Citadelles & Mazenod Paris 2000 Fort in-4 carré ( 320 X 255 mm ) de 617 pages, pleine toile sous jaquette illustrée en couleurs et étui maroquiné taupe. Superbe et abondante iconographie en couleurs et en noir dans et hors-texte. Très bel exemplaire en parfait état.
- Gravure 7 x 11 cm, sur feuille 16 x25 cm. Papier taché.
Vieux papier. Sans mention d'éditeur, Vers 1880.
Dimension extérieur : 51 x 70 cm. Image : 32 x 46 cm. Carte issu de l'atlas national illustré. En excellent état général, date du second empire.
Gravé par Auguste Laguillermie, né en 1841 et mort en 1934. C'était un peintre et graveur aquafortiste français, fondateur de la société artistique des aquafortistes français. Il travail régulièrement avec un Rainaud dont nous n'avons pas d'informations supplémentaires, nous savons seulement qu'ils gravaient régulièrement ensemble. Source : Wikipédia
2000 Skira, Seuil, Paris, 2000. Un volume in 4°, couverture souple rempliée, 184 pages, nombreuses illustrations, très bon état.
Peintre, sculpteur et, à l'occasion, graveur, Jean Vérame situe son travail à la dimension du paysage et développe un art nomade à l'échelle de la planète. Ses interventions sur les paysages le rattachent au courant du land art avec, à l'occasion, des uvres qui tiennent de l'installation et de la performance. Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
- Une feuille 20 x26 cm. Légères rousseurs.
Vieux papier. Fête le 28 août. Une gravure sur cuivre de 14, 5 x 10, 5 cm. J. J. Blaise, libraire-éditeur, Paris, 1825.
Basel, Chr. Krüst, s.d., vers 1860, 28,5 cm x 20, 5 cm. gravure sur acier, autour de l'image centrale de Fribourg se trouvent 8 vues, 2 de la Cathédrale, les 3 Ponts, la ‘Maison-de-ville’ et le ‘Colége St. Michel’. sous passepartout
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Phone number : 41 (0)26 3223808
Laurens 1928 in8. 1928. Broché. 128 pages. Bon Etat intérieur propre trace sur la couverture
Paris: Floury, 1924 in-12, [8]-iv pages, 88 planches. Broché, non coupé, très bel exemplaire. Un des 100 exemplaires sur "Papier Royal de Madagascar". ** 12mo. [8]-IVpp., 88 plates, [4 pp.]. Wrpps. One of 100 copies on "Papier Royal de Madagascar". Uncut, very fine.
Le troisième livre des monogrammes, cachets, marques et ex-libris composés par Georges Auriol. (Paris: Floury, 1924). [M.C.: arts décoratifs, monogrammes, gravure, graphisme]
S.l.n.d. (Paris ca 1925).- 6 gravures en couleurs sous chemise in-folio (260 x 338 mm)portant le titre et ornée d'une petite eau-forte. On joint 2 autres gravures faisant partie de la série Têtes d'affiches, Grock et Lucien Guitry. Chemise piquée et un peu abîmée, piqûres marginales sur les gravures. Ensemble sazns doute incomplet mais vraiment peu courant. Photo sur demande.
# AUTEUR: # ILLUSTRATEUR: Jean Matet # ÉDITEUR: # ANNÉE ÉDITION: 1911 # DÉTAILS: 2 Lithographies originales en couleurs avec encadrement, par Jean Matet, artiste peintre et illustrateur né à Montpellier en 1870, mort à Paris en 1936. Dimensions: 105x 38cm hors cadre. Avec cadre 117x 54cm. # PHOTOS visibles sur www.latourinfernal.com
# ÉTAT: par Jean Matet, artiste peintre et illustrateur. Légère déchirure (4cm) sans manque coté inférieur droit des 2 lithos.
London 1753 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT : 33,4 x 43,7 cm. (1753) à Londres Editeur inconnu,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris CHEREAU 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 42 x 30,5 cm, sans date (1770) à Paris chez CHEREAU rue St Jacques Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ..... RARE GRAVURE ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris Mondhare 1780 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 33,4 x 43,7 cm. (1780) à Paris chez Mondhare Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ...... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris CHEREAU 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 42 x 30,5 cm, tache brune en bas à gauche, sans date (1770) à Paris chez CHEREAU rue St Jacques Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ..... RARE GRAVURE ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris chez Daumont, 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 35 x 51 cm. , légérs plis sur la gravure, (1760) à Paris : Chez DAUMONT, Rue St. Jacques Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... Vue panoramique du Roamarkt à Francfort-sur-le-Main avec l'avenue des châtaignes et une vue sur l'église Sainte-Catherine, au premier plan : cavaliers et voitures tirées par des chevaux ..... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris chez Daumont, 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 35 x 51 cm. (1760) à PARIS chez Daumont Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ........ rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris CHEREAU 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 33,4 x 43,7 cm. (1770) à Paris chez CHEREAU Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ............ Peut-être inspiré du décor de l'opéra Dardanus : tragédie lyrique en un prologue et 5 actes sur une musique de Jean-Philippe Rameau, donnée pour la 1ère fois à Paris au Théâtre de l'Opéra, le 19 novembre 1739, puis remaniée en 1744; La lamentation de Dardanus dans sa prison (après avoir avoué ses sentiments à Iphise, fille de son rival le roi Teucer) n'apparaît dans l'acte IV qu'en 1744 et se fait prétexte à représenter une vue d'architecture imaginaire d'après Piranese .... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris Mondhare 1780 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 33,4 x 43,7 cm. (1780) à Paris chez Mondhare Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ..... RARE GRAVURE ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris Chez JEAN 1810 une vue d'optique en couleurs,GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 44 x 32,5 cm, sans date (1810) à Paris chez JEAN rue St Jean de Beauvais N°10 Editeur
La bataille de Raab se déroule le 14 juin 1809 près de Gy r, en Hongrie, et oppose l'armée franco-italienne du vice-roi Eugène de Beauharnais à l'armée autrichienne de l'archiduc Jean d'Autriche. L'affrontement se solde par une victoire des Franco-Italiens ....... rare gravure ........... en bon état (good condition).
Paris Basset 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 42 x 30,5 cm, sans date (1770) à Paris chez Basset rue St Jacques Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ..... RARE GRAVURE ........... en bon état (good condition). en bon état
1825 une vue d'optique en couleurs,GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 51 x 33,5 cm, sans date (1825) à Paris chez Basset Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public .......BELLE GRAVURE ..... RARE ........... en bon état (good condition).
1677 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 42 x 30,5 cm, Collection Faille. Cartes, plans et gravures. In plano II - siège de Cambrai 1677. Vue de la ville de Cambrai prise par le roi en 1677,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ..... RARE GRAVURE ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris CHEREAU 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 42 x 30,5 cm, sans date (1770) à Paris chez CHEREAU rue St Jacques Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ..... RARE GRAVURE ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris chezChereau, 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 35 x 51 cm. , légérs plis sur la gravure, (1760) à Paris : Chez Chereau, , Rue St. Jacques Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ....... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris CHEREAU 1790 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT : 33,4 x 43,7 cm. (1790) à Paris chez CHEREAU Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ....... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état