scène érotique voire pornographique dévoilée lorsque lon place la carte sur une source lumineuse, les cartes portraits réemployant la figure de la carte dans la scène érotique.Le jeu est composé de :- 11 carreaux (as, 2, 3, 5, 6, 7, 8, 9, 10, valet, roi)- 8 trèfles (as, 4, 6, 8, 9, 10, valet, roi)- 8 coeurs (as, 6, 8, 9, 10, valet, dame, roi)- 9 piques (as, 3, 7, 8, 9, 10, valet, dame, roi) Ces jeux se trouvaient souvent dans les maisons closes et autres lieux de plaisirs. Les exemplaires complets sont rarissimes de nos jours.
New York, Currier & Ives, [1870]. 543 x 740 mm ; sur papier fort.
Magnifique estampe figurant la course des bateaux à vapeur Robert E. Lee et Natchez entre La Nouvelle-Orléans en Louisiane, et Saint-Louis dans le Missouri en 1870. Elle a été lithographiée en couleurs et publiée par Currier and Ives à New York en 1870. La scène représentée ici est la plus légendaire des courses de bateaux à vapeur de l'histoire des États-Unis. Le 30 juin 1870, le Natchez, commandé par le capitaine T.P. Leathers, et le Robert E. Lee, commandé par le capitaine J.W. Cannon, quittaient La Nouvelle-Orléans pour rejoindre Saint-Louis, en passant par Baton Rouge, Natchez, Vicksburg (Mississippi), Memphis (Tennessee), et Cairo (Illinois). La course fut suivie par toute la population de la vallée du Mississippi. Le Natchez, détenteur du record jusqu'à cette date, était considéré comme le bateau le plus rapide, mais le capitaine Cannon du Lee avait dépouillé son bateau de tout ce qui était superflu : meubles, ancres, chaînes, lits, etc. Quatre jours plus tard, le 4 juillet, après un voyage de 1 940 km, le Robert E. Lee atteignait Saint-Louis en 3 jours 18 heures et 30 minutes, avec une avance de plus de six heures sur le Natchez. Ce dernier avait été retenu par le brouillard pendant six heures à la hauteur de Devils' Island ou l'Île du Diable dans l'Illinois. Un peu plus tôt en juin, le Natchez avait établi le précédent record, en atteignant Saint-Louis en 3 jours 21 heures et 58 minutes. L'estampe de Currier and Ives nous montre les deux bateaux navigant à pleine puissance, des flammes et de la fumée s'échappant de leurs cheminées, et une légère avance pour le Robert E. Lee. A l'avant du Natchez, détenteur du précédent record, on peut voir, entre les deux cheminées, un bois de cerf. Le bois de cerf était un trophée remporté par le vainqueur, qui était autorisé à l'exposer pendant un an, à l'avant de son bateau. Cette course légendaire, dont la progression avait été télégraphiée dans tout le pays et même transmise par câble jusqu'en Europe, fut l'une des dernières. La concurrence des chemins de fer relégua bientôt le bateau à vapeur au second plan dans l'imagerie des transports. Considérées comme des événements majeurs, les courses entre bateaux à vapeur ou steamboats, véritables palais de bois flottants à plusieurs étages, entourés de galeries-promenade, furent fréquentes entre 1830 et 1870. Comme le décrit Mark Twain, qui grandit dans une ville au bord du fleuve et passa quatre ans comme pilote de bateau à vapeur (1857-1861), l'attrait et l'excitation de la vie sur le fleuve avaient un côté presque magique, surtout à l'approche d'une course de bateaux à vapeur. Il raconte dans ses mémoires, Life on the Mississippi (1883) : «À l'époque faste de la navigation à vapeur, une course entre deux bateaux à vapeur réputés pour leur vitesse était un événement d'une importance capitale. La date était fixée plusieurs semaines à l'avance et, dès lors, toute la vallée du Mississippi était en effervescence. La politique et la météo étaient oubliées, et on ne parlait plus que de la course à venir [...] La date choisie étant arrivée et tout étant prêt, les deux grands bateaux à vapeur regagnent le fleuve et restent là, manœuvrant un moment, semblant observer le moindre mouvement de l'autre, telles des créatures sensibles ; pavillons affaissés, la vapeur refoulée hurlant à travers les soupapes de sécurité, la fumée noire s'échappant des cheminées et obscurcissant l'air. Des gens, des gens partout; les rivages, les toits, les bateaux à vapeur, les navires, en sont bondés, et vous savez que les rives du vaste Mississippi vont être bordées d'humanité de là vers le nord, douze cents miles, pour accueillir ces coureurs.» (Sachant, Introduction to Art, 2016, p. 135). Surnommé le Monarque du Mississippi, le Robert E. Lee fut construit à New Albany, dans l'Indiana, en 1866. La coque fut conçue par DeWitt Hill, et sa construction coûta plus de 200 000 dollars. Il fut nommé en l'honneur du général Robert E. Lee, général en chef des armées des États confédérés ou Sudistes. Sa capacité était de 5 741 balles de coton. Il fut démantelé en 1876. Le Natchez, construit en 1869 à Cincinnati, était le septième d'une série de bateaux portant ce nom. Il mesurait 92 mètres de long, possédait huit chaudières et avait une capacité de 5 500 balles de coton. Il avait comme enseigne une balle de coton entre ses cheminées, comme le montre l'estampe. Il fut démantelé en 1879. Avant celui-ci, le sixième Natchez, également construit à Cincinnati, avait servi à transporter les troupes de l'armée sudiste. Quant au premier, construit à New York en 1823, son passager le plus célèbre fut, en 1825, le marquis de La Fayette, héros français de la guerre d'Indépendance américaine. Currier et Ives furent les éditeurs de lithographies historiques les plus prolifiques et les plus populaires d'Amérique, faisant régulièrement appel à des artistes renommés de l'époque. De 1835 à 1907, la maison dirigée par Nathaniel Currier (1813-1888) et James Ives (1824-1895), de New York, produisit plus de 7000 lithographies différentes sur des sujets très variés, constituant ensemble un panorama coloré de l'Amérique victorienne. Extrêmement populaires à l'époque aux États-Unis et en Europe, les estampes de Currier et Ives étaient vendues dans les librairies et les imprimeries, et vendues à la criée depuis des charrettes de colporteurs entre quinze cents et trois dollars pièce. Un large éventail de sujets était proposé, allant des natures mortes et des dessins humoristiques, des images religieuses et morales, des scènes romantiques rurales et urbaines aux portraits d'éminents hommes politiques et de célèbres chevaux de course, navires et trains. Ils publièrent également des représentations de sports et de jeux, d'incendies, de batailles et d'autres événements marquants. Currier, qui apprit l'art de la lithographie comme assistant chez Pendleton Brothers à Boston, fonda l'entreprise à New York en 1834. Ives, initialement comptable, devint associé en 1857. L'entreprise resta en activité jusqu'en 1907, bien que Currier ait pris sa retraite en 1880 et Ives en 1895. Grâce aux talents d'imprimeur de Currier et au sens aigu du goût du public d'Ives, l'entreprise de lithographie commerciale devint la plus prospère d'Amérique. Currier & Ives employait une équipe d'artistes, de maîtres lithographes et d'aquarellistes manuels qui, à la chaîne, répondaient à la demande de millions d'estampes. Leurs lithographies sont toujours autant convoitées et collectionnées aujourd'hui. Le terme lithographie signifie littéralement «image gravée dans la pierre». Les artistes dessinaient les images sur du calcaire bavarois spécial importé, avec des crayons de cire. L'image était «incrustée» dans la pierre par un bain d'acide, puis de l'encre était appliquée sur la pierre, qui adhérait à l'image cirée. Les impressions étaient réalisées une par une, et chacune d'elles était coloriée à la main (Lincoln Financial Foundation Collection, Lithographs of Abraham Lincoln - Currier & Ives, 1929, pp. 88-89). Bel exemplaire. Gale Research Company, Currier & Ives, A Catalogue raisonné, Volume 1, 1984, p. 295, 2864 ; Conningham, Currier & Ives prints, An illustrated check list, 1983, p. 123, 2644 ; Le Beau, Currier & Ives: America imagined, 2001, p. 296 ; Conningham, Currier & Ives, 1950, pp. 57-58.
New York, Currier & Ives, 1886. 550 x 835 mm, contrecollée sur carton fort.
Grande lithographie finement coloriée à la main, publiée par Currier & Ives à New York en 1886. Reliant les quartiers de Manhattan et de Brooklyn, le pont de Brooklyn à New York est l'un des plus anciens ponts suspendus des États-Unis. Il fut ouvert à la circulation en 1883, après 13 ans de travaux. L'estampe nous montre la baie et l'entrée du port de New York, avec, en arrière-plan, la Statue de la Liberté, inaugurée l'année-même où fut publiée cette lithographie. On peut aussi voir la Tour de Brooklyn, le ferry de Fulton, la Tour de New York, Coney Island, Governors Island, Staten Island et Trinity Church. L'East River est animée de voiliers et de bateaux à vapeur. La notoriété de Nathaniel Currier et James Merritt Ives date du milieu du XIXe siècle. Lithographes et éditeurs américains, ils ont produit plus de 7 500 œuvres représentant des scènes historiques et des scènes de la vie quotidienne américaine : scènes sportives, rurales et urbaines, portraits historiques, scènes de batailles illustrant la Guerre de Sécession. Leurs illustrations demeurent à ce jour les meilleurs documents historiques sur cette époque, et leurs oeuvres sont, encore aujourd'hui, très recherchées. Bon exemplaire. Déchirure restaurée, petites déchirures dans les marges, frottement dans la marge supérieure.
CURRIER (Nathaniel) & IVES (James Merritt) & PALMER (Frances Flora Bond.
Reference : LBW-8672
(1866)
New York, Currier & Ives, [1866]. 515 x 715 mm ; sur papier fort.
Superbe estampe dessinée par Frances Flora Bond Palmer, communément appelée Fanny Palmer. Elle a été lithographiée, finement coloriée à la main, et publiée par Currier and Ives à New York en 1866. La scène représente une course sur le Mississippi, une nuit de pleine lune, entre les deux bateaux à vapeur le Morning Star et le Queen of the West. Tandis qu'ils naviguent à pleine puissance, des flammes et de la fumée s'échappent de leurs cheminées. Le bateau victorieux remportait un bois de cerf, qu'il était autorisé à arborer pendant un an, entre les deux cheminées à l'avant du bateau, tel qu'on peut le voir ici à l'avant du Queen of the West. Deux autres bateaux les suivent, tandis que sur la rive, un feu de joie et une petite foule d'hommes acclament et saluent les passagers. Considérées comme de grands événements, les courses entre bateaux à vapeur ou steamboats, véritables palais de bois flottants à plusieurs étages, entourés de galeries-promenade, furent fréquentes entre 1830 et 1870. Comme le décrit Mark Twain, qui grandit dans une ville au bord du fleuve et passa quatre ans comme pilote de bateau fluvial (1857-1861), l'attrait et l'excitation de la vie sur le fleuve avaient un côté presque magique, surtout à l'approche d'une course de bateaux à vapeur. Il raconte dans ses mémoires, Life on the Mississippi (1883) : «À l'époque faste de la navigation à vapeur, une course entre deux bateaux à vapeur réputés pour leur vitesse était un événement d'une importance capitale. La date était fixée plusieurs semaines à l'avance et, dès lors, toute la vallée du Mississippi était en effervescence. La politique et la météo étaient oubliées, et on ne parlait plus que de la course à venir [...] La date choisie étant arrivée et tout étant prêt, les deux grands bateaux à vapeur regagnent le fleuve et restent là, manœuvrant un moment, semblant observer le moindre mouvement de l'autre, telles des créatures sensibles ; pavillons affaissés, la vapeur refoulée hurlant à travers les soupapes de sécurité, la fumée noire s'échappant des cheminées et obscurcissant l'air. Des gens, des gens partout; les rivages, les toits, les bateaux à vapeur, les navires, en sont bondés, et vous savez que les rives du vaste Mississippi vont être bordées d'humanité de là vers le nord, douze cents miles, pour accueillir ces coureurs.» (Sachant, Introduction to Art, 2016, p. 135). En 1870, le Natchez s'opposait au Robert E. Lee dans ce qui allait devenir la plus légendaire des courses de bateaux à vapeur de l'histoire des États-Unis. Construit à Cincinnati, dans l'Ohio, en 1854, le Queen of the West servit de navire commercial jusqu'à son acquisition par le colonel Charles Ellet Jr. en 1862, qui le transforma pour en faire un navire-éperon. Il opéra conjointement avec l'escadre du Mississippi lors de la bataille des eaux brunes de l'Union contre la flotte de défense fluviale confédérée pour le contrôle du Mississippi et de ses affluents pendant la guerre de Sécession. Le Morning Star naviguait essentiellement sur le Mississippi, et assurait la liaison entre Saint-Louis dans le Missouri, et la Nouvelle-Orléans en Louisiane. La maison Currier & Ives faisait régulièrement appel à des artistes renommés de l'époque pour créer les dessins à partir desquels ses lithographies étaient réalisées. Parmi ces artistes figurait Frances Flora Bond Palmer (1812 – 1876), souvent appelée Fanny Palmer. Artiste anglaise, Palmer connut le succès aux États-Unis grâce à sa collaboration avec les deux éditeurs. Entre 1849 et 1868, elle est créditée d'environ deux cents lithographies. Elle se spécialisait dans les estampes de paysage et de genre. Parmi ses sujets figuraient des scènes de fermes rurales, des navires et des architectures américaines célèbres, des chasseurs et des paysages de l'Ouest américain. Currier et Ives furent les éditeurs de lithographies historiques les plus prolifiques et les plus populaires d'Amérique. De 1835 à 1907, la maison dirigée par Nathaniel Currier (1813-1888) et James Ives (1824-1895), de New York, produisit plus de 7000 lithographies différentes sur des sujets très variés, constituant ensemble un panorama coloré de l'Amérique victorienne. Extrêmement populaires à l'époque aux États-Unis et en Europe, les estampes de Currier et Ives étaient vendues dans les librairies et les imprimeries, et vendues à la criée depuis des charrettes de colporteurs entre quinze cents et trois dollars pièce. Un large éventail de sujets était proposé, allant des natures mortes et des dessins humoristiques, des images religieuses et morales, des scènes romantiques rurales et urbaines aux portraits d'éminents hommes politiques et de célèbres chevaux de course, navires et trains. Ils publièrent également des représentations de sports et de jeux, d'incendies, de batailles et d'autres événements marquants. Currier, qui apprit l'art de la lithographie comme assistant chez Pendleton Brothers à Boston, fonda l'entreprise à New York en 1834. Ives, initialement comptable, devint associé en 1857. L'entreprise resta en activité jusqu'en 1907, bien que Currier ait pris sa retraite en 1880 et Ives en 1895. Grâce aux talents d'imprimeur de Currier et au sens aigu du goût du public d'Ives, l'entreprise devint l'entreprise de lithographie commerciale la plus prospère d'Amérique. Currier & Ives employait une équipe d'artistes, de maîtres lithographes et d'aquarellistes manuels qui, à la chaîne, répondaient à la demande de millions d'estampes. Leurs lithographies continuent d'être collectionnées avec avidité aujourd'hui. Lithographie signifie littéralement «image gravée dans la pierre». Les artistes dessinaient les images sur du calcaire bavarois spécial importé, avec des crayons de cire. L'image était «incrustée» dans la pierre par un bain d'acide, puis de l'encre était appliquée sur la pierre, qui adhérait à l'image cirée. Les impressions étaient réalisées une par une, et chacune d'elles était coloriée à la main (Lincoln Financial Foundation Collection, Lithographs of Abraham Lincoln - Currier & Ives, 1929, pp. 88-89). Très bon exemplaire finement colorié à la main. Piqûres dans les marges avec deux déchirures restaurées. Gale Research Company, Currier & Ives, A Catalogue raisonné, Volume 1, 1984, p. 119, 1076 ; Conningham, Currier & Ives prints, An illustrated check list, 1983, p. 52, 992 ; Pratt, Currier & Ives chronicles of America, 1974, pp. 11 & 195 ; Le Beau, Currier & Ives: America imagined, 2001, pp. 296-298 ; City Art Museum of St. Louis, Mississippi panorama: the life and landscape of the Father of Waters and its great tributary, the Missouri, 1950, p. 136, 109.
Lausanne, Francis de Jongh, [1914]. Photographie au format 8 x 17 cm., nom du photographe doré au bord inférieur. Légèrement frottée, avec quelques rousseurs.
Avec une mention autographe de Cérenville (est-ce Bernard ?) datée de 1914 au verso.
La Jolla, Cooper Enterprises, 1968. 705 x 547 mm.
Belle carte illustrée figurant l'Ouest américain ou Far West, dessinée par Andy Dagosta, et publiée par Cooper Enterprises en 1968. Cette carte illustre le Far West du XIXe siècle, à l'époque des cowboys et des Indiens et de la Ruée vers l'or, avec ses villes fantômes, ses fabuleuses mines d'or perdues, ses forts militaires, et ses missions espagnoles. Les villes fantômes sont représentées par un crâne ou tête de mort, les anciennes mines par une pelle et une pioche, les postes militaires par un clairon, les mines perdues par une croix, et les missions par une cloche. Les bordures sont illustrées d'hommes pendus ou torturés par les Indiens, d'un fusil Sharps des années 1840, d'un crâne humain transpercé d'une balle, et d'une diligence. Une autre édition a été publiée par Cooper Enterprises à Scottsdale en Arizona. Bel exemplaire. Partie haute légèrement brunie.
San Fransisco, Sore Dove Press, 2008. 31 cartes en carton de 21,7 x 14 cm, dont une "carte de titre", imprimées en noir au verso, sous emboîtage de toile bleu nuit, titre argenté au premier plat, ruban noir pour extraire les cartes de l'emboîtage. Comme neuf.
30 cartes illustrées de photographies ou reproductions en couleurs. On y trouve pêle-mêle: Amiri Baraka, Janice Blue, Neeli Cherkovski, Leonard Cohen, Lawrence Ferlonghetti, le panneau indicateur de la rue Jack Kerouac... 13 cartes comportent la signature de l'artiste concerné. La boîte quant à elle porte le numéro 21.
(Nürnberg, 1696). 25x31,5 cm. Kobberstukket kort over Kolding Fjord med stort opbud af krigsskibe i fjorden.
Fra Samuel Pufendorf' værk om Karl X Gustavs krige ""De rebus a Carolo Gustavo gestis..."", tegnet af Erik Dahlberg.
(Nürnberg, 1696). 25x32 cm. Kobberstukket kort over Kristiansstad efter Roskildefreden.
Fra Samuel Pufendorf' værk om Karl X Gustavs krige ""De Rebus a Carolo Gustavo gestis..."", tegnet af Erik Dahlberg.
(Nürnberg, 1696). 30,5 x 38,5 cm. Kobberstikket afbilder forhandlingerne på Fredensborg i riddersalen mellem Frederik III, Sophie Amalie og Carl X Gustav m.fl. Talrige personer tilstede, heraf 16 navngivne i den kobberstukne tekst.
Fra Samuel Pufendorf' værk om Karl X Gustavs krige ""De Rebus a Carolo Gustavo gestis..."", tegnet af Erik Dahlberg.
(Nürnberg, 1696). 25,5x47 cm. Kobberstukket planche, sammensat af 2 plader, over Karl Gustavs hæropstilling før overgangen over det tilfrosne Lillebælt.
Fra Samuel Pufendorf' værk om Karl X Gustavs krige ""De Rebus a Carolo Gustavo gestis..."", tegnet af Erik Dahlberg.
Holmiæ (Stockholm), 1702. 22,5x36,5 cm. Kobberstukket prospekt fra Svecia Antiqva et Hodierna. Et par smårifter i marginer, intet tab.
Holmiæ (Stockholm), 1693. 21,5x41,5 cm. Kobberstukket prospekt med ridende og vognkørende folk i forgrunden. Fra Svecia Antiqva et Hodierna.
1964 Paris Picard et Cie 1964 In8 broché 384 pages 24 planches hors texte Index des termes très bon état
Termes, signes, couleurs des cartes anciennes 1500 - 1800
Hachette Et Cie Editeur - Paris - 1906 - Edition Originale - Deux gros volumes épais- Complet - Volume 1 :504 pages, volume 2 :640 pages .Exceptionnel ouvrage contenant 3200 reproductions de cartes à jouer ,956 en couleurs,12 planches hors texte acquaréllées main ,25 phototypies,116 enveloppes de cartes à jouer ,340 vignettes et vues diverses, tables des matières complètes en fin de chaque volume - Serpentes protégeant bien les gravures - Volumes in folio non rogné demi veau rouge ,dos à nerfs ,couvertures conservées ,intérieur très frais,pas de rousseur .
ouvrage de référence pour collectionneur de cartes à jouer.
Librairie Hachette & Cie Paris 1906 2 volumes grands et forts in-4 ( 325 X 265 mm ) de XVI-504 et 640 pages, cartonnage éditeur illustré en couleurs, tête dorée. 3200 reproductions de cartes dont 956 en couleurs, 12 planches hors-texte coloriées à l'aquarelle, 25 phototypies, 116 enveloppes illustrées pour jeux de cartes & 340 vignettes & vues diverses. Edition originale et premier tirage. Minimes défauts aux mors et aux coiffes, ( comme toujours ), sinon très bel exemplaire, bien complet de ses serpentes, condition rare.
A Paris, Chez Saillant & Nyon; Pissot, 1774. In-8 de [4]-XIV-[2]-502-[2] pages, plein veau brun moucheté, dos lisse orné de fleurons et motifs dorés, étiquette de titre orange, plats encadrés d’un filet à froid, tranches rouges.
Illustré de culs-de-lampe et de 3 cartes dépliantes en fin d’ouvrage. Edition originale rare de la traduction française de ce recueil important dans lequel l'auteur résume de manière claire les voyages de Magellan, Medana, De Quiro, Juan Fernandez, Jacques Le Maire, Guillaume Schouten, Tasman, Abel Yasman etc... mais dans lequel surtout il défend, avant le retour de l'expédition de Cook, l'existence encore théorique d'un continent austral (cf. Hill) « This important work, issued before the return of Captain Cook's expedition, is the result of Dalrymple's strong belief in the existence of a southern continent ». L'Ecossais Alexander Dalrymple (1737-1808) travailla surtout comme hydrographe pour la Compagnie des Indes orientales et l'Amirauté britannique. Sabin 18344 - Chadenat 3184 "ouvrage important pour l'histoire des découvertes aux terres australes." - Hill p.292 (pompage lamentable - je suis paresseux- de l'excellente notice de notre confrère Alain Marchiset, de la librairie L'Intersigne).
Amsterdam, [circa 1696]. 492 x 580 mm.
Belle carte de l'Europe, ornée d'un cartouche de titre porté par des anges et de la déesse Europe chevauchant le taureau dans lequel s'était métamorphosé Zeus. La famille Danckerts d'Amsterdam, considérée comme l'une des plus réputées du 17ème siècle dans le domaine de la cartographie, comptait parmi ses membres d'excellents dessinateurs et graveurs. Elle détient à son actif quelques-uns des plus beaux atlas de l'époque. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque.
Paris, Editions Eyrolles, 1948. "16 x 24, 307 pp., broché, bon état (couverture défraîchie; cachets d'ex-propriétaire dont 1 sur la couverture)."
Danielle LECOQ, Michel LEQUENNE et Frank LESTRINGANT
Reference : LFA-126745191
(1992)
Un ouvrage de 62 pages, format 250 x 210 mm, illustré, broché couverture couleurs rempliée, publié en 1992, Société des Découvertes / Henri Berger Productions, bon état
Phone number : 04 74 33 45 19
Librairie Arthème Fayard (imprimerie Coulouma), 1948; 2 tomes in-8 (228 mm), brochés, couverture crème rempliée et illustrée ; 491, [3 bl.]; 505, [5 bl.] pp.
Edition bibliophilique illustrée parue quasi en même temps que l’édition ordinaire ; les illustrations, cartes, frontispices, bandeaux, etc. sont tirés en bistre ; tirage à 1600 exemplaires, celui-ci N°634 des 1400 sur vélin du Marais numérotés. Exemplaire non coupé en excellent état. Première partie de cette volumineuse histoire de l’Eglise du Christ.
Phone number : 06 60 22 21 35
Librairie Fayard, 1946-1945 ; quatre tomes in-8 (228 mm), brochés, couvertures rempliées décorées ; 238; 329, [5 bl.] ; 410, [3 bl.], 1 carte dépliante ; 392, un plan dépliant ; frontispices, figures, lettrines, culs-de-lampe gravés sur bois et tirés en bistre.
Edition bibliophilique : I imprimé par Coulouma à Paris, un des 200 hors-commerce sur vélin de Rives BFK (N° HC 31), bel envoi “à M. et Mme Delaroche Vernet pour leur souhaiter bon Noël en amical hommage Daniel-Rops décembre 1946”.II imprimé par Chaix à Paris, un des 1400 sur Vélin du Marais (N°463) ; bel envoi “à Monsieur Joseph Belle, en union de foi et d’espérance, cette esquisse du seul Modèle. Daniel-Rops” ; on ajoute : photographie du portrait au crayon à papier de Daniel Rops par Henri de Nolhac daté du 1er juin 1943, avec envoi autographe signé : “à M. J. Belle en souvenir cordial de nos rencontres. Daniel-Rops” et lettre autographe signée plus enveloppe manuscrite à J. Belle, 1 f. in-8 plié en deux, adresse en cachet sec : “8 mai (1946). Cher Monsieur, je serai extrêmement heureux de vous revoir si vous pouvez venir jusqu’à moi lundi 13 à 6 heures du soir. D’avance je vous dis mon très fidèle souvenir Daniel-Rops. Metro Sablons descendre en queue de train rue du marché au bout à droite.”Les quatre volumes sont en parfait état. Seconde partie de l’Histoire Sainte, “Jésus en son temps” fut probablement son plus grand succès de librairie, traduit en plus de quatorze langues, il fut vendu à plus de 500 000 exemplaires, la présente édition étant la plus belle, elle est parue presque en même temps que l’édition ordinaire.
Phone number : 06 60 22 21 35