Sceaux. Charaire. (1882). 1 feuille in-8 (188 x 283mm) grande gravure sur bois signée Cardon au recto et texte du début du roman Le Rendez-vous sur 2 colonnes au verso.
Amsterdam, Maison R.C. Meijer, 1868. "16 x 24, 388 pp., broché, état moyen (couverture déchirée avec 1 très important manque à l'arrière; intérieur correct)."
(L'Action Sociale Limitée) In-8 Couverture souple Québec 1925
Bon 201 pages. Légère usure à la couverture. Contient plusieurs études historiques sur la présence des Jésuites à Québec et en Nouvelle-France.
Louvain, J.-B. Istas, 1893. 15 x 22, 158 pp., reliure dos/coins toilés, plats papier marbré, bon état (cachets du collège jésuite Saint Stanislas à Mons).
s.l., 1777, 1 br., sans couverture, exemplaire à relier. in-12 de 33 pp., mouillures, galerie de vers en marge ;
M. Le Comte De ***, indique au Président du Parlement de Paris, les moyens à employer pour empécher le retour des jésuites et faire avorter leur projet de s'établir à l'Ecole Militaire.
Phone number : 06 80 15 77 01
S. l. [Toulouse ?], , S. l. [Toulouse ?], 1763 ; in-12, veau fauve marbré, dos lisse orné, tranches marbrées. (Reliure de l’époque) 3 ff. n. ch., 378 pp.Ouvrage anonyme qui semble rare. Inconnu de Barbier, Carayon. Cité dans le tome XI de Sommervoegel n°1232 - Conlon 63275.Ces lettres sont datées de Toulouse du 1 au 31 juillet 1763. Elles renvoient au livre de Roussel de la Tour paru en 1762 sous le titre Extraits des assertions dangereuses et pernicieuses en tout genre que les soi-disans jésuites ont, dans tous les temps... soutenues, enseignées et publiées dans leurs livres.Elles sont ici réfutées : impostures dans les extraits latins, dans la traduction française des extraits, dans les titres, la chronologie, etc.L’exemplaire provient de la bibliothèque du Marquis d’Aligre (ex-libris.) Né à Paris en 1726 dans une famille qui compta deux chanceliers, d’Aligre fut nommé Président du Parlement en 1768. Il fit plusieurs fois des remontrances au roi contre les impôts et contre les opérations ministérielles subversives. En 1788, en présence de Necker, il lut un mémoire au roi dans lequel il pronostiquait les malheurs qui, selon lui, découleraient de la convocation des États-Généraux. N’ayant pas été écouté par le roi, d’Aligre démissionna du Parlement. Le jour de la prise de la Bastille il fut arrêté mais put s’échapper grâce à un de ses anciens domestiques. Il émigra à Londres où l’attendait une fortune placée dans une banque anglaise. Il mourut en 1798 à Brunswick, laissant une fortune colossale à ses deux enfants.
Collège Sainte-Marie Couverture souple Montréal 1929
Très bon In-8. 84 pages. Contient des fac-similés des signatures autographes.
Louvain, Museum Lessianum, 1934 15 x 23, 280 pp., broché, bon état (cachets, 1 trace d'étiquette sur la couverture)
Paris, Retaux-Bray, 1891 13 x 20, 394 pp., broché, bon état (dos défraîchi)
en frontispice, portrait de Monseigneur Alexix Canoz
1762 Soissons, Courtois-Despilly 1762, brochure in 4 de 24 pp., bon ex.
Québec Augustin Côté, Editeur-imprimeur 1858
fort in-8 illustré de bandeaux et de lettrines, 3 volumes d'environ 800p. chacun, pagination multiple, avec une carte repliée. :: Complet de l'Avant-propos et de la lettre du père Biard. Index analytique au tome 3. TPL 71, Gagnon 1, 2971. :: Reliure de l'époque, demi-cuir noir (timbre de Granger Frères, librairie - papeterie - reliure, Montreal). Exemplaire correct, sans plus, 2 charnières faibles dont une restaurée, un mors ouvert, coins frottés. Ex-libris manuscriit ancien. Bon état.
Phone number : 1 514 820 2324
Montréal Editions du Jour 1972
In-8, 6 volumes. Couvertures illustrées. :: Réimpression de l'édition de 1858. :: Brochés, sous étui illustré. Bon état.
Phone number : 1 514 820 2324
Montréal Editions Elysée 1974
in-8 illustré, 2 tomes : xxviii, 356p.; et 404p. Cartonnage de l'éditeur. :: Réimpression de l'édition originale de 1861 [TPL 79], avec une présentation de Georges-Emile Giguère. Tirage à 1000 exemplaires sur vélin de luxe. :: Bon état.
J. M. Valois & cie Demi-toile à coins Montréal 1892
Très bon In-4. 403 pages. 2è édition. Sous reliure des Éditions Beauchemin. Restaurations anciennes aux premières pages.
s. l. n. d., s. l. n. d.(vers 1880) ; in-4, plein vélin, encadrement et décor central géométrique à l’encre noire, dos orné du même motif, tranches rouges. (Reliure de l’époque) faux-titre, titre et 812 pp. (mal chiffrées.)Manuscrit soigneusement calligraphié, chaque page dans un encadrement réglé à la plume. 3 illustrations montrant sous la forme d’arbres les dépendances entre les différents domaines de la philosophie. Le texte semble inédit.PROLÉGOMÈNESPHILOSOPHIE EN GÉNÉRAL : De l’origine de la philosophie - Du sujet ou de la division de la philosophie - De l’objet de la philos.PHILOSOPHIE EN SES PARTIES : Logique : - Entendement - Jugement - Raisonnement - MéthodeETHIQUE, MétaphisiqueMORALEHISTOIRE DE LA PHILOSOPHIEPremière époque, philosophie orientale - Deuxième époque, philosophie grecque - Troisième époque, philosophie des cinq premiers siècles de l’ère chrétienne - Quatrième époque, philosophie du Moyen Âge - Cinquième époque, philosophie moderneLe titre de l’ouvrage “Philosophie” porte le monogramme A. M. D. G. indiquant que l’auteur du cours est probablement un jésuite. La signature Balincourt figure sur le premier feuillet de texte et un feuillet à l’intérieur du volume. L’ouvrage provient de la bibliothèque de la famille Testu de Balincourt.
Phone number : 03 86 50 05 22
Paris Brière et Ponthieu 1826 in-32 broché un volume, broché bleu in-32 editeur (11 x 7,3 cm), dos et 1ère de couverture imprimés en noir, long papier, toutes tranches non-rognées, signature Ex-Libris à l'encre brune en haut de la page de garde : BELLIOTTE ( A. BELLIOTTE DE LA VILLE ALLAIN avocat à la cour, Sénéchal de la Vicomté de Donges demeurant à Guérande Paroisse de St Aubin), sans illustrations (no illustration), (62 + 1 p. de tables) pages, 1826 Paris : Brière et Ponthieu Editeurs,
Table : - Déclaration du clergé de France de 1682...7, - Edit de HenriIV, du 7 Janvier 1595, contre la société des Jésuites....13, - Edit de Louis XV, concernant la société des Jésuites...21, - Extraitdes registres du Parlement, du 1er Décembre 1764....25, - Extrait de la bulle de Clément XIV, concernant les Jésuites....27, - Histoire Abrégée des Jésuites....33, - Arrêt de la Cour Royale de Paris dans le Procès du Constitutionnel....57, - Arrêt de la Cour Royale de Paris dans le Procès du Courrier-Français....61 ... Bel Exemplaire ..... RARE ..... en trés bon état (very good condition). en trés bon état
Paris, R. Prin 1846 2 volumes. In-4 27 x 16,5 cm. Reliures demi-basane fauve, dos lisses ornés de roulettes et de filets dorés, pièces de titre et de tomaison cuir noir, 411-411 pp., 15-15 gravures coloriées sous serpentes, Table des matières et placement des gravures à la fin de chaque volume. Coupes frottées, Vol. II avec moiullures marginales en continu.
Bon état d’occasion
S.l., s.d. (1764) in-8, 23 pp., texte latin et traduction française en regard, en feuilles, cousu.
Contient le bref In hac tanta Gallicanae Ecclesiae perturbatione du pape Clément XIII adressé au roi de Pologne Stanislas Ier le 24 août 1763 (p. 1-15). Suivi du bref Non putamus destiné à l'archevêque de Paris, Christophe de Beaumont le 15 février 1764 (pp. 16-23). Dans les deux cas, le pontife, pressé de toutes part par les Couronnes catholiques, renouvelle son soutien aux Jésuites. Ces tentatives seront vaines, comme l'on sait : l'expulsion du Royaume fut effective dès novembre 1764, en attendant les démarches renouvelées pour la suppression de l'Ordre.ON JOINT : [LE PAIGE (Louis-Adrien) :] Réflexions sur les deux nouveaux brefs donnés par la Cour de Rome, sous le nom de Notre Très-Saint Père le Pape Clément XIII. S.l.n.d. [1764], 36 pp. Cf. Maire : De la cause de Dieu à la cause de la Nation (Paris, 1998), p. 689. On se doute que le commentaire donné par le coryphée des Amis de la vérité n'est pas spécialement favorable à la "soi-disant Compagnie de Jésus". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris. Dillen. s. d. In-4 (190 x 237mm) broché, couverture jaune imprimée en rouge et noir et illustrée d'un petit dessin signé H. BRETON, 47 pages, 12 pages d'illustrations non comprises dans la pagination. Dernière de couverture un peu plissée, sinon bon état.
Paris. Dillen. s. d. In-4 (190 x 237mm) broché, couverture jaune imprimée en rouge et noir et illustrée d'un petit dessin signé H. BRETON, 34 pages, 12 pages d'illustrations non comprises dans la pagination. Petits défauts mais bon état. (un cahier incomplet a été inséré en plus après la page 14, mais le texte est par ailleurs complet).
Moulins, Veuve Vernoy, 1767 ; in-4 en feuilles, 8 pages. Bel entête gravé sur bois. Cachet humide de la collection de l'historien moulinois Francis Pérot.
Cet arrêt vient confirmer et renforcer les mesures de bannissement prononcées dans l'édit royal de Louis XV en novembre 1764 ; par ce texte le Parlement demande au roi d'expulser complètement les Jésuites du royaume, mais il semble que Louis XV n'ait pas donner suite, il écrit : "Je n'aime point cordialement les jésuites, mais toutes les hérésies les ont toujours détestés : ce qui est leur triomphe. Je n'en dis pas plus. Pour la paix de mon royaume, si je les renvoie contre mon gré, du moins ne veux-je pas qu'on croie que j'ai adhéré à tout ce que les parlements ont fait et dit contre eux". (Cité par Philippe Lécrivain, S.j. Facultés jésuites de Paris, "Les jésuites et le Parlement dAix au XVIIIe siècle". In "Le Parlement de Provence", édité par Amis de la Méjane, Presses universitaires de Provence, 2002, p. 189).
Jésuites - VATIMESNIL - RAVIGNAN - BeNeZET - G., (Avocat) - VOISINS (Gilbert)
Reference : 53664
(1854)
Poussielgue-Rusand - Sagnier & Bray - Plancher 1854 In-8, demi-basane grenat ép., dos lisse orné de filets dorés, 32- 62- 166- 188- 44- XVI- 336 pp. Dos insolé, menus frottements.
Intéressant recueil factice. En outre : Lettre de M. de Vatimesnil au R. P. de Ravignan suivie d’un mémoire sur l’état légal en France des associations religieuses non autorisées ; Extrait d’un mémoire de M. de Vatimesnil sur l’état légal en France des associations religieuses non autorisées, et en particulier de celle des Trappistes. Bon état d’occasion
K221- ROLLAND d’ERCEVILLE ( Barthélémy Gabriel), MEURGEY de TUPIGNY (Jacques) : Le « Typus religionis ». Description d’un tableau conservé au Musée de l’Histoire de France. Avant-propos de Charles BRAIBANT. Paris, Imprimerie Nationale, 1956.
Reference : K221
(1956)
TEXTES : l’ouvrage débute par un « Avant-Propos » par Charles BRAIBANT (Villemomble [93], 1889 - Paris [XVI°], 1976), archiviste-paléographe (1914), directeur des Archives de France depuis 1948. L’essentiel de l’ouvrage porte sur le « Rapport » présenté au Parlement de Paris, le 15 juillet 1763, par le Président ROLLAND, suivi de la « Description du tableau ». Les pages liminaires (« Typus Religionis », Histoire du tableau, [notice sur] le président Rolland) et les dernières (Appendice [ traductions en français], Conclusion et Bibliographie), sont de J. MURGEY de TUPIGNY. PRÉCISIONS SUR L’AUTEUR : né Jacques-Pierre MEURGEY (Paris, 1891-1973), diplômé de l’École des Chartes en 1924, spécialiste reconnu en sigillographie et en généalogie, à l’époque directeur-adjoint des Archives Nationales ; il sera Commandeur de la Légion d’Honneur en 1961 ; par ailleurs, Chevalier de l’Ordre souverain de Malte [NOTE4]. Accessoirement adoubé dans l’Ordre Francisquin, dans les années 40 : dans la liste alphabétique, il est inscrit entre le docteur Ménétrel et François Mitterrand. Son patronyme devient MEURGEY de TUPIGNY [NOTE 5] par décret du 22/12/1954 ; parfois qualifié de « baron » (NOTE6], comme cela figure, par anticipation, sur deux modèles de son ex-libris, l’un daté de 1947, dessinés par Robert LOUIS, artiste auquel on doit les séries de timbres-poste relatifs aux provinces et villes de France. Par ailleurs, les Archives parisiennes nous apprennent que ses bisaïeux étaient « négociants » ; une de ses tantes avait épousé le fils de Félix Potin , épicier, fondateur de la célèbre enseigne éponyme. Dans son arbre généalogique, il y a donc plus d’épiceries de quartier que de quartiers de noblesse. Et pourtant, dans son volumineux « Armorial de la Généralité de Paris » (Mâcon, 4 vol.,1965-1967), J. M.de T. écrit dans sa préface : « Comme on le croit souvent à tort, et non plus que la particule devant le nom, les armoiries ne sont preuves de noblesse » (Georges Cerbelaud-Salagnac, dans son commentaire sur l’Armorial , in www.erudit.org).
BILLOM COMMUNAUTÉ... TYPUS REVISIONIS...On peut voir à Billom (Puy- de- Dôme), dans la Mairie, une copie du tableau. Une petite plaquette informative, éditée par « Billom Communauté » (de communes), quelques pages illustrées en quadrichromie, dans la série « Focus », est mise à la disposition des visiteurs. Disponible sur Internet (https://billomcommunaute.fr), sous-titrée (Google) « Un guide explicatif dédié au « Typuse ( sic !) Religionis ». Cela commence bien. J’ai pu relever une vingtaine de fautes, imprécisions, omissions, etc. dont voici un aperçu : - sur la date : « dernières années du XVI° siècle », contredit quelques lignes plus loin par cette phrase d’une lourdeur exceptionnelle : « Cependant, on ne peut pas non plus affirmer que ce ne soit pas Ravaillac » [1610] (en bon français, deux négations qui se suivent, relatives à un même objet égalent … une affirmation). Il en résulte que ce sont bien les régicides Clément et Ravaillac qui sont accueillis sur le vaisseau… Éventuellement, le cas échéant, si, sur cette échelle - et à côté-, ce ne sont point des régicides et leurs maîtres à penser, qui donc sont ces personnages ? Décidément, ce tableau est incontestablement « mystérieux », - ce fragment étonnant, le plus important de ce texte : « La lecture du tableau faite en 1763 par le président Rolland est erronée car elle est anecdotique, le sens général du tableau n’a pas été compris ». Anecdotique, la scène la plus importante du tableau ? En son centre, le navire ; sur le pont, au mitan de celui-ci, Loyola exhibe ostensiblement le sceau des Jésuites « IHS » ; toujours au centre de l’image, l’échelle recevant ces personnages … En revanche, le Pape est relégué, en contrebas, dans une barque, attelée à l’arrière du navire. Le Pape montera donc après assassins et complices. Ce tableau n’est pas, paraît-il, un tableau d’église, mais un objet « didactique », aujourd’hui on dirait « pédagogique », dont le but était d’inculquer à ces chers petits les bases de la Religion catholique romaine : cette vision de la Papauté est certainement…anecdotique. - L‘auteur – anonyme - de la plaquette a eu, malgré tout, une intuition géniale, quoique … anecdotique, au sujet de Jacques Clément et de François Ravaillac escaladant une échelle, accueillis à bras ouverts par le jésuite Varade ; « Peut-être le peintre s’est-il amusé (…) ». Allégoriquement, peut-être voulait-il simplement nous « mener en bateau » ? [NOTE7] - ce tableau , empli de figures, d’images, accompagnées, de bulles (censuré par le Vatican), de nombreux cartouches, dans sa version gravée à l’eau-forte, le « Typus Religionis » est, au même titre que la Tapisserie de Bayeux, un ancêtre de la B.D. En fin de compte, ce « travail » anonyme [NOTE 8] me paraît être de la bouillie (pardon, de la mauvaise potée auvergnate) pour touristes. À ce TYPUS REVISIONIS, il ne manque que l’Imprimatur. Avec un pape jésuite, tous les espoirs sont permis. IN FINE, je citerai un auteur , sortant certes de l’ordinaire, qui porte un jugement impartial sur le rôle des Jésuites dans les affaires de régicides : « Si les Jésuites ont été innocents des crimes de Jacques Clément, de Barrière, de Châtel et de Ravaillac ; s’ils ne furent pour rien dans les nombreuses conjurations ourdies contre la vie d’Élisabeth et de Jacques d’Angleterre, des princes de Nassau et de tant d’autres, il faut avouer qu’ il est bien étrange de rencontrer toujours dans ces faits quelque Jésuite confident du coupable. On se demande naturellement comment ces confesseurs, si habiles à s’emparer de l’esprit de leurs pénitents, n’ont jamais pu réussir à empêcher ces attentats dont ils avaient connaissance », tome I, 4. de l’ Histoire des Jésuites composée sur documents authentiques en partie inédits. Paris, Huet, 1858-1859, 3 vol. et Paris, A. Sagnier, 1870 (2° édition). [BNF, 305534**]. Il s’agit de René-François GUETTÉE [Blois, 1816- Ehnen ( Luxembourg], 1892], prêtre catholique de tendance gallicane voire janséniste, qui n’aimait pas les ultramontains : il se convertit à l’orthodoxie (1861), version russe, ultra Vistula , et se fera désormais appeler Wladimir ; marié civilement, ce prêtre hétérodoxe, embrassa l’orthodoxie et , sur un plan différent, sera « hétéro ».// [NOTE 1] Dans la « Bibliographie » [p. (45)], d’une part, sont citées deux gravures différentes du tableau, annoncées avec les « légendes en français » (sic)… Dans la première, jointe à la plaquette (1783), toutes les légendes sont en latin. D’autre part, est mentionnée « La Galère jésuitique » datée de 1826, avec « une estampe différente (…), avec les légendes en français », Paris, L’Huillier, 1826 (BNF, 36345639); il existe, une deuxième édition, parue la même année (BNF, 36345640). Par ailleurs un « Précis de l’histoire des jésuites (…),par Gabriel-Jean CHARVILHAC, accompagné d’une estampe du tableau trouvé (etc.…), paru à Paris, dès 1820, chez le même L’Huillier, montre une gravure qui semble identique à celle de 1826 [BNF 36345591, avec planche et (30226122), sans mention de planche ; photos visibles sur Bibliorare. com et LRB] [NOTE 2] Barthélémy-Gabriel ROLLAND, président du Parlement de Paris, premier comte de CHAMBAUDOIN par érection de la seigneurie en comté (par lettres patentes de Louis XV de janvier 1770, était seigneur d’Allainville, Annemont, Ardouville, Aubreuil, ERCEVILLE, Fontferrière, Gloriette, Judinville, La Muette, Trémeville, et Samois. Cette liste de fiefs, longue comme le bras, malgré l’acte de salubrité publique effectué trente ans auparavant, ne contribua certes pas à lui sauver la vie : il fut guillotiné le 20 avril 1794. [NOTE 3] « imposante peinture sur bois » (sic !), commentaire sur un concert (07/17/2009) dans l’hôtel de Soubise (« concertonet.com », longtemps « dissimulée derrière[sic!] une cimaise » . [NOTE 4] « l’ordre dit de Malte sous-entend noblesse, on y entre pour paraître noble sans l’être le moins du monde et ceci, en France tout particulièrement », l’admission dans cet ordre est devenue « principalement le refuge de la fausse noblesse » ou encore « en 1957, qui est noble va à l’ANF [Association d’entraide de la Noblesse Française], qui voudrait l’être va à Malte » (in Philippe du Puy de Clinchamps, Paris, P.U.F., « Que sais-je ? », La Noblesse, 1959 et La Chevalerie, 1966). [NOTE 5] de Tupigny, famille picarde éteinte depuis très belle lurette (fin du XVII° siècle); absente à l’ANF. [NOTE 6] rien sur son apparition (sur la toile, que des répétitions serviles, ce qui est bien dommage pour un « noble »). [NOTE 7] « mener en bateau », synonyme de «amuser» (CNRTL ). [NOTE 8] anonyme, néanmoins avec la caution morale de l’historien Bernard DOMPNIER (cité en exergue) , qui, entre autres, est « membre du Comité pontifical des sciences historiques (Vatican), membre de l’Accademia Ambrosiana, consultore storico auprès de la Congrégation romaine des Causes des saints » (« chec.uca.fr »). Espérons que la rédaction de ce torchon a été faite à son insu. Sinon… Cette fiche est un extrait d'un texte plus important, avec références bibliographiques, justificatifs et autres commentaires. DISPONIBLE en PDF sur simple demande.