Jean-Pierre Huguet Carnets des Sept Collines Jean-Pierre Huguet, Carnets des Sept Collines (N°32), 2008, 54 p., broché, environ 23x12cm, exemplaire numéroté 39/100, avec une estampe en frontispice rehaussée et signée de Brigitte Derbigny, dédicacé par Françoise Joly et Brigitte Derbigny, bon état.
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P., Bibliothèque Nationale, 1988. In-8, VII, 245 pp., broché.
Illustré de 208 planches. H.-A. Joly était Garde du Cabinet des Estampes de la Bibliothèque du Roy. Nous découvrons ici ce qu'était la "vie du conservateur" au XVIII° siècle à travers une pittoresque correspondance qui nous fait sentir toute l'importance de l'estampe à la fin de l'Ancien Régime.
D'après Bigg. Cadre et passe-partout anciens Londres 1790
JORY architecte, WILLIAM & FARGE, arch. directeurs, DUCHER et Cie, éditeur
Reference : 4426
Paris Ducher et Cie 19° 46 x 31 cm Le Recueil d'Architecture, Architecture Civile, 11ème section, Constructions privées suburbaines, villas, planches 1, 2 et 3. Trois planches gravées de 46 x 31 cm. Ducher et Cie, Librairie Générale de l'architecture et des travaux publics, imprimerie Dejey, Paris Venez consulter l'ensemble de mes objets sur mon site antharedeschuyter.fr !
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Lucien Vogel éditeur | Paris Avril 1914 | 19 x 24.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris Avril 1914 | 19 x 24.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Lucien Vogel éditeur | Paris 1924-1925 | 18 x 24 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Lucien Vogel éditeur | Paris 1924-1925 | 18 x 24 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris, Chez l'Auteur, 1821, 12 x 20, 439 pages sous reliure demi-veau chocolat. Dos à quatre nerfs titré et décoré de caissons festonnés. ; coins émoussés.
Le Journal des Dames et des Modes, Costume Parisien., an 7 (1799).Belle épreuve aux coloris très frais, coupée aux limites du cuivre 19 x 12 cm,sur vergé, montée sur carton fort
engraving, hand-colored; 19.5 x 12 cm. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Paris Au Ménestrel. - Henri Heugel, Editeur-Propriétaire (sans date, vers 1890) 0 in 4 (35x27) 1 fascicule broché, couverture illustrée en couleurs par Jules Chéret (les 2 plats de la couverture sont illustrés et lithographiés en couleurs par l'imprimerie Chaix, Ateliers Chéret, Paris), 2 pages de musique notée pour la chanson des joujoux: N°9, Les petits jardiniers. Musique de Claudius Blanc & Léopold Dauphin. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Broché
Paris Floury 1927 Cartonnage bradel
EDITION ORIGINALE de cette importante étude sur l'oeuvre graphique de Toulouse-Lautrec. Nombreuses reproductions en noir et en couleurs. 1 POINTE-SECHE originale de Toulouse-Lautrec, signée dans la plaque : portrait de Monsieur X. Cartonnage toilé rouge, lettre or sur pièce de titre au dos, couverture illustrée et dos conservés. Très bon 0
Biel, Vlg. der Heimatkundekommission Seeland, 1928. Gross-8°. 240 (2) S. Mit 21 (dv. 1 gef.) Tafeln und 1 gef., farb. Karte in Tasche. Orig.-Leinenband.
Sequoia, Paris-Bruxelles, 1965. In-8, relié, 243 pages, nombreuses illustrations, cartes n&b et couleurs. Dos partiellement cassé, couverture légèrement pliée, quelques rousseurs sur la tranche. Intérieur agréable. Exemplaire satisfaisant.
Belle estampe anglaise, tirée en brun. Jukes, très célèbre pour ses aquatintes est ici accompagné de wheatly comme dessinateur et aquafortiste, et hogg pour la partie burin. 570 x 415 1786
Gravure à l'eau forte, dimensions de la feuille 275 x 204 mm ; dimensions à la cuvette 190 x 125 mm.
Envoi par recommandée R2, 8 ; pour envoi vers l'étranger merci de me contacter pour devis. Etat correct, voir photo. Etat correct Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
1861 et 1867 Un album de 25 dessins comprenant des paysages animés, maritimes, des études de figures, scènes de genre et un peintre à son chevalet. In 4 oblong 24 x 31,1 cm en cartonnage brun orné d’une composition du le plat supérieur. L’album comporte 25 dessins au rayon noir et estompe. Trois dessins sont sur feuilles collées, importantes rousseurs, taches. La majorité des dessins sont signés ou monogrammés, situés et datés entre 1860 et 1867Joint, cinq petits carnets. Contenu du grand album: - L’album débute par une vue de Bretagne _ Menhir Mochmener- autoportrait du peintre dans sa chambre - Vue de bord de fleuve en France - Une vue de Rio de Janeiro de novembre 1861, Le Corcovado - Rio de Janeiro Botafogo et le Coronado, décembre 1861- Une vue du 26 août 1860- deux autres vues de France - La Lagoa, 13.10.1961- Le pain de sucre, 26.10.1961Le peintre fait lavé ses chevaux dans la mer - La Gabia, 12.7.62- Une excursion à la Loge, 12 janvier 1862- Al campo, 12mars 1862- croquis d’une paysanne - La quinta del Senor Don Alejandro, avril 1862- Ile Fernando de Noronha coté N. E ? 20 octobre 1862- Sous le tropique du Cancer, 29 Octobre 1862- Une marchande de fruits à Rio de Janeiro, 19 janv 1863- (Retour en France) Au camp de St Aubin 1863- Au camp de St Aubin 1863- Exercice militaire - Quatre vues de Bretagne On joint cinq petits albums :-Un album comprenant 49 dessins au crayon noir, figurant majoritairement les environs de Saint-Malo, Trouville, Tréport par le même artiste, certains sont monogrammés, situés et datés entre 1830 et 1852.-Un album comprenant 29 dessins au crayon noir de paysages et études de figures.-Un album comprenant 48 dessins au crayon noir de paysages et vues animées d’Italie et d’Égypte. La plupart des dessins sont situés et datés entre 1873 et 1876-Un album de dessins comprenant 57 dessins au crayon noir figurant majoritairement des études de figures et de sculptures. Certains dessins sont situés et annotés.-Un album de 44 dessins de Cécile Ballot-Moizard, (probablement fille de Jules Moizard) au crayon noir et aquarelle, paysages et scènes intérieures. Certains sont signés, situés, annotés et datés 1916 et 1917On joint :-Trois panneaux : deux vues des Pyramides du Caire et une vue d’un temple, huiles sur panneau du même artiste, signées et datées en bas à droite et en bas à gauche « J. Moizard 1874 »
Julien, Bernard-Romain (Bayonne, 16–11–1802 - Bayonne, 03–12–1871), dessinateur
Reference : 26375
Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 2 août 1832 (Planche n°186)- LithographieHauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 26.4cmx Largeur: 24.5cm - Titre en bas au centre : « Manière simple et facile de prendre et d’apprivoiser les dindons. » ; indications, en ht à gche : « La Caricature Journal (N°91) », en ht à dte « Pl. 186. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « Julien » [Bernard-Romain Julien, dessinateur lithographe ?]
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[Toulouse-Lautrec Henri de ] - JULIEN, Edouard Toulouse-Lautrec Henri de
Reference : 19279
ISBN : 2851320017
Paris Editions André Sauret / Editions Michèle Trinckvel 1992 in folio (38x28) 1 volume reliure cartonnée de l'éditeur sous jaquette en couleurs, 97 pages, avec 32 planches hors-texte d'affiches reproduites en couleurs. Catalogue par Fernand Mourlot. Etat de neuf ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Neuf Jaquette neuve Reliure
Bern, Typogr. Gesellschaft, 1776. (16) Bl. Mit 25 gest. Vignetten. Broschur der Zeit.
Das Papier unbeschnitten, stärker fleckig und gebräunt.
Bern, Typogr. Gesellschaft, 1776. (16) Bl. Mit 25 gest. Vignetten. Neuer Halblederband.
Das Papier unbeschnitten, stärker fleckig und gebräunt.
Bern, Ludw(ig) Albr(echt) Haller, 1819. 8°. Titel, XVI, 404 S. Mit Titelvignette und 4 gef. Tafeln in Holzschnitt von Johann Heinrich Ehrenfried Zimmer. Halbleder d. Zt. mit Rückenschild und Goldfileten.
Barth 540; Feller/Bonjour 7-10; Wyss 109-113; Greyerz, Nation und Geschichte im bernischen Denken, S. 29-32. - Erste gedruckte Ausgabe der ersten vollständige Berner Chronik. "Die Justingersche Chronik stellt vereits den Typus der schweizerischen Städtechronik in Reinkultur dar" (H. vonn Greyerz). - Einbandränder etwas berieben, zum Teil leichte Flecken, Wappen auf Titel etwas mit rötlicher Tinte nachgezogen.
Femme en maillot de bain (61 / 90 cm). Lithographie en couleurs imprimée sur Arches. Bon état.
2. Aufl. Chur, S. Benedikt, 1833. 8°. X, 320 S. Mit 1 Frontisp., 1 Titel in Aquatinta u. 3 (dv. 1 gef.) Aquatinta-Tafeln von J. Hürlimann nach Max de Meuron u. J. Suter nach S. Corrodi. Illustr. Pappband der Zeit.
Das Frontispiz u. die Tafeln zeigen das Bad Pfäfers mit seiner Umgebung, die Burg Wartenstein, Stift Pfäfers u. einer Ansicht der Badeanstalt in Pfäfers.
St. Moritz, Engadin Press AG, 1974. 45,5 x 34 cm. 12 Bl. Mit 12 Holzschnitt-Tafeln von Alois K. Schärzler (1874–1958). Orig.-Umschlag mit Holzschnitt.
Gedenkkalender zum 100. Geburtstag am 17. November 1974 von Alois K. Schwärzler. – Gemeinschaftswerk der Engadin Press AG, Samedan und Gottfried Grieshaber St. Moritz zu Gunsten des Altersasyls Oberengadin. Druck und Gestaltung durch die Engadin Press AG. Die Original-Holzstöcke wurden von dem Besitzer G. Grieshaber zur Verfügung gestellt.