ENCREMER DIMONIQUE BEDOU. 1987. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 141 pages.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Classification Dewey : 841-Poésie
LE LIVRE. 1923. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 163 pages - petite annotation au stylo sur la page de faux titre.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
COLLECTION LE LIVRE DE BIBLIOTHEQUE . Classification Dewey : 841-Poésie
Tournai, Editions Unimuse, 1964. 11 x 18, 29 pp., broché, couverture à rabats, très bon état.
Tübingen, 2001 228pp., 21cm., text in German, Doctoral Dissertation (Philosophische Dissertation angenommen von der Neuphilologischen Fakultät der Universität Tübingen), softcover, stamp at verso of title page, text is clean and bright, T112471
Couverture souple. Brochure ronéotypée de 36 pages. Envoi de l'auteur à Romi.
Livre. Editions Malgré tout, 1968.
Paris Obsidiane 2011 1 vol. broché in-8, broché,124 pp. Envoi autographe signé de l'auteur à un poète et critique. Très bon état.
Harnoncourt, L’Apprentypographe 1985, 200x145mm, 21pages, en feuille sou chemise souple. Exemplaire sur papier vélin d’Arches, numéroté n.° 29 / 150. Bel exemplaire.
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Messidor. Avril 1987. In-8. Relié. Très bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 142 pages augmentées de nombreuses photos en couleurs et en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Classification Dewey : 841-Poésie
Paris Maurice Nadeau 1994 1 vol. broché in-8, broché, 54 pp. Edition originale. Envoi autographe signé de l'auteur à un poète et critique. Très bon état.
grand in 8 demi-cuir marron à nerfs et à coins,titre et date en pied,dorés.Faux-titre,titre avec vignette 214 pages,texte encadré d’un filet noir,1 page de table,non rogné,Le Havre imprimerie A Lemale Ainé 1871.Les deux plats de couverture sont conservés,pratiquement pas de rousseurs,édition originale sur beau papier.Rare
VEUVE MOQUET. 1894. In-8. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 204 pages- trâces de crayon à papier dans le texte sans conséquences sur la lecture. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Le pénitent- Credo- Le pouilleux- L'impudique-L'Hallali- Trouvaille- Les murailles de Chine- Entre vendus- L'esclave- A la plus vile- Duo d'amour- Extase- Pitié!- A une fleur flétrie... Classification Dewey : 841-Poésie
A Rouen, chez Maugard, 1936. Un volume in-4 broché, 253 pages, impression en deux tons. Rousseurs à la couverture, exemplaire numéroté, l'un des 600 sur vergé Antique Hollande. Edition originale.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné. La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Aux éditions de minuit. 1944. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos satisfaisant, Pliures. 79 pages - plats salis.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Exemplaire n°2292 sur vélin. Classification Dewey : 841-Poésie
Bruxelles, La Renaissance du Livre/Paris, Les Editions de Minuit, 1946. 12 x 17, 82 pp., broché, couverture à rabats, bon état (couverture légèrement défraîchie).
"N° 162 sur 2000 exemplaires numérotés; présentés par François La Colère (Aragon)."
A Paris Aux Éditions de Minuit, présentés par François La Colère (Louis Aragon), exemplaire sur vélin n°2300, 1 volume broché de format 16,5 x 12 cm, 83 pages, bon état.
Envoi en lettre verte
La différence 1994 In-12 broché 19 cm sur 13. 132 pages. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
Le Castor Astral, Escales du Nord, 2004, 100 pp., bilingue néerlandais / français, broché, légères traces d'usage, état très correct.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
, Amsterdam, Querido, 2001, softcover onder papieromslag, 145 x 210mm., 96pp. ISBN 9789021477459.
Elk gedicht is een gedraging, elke cyclus is een hecht maar explosief gedragspatroon. Elk gedicht van Nolens is een compacte manier van leven. Als nieuw.
La Difference, coll. « Orphée », n° 194 1994 Coll. “Orphée”. N194 In-16 broché,126 pp. Bilingue. Traduction en regard.Choix, traduction du Néerlandais et présentation par Danielle Losman.
Très bon état d’occasion
PLON. 1933. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 175 Pages - Un tampon et une petite étiquette de librairie contre collée sur la page de garde. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Classification Dewey : 841-Poésie
Plon 1933, in-8 broché, 175 p. (très bon exemplaire) Sur bon papier. Première édition de ce recueil de poèmes du célèbre historien d'art et conservateur du château de Versailles, avec un envoi au poète Gérard-Yves Le Dantec.
Plon, 1929, gr. in-8°, 32 pp, broché, 2e plat de couv. lég. défraîchi, bon état
Par Pierre de Nolhac (1859-1936), qui fut pendant des années conservateur du Musée de Versailles. — "... Le fronton du temple, cette frise où sont sculptés les dieux, c'est le Testament d'un Latin, chant héroïque, péan triomphal, adieu reconnaissant aux beautés du monde, aux trésors de la tradition et du savoir, au génie antique et aux lumières chrétiennes. Lorsque la malade eut – pour quelques jours – abattu ses forces, obscurci son regard, le poète n'accepta point de quitter le monde radieux où il avait vécu dans les joies de l'intelligence, de l'amitié et de la gloire sans avoir fait entendre son chant du cygne. Grâce à Dieu, il lui sera donné d'en écouter longtemps l'écho, et de le reprendre à la saison nouvelle. Je voudrais que ce large et magnifique poème, vous en eussiez la lecture, comme le poète me fit la grâce de l'entendre... Le poète chante l'honneur du sang français dont il est né ; il salue son Auvergne originelle, et la splendeur de la mer latine, telle qu'elle apparut à ses vingt ans. aux rives de la terre sacrée où respirent encore les dieux. « Par ses mille chemins où chante la Sirène », les héros s'élancèrent à la découverte du monde, à la conquête d'Ilion ou de la Toison d'Or. « Des mythes lumineux du matin et du soir » ils firent apparaitre des personnes divines. Mais « au groupe sublime » de l'Olympe « a manqué la Bonté ». II était réservé au vrai Dieu d'en apporter le mystère de salut au monde. La Méditerranée porta les apôtres de la Foi chrétienne comme les héros d'Homère ; elle entendit alors sur ses rives retentir le cri d'agonie du vieux monde : « Le grand Pan est mort ! » Une Rome nouvelle s'élève à l'empire du monde, pour régner, cette fois, dans la Paix, sur des âmes. Aux frontières assiégées des Barbares, « c'est la Gaule qui veille au salut de l'Empire ». La Gaule conquise sut conquérir à son tour les trésors de la sagesse de Rome, « participer à l'âme commune » et s'enrichir ainsi de sa défaite. Aussi le fils des Arvernes, unissant dans cet hommage pieux sa raison et son coeur, renouvelle « son serment de jeunesse à la Rome éternelle ». Mais, s'il salue l'Eglise catholique qui sait rassembler pour son œuvre de paix et d'amour « les maîtres de beauté, les savants et les saints », l'humaniste chrétien demande la permission d'exprimer un suprême regret, un adieu reconnaissant à la sagesse et à la beauté antiques Sa « journée » finira, plus douce et consolée, si c'est à l'ombre de l'Acropole qu'il relit l'Evangile. Les nouveaux barbares, acharnés à cette œuvre de mort, réussiront peutêtre un jour à briser la tradition qui a fait si longtemps la grandeur spirituelle de la France. Ce jour-là pour faire comprendre et sentir à nos enfants déshérités ce que fut la culture classique et de quelle flamme elle éclairait les esprits, il restera, du moins la ressource de leur faite apprendre par cœur le Testament d'un Latin. Puissent les siècles conserver longtemps ce précieux message." (Jean Des Cognets, L'Ouest-Eclair, 16 sept 1929) — "Les dieux latins, ils ont inspiré, on le sait, l'œuvre entière de M. Pierre de Nolhac ; sur ses poèmes surtout, leur clair sourire plane avec le plus de persuasive douceur. “Le Testament d'un Latin” exposait harmonieusement comment l'âme gauloise a reçu l'empreinte de la civilisation méditerranéenne ; il a suscité jusqu'à cinq traductions italiennes." (Le Figaro) — "... Cette inspiration qui résume son oeuvre et son âme, Pierre de Nolhac vient de l'exprimer avec ampleur dans un grave et sobre poème : “Le Testament d'un Latin”. Ce chant d'une épopée, historique et intérieure, déroule l'aventure de l'âme gauloise fécondée par l'âme latine..." (Maurice Levaillant, Le Figaro) — "M. de Nolhac m'apparaît, en effet, comme un des plus authentiques représentants de la tradition du vers doré, de la sentence enchâssée dans un écrin sans défaut. La perfection est ici atteinte sans effort ni recherche, de par la grâce modérée du Celto-Latin retrempé aux sources originelles." (Yves-Gérard Le Dantec, Revue des Deux Mondes)
Plon, 1929, gr. in-8°, 32 pp, broché, bon état, envoi a.s.
Par Pierre de Nolhac (1859-1936), qui fut pendant des années conservateur du Musee de Versailles. — "... Le fronton du temple, cette frise où sont sculptés les dieux, c'est le Testament d'un Latin, chant héroïque, péan triomphal, adieu reconnaissant aux beautés du monde, aux trésors de la tradition et du savoir, au génie antique et aux lumières chrétiennes. Lorsque la malade eut – pour quelques jours – abattu ses forces, obscurci son regard, le poète n'accepta point de quitter le monde radieux où il avait vécu dans les joies de l'intelligence, de l'amitié et de la gloire sans avoir fait entendre son chant du cygne. Grâce à Dieu, il lui sera donné d'en écouter longtemps l'écho, et de le reprendre à la saison nouvelle. Je voudrais que ce large et magnifique poème, vous en eussiez la lecture, comme le poète me fit la grâce de l'entendre... Le poète chante l'honneur du sang français dont il est né ; il salue son Auvergne originelle, et la splendeur de la mer latine, telle qu'elle apparut à ses vingt ans. aux rives de la terre sacrée où respirent encore les dieux. « Par ses mille chemins où chante la Sirène », les héros s'élancèrent à la découverte du monde, à la conquête d'Ilion ou de.la Toison d'Or. « Des mythes lumineux du matin et du soir » ils firent apparaitre des personnes divines. Mais « au groupe sublime » de l'Olympe « a manqué la Bonté ». II était réservé au vrai Dieu d'en apporter le mystère de salut au monde. La Méditerranée porta les apôtres de la Foi chrétienne comme les héros d'Homère ; elle entendit alors sur ses rives retentir le cri d'agonie du vieux monde : « Le grand Pan est mort ! » Une Rome nouvelle s'élève à l'empire du monde, pour régner, cette fois, dans la Paix, sur des âmes. Aux frontières assiégées des Barbares, « c'est la Gaule qui veille au salut de l'Empire ». La Gaule conquise sut conquérir à son tour les trésors de la sagesse de Rome, « participer à l'âme commune » et s'enrichir ainsi de sa défaite. Aussi le fils des Arvernes, unissant dans cet hommage pieux sa raison et son coeur, renouvelle « son serment de jeunesse à la Rome éternelle ». Mais, s'il salue l'Eglise catholique qui sait rassembler pour son œuvre de paix et d'amour « les maîtres de beauté, les savants et les saints », l'humaniste chrétien demande la permission d'exprimer un suprême regret, un adieu reconnaissant à la sagesse et à la beauté antiques Sa « journée » finira, plus douce et consolée, si c'est à l'ombre de l'Acropole qu'il relit l'Evangile. Les nouveaux barbares, acharnés à cette œuvre de mort, réussiront peutêtre un jour à briser la tradition qui a fait si longtemps la grandeur spirituelle de la France. Ce jour-là pour faire comprendre et sentir à nos enfants déshérités ce que fut la culture classique et de quelle flamme elle éclairait les esprits, il restera, du moins la ressource de leur faite apprendre par cœur le Testament d'un Latin. Puissent les siècles conserver longtemps ce précieux message." (Jean Des Cognets, L'Ouest-Eclair, 16 sept 1929) — "Les dieux latins, ils ont inspiré, on le sait, l'œuvre entière de M. Pierre de Nolhac ; sur ses poèmes surtout, leur clair sourire plane avec le plus de persuasive douceur. “Le Testament d'un Latin” exposait harmonieusement comment l'âme gauloise a reçu l'empreinte de la civilisation méditerranéenne ; il a suscité jusqu'à cinq traductions italiennes." (Le Figaro) — "... Cette inspiration qui résume son oeuvre et son âme, Pierre de Nolhac vient de l'exprimer avec ampleur dans un grave et sobre poème : “Le Testament d'un Latin”. Ce chant d'une épopée, historique et intérieure, déroule l'aventure de l'âme gauloise fécondée par l'âme latine..." (Maurice Levaillant, Le Figaro) — "M. de Nolhac m'apparaît, en effet, comme un des plus authentiques représentants de la tradition du vers doré, de la sentence enchâssée dans un écrin sans défaut. La perfection est ici atteinte sans effort ni recherche, de par la grâce modérée du Celto-Latin retrempé aux sources originelles." (Yves-Gérard Le Dantec, Revue des Deux Mondes)