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‎Renée VIVIEN‎

Reference : 78939

(1905)

‎"Tu es pareille à une sirène cruelle qui aurait aveuglé un esclave et qui se couronnerait étant nue, de l'indifférence de l'esclave aveugle devant sa beauté." Lettre d'amour autographe signée adressée à Natalie Clifford Barney‎

‎s. l. [Paris] s. d. [ca. 1905] | 12.50 x 16.70 cm | 4 pages sur un double feuillet‎


‎Lettre autographe signée ("Pauline" et "P.M.T.") de Renée Vivien adressée à Natalie Clifford Barney et rédigée à l'encre noire sur un double feuillet à en-tête à violette argentée et à l'adresse du 3 rue Jean-Baptiste Dumas.Pliure transversale inhérente à l'envoi. Très belle lettre d'amour et de reproche rédigée après la longue séparation de deux ans et probablement au retour de Mytilène (Lesbos) :"Est-ce vraiment pour moi que tu restes demain, Tout-Petit? ... Qui le saura jamais? ... Ce doute, que le passé justifie un peu, entrave mes plus hautains élans, et fait de moi la créature misérable et triste que je suis."Renée, fragilisée par les infidélités de Natalie, a du mal à lui accorder de nouveau sa confiance ("Je ne puis croire en toi")mais continue, en dépit de sa souffrance, à lui être entièrement soumise : "Tu m'as dédaignée alors que tu aurais été pour moi la révélation miraculeuse - Tu m'as dédaignée... Et aujourd'hui, tu t'étonnes de ne point me trouver telle que tu m'aurais rêvée, toi qui n'as pas pris le soin de me façonner à ta guise! Ecoute. Tu es comme un potier qui, voyant à ses pieds un argile informe, le repousserait, et qui, plus tard, voyant un de ses élèves en fait une statue imparfaite, exhalerait en termes amers sa colère et son dédain." Tiraillée entre douleur et désir, Renée réclame pourtant son amante : "Viens demain à minuit...si tu peux... si tu veux... si Ilse n'en décide pas autrement et si ton caprice te le permet..." Ces retrouvailles ne dureront pourtant pas: déchirée entre la baronne Hélène de Zuylen et Natalie, Renée enchaînera les voyages; tour à tour en Hollande, en Allemagne, en Suisse et à Venise, elle confiera ses hésitations à Kérimé Turkhan-Pacha sa compagne épistolaire du Bosphore. C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette,Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographiqueUne Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorablement. Je n'essayai point de la fuir, car j'aurais échappé plus aisément à la mort.» «Hiver 1899-1900. Débuts de l'idylle. Un soir, Vivien est invitée par sa nouvelle amie dans l'atelier de Mme Barney [mère de Natalie], 153 avenue Victor-Hugo, à l'angle de la rue de Longchamp. Natalie s'enhardit à lire des vers de sa composition. Comme Vivien lui dit aimer ces vers, elle lui répond qu'il vaut mieux aimer le poète. Réponse bien digne de l'Amazone.» (J.-P. Goujon,Tes blessures sont plus douces que leurs caresses) Suivront deux années d'un bonheur inégal, rythmées par les infidélités récurrentes de Natalie et la jalousie maladive de Renée dont les lettres oscillent entre déclarations enflammées et douloureuxmea culpa. «Renée Vivien, c'est la fille de Sappho et de Baudelaire, c'est la fleur du mal 1900 avec des fièvres, des envols brisés, des voluptés tristes.» (Jean Chalon,Portrait d'une séductrice) En 1901 survint une importante rupture qui durera presque deux années; Renée, malgré les sollicitations de Natalie et les intermédiaires qu'elle lui envoie pour la recon‎

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‎Renée VIVIEN‎

Reference : 79031

(1900)

‎"Tu veux entrer dans mon cur ? Mon cur n'est qu'un miroir où tu te mires..." Lettre d'amour autographe signée adressée à Natalie Clifford Barney‎

‎s. l. [Londres] Le 20 mars [1900] | 9.90 x 15.20 cm | 4 pages sur un double feuillet‎


‎Très longue lettre autographe manuscrite de Renée Vivien signée « Pauline » rédigée à l'encre noire sur un double feuillet de papier à en-tête du 24 Hyde Park Street.Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Belle lettre d'amour expédiée depuis Londres alors que Renée est auprès de sa famille : «Quelle lente et lourde journée, mon tout petit ! j'en ai tout le poids sur le cur Dieu, que j'ai mal, que je m'ennuie ! Ce matin, j'avais un faible rayon d'espoir, je croyais peut-être te rejoindre bientôt, ou même tout de suite, hélas ! hélas ! hélas ! Il est arrivé ce que je craignais, j'ai dû rester On se serait étonné, on aurait trouvé ça louche, si j'étais partie tout de même.» Cela ne fait que quelques mois que Renée et Natalie se fréquentent et on peut lire ici l'importance que revêt cette relation pour la Muse aux violettes qui n'a de cesse de se flageller: «Ta pauvre lettre, où chaque mot respire la mélancolie et la souffrance, me brise le cur. Je souffre, en la lisant, tout ce que tu as souffert. Pardonne-moi, Natalie, ma bien-aimée ! Tes reproches sont si doux qu'ils me déchirent l'âme plus que toutes les récriminations amères qu'un autre être moins aimant m'aurait criées... J'ai eu tort, cent fois tort, mille fois tort, de rester pourquoi donc ai-je obéi à un fantôme de Devoir, à un spectre de Pitié qui, je ne sais pourquoi, m'obsède et vient m'ôter des heures divines que le Destin pitoyable m'accorde... La réalité, c'est l'Amour, il n'y a que lui, rien n'est en dehors de lui, et, on souffre toujours de l'avoir sacrifié à quelque chose, si sainte soit-elle...» Très belle lettre empreinte de la dévorante passion de la Muse aux violettes pour son Amazone. C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette,Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographiqueUne Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorablement. Je n'essayai point de la fuir, car j'aurais échappé plus aisément à la mort.» «Hiver 1899-1900. Débuts de l'idylle. Un soir, Vivien est invitée par sa nouvelle amie dans l'atelier de Mme Barney [mère de Natalie], 153 avenue Victor-Hugo, à l'angle de la rue de Longchamp. Natalie s'enhardit à lire des vers de sa composition. Comme Vivien lui dit aimer ces vers, elle lui répond qu'il vaut mieux aimer le poète. Réponse bien digne de l'Amazone.» (J.-P. Goujon,Tes blessures sont plus douces que leurs caresses) Suivront deux années d'un bonheur inégal, rythmées par les infidélités récurrentes de Natalie et la jalousie maladive de Renée dont les lettres oscillent entre déclarations enflammées et douloureuxmea culpa. «Renée Vivien, c'est la fille de Sappho et de Baudelaire, c'est la fleur du mal 1900 avec des fièvres, des envols brisés, des voluptés tristes.» (Jean Chalon,Portrait d'une séductrice) En 1901 survint une importante rupture qui durera presque deux années; Renée, malgré les sollicitations de Natalie et les intermédiaires qu'elle lui envoie pour la reconquérir, résiste. «Les deux amies se revirent, et se f‎

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‎Renée VIVIEN‎

Reference : 78968

(1905)

‎"Tu vois bien que mes pensées te reviennent toujours." Lettre autographe signée adressée à Natalie Clifford Barney‎

‎s. l. [Paris] 30 mars 1905 | 11.50 x 15.90 cm | 6 pages 1/2 sur deux doubles feuillets‎


‎Lettre autographe signée «Pauline» de Renée Vivien adressée à Natalie Clifford Barney et rédigée à l'encre violette sur deux doubles feuillets à liseré de violettes.Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Très belle lettre d'amour évoquant l'unique roman de la Muse aux violettes, Une femme m'apparut. «Comment aurais-je pu ne point songer à toi Natalie, moi qui écrivais « Une femme m'apparut » - qui l'écrivais pour la seconde fois avec mes yeux nouveaux, et devenus plus clairs - avec mon cur plus calme et plus profond ?» Paru en 1904, ce roman - le seul de la carrière littéraire de Renée - conte les amours de la narratrice et de «Vally», Natalie Clifford Barney, de leur début à leur fin tragique et «l'apparition» de la salvatrice Hélène de Zuylen. Réconciliée avec l'Amazone, Renée entreprend de réécrire le livre qui paraîtra au début de l'année 1906: «Amélioration littéraire et stylistique? Non. Le souci de se justifier à nouveau, mais cette fois-ci face à Natalie Barney, ne fait point de doute. Les remords aussi: à présent, l'apparition qui donne son titre au livre, ce n'est plus Eva-Hélène de Zuylen, mais Lorely-Natalie Barney, et cela dès la page 2. Quand on sait que, durant l'été 1904, des retrouvailles impromptues, à Bayreuth, vinrent unir Natalie Barney et Vivien, on comprend mieux le sens de cette nouvelle version du roman, [Renée] ne fait que revenir sur son passé amoureux, pour nous en livrer une seconde version, revue et corrigée. Elle efface ainsi le choix final qu'elle avait suggéré dans la première version. Palinodie complète, et que vient confirmer le texte même des lettres que Vivien écrira à Natalie Barney en 1904 et surtout en 1905.» (J.-P. Goujon,Tes blessures sont plus douces que leurs caresses) Cette confusion des sentiments transparaît à travers cette lettre emplie d'oxymores: «je goûte une tristesse charmante à t'évoquer [...] quand je songe à toi, j'évoque ma plus belle douleur» La tristesse - mêlée à un amour inconditionnel - est ici poussée à son paroxysme: «Ne te laisse pas attrister par ma lettre grise de ce soir. Il y a des heures ternes - ce sont peut-être les meilleures - Dans tous les cas, ce sont les plus vraies [...] Et ceux qui sont, comme tu le dis «ingrats et joyeux» sont fort à plaindre.» Vivien s'efface tout à fait au profit de son aimée, lui proposant même de vivre à sa place: «Va - si tu le peux - là où je voudrais être - à Mytilène. Je verrais l'île merveilleuse à travers tes prunelles - tu me ferais respirer tous ses parfums - A dire vrai, le courage m'a manqué pour y aller. Je n'avais plus la force ni le désir de partir ainsi.Ne peux-tu, toi, aller à Mytilène et me rapporter des roses de là-bas ?» Pourtant, c'est ensemble que les deux amantes entreprendront bientôt le voyage vers Lesbos; ce sera le dernier de leur histoire. C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette,Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographiqueUne Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorab‎

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‎Renée VIVIEN‎

Reference : 79815

(1907)

‎"Vous chantez la rose aimée de Psapphâ, qui la comparait aux vierges amoureuses de Mytilène." Lettre autographe signée adressée à un poète‎

‎s. l. [Paris] Le 23 juillet (ca. 1907-1908) | 11.50 x 16 cm | 2 pages sur un double feuillet‎


‎Lettre autographe signée de Renée Vivien adressée à un poète, rédigée à l'encre violette sur un double feuillet de papier à en-tête orné d'un liseré de violettes. Pliures transversales inhérentes à l'envoi. «Monsieur, Je viens à l'instant de défaire le paquet qui contenait votre délicat volume, où j'ai cueilli de rares fleurs de poésie. Vous chantez la rose aimée de Psapphâ, qui la comparait aux vierges amoureuses de Mytilène. Parmi vos poèmes, je préfère: "Sa Voix", "Sa Grâce" et "Les Mains et l'Apothéose" [...] Renée Vivien.» Malgré la précision des titres évoqués, il ne nous a pas été possible d'identifier le poète à qui Vivien envoya cette lettre de remerciement. Ces titres ne sont pas sans évoquer les poèmes de la Muse aux violettes elle-même. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Renée VIVIEN - Camille LEMERCIER D'ERM‎

Reference : 78736

(1910)

‎La Muse aux violettes‎

‎Sansot | Paris 1910 | 13 x 19 cm | broché‎


‎Edition originale imprimée à petit nombre. Un poème de Renée Vivien en tête de l'ouvrage. Bel et très rare exemplaire. In memoriam... - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Renée VIVIEN - Camille LEMERCIER D'ERM‎

Reference : 81628

(1910)

‎La Muse aux violettes‎

‎Sansot | Paris 1910 | 13 x 19 cm | broché‎


‎Edition originale, un des 10 exemplaires numérotés sur japon, tirage de tête. Un poème de Renée Vivien en tête de l'ouvrage. Bel et très rare exemplaire. In memoriam... - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Renée VIVIEN - Hélène de ZUYLEN‎

Reference : 79017

(1906)

‎"Dis à tes cheveux que je les aime." Lettre autographe signée de Renée Vivien et Hélène de Zuylen adressée à Natalie Clifford Barney‎

‎s. l. [Paris] s. d. [ca 1906] | 11.50 x 15.90 cm | 4 pages sur un double feuillet‎


‎Lettre autographe signée "Paul" de Renée Vivien adressée à Natalie Clifford Barney et rédigée à l'encre noire sur un double feuillet à liseré de violettes. La baronne Hélène de Zuylen a adjoint un petit message manuscrit signé à la fin de la lettre : "Paule a raison vous êtes un être charmant et féerique!"Pliures transversales inhérentes à l'envoi. "Cher Tout-Petit, Ton domestique est venu dire que tu nous rejoindrais au théâtre. Mais il n'y a pas de théâtre! Peux-tu dîner avec nous jeudi ou vendredi? Si, dans la soirée de jeudi, tu n'es libre qu'après le dîner, viens nous rejoindre à n'importe quelle heure. Donne-moi un petit coup de téléphone pour me dire ce que tu feras et si je dois te faire chercher et à quelle heure? Dis à tes cheveux que je les aime." C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette,Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographiqueUne Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorablement. Je n'essayai point de la fuir, car j'aurais échappé plus aisément à la mort.» «Hiver 1899-1900. Débuts de l'idylle. Un soir, Vivien est invitée par sa nouvelle amie dans l'atelier de Mme Barney [mère de Natalie], 153 avenue Victor-Hugo, à l'angle de la rue de Longchamp. Natalie s'enhardit à lire des vers de sa composition. Comme Vivien lui dit aimer ces vers, elle lui répond qu'il vaut mieux aimer le poète. Réponse bien digne de l'Amazone.» (J.-P. Goujon,Tes blessures sont plus douces que leurs caresses) Suivront deux années d'un bonheur inégal, rythmées par les infidélités récurrentes de Natalie et la jalousie maladive de Renée dont les lettres oscillent entre déclarations enflammées et douloureuxmea culpa. «Renée Vivien, c'est la fille de Sappho et de Baudelaire, c'est la fleur du mal 1900 avec des fièvres, des envols brisés, des voluptés tristes.» (Jean Chalon,Portrait d'une séductrice) En 1901 survint une importante rupture qui durera presque deux années; Renée, malgré les sollicitations de Natalie et les intermédiaires qu'elle lui envoie pour la reconquérir, résiste. «Les deux amies se revirent, et se fut, en août 1905, le pèlerinage à Lesbos, qui constitua une déception pour Natalie Barney et demeura sans lendemain. [...] Le ressort était définitivement brisé. Les deux anciennes amies cessèrent de se voir dès 1907, et Vivien mourut sans qu'elles se soient revues. » (J.-P. Goujon,Ibid.) Précieuse et très rare lettre de Sapho 1900 à l'Amazone. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Renée VIVIEN - (à Natalie Clifford BARNEY)‎

Reference : 79028

(1900)

‎Lettre d'amour autographe signée adressée à Natalie Clifford Barney : "J'ai laissé mon cur sur tes lèvres, il y frémira quand tu me diras : Je t'aime !"‎

‎Sans nom d'éditeur | s. l. [Londres] Le 18 mars [1900] | 9.90 x 15.20 cm | 14 pages sur 3 doubles feuillets et 1 feuillet simple‎


‎Très longue lettre autographe manuscrite de Renée Vivien signée « Pauline » rédigée à l'encre noire sur trois doubles feuillets de papier à en-tête du 24 Hyde Park Street et un feuillet simple.Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Très belle lettre d'amour expédiée depuis Londres alors que Renée est auprès de sa famille: «Quand je pense qu'un télégramme va banalement et brutalement t'apprendre que je reste encore une semaine à Londres, j'ai envie de pleurer. Et pourtant, il ne faut pas que je pleure, cela m'affaiblirait trop, et j'ai besoin de toutes mes forces et de mon courage.» Cette très difficile séparation est, selon la jeune femme, un mal nécessaire, la promesse d'un avenir radieux: «Si je te fais ce chagrin, mon amie, c'est pour que nous soyons plus heureuses après.[...] Ne m'en veux pas de te faire attendre, je souffre plus que toi ; et si je t'impose, en me l'imposant moi-même, cette souffrance du désappointement, c'est afin de mériter mieux l'amour que tu m'accordes et le bonheur que tu me donnes, par la douleur et par le sacrifice. Je serai ainsi plus digne de toi, et tu m'aimeras mieux pour les larmes que j'ai offertes à notre amour. » Cela ne fait que quelques mois que Renée et Natalie se fréquentent et on peut lire ici l'importance que revêt cette relation pour la Muse aux violettes et son intarissable besoin d'être aimée: «Tu me pardonnes, dis ? Tu me souris toujours ? Je t'en prie, envoie-moi ton pardon, afin que je le sente comme une rosée sur mon front. Dis-moi de loin que tu m'aimes toujours, et je t'entendrai à travers tout l'espace qui nous sépare. [...] Je t'aime à en mourir, enfant chérie qui es le beau sourire blond de ma vie. Tout ce que je te dis et [sic] sincère. Crois-moi. Aime-moi.» Idéalisant cette relation, elle se livre à une superbe litanie: «Te faire souffrir, toi, qui m'as donné la joie rayonnante de mon existence ! Toi, qui m'as fait aimer la vie ! - Toi, qui m'as mis tant de beaux rêves dans l'âme, tant de bonheur et tant de chaleur au cur ! - Toi, qui es ma consolation, mon espérance, mon extase, la merveille et le miracle de ma vie ! - Toi, qui m'as donné l'amour, qui me l'as révélé, qui me l'as fait sentir et comprendre ! - Toi, que j'aime !» Très belle lettre-fleuve empreinte de la dévorante passion de la Muse aux violettes pour son Amazone. C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette,Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographiqueUne Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorablement. Je n'essayai point de la fuir, car j'aurais échappé plus aisément à la mort.» «Hiver 1899-1900. Débuts de l'idylle. Un soir, Vivien est invitée par sa nouvelle amie dans l'atelier de Mme Barney [mère de Natalie], 153 avenue Victor-Hugo, à l'angle de la rue de Longchamp. Natalie s'enhardit à lire des vers de sa composition. Comme Vivien lui dit aimer ces vers, elle lui répond qu'il vaut mieux aimer le poète. Réponse bien digne de l'Amazone.» (J.-P. Goujon,Tes blessures sont plus douces que le‎

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‎René FAILLE‎

Reference : 7081

(1964)

‎L'imagerie populaire cambrésienne‎

‎Bulletin du Vieux papier | Paris 1964 | 19 x 27.50 cm | broché‎


‎Edition originale. Iconographie, bibliographie. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎René FALLET‎

Reference : 73383

(1970)

‎Au beau rivage‎

‎Denoël | Paris 1970 | 14 x 20.50 cm | broché‎


‎Edition originale sur papier courant. Trois insolations sur le dos, infimes piqûres sans gravité sur le premier plat. Envoi autographe signé de René Fallet à Paul Gordeaux : "... ces rivages souriants d'un Orénoque de banlieue..." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎René FALLET‎

Reference : 73385

(1948)

‎La fleur et la souris‎

‎Domat | Paris 1948 | 12 x 19 cm | broché‎


‎Edition originale sur papier courant. Papier jauni et petites rousseurs sur les plats comme habituellement, quelques rousseurs en tête des premiers feuillets. Envoi autographe signé à pleine page de René Fallet à René Laporte. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎René FALLET‎

Reference : 71833

(1971)

‎L'amour baroque‎

‎Julliard | Paris 1971 | 13.50 x 20 cm | broché‎


‎Edition originale sur papier courant. Agréable exemplaire en dépit d'un petit manque en pied du dos et trois taches en tête de la première garde. Envoi autographe signé de René Fallet : "Pour madame Virmaux cet amour en miettes et les plus amicales et entières pensées de René Fallet. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎René FALLET‎

Reference : 73384

(1971)

‎L'amour baroque‎

‎Julliard | Paris 1971 | 13.50 x 20 cm | broché‎


‎Edition originale sur papier courant. Agréable exemplaire malgré d'infimes piqûres sans gravité sur les tranches, petite étiquette portant le nom et la profession (libraire) du dédicataire encollée en tête de la page de garde. Bel envoi autographe signé de René Fallet : "Pour monsieur Olibé ces feux de l'amour et du Mozart et les 13 amicales pensées de René Fallet". - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎René FALLET‎

Reference : 88315

(1971)

‎L'amour baroque‎

‎René Julliard | Paris 1971 | 13 x 20 cm | broché‎


‎Edition originale sur papier courant. Petites piqûres sur la tranche supérieure. Bel et amusant envoi autographe signé de René Fallet à son ami Frédéric Empeytaz : "Pour Frédéric Empeytaz en souvenir de ... et de ... enfin ... A mon complice avec les amitiés inextinguibles de René Fallet." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎René FALLET‎

Reference : 84286

(1982)

‎L'angevine‎

‎Denoël | Paris 1982 | 15.50 x 21 cm | broché‎


‎Edition originale, un des 30 exemplaires numérotés sur vergé d'arches, seuls grands papiers. Ex-libris encollé sur la page de faux-titre. Une ride en tête du dos, trois minuscules taches sur le second plat, sinon très bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎René FALLET‎

Reference : 86830

(1982)

‎L'angevine‎

‎Denoël | Paris 1982 | 15,521cm | broché‎


‎Edition originale, un des 30 exemplaires numérotés sur vergé d'arches, seuls grands papiers. Très bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎René FALLET‎

Reference : 89520

(1951)

‎Le triporteur‎

‎Denoël | Paris 1951 | 12 x 18.5 cm | Broché‎


‎Edition originale sur papier courant. Papier légèrement jauni comme généralement, petites taches sans gravité sur la tranche. Amusant et bel envoi autographe signé de René Fallet à son ami Jean-Jacques Vaure ; "Pour J.J. Vaure chantre mou d'Argenteuil 13 amicalement. René Fallet 16/11/51. Note de l'auteur : celui qui acceptera qu'on lui prête ce livre est un salaud. Pas tant que Vaure, mais presque." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR230.00 (€230.00 )

‎René FALLET‎

Reference : 73386

(1948)

‎Le vélo‎

‎Domat | Paris 1948 | 12 x 19 cm | broché‎


‎Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Petites piqûres sur les gardes, ex-libris manuscrit au stylo bille rouge en tête de la première garde. Rare envoi autographe signé sur ce texte de René Fallet "chevalier du mérite cycliste" à un ami et coréligionnaire rouleur : "Pour Gaby, cyclo de l'Allier avec les amitiés cyclistes sur 52.15 de son compatriote René Fallet". - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR250.00 (€250.00 )

‎René FALLET‎

Reference : 75853

(1973)

‎Le vélo, Poulidor... et moi - In Miroir du cyclisme N°167‎

‎Miroir du cyclisme | Paris Mars 1973 | 12 x 19 cm | broché‎


‎Edition originale de cet article prenant toute la page 7 de cette revue cycliste. Agréable exemplaire incomplet du grand poster dépliant de Raymond Poulidor. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR30.00 (€30.00 )

‎René FALLET‎

Reference : 84285

(1964)

‎Paris au mois d'août‎

‎Denoël | Paris 1964 | 12.50 x 19.50 cm | broché‎


‎Edition originale, un des 20 exemplaires numérotés sur vélin pur fil, seuls grands papiers. Très bel exemplaire de cet ouvrage adapté au cinéma en 1966 par Pierre Granier-Deferre avec dans les rôles principaux Charles Aznavour et Susan Hampshire et des dialogues d'Henri Jeanson. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎René FALLET‎

Reference : 79080

(1979)

‎Pigalle‎

‎Nouvelles éditions Oswald | Paris 1979 | 13.50 x 21.50 cm | broché‎


‎Nouvelle édition. Envoi autographe signé de l'auteur : "Pour Yvette et André ce souvenir de leur vieux mafioso René". Exemplaire légèrement gauchi. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR60.00 (€60.00 )

‎René FALLET‎

Reference : 75843

(1972)

‎Unique ensemble de documents et manuscrits relatifs à la confidentielle adaptation théâtrale d'Au beau rivage par un admirateur manceau de René Fallet‎

‎Le Mans , Paris & Jaligny-sur-Besbre 1972 | divers | divers supports‎


‎Unique ensemble de documents (photographies, affiches, etc.) et manuscrits relatifs à la confidentielle adaptation théâtrale d'Au beau rivage par un admirateur manceau de René Fallet. En 1972, le Manceau Claude-Denis Renard, grand admirateur de René Fallet, contacte ce dernier afin qu'il accepte une adaptation théâtrale de son romanAu beau rivage paru en 1970 et pour lequel il reçut le prix de l'Humour. Animé par son habituelle gentillesse, l'écrivainaccepte avec joie oubliant de s'enquérir des contingences liées au droit d'exploitation du roman détenus parla société de production Prothea dont la réaction ne se fait pas attendre. En effet, Mme de Almeida, en charge de la gestion du dossier Fallet, émet de nombreuses réserves quant à l'exploitation du nom "Au beau rivage". La pièce sera finalement jouée sous certaines conditions et son titre se verra transformé en "Bistro story" pour seulement six représentations exclusives auMans. L'ensemble que nous proposons est constitué des documents suivants : - Une lettre autographe (17x23,5cm) signée et datée du 11/04/72, rédigée sur un papier à en-tête de l'Hôtel George V : "Moi aussi je suis content que toute cette vérole se soit arrangé (sic) au mieux. Je signe des trucs ou écris sans y prêter trop d'attention et puis cela me retombe sur la tête. Mais je suis aise que la gentillesse ne soit pas toujours punie [...] J'accompagnerai bien sûr madame d'Almeida au Mans. Trouvez moi donc un maillot de coureur taille 4 du club local, je fais collection de maillots, je viens de ramener de Bruxelles celui de champion de Belgique. Bonne chance pour "Bistrot story" (marrant) 13 à vous, R. Fallet" - Une carte postale autographe (13,5x9cm) signée et datée du 16/05/72, rédigée au verso de la reproduction d'une photographie le représentant avec une poupée, postée de son fief de Jaligny sur Bresbe dans le Bourbonnais dans laquelle il remercie le metteur en scène Claude-Denis Renard de son accueil. - Deux lettres dactylographiées (21x27cm) datées des 6 et 21 mars 1972 et signées par Mme d'Almeida tapées sur un papier à en-tête de la société de production Prothea, gérante des droits pour "Au beau rivage" et autorisant sous certaines conditions l'adaptation théâtrale. - Une lettre autographe(21x27cm) signée de la même et datée du 28 avril 1972, rédigée sur le même papier à en-tête, assurant bien la présence de René Fallet, difficilement joignable en pleine reprise de la saison cycliste belge, à la première représentation de "Bistro story" le 7 mai 1972. - Un télégramme (21x12cm) de Mme d'Almeida en date du 28/05/1972 confirmant sa venue en compagnie de Fallet à une représentation - Le texte de la pièce sous le titre d'"Au beau rivage" dactylographié sous couverture comportant quelques annotations probablement de la main deClaude-Denis Renard (21x29cm) - Le programme de l'adaptation théâtrale sous le titre "Au beau rivage" et de sa distribution (21x29cm) - L'affichette de la pièce "Au beau rivage" comportant trois petites déchirures marginales (29x42cm) - La maquette manuscrite et illustrée d'un dessin original représentant les protagonistes de "Bistrot story" sur papier calque (44,5x75,5cm) - Deux états de la grande affiche de "Bistrot story" sur papier calque (44,5x75,5cm) - L'affichette de la pièce sous le titre"Bistrot story" encadrée (26x42cm) - Deux photographies de René Fallet en noir et blanc, une originale (18x13cm) en tirage argentique et un retirage (18x12,5cm), réalisées lors de représentations de "Bistrot story" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR1,400.00 (€1,400.00 )

‎René FALLET - Jean-Paul LIEGEOIS‎

Reference : 73256

(1978)

‎Splendeurs et misères de René Fallet‎

‎Denoël | Paris 1978 | 14 x 22.50 cm | broché‎


‎Edition originale sur papier courant. Agréable exemplaire malgré de petites pliures angulaires sans gravité sur les plats, iconographie. Exemplaire complet de son prière d'insérer. Envois autographes signés de René Fallet "... ce portrait d'artiste en vieux crabe..." et Jean-Paul Liégeois "... ce portrait à la manière de René Fallet" à Jean-Michel Royer. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR150.00 (€150.00 )

‎René FAUCHOIS‎

Reference : 80688

(1950)

‎Boudu sauvé des eaux‎

‎Berger-Levrault | Paris 1950 | 12 x 18.50 cm | broché‎


‎Nouvelle édition. Dos insolé comportant deux mouillures. Envoi autographe signé de René Fauchois à l'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rimqui fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎René FAUCHOIS‎

Reference : 86889

(1932)

‎Boudu sauvé des eaux‎

‎Editions du dauphin | Paris 1932 | 9.50 x 14 cm | broché‎


‎Première édition séparée publiée à l'occasion de la sortie sur les écrans de la magistrale adaptation cinématographique réalisée par Jean Renoir assisté de Jacques Becker et Georges Darnoux. Agréable exemplaire. Le filmBoudu sauvé des eaux fut l'un des plus grands succès du cinéma français de l'entre-deux-guerres avec, dans les rôles principaux, Michel Simon, Charles Granval, Marcelle Hainia et Jacques Becker. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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