Couverture souple. Brochure 17 x 21 cm. 32 pages.
Livre. Edition réservée au corps médical. Editions L.E.P, Monaco, Décembre 1963.
In 12 demi-toile noire, titre, filets dorés, faux-titre, frontispice, titre illustré, 378 pages, illustrations hors-texte, frontispice, vignette de titre par Henry de MONTAUT. Paris librairie du Petit journal sans date. (1860) Petites rousseurs, en début et fin de volume ; Peu courant. Recueil de 74 nouvelles précédemment parues dans le Petit Journal
P., Maisonneuve & Larose, 2004, gr. in-8°, 197 pp, repères chronologiques, index, broché, couv. illustrée, bon état
"Alors que l'époque contemporaine est confrontée à la violence de ses interrogations sur les déterminismes raciaux, territoriaux, historiques, religieux de l'identité, et que commence à s'écrire l'histoire du métissage, la personnalité d'Ismayl Urbain, mulâtre originaire de Guyane, né en 1812 à Cayenne et mort en 1884 à Alger, apparaît d'une singulière actualité. "Homme de couleur", non reconnu par son père, un "blanc", il vécut son statut d'enfant naturel comme une blessure inguérissable, mais ce fut aussi l'aiguillon qui le poussa à chercher ailleurs que dans sa naissance la légitimité refusée par la société coloniale. Cet ailleurs, il le trouva dans la "Famille" saint-simonienne ; dans les amitiés qu'il y noua et qui lui ouvrirent les portes de la société parisienne ; dans la doctrine qu'elle professait et qui le conduisit à se convertir à l'islam. Interprète militaire, toute sa carrière, passée près du pouvoir - de la Monarchie de juillet au second Empire -, a été consacrée à l'Algérie. Reprenant à son compte l'utopie saint-simonienne de la "famille universelle des hommes", il a réussi à donner un sens à sa condition de métis en faisant de cette profonde ambiguïté, ni "Blanc" ni "Noir", le ressort de sa vie, comme en témoignent ses Ecrits autobiographiques, édités et publiés ici pour la première fois."
Paris, principaux libraires et marchands de nouveautés, juillet 1860 in-8, [4]-167-[2] pp., dérelié.
L'opuscule n'est pas anecdotique, mais veut illustrer les difficultés de la presse sous le régime très restrictif mis en place par l'Empire autoritaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Librairie Armand Colin Broché 1958 In-8 (16 x 25 cm), broché, 81 pages ; dos et bords des plats très légèrement brunis, intérieur frais, très bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Baudoin 1890 Paris , Baudoin , 1890 - In8 ( 23 x 14 cm) demi-basane a coins - dos à nerfs - 342 pages - couvertures conservées - dos et mors légèrement frottés .
Satisfaisant
Lille, L. Danel, s.d. (1853) in-4, 36 pp., broché sous couverture verte avec encadrements et titre poussés en lettres dorées.
Unique édition, peu commune.Le 24 septembre 1853, la Chambre de commerce de Lille organisait une réception en la présence de Napoléon III, avant d'inaugurer le 9 octobre suivant la pose de la première pierre d'une statue de Napoléon 1er "protecteur de l'industrie", dans l'immeuble construit en 1652-1653 par Julien Destrée et qui sera appelé plus tard "Vieille Bourse".À cette occasion, fut annexée au document-support et remise à Napoléon III une liste de patrons lillois et de leurs genres d'activités industrielles en 1853, particulièrement dans les domaines de la construction de machines et mécanique, du tissage et filature mécanique du lin et du coton, la teinturerie, apprêts, rouissage, la fabrication de produits chimiques, noir animal et colorants, soude artificielle, savonnerie, l'agroalimentaire avec la raffinerie du sucre et la fabrication de chicorée. À la fin de son discours, l'Empereur délègua au sénateur Jean-Baptiste Dumas, ancien ministre et cofondateur de l'École centrale des arts et manufactures, le soin de venir à Lille le 9 octobre 1853 pour des échanges avec Frédéric Kuhlmann sur l'établissement d'une école supérieure industrielle, qui est aujourd'hui devenue l'École centrale de Lille. Quant à la statue de l'Empereur Napoléon Ier, elle fut transférée au Palais des beaux-arts de Lille en 1976. Absent de Ruggieri. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
L’illustration Année 1860 Tomes XXXV et Tome XXXVI en un volume in folio demi-cuir vert titre filets dorés. (Poids plus de 4kg) Tome XXXV faux titre, titre illustré Janvier à Juin n° 880 du 7 janvier au n° 905 du 30 juin.. Chaque numéro de 16 pages, texte sur trois colonnes. 428 pages illustrées, dont humour par CHAM et BERTALL complet de la table alphabétique des articles et de la table alphabétique des gravures, contenus dans le tome XXXV Tome XXXVI faux-titre, titre illustré du n°906 du 7 juillet au n° 31 du 29 décembre 448 pages illustrées, dont humour. Complet de la table alphabétique des articles et de la table alphabétique des gravures, contenus dans le Tome XXXVI .Articles sur la Chine pages 18 42 159 196 262 283 362 409 411 427. Au tome XXXV, page 15 : Une ascension au Mont Blanc, avec illustrations d’après une photo de BISSON Frères La vallée de Chamouni ; Tome XXXVI, pages 177 180/181 napoléon et l’Impératrice en Savoie. Illustrations/ mer de glace etc. Couverture frottée avec un manque coiffe supérieure gauche renforcée ; Une déchirure réparée page 295 au tome XXXVI. Bon état intérieur, très nombreuses gravures par les meilleurs artistes .
FRANCOIS MASPERO. 1970. In-12. 526 pages. Couverture rempliée.
Très bon état général. Intérieur frais et agréable, extérieur propre, bon exemplaire de collection ou documentation.
Bonn, Röhrscheid, 1935 in-8, 245 pp., index, broché.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Emile-Paul, 1909. In-8, X, 366 pp., broché.
Avec 22 illustrations.
Paris, Jules Tallandier, Bibliothèque "Historia", 1926 ; in-8, relié en demi-basane rouge, couvertures conservées, 371 pp.
Ouvrage orné de 18 hors-texte en héliogravure. Photos sur demande.
Emile Paul Paris, Emile Paul, 1909. In-8 demi chagrin marron, dos à nerfs, couverture illustrée conservée. X + 366 pages. Bon état.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Emile Paul Paris, Emile Paul, 1909. In-8 demi-chagrin marron, dos à nerfs, couverture illustrée conservée. X + 366 pages. Bon état.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
PARIS, Lib. Félix Juven - Non daté, E.O. - Fort In-8 - 1/2 Reliure - Dos lisse - Pièce de titre noire, Titre doré -Gardes marbrées - Illustrations NB PP HT & fac-similés HT in-fine - XI-371 pages - Bel exemplaire
- Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Paris, Juven, s.d. (1906) in-8, XI-369 pp., 45 planches, demi-percaline verte à la Bradel, dos orné (Durvand).
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Juven, s.d. (1906) in-8, XI-369 pp., 45 planches, demi-percaline rouge à la Bradel, dos orné, couv. ill. cons. (reliure de l'époque). Dos décoloré de façon non uniforme.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
P., Emile-Paul, 1913, in-8°, , 1913, XV-423p., 18 illustrations, in-8, reliure d'époque demi-chagrin vert, dos lisse à caisson richement orné, tête dorée (dos passé, qques soul. stylo, bon exemplaire).
Paris, Emile Paul, 1913. In-8 de XV-423 pp., demi-basane bleue, dos à nerfs, tête dorée, non rogné, premier plat de couverture conservé (reliure de l'époque).
Quatrième édition illustrée de 18 illustrations hors texte dont un frontispice.
1909 P. Emile Paul 1909 in8, demi chagrin, X + 366 pages
bon état, bien reli&
1913 P. Emile Paul 1913 in8, demi chagrin, dos à 5 nerfs , XV + 423 pages. Bel exemplaire
bien relié
Emile-Paul, 1909, in-8°, x-366 pp, 22 gravures hors texte, index, reliure demi-maroquin vert, dos à 4 nerfs guillochés, titres et caissons ornés dorés, tête dorée, 1er plat de couv. illustrée conservé (rel. de l'époque), bon état
"Il pouvait sembler difficile, jusqu'à ces dernières années, de considérer avec impartialité les hommes et les choses du second Empire. Le temps passant, la République ayant obtenu la consécration de la durée et celle du succès, cette période relativement récente a fini par entrer dans l'histoire et c'est avec un sentiment de curiosité affranchie qu'on peut aujourd'hui en entr'ouvrir les archives. C'est ce que vient de faire pour une des physionomies les plus discutées et les plus attrayantes de cette époque, M. Frédéric Loliée. Le duc de Morny, dont l'élégante silhouette était restée jusqu'ici mystérieuse, a été placé par ses soins dans la pleine lumière de documents authentiques et c'est avec intérêt qu'on suit après lui la carrière d'un homme qui, libre de tout scrupule, connut plus de succès et retint plus de sympathies qu'aucun de ses contemporains. La naissance seule de Morny est déjà un roman. M. de Talleyrand, que sa qualité d'êvèque n'avait jamais empêché d'aimer les femmes et de leur plaire, avait eu en 1785 un fils d'une liaison avec Mme de Flahaut, qui devait devenir plus tard la fameuse Mme de Souza. Ce fils de Talleyrand, qui s'appelait Flahaut, comme son père supposé, eut lui-même des succès flatteurs et fixa notamment l'attention de la reine Hortense. C'est de cette rencontre que naquit, en 1811, Charles-Auguste-Louis-Joseph de Morny. Arrivé l'âge d'homme, au temps de la monarchie de Juillet, le jeune homme fut à vingt ans promu sous-lieutenant de lanciers, au titre curieux de « vainqueur de Juillet » et sans avoir pris d'ailleurs aucune part à la révolution qui renversa Charles X. Il resta officier quelques années, fit avec courage les campagnes d'Algérie mais d'une complexion délicate, il donna sa démission et rentra à Paris, où il se partagea entre le monde et la politique. Il ne semble pas qu'il fût à ce moment en relations intimes avec l'autre fils de la reine Hortense, qui devait être un jour Napoléon III. Il se contentait d'être un des lions de l'époque, de courir les clubs et les salons. C'est en 1849 qu'on le voit se rapprocher soudain du prince président, et presque aussitôt leur amitié va jusqu'à la complicité qui s'affirmera le 2 Décembre. Morny est le véritable metteur en scène du coup d'Etat..." (Jean Frollo, Le Petit Parisien, 13 août 1909)
Paris, Juven, 1907 in-8, 426 pp., nbses planches, index, bradel demi-toile marron (reliure moderne). Page de faux-titre restaurée. Ex-libris Daniel Pichon.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Emile-Paul, 1925, in-8°, xii-360 pp, 18 pl. de gravures et 30 pp de fac-similés hors texte, index, broché, couv. illustrée, dos recollé, état correct
"M. Frédéric Loliée a été assez heureux pour mettre la main sur une correspondance intime, absolument inédite, et sur les lettres des princes qui lui ont permis de reconstituer ce prodigieux roman, cette vie de la célèbre et très mal connue comtesse de Castiglione, surnommée « la Divine » pour sa beauté supra-humaine et qui, après avoir été la voix secrète, aux Tuileries, de la politique italienne, « la favorite », disait-on, de Napoléon III, la conseillère et l'amie des princes de la maison d'Orléans, termina, loin du monde, lasse de tout et de tous, son étrange aventure de rayonnement et de conquête. Il y a toujours eu dans la vie de cette femme étrange et belle, qui a pu dire, en exagérant un peu son rôle : « J'ai fait l'ltalie et sauvé la Papauté », de l'obscurité et du mystère, un mystère que le livre si captivant de M. Loliée n'éclaircit pas tout à fait, et c'est tant mieux : cette ombre qui plane autour d'elle rehausse encore le prestige de cette beauté souveraine, de cette femme faite pour l'amour et qui, ayant été très admirée, ne fut pas beaucoup aimée." (Ph.-Emmanuel Glaser, Le Mouvement Littéraire, 1912)
Emile-Paul, 1912, in-8°, xii-360 pp, 18 pl. de gravures et 30 pp de fac-similés hors texte, index, reliure demi-basane bleue, dos à 5 nerfs soulignés à froid, auteur et titre dorés, couv. conservées, bon état, envoi a.s. à l'académicien Alfred Mézières
"M. Frédéric Loliée a été assez heureux pour mettre la main sur une correspondance intime, absolument inédite, et sur les lettres des princes qui lui ont permis de reconstituer ce prodigieux roman, cette vie de la célèbre et très mal connue comtesse de Castiglione, surnommée « la Divine » pour sa beauté supra-humaine et qui, après avoir été la voix secrète, aux Tuileries, de la politique italienne, « la favorite », disait-on, de Napoléon III, la conseillère et l'amie des princes de la maison d'Orléans, termina, loin du monde, lasse de tout et de tous, son étrange aventure de rayonnement et de conquête. Il y a toujours eu dans la vie de cette femme étrange et belle, qui a pu dire, en exagérant un peu son rôle : « J'ai fait l'ltalie et sauvé la Papauté », de l'obscurité et du mystère, un mystère que le livre si captivant de M. Loliée n'éclaircit pas tout à fait, et c'est tant mieux : cette ombre qui plane autour d'elle rehausse encore le prestige de cette beauté souveraine, de cette femme faite pour l'amour et qui, ayant été très admirée, ne fut pas beaucoup aimée." (Ph.-Emmanuel Glaser, Le Mouvement Littéraire, 1912)