Frankfut am Main, 1998, 210x145mm, 494Seiten, broschiert. Schönes Exemplar.
EHRENBOURG (Ilya) et Vassili GROSSMAN. (dir.).
Reference : 50298
(1995)
ISBN : 9782742706235
Solin/Actes Sud, 1995, gr. in-8°, 1131 pp, fac-similé de la couverture de l'édition de 1947 qui fut interdite, photographies des membres du Comité antifasciste juif emprisonnés, une carte, index des noms cités, reliure souple de l'éditeur, état correct
Le 22 juin 1941, les troupes allemandes envahissent l'Union soviétique. "L'opération Barberousse" est, aux yeux d'Hitler, le début de la guerre d'anéantissement du "judéo-bolchevisme". Alors que son armée est obligée de reculer, Staline accepte la création d'un Comité antifasciste juif. Au cours d'une tournée aux Etats-Unis, une délégation de ce comité rencontre Albert Einstein qui suggère que soient désormais consignées dans un "livre noir" les atrocités commises par les Allemands sur la population juive d'URSS. Réalisée sous la direction d'Ilya Ehrenbourg et de Vassili Grossman, cette relation "sur l'extermination scélérate des Juifs par les envahisseurs fascistes allemands dans les régions provisoirement occupée de l'URSS et dans les camps d'extermination en Pologne pendant la guerre de 1941-1945" est assez avancée en 1945 pour être envoyée au procureur soviétique du procès de Nuremberg, puis aux Etats-Unis où elle est publiée. L'édition russe du "livre noir", elle, ne verra jamais le jour : d'abord censurée, elle sera définitivement interdite en 1947. En 1952, les principaux dirigeants du Comité antifasciste juif sont condamnés à mort et exécutés d'une balle dans la nuque. Après l'écroulement de l'URSS et grâce à Irina Ehrenbourg, la première édition intégrale en russe du Livre noir a enfin pu être publiée en 1993 à Vilnius. La présente édition se veut le plus fidèle possible à ce livre retrouvé, terrible page d'histoire directe et témoignage bouleversant.
Messidor, 1991, in-8°, 227 pp, préface de Henri Alleg, 8 pl. de photos hors texte, broché, couv. illustrée, bon état
"Sous le titre «Deux rescapés du génocide racontent», Jacques (Iankiel) et Albert (Abram) Eideliman font le récit d'une même histoire, à deux mains, de deux frères. Deux regards, deux sensibilités face au drame d'une famille décimée, qui serait anéantie, sans ces deux survivants, et leur volonté unique, par-delà leurs différences, de témoigner. Leur livre est vrai, profondément vrai, douloureusement et atrocement vrai. On ne s'en arrache qu'à peine. Et on n'en sort pas intact : ces deux auteurs ont une très longue mémoire. Et de terribles souvenirs. Iankiel, auteur d'un journal et futur maquisard, est né en 1911, à Richkon, en Bessarabie, écartelée entre Russie et Roumanie ; Abram, au même endroit, en 1915. Famille pauvre, juive, avec ses simples aspirations au bonheur simple. Et ses drames, petits et démesurément grands. Autant dire que cela ne se résume pas. La fuite devant la misère et l'antisémitisme. L'arrivée à Paris (1929), les espoirs... En raccourci, une photographie (de famille) et sa légende: «La famille avant la tourmente: Jacques (rescapé), Henri (déporté), Etty (suicidée), Moïse (déporté), Jules (fusillé), Albert (rescapé), Liliane (cinq ans, déportée), Sarah (déportée).» Etty et Moïse sont les parents. Les fils portent fièrement l'uniforme français..." (Jean Morawski, L'Humanité)
Lakewood (New Jersey), Rabbi Shimon D. Eider, 1980. 21 x 28, 16 pp., broché, très bon état.
édition en français avec des expressions en Hébreu.
Berlin, Walter de Gruyter 1969 xvi + 367pp., 24cm., publisher's hardcover in grey cloth, in the series "Beihefte zur Zeitschrift für die alttestamentische Wissenschaft" volume 113, very good condition, R99373
1946 Editions du Mont-Blanc - 1946 - In-12, broché - 193 p.
Bon état - Infime pli de lecture au dos - Menus frottements sur la couverture
In-8, cartonnage éditeur, 457 pp., illustrations in texte. New York, Union of American Hebrew, 1973.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
Paris, Albin Michel (« Présence du Judaïsme »), 1978. in-8, 254 pp., broché, couv. ill.
Bon état. [BL-1] Retranscription des dialogues télévisés dominicaux.
1988 Lagrasse, Verdier, 1988, in 8° broché, 361 pages ; couverture illustrée ; quelques mots soulignés.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Paris, Stock, 1997. 15 x 24, 741 pp., broché, bon état.
Paris Fayard 1974 In-8 Broché Moyen
Couverture de papier glacé rempliée, illustrée en couleur ; 568pp ; traces de pliures au dos ; papier un peu jauni
Paris, Albin Michel, 1978 13 x 20, 254 pp., broché, bon état.
Collection Présences du judaïsme.
Paris, Verdier, 1990. In-8, broché, couverture illustrée en couleurs, 361 pp.
Photos sur demande.
Königsberg, , 1711. 2 parties en 2 vol. in-8 carré (17,5 x 21,5 cm) de (20)-1016-(1) pp. ; (4)-1111-(2) pp., caractères hébraïques et gothiques, veau brun, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Deuxième édition imprimée à Königsberg aux frais du roi Frédéric-Guillaume Ier de Prusse (« le Roi-Sergent », 1688-1740) à la demande des héritiers de l'essayiste allemand Johann Andreas Eisenmenger, mort sept ans plus tôt, en 1704. L'édition originale publiée à Francfort en 1700, avait suscité l'indignation des Juifs, qui avaient obtenu de l’empereur Léopold Ier (Vienne 1640-1705) la saisie de l'ouvrage et l'interdiction de le réimprimer dans les limites du Saint-Empire romain. « Un siècle et demi après l’intervention de Luther [avec son libelle Sur les Juifs et leurs mensonges, 1543], une nouvelle compilation d’arguments antijuifs paraît en Allemagne, due à un hébraïsant, Johann Andreas Einsenmenger (1654-1704). Son ouvrage, Entdecktes Judenthum (« Le Judaïsme dévoilé »), paru en 1700, de plus grande ampleur que le pamphlet de Luther, se présente comme une véritable encyclopédie antijuive [...] « Le Judaïsme dévoilé » est caractérisé par l’historien Helmut Berding comme « un ouvrage de référence de l’antijudaïsme aux débuts de l’ère moderne, où se trouvaient rassemblés tous les préjugés antijudaïques existant depuis le Moyen Âge ». L’historien Frank E. Manuel voyait dans l’ouvrage d’Eisenmenger l’acte de naissance de la « judéophobie scientifique ». [...] « Le Judaïsme dévoilé » d’Eisenmenger est par ailleurs devenu le modèle fondateur d’un genre littéraire antijuif : la dénonciation sur le mode du dévoilement ou du démasquage » (Pierre-André Taguieff, Aux origines du slogan "Sionistes, assassins !" in Les études du CRIF, n° 20).« Du temps des Teutoniques puis pendant encore assez longtemps après, les Juifs n’étaient pas autorisés à s’établir en Prusse. Mais, dans la seconde moitié du XVIIe siècle, l’Électeur se montra mieux disposé envers les marchands juifs, pourvu que leur nombre demeurât contrôlé et que leur présence fût profitable aux finances de l’État. Leur présence et la concurrence qu’elle pouvait entraîner demeurèrent mal acceptées de la population. Le plus souvent, les autorisations restèrent limitées dans le temps (par exemple pour des foires) et en nombre de bénéficiaires. Mais, peu à peu et discrètement, une communauté juive s’établit à Königsberg : en 1680, un lieu de prière lui fut autorisé dans la sauveté du Château, puis en 1703 un cimetière, ce qui entraîna la formation l’année suivante d’une confrérie chargée d’ensevelir les morts (Chewra Kaddischa). À cette date, il y avait environ 30 chefs de famille juifs, venus de Pologne et de Lituanie, mais quatre seulement ayant reçu un document (Schutzbrief ) reconnaissant leur droit à s’établir dans une ville où les autres n’étaient que tolérés. Dans la première moitié du XVIIIe siècle, c’est sous la protection électorale puis royale que s’organisa la communauté. En 1744, elle reçut son premier rabbin, Levis Epstein, venu de Grodno, et un hôpital fut créé, rapidement d’ailleurs enjeu de conflits internes. Elle reçut l’autorisation d’édifier une synagogue dans le faubourg méridional de la ville. Commencée en 1753, elle fut achevée trois ans plus tard. Dans les décennies qui suivirent se dessina de plus en plus une ligne de partage dans la minorité juive de Königsberg en fonction de l’attitude à adopter face aux Lumières et à l’intégration dans la société prussienne. Le phénomène avait commencé dans l’élite socio-culturelle de la communauté, représentée notamment par la famille Friedländer arrivée ici en 1718. Königsberg est, avec Berlin, un des lieux où la rencontre s’est effectuée entre le judaïsme et les Lumières. En 1779, lorsque Salomon Maimon se rendit à Königsberg, son vêtement et le fait qu’il parlait yiddish lui valurent d’être la cible des moqueries d’une partie de ses coreligionnaires. Au début du XIXe siècle, il y avait dans la ville, selon les sources, entre 650 et 900 juifs présents, soit entre 3 et 4 % de la population, seule une minorité de la minorité étant fortunée » (Chaline, Olivier « Königsberg, microcosme d'histoire prussienne », Histoire, économie & société, vol. 32, no. 2, 2013, pp. 97-108).Cachet ancien "Bibliothèque de Juilly" sur le titre ; ex-libris gravé non identifié "Hippocrates - Ex bibliotheca Cothenss… coll. med." non identifié (tome II). Petits accidents en tête et pied de dos, sinon très bon exemplaire en reliure d'époque.
Frankfurt am Main, Athenäum 1988 335pp., 19cm., softcover, 2 stamps, else VG
Paris, Editions A.L.T.E.S.S., 2004. In-4°, 358 pp., fig. dans et hors texte, intérieur frais. Rel. d'éd., proche du neuf.
Paris, A.L.T.E.S.S., 2001, 4ème éd. Hardcover grand in-8°, 358 pp., planches couleurs, cartonnage illustré.
Bel exemplaire. [NV-13]
2 Bde. München, Georg Müller Vlg., 1919. Kl.-8°. (X) 326 S.; (6) 315 (1) S. Orig.-Pappband (berieben, bestossen und fleckig, 2 Gelenke jeweils am Kopf mit 1-cm Einriss).
Eine Auflage von 3500 Ex. - Seiten durchgehend gebräunt.
Editions Presse Nouvelle 1980 1 vol. broché plaquette in-8, agrafée, 38 pp. Réunion d'articles paru dans La Presse Nouvelle Hebdo.
Stuttgart, Deutsche Bibelgesellschaft 1997 lxxi + 1574pp., "Editio funditus renovata16/01/2024 ditio quinta emendta", publisher's hardcover in brown cloth, 20cm., text in Hebrew, very good condition (looks unread), R115232
Jérusalem, Edition et Imprimerie Coopérative "Ahva", 1962, in-8 rel. 1/2 toile à coins brad. (17,5 x 25,5), 91 p., un portrait en front., quelques ill. in-t., fac-simile, bon état.
Né le 4 octobre 1892 et décédé le 6 juin 1978, Moses Bensabat Amzalak, économiste et intellectuel, fut une haute figure du judaïsme portugais. Voir le sommaire sur photos jointes.
Paris: François Maspéro, 1982 in-8, 208 pages. Broché, très bon état. Première édition. Collection "Voix".
Aïlen ou la nuit du récit. (Paris: François Maspéro, 1982). [M.C.: Judaica]
London, John Murray 1913, 245x180mm, XIV- 56Seiten, Verlegereinband.
100 Heliogravuren,
Paris, 1950. In-4 br. Trente et un dessins de M. Menjdjizki. Poème de Paul Eluard. E.O. Envoi autographe de Maurice Mendjizki à Jean Marcenac. Documents joints.
Basel, Volksdruckerei 1944, 210x145mm, 64Seiten, broschiert. Schönes Exemplar.