‎Les Pénitents en Maillots Roses. ( Un des 850 exemplaires numéroté sur rives ).‎

‎ Aux Editions du Sagittaire, chez Simon Kra / Collection Les Cahiers Nouveaux n° 17 de 1925. Petit in-12 broché de 84 pages au format 11,8 x 15,5 cm. Couverture rempliée avec titre imprimé et petite vignette illustrée. Dos carré. Minuscule tache au 1er plat. Intérieur frais. Exemplaire non coupé. Fac-similé de page manuscrite du texte en frontispice. Etat superbe. Un des 850 exemplaires numéroté sur rives ( n° 566 ), après 50 sur japon. Edition originale.‎

‎ Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres‎

‎ Poèmes de Morven le Gaëlique. ‎

‎ 1953 Préface de Julien Lanoë. Paris Gallimard 1953 In-8, broché, couverture imprimée.Edition originale de ce recueil de poèmes écrits à partir de 1927 par Max Jacob pour la revue La Ligne de cœur, dont Jean Cocteau était le parrain . Tirage limité à 100 exemplaires numérotés. Un des 90 exemplaires sur velin pur fil Lafuma-Navare No 75 . ‎

‎Tableau de la Bourgeoisie par Max Jacob. Illustré de lithographies originales et de nombreux dessins par l'auteur. ( Tirage numéroté à 320 exemplaires sur pur fil )‎

‎ Paris, Editions de la Nouvelle Revue Française - Gallimard / Collection " Tableaux Contemporains " n° 9 de 1929. In-4 broché de 220 pages au format 20 x 24 cm. Couverture rempliée avec titre imprimé. Livre glissé sous un emboitâge de protection, avec pièce de titre au dos. Etat magnifique, proche du parfait. Livre illustré de 10 lithographies originales en noir à pleine page et de 32 dessins in texte par Max Jacob. Un des 320 exemplaires numérotés sur vélin pur fil ( n° 21 ), après 28 sur japon. Rare édition originale, surtout dans un tel état de fraicheur.‎

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‎ Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres‎

‎Champ de courses. Manteau de fourrure de Max-a. Leroy (pl.23, La Gazette du Bon ton, 1924-1925 n°3)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924-1925, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎L'Hygromètre. Manteau de fourrure, de Max-A. Leroy (pl.32, La Gazette du Bon ton, 1924-1925 n°4)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924-1925, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎La Femme à l'émeraude. Manteau en tigre, de Max-Leroy (pl.23, La Gazette du Bon ton, 1923 n°5)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1923, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎L'Etoile du berger. Manteau de fourrure, de Max-A. Leroy (pl.47, La Gazette du Bon ton, 1924 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎L'Hiver. Tailleur en fourrure, de Max-Leroy (pl.27, La Gazette du Bon ton, 1924 n°6)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Sainte-Anne d'Auray - Histoire du pèlerinage, par Max. Nicol ‎

‎ 1877 Société générale de librairie catholique/Victor Palmé/G. Lebrocquy, Sainte-Anne d'Auray/Paris/Bruxelles, 1877 - In-8 - Reliure 1/2 chagrin frottée -Dos à 4 nerfs orné de caissons dorés - Tranche supérieure dorée -336 pages - Rousseurs éparses - 12 Illustrations NB H.T. - bien complet du plan sur double page des environs - Envoi rapide et soignée‎

‎ - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le prix du supplément de port en fonction du poids et du nombre de livres- Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148 ‎

‎Ne Sont pas Morts tous les Sadiques. ( Tirage clandestin ).‎

‎ Eric Losfeld / En souvenir d'Isidore Liseux 1924. In-12 broché de 131 pages au format 14,5 x 19 cm. Superbe couverture décorée. Dos carré. Plats et intérieur parfaits. Exemplaire non coupé. Réédition curieusement datée de 1924 de ce roman apocalyptique et décadent pourtant paru en 1948, aux éditions Fournier-Valdès et condamné quinze fois entre 1949 et 1959 par la Censure. Etat de neuf. Très rare édition originale publiée au milieu des années 1950 par Eric Losfeld.‎

‎ Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres‎

‎Ne Sont pas mort tous les Sadiques.‎

‎ Editions Fournier Valdès 1948. In-12 broché de 160 pages au format 12 x 19 cm. Superbe couverture illustrée, signée R.B. Dos légèrement gauchi, avec infime manque au bas. Plats et intérieur frais. Roman apocalyptique et décadent. Rare édition originale.‎

‎ Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres‎

‎La Feuille repliée. Traduit de l'anglais par Maurice-Edgar Coindreau.‎

‎ Paris, Gallimard, Collection Du Monde Entier, 1948. In-8, broché, non coupé, 230 pp. ‎

‎Edition originale. Un des 110 numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre, seul tirage en grand papier. Photos sur demande.‎

‎Les Perles du Libraire.‎

‎Robert Morel - Collection "O" Draguignan 1968 Livre-objet rond de 60 mm. de diamètre, de 96 pages imprimées sur papier fort, sous couverture bleu ciel imprimée, et réunies par un anneau de laiton. Edition originale. Bel exemplaire de cet amusant livre-objet. Référence bibliographique: Robert Morel Inventaire N°626. Numéro dans la collection: N°46.‎

‎Spectacle gratuit -‎

‎ Dijon : Guy Chambelland, 1961 - in-12 broché sous couverture illustrée par Siné, 54 pages - édition originale numérotée : 1/30 exemplaires d'auteur non justifiés, tirage limité à 350 exemplaires - exemplaire signé par l'auteur - bon état - ‎

‎Andantes‎

‎Paris, Les Livres Nouveaux ,1938, plaquette in huit,36 pp, broché, non coupé,‎

‎Edition originale, avec envoi,. ‎

‎Andantes‎

‎Paris, Les Livres Nouveaux ,1938, plaquette in huit,36 pp, broché, non coupé,‎

‎Edition originale,. ‎

‎Aventures et Plaisante éducation du Courtois Chevalier Charles-le-Bon, Sire d'Armagnac , contenant profitables leçons à jeunes chevaliers et à des Dames de haut parage‎

‎S.n., à Amsterdam et se trouve à Paris 1785, 3 tomes en 3 Vol. in 12 (8,5x15cm), (6) 316pp. (5) et (6) 339pp. (1bc) (9) et (6) 259pp. (4), relié.‎

‎Edition originale. Illustrée de trois frontispices de Marillier finement gravés par Le Beau. 4 airs notés sur plusieurs planches. Reliure en demi vélin debut XIXe à petits coins. Dos lisse. Pièces de titre et de tomaison noires encadrées de filets gras dorés. Roman médiéval se déroulant sous Louis XI et Charles VI inspiré des contes et fabliaux des douzième et treizième siècles. L'auteur s'explique sur le choix de son vocabulaire et de son style ancien dans une longue préface sur le roman et des observations sur les contes et fabliaux du Moyen-âge et les troubadours de provence, suivis d'un discours sur le roman. Charles Joseph Mayer (1751-1825), écrivain français et éditeur du Cabinet des fées, son rôle critique fut important pour la redécouverte des littératures anciennes. Les Aventures sont peut-être le premier essai d'un pastiche de roman médiéval résonnant des accents d'une nouvelle modernité. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎la Roue des corps‎

‎ Instance 1954 In-8 En feuilles, couverture Edition originale ‎

‎Edition originale, troisième volume de la collection "Instance" dirigée par Max Clarac-Sérou. 4 gravures originales à la pointe sèche de Christine BOUMEESTER, dont le frontispice et trois hors texte. Tirage à 90 exemplaires. Un des 84 numérotés sur Crève-coeur du Marais. Très bel exemplaire. Très bon exemplaire 0‎

‎Portrait photographique de Elisa Rachel Félix dite Mademoiselle Rachel‎

‎Mayer & Pierson, Paris 1860 (S.d), (6x9,5cm), autre.‎

‎Portrait photographique sur papier albuminé en pied de l'actrice, en tenue de tragédienne (Phèdre ou Horace), de Elisa Félix Rachel, dite Rachel ou Mademoiselle Rachel. Une photographie type Carte de visite, à l'albumine, montée sur feuille cartonnée blanche. En pied : Mayer & Pierson. Au dos, vignette aux armes de l'empereur Napoléon III, Mayer & Pierson, photographes de l'empereur, Boulevart des capucines, Paris. Très bel état et superbe tirage. Rachel fut la première véritable "Star" issue du monde des spectacles. Partie de rien, issue d'une famille pauvre, apprenant seulement à lire à 17 ans, chantant dans les rues, Rachel va dès ses premiers rôles électriser le public par son jeu nouveau. Dès lors elle révolutionne complètement l'interprétation de la tragédie classique et sera adulée par le public, la critique qui crie au génie, les écrivains et la noblesse du faubourg Saint-Germain dont elle sera l'égérie.Musset est l'un des premiers à reconnaître son talent : "C'est une créature toute d'instinct, ignorante, vraie princesse bohémienne, une pincée de cendre où il y a une étincelle sacrée". Rachel inspirera Marcel Proust pour le personnage d'actrice du même nom dans A la recherche du temps perdu, amante de Robert de Saint-Loup (la fameuse Rachel Quand-du-seigneur), cocotte qui deviendra la grande tragédienne La Berma. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎La médecine son passé, son présent, son avenir‎

‎Payot, Paris 1957, 14,5x23cm, broché.‎

‎Editon originale. Naissance de la médecine, médecine égyptienne, grecque et romaine, arabe, Médecine de Harvey à Jenner, la Médecine scientifique Laênnec et Jenner, procédés d'exploration, évolution de la thérapeutique et de la chirurige, perspectives. Chaleureux envoi autographe de Etienne May à la revue du Mercure de France, joint une lettre typographique signée de l'éditeur adressée à cette même revue. Complet de prière d'insérer. Plats partiellement passés, sinon agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Nouvelles démonstrations d'accouchemens‎

‎Bechet, à Paris 1822, 30x43cm, relié.‎

‎Édition originale illustrée du portrait de l'auteur qui manque souvent et de 79 planches (planche 27-28 sur double page) hors-texte gravées sur acier par Forestier d'après les dessins d'Antoine Chazal. Reliure romantique strictement de l'époque en plein veau brun, dos à cinq nerfs richement orné de filets dorés et d'arabesques à froid, plats ornés d'arabesques à froid en écoinçons, d'un double filet en encadrement et d'initiales dorées A.D. au centre, roulette dorée en encadrement des gardes et contreplats de papier à la cuve, double filets doré sur les coupes. Reliure très habilement restaurée mais présentant quelques frottements. Jacques-Pierre Maygrier (1771-1835) fut l'élève d'Antoine Dubois, accoucheur de l'impératrice Marie-Louise. Il exerça à l'hôpital Cochin et à l'Hôtel-Dieu et prodigua des cours d'obstétrique avec la volonté constante de simplifier l'apprentissage de cette matière (anatomie du ftus, mécanique de l'accouchement...). Très bel exemplaire de ce rare et magistral atlas d'obstétrique remarquablement établi en reliure strictement de l'époque. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Nouvelles démonstrations d' accouchemens‎

‎Édition originale. Ouvrage bien complet des 79 magnifiques planches hors-texte (numérotées 80, car une dépliante double), mais sans le portrait en frontispice qui ne se trouve que très rarement. Rousseurs, mais exemplaire très acceptable. 1/2 peau retournée verte, pièce de titre cuir de Russie rouge. Bon Paris Béchet 1822 1 volume in-folio°‎

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‎édition originale‎

‎La Jeune Fille au Masque.‎

‎ 1932 1932 Roman aux Editions Denoël et Steele. ( 1932 ). Un volume in 8. 268 pages. 1/2 Maroquin marron à coins. dos à 4 nerfs. titres dorés. Tête dorée. ébarbé. couvertures et dos conservés. reliure parisienne signée Kauffmann - Horclois. Exemplaire N° 88 réservé aux sélection Lardanchet. Edition originale. Très bel exemplaire. ‎

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‎ PROMOTION DE PRINTEMPS : REMISE IMMEDIATE DE 30% sur le prix affiché .‎

‎Impressions de Voyage; De Paris à Sébastopol‎

‎ 1855 Lib par Alexandre Dumasrairie Nouvelle, Paris, 1855. In-12 broché. (viii), 308 pages. Catalogue in-fine. Publié et préfacé‎

‎Des rousseurs, et salissure (non dommageable) en quatrième de couverture.Rare en édition originale. Ce n'est pas une "impression sur demande" (!) ‎

‎Les oeuvres‎

‎Chez Augustin Courbé, à Paris 1646, in-4 (17x22,5cm), (16) (16) 384pp., relié.‎

‎Edition originale collective contenant certaines pièces inédites. Un des rares exemplaires contenant les deux épîtres de Bois-Robert et de Scarron (la majorité des exemplaires contiennent moins de feuillets préliminaires). Un portrait au frontispice de l'auteur dessiné par Petrus et gravé par Daret ; une vignette de titre, marque de l'imprimeur en page de titre. Reliure en plein vélin souple d'époque. Dos lisse muet. Taches claires sur le plat supérieur. Travaux de vers sur les feuillets préliminaires, après les deux premiers feuillets, en marge basse ; bien que confinées dans la marge, nombreuses dentelles au milieu des feuillets préliminaires. A signaler également, une galerie de vers sur la table et partant des derniers feuillets de texte, toujours en marge basse. Quelques rousseurs et feuillets jaunis. Cette édition a été en grande partie préparée par l'auteur lui-même et c'est la seule qu'il a reconnue, conscient de la valeur de son oeuvre et de sa fin prochaine (décédé en 1646) ; elle contient 268 pièces, dont 173 inédites. Certaines pièces qui avaient paru dans des recueils collectifs ne figurent pas dans cette intégrale. François Maynard est l'un des pricipaux noms de la poésie de la première moitié du XVIIe, au côté de Malherbe, Racan, Viau, Regnier. Disciple de Malherbe, sa poésie se distingue par la grande clarté de son style et la régularité de ses vers ; il s'en dégage en outre une certaine mélancolie. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎