E. Dentu | Paris 1867 | 11 x 18 cm | relié
Nouvelle édtion et première édition sous ce titre, reprenant celui de la parution dans le périodique La Semaine en 1848 : Une pécheresse. La première édition en volume paraitra en 1851 sous le titre La Femme du Banquier. (cf. Paul Féval. Parcours d'une uvre, par Jean-Pierre Galvan). Reliure en demi chagrin vert sapin, dos légèrement passé à cinq nerfs sertis de pointillés dorés orné de doubles caissons dorés, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, un coin supérieur émoussé, tranches mouchetées. Ex-dono au stylo bille bleu sur une garde. Rare et agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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E. Dentu | Paris 1863 | 11 x 18 cm | relié
Edition originale. Reliure en demi chagrin vert sapin, dos légèrement passé à cinq nerfs sertis de pointillés dorés orné de doubles caissons dorés, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, coins légèrement émoussés, tranches mouchetées. Ex-dono au stylo bille bleu sur une garde. Rare et agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Disdéri & Cie | Paris s. d. [circa 1860] | 6.20 x 10.50 cm | une photographie
Photographie originale sur papier albuminé représentant Paul Féval, au format carte de visite, contrecollée sur un carton du studio Disdéri et Cie. Annotation au crayon au dos du cliché. Nous n'avons trouvé aucun exemplaire de cette photographie dans les collections publiques. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Disdéri & Cie | Paris s. d. [circa 1860] | 6.20 x 10.50 cm | une photographie
Photographie originale sur papier albuminé représentant Paul Féval, au format carte de visite, contrecollée sur un carton du studio Disdéri et Cie. Annotation au crayon au dos du cliché. Nous n'avons trouvé aucun exemplaire de cette photographie dans les collections publiques. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paul Féval (Paul Henry Corentin Féval (Pseudonyme : sir Francis Trolopp, Daniel Sol, Francis Trolopp), romancier et auteur dramatique (1816 1887)
Reference : 47265
(1887)
1887 Paris, Dentu & cie - Edition originale - 1887 - In-12 - broché - couverture illustrée - 392 pages - bon exemplaire
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Séquences | Aigre 1986 | 10 x 18 cm | broché
Edition originale en volume, un des 20 exemplaires numérotés sur Ingres beige, seuls grands papiers. Dos passé, sinon agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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C. Delagrave & Cie | Paris 1873 | 14.50 x 23 cm | broché
Edition originale imprimée à petit nombre de ce tiré à part du 3Bulletin de la société de géographie'. Deux petites déchirures avec légers manques en tête et en pied du dos, agréable état intérieur. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Sans nom d'éditeur | Sans lieu d'édition s. d. [1872] | 18.5 x 34 cm | 5 volumes reliés en 1
Manuscrit autographe complet de 50 pages écrites au recto de chaque feuillet comportant de nombreuses ratures et corrections. Le manuscrit a été publié dans le Bulletin de la Société de Géographie de décembre 1872. Reliure en plein chagrin rouge, dos à cinq nerfs orné de fleurons et de doubles caissons dorés décorés de motifs floraux dorés, double de doubles filets dorés sur les plats, gardes et contreplats de papier peigné, encadrement d'une dentelle dentelle dorée sur les contreplats, filets dorés sur les coupes, coins émoussés, reliure de lépoque. Les feuillets sont numérotés de 1 à 50 dans langle supérieur gauche ; une numérotation plus ancienne, biffée, se trouve dans la marge supérieure. Trois parties composent cette étude : -Histoire de la mer des Sargasses (pp. 2 à 15). - Géographie de la mer des Sargasses (pp. 16 à 38). - Richesses de la mer des Sargasses (pp. 39 à 50). La première partie traite de lhistoire de la navigation de la mer des Sargasses depuis les Phéniciens, qui, les premiers, signalèrent lexistence de bancs dalgues flottantes dans lAtlantique. Ils furent suivis par les Carthaginois, les Arabes et les Portugais. Mais cest Christophe Colomb qui donna, en 1492, les premières observations sérieuses sur ce phénomène marin. Gaffarel mentionne ensuite les navigations de Gonneville, Jean de Léry et André Thévet, cite Humboldt, puis évoque les récentes explorations scientifiques : en 1851-1852 par la campagne du Dolphin, capitaine Lee, et en 1855 par celle du brick le Méléagre, capitaine Leps. Dans la seconde partie, lauteur étudie la géographie des Sargasses, en faisant observer que son étendue et ses limites ont toujours été incertaines. Il développe ensuite trois hypothèses sur leur origine, la plus vraisemblable étant celle selon laquelle les sargasses se développent aux alentours du Gulf Stream, dont les eaux chaudes et peu agitées leur procurent de bonnes conditions dexistence et leur permettent de se propager en grande quantité. Il est ensuite question des différentes espèces de sargasses, de leur mode de vie et de leur accumulation, donnant ainsi un aspect étrange qui effraya les premiers navigateurs. Enfin, lauteur évoque les richesses de la mer des Sargasses : par analogie avec les récoltes dalgues le long des côtes françaises, qui permettent, après les avoir réduites en cendre, dobtenir un excellent engrais, on pourrait envisager de les exploiter afin den extraire les substances minérales, mais il faudrait pour cela des bateaux spécialement équipés. Il conclut : « La mer des Sargasses est donc une véritable région promise. Tous, plus ou moins, directement ou non, agriculteurs pour nos champs, malades pour nos santés, industriels pour nos usines [] citoyens pour notre patrie, nous navons quà gagner à lexploitation des richesses inconnues de cette mer » (p. 50). Ont été Reliés à la suite : GAFFAREL (Paul). La mer des Sargasses. Paris, Ch. Delagrave et Cie, 1873, in-8 de 35 pp., couvertures conservées, annotations autographes dans les marges. Extrait du Bulletin de la Société de Géographie, décembre 1872. - MAUNOIR (Charles), géographe. 2 lettres autographes signées [à Paul Gaffarel]. Paris, 1872, 5 pp. in-8, en-tête imprimé. A propos de la publication du mémoire de Gaffarel dans le Bulletin de la Société de Géographie, et de sa communication au commandant Leps, qui « possède des trésors au sujet de la physique des mers ». - LEPS (Maurice Edouard), capitaine. 2 lettres autographes signées [à Paul Gaffarel]. Paris, 1872, 2 pp. in-8. Remerciements pour lenvoi du mémoire et communication à Gaffarel des notes prises par Leps pendant la campagne du Méléagre en 1855. - DELAGRAVE (Maison). 6 lettres signées ou autographes signées à Paul Gaffarel. Paris, 1872-1875, 6 pp. in-8, en-têtes imprimés. Publication de « La Mer des Sargasses » dans le Bulletin de la Société de Géographie et envoi des tirés à part à lauteur. Deux lettres sont signées par léditeur Charles Delagrave. - 2 articles d
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E. Dentu | Paris 1867 | 11.50 x 18 cm | broché
Edition originale dont il n'est pas fait mention de grands papiers. Trois petites taches sur les plats, quelques rares piqûres. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. l. (Tahiti) août (1896) | 20.50 x 27 cm | quatre pages sur deux feuillets
Longue lettre autographe datée d'août 1896 et signée de Paul Gauguin adressée au peintre Daniel de Monfreid. Quatre pages à l'encre noire sur deux feuillets. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, traces de pli inhérentes à l'envoi. En pleine descente aux enfers, abandonné dans son paradis artificiel tahitien, Gauguin se sent maudit : "Décidément, je suis né sous une mauvaise étoile" se lamente-t-il.Sa quête de liberté primitive le laisse dans le dénuement et la misère. Souffrant le martyre, le peintre envoie des tableaux à l'un de ses rares soutiens, son fidèle ami Daniel de Monfreid - mais se trompe d'adresse... Publiée dans les Lettres de Paul Gauguin à Georges-Daniel de Monfreid, 1918, p. 146, n° XXIII ; notre lettre révèle le nom d'Émile Schuffenecker, son ami et comparse de la bourse de Paris puis de Pont-Aven - anonymisé dans la version publiée - que Gauguin vilipende à de nombreuses reprises dans ces pages. Cette exceptionnelle missive est écrite à Tahiti, où le peintre était retourné l'année précédente, faisant sesadieux définitifs à la vieille Europe. Gauguin ressort tout juste d'un séjour à l'hôpital de Papeete afin de soigner ses jambes meurtries à la suite de coups reçus à Concarneau deux ans plus tôt, pour avoir défendu sa muse, Annah la javanaise. Le peintre n'échappe pas aux séquelles de cette altercation et souffre d'un terrible eczéma purulent à la jambe mais aussi de sa syphilis, noyant ses affres dans l'alcool. Les lettres de Gauguin de l'été 1896, dont celle-ci est un parfait exemple, "sentent la fièvre qui s'est emparée d'un esprit surchauffé par la douleur et le manque de sommeil" (David Haziot). Dans sa confusion,le peintre a mal rédigé l'adresse de l'atelier de Monfreid à la Cité Fleurie,célèbre résidence d'artistes aux allures de chalet où Gauguin avait séjourné: "Je vous ai envoyé le mois dernier un paquet de tableaux. J'ai bien peur pour eux car il me semble que j'ai mis 55 Bd Arago au lieu de 65". Dans cet envoi, figurait sa composition Eihaha Ohipa, peinte dans son atelier de Punaauia et désormais conservée au musée Pouchkine de Moscou. Expédiées par l'intermédiaire d'un officier de marine - le port restant à la charge de Monfreid - les toiles n'arriveront qu'en novembre. Au-delà de ses craintes enfiévrées, Gauguin livre dans ces lignes un véritable manifeste de son intégrité d'artiste - pendant parfait de son célèbre autoportrait christiquePrès du Golgothaque le peintre réalise à la même période. Tout comme dans cette toile, son destin se confond avec celui du Christ :"dans les moments les plus difficiles de ma vie j'ai plus que partagé avec des malheureux et sans jamais d'autre récompense que le lâchage complet".Il avait en effet imposé les toiles de Schuffenecker dans des expositions impressionnistes, sauvé son ami Laval du suicide, et ouvert sa bourse à tant d'autres. Au lieu de lui rendre la pareille, Schuffenecker préfère se lamenter sur son propre sort : "Schuff m'écrit vraiment une lettre insensée et injuste et je ne sais que répondre car c'est un esprit malade [...] qu'il est plus malheureux que moi qui ai la gloire la force la santé. Parlons-en ! Jesuis doué dit-il à en rendre les autres jaloux". Gauguinqui s'est toujours refusé à transiger et se compromettre, est finalement trahi par une de ses plus proches relations, Schuffenecker, qui devient dans la lettre un véritable Judas Iscariote :"Schuff vient de faire une pétition inutile je crois, pour que l'État vienne à mon aide. C'est la chose qui peut le plus me froisser. Je demande aux amisde me venir en aide pendant le temps qu'il faut pour rentrer dans mon argent qui m'est dû, et leurs efforts pour le recouvrer, mais mendier à l'État n'a jamais été mon intention". Le peintre arrive à un point de non-retour, non seulement meurtri dans sa chair, mais dans son amour-propre :"Tous mes efforts de lutte en dehors de l'officiel,la dignité que je me suis efforcé d'avoir toute ma vie, perdent de ce jour de le
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Grasset | Paris 1946 | 14 x 21 cm | broché
Edition originale, un des 312 exemplaires numérotés sur alfa, seuls grands papiers après 28 vergé. Agréable exemplaire. Iconographie. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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L'Age Nouveau | Paris Septembre 1949 | 18 x 23 cm | broché
Edition originale. Contributions de Paul Gauguin avec des lettres inédites, Marcello-Fabri, J. Follain, L. Estang... Numéro illustré de reproductions d'oeuvres de Maurice de Vlaminck, Pablo Bonnard, Georges Rouault, Pablo Picasso, Henri Matisse, Roger de la Fresnaye... à propos de la "bataille du musée de Grenoble". Dos insolé, plats légèrement et marginalement passés, agréable état intérieur. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. d. [1924] | 9.30 x 7.80 cm | autre
Epreuve originale probablement unique de cet état intermédiaire d'un bois dessiné et gravé d'après deux uvres de Paul Gauguin par Georges-Daniel de Monfreid. Tiragesur japon pelure, annotation de l'artiste au crayon en marge gauche. Bois dessiné et gravé d'après deux uvres, l'homme au bois étant une reprise d'une aquarelle de la page 37 du manuscrit de Noa Noa, tandis que la femme en pied originellement observée par ce fureteur, est ici présentée en buste avec main au visage, modèle repris sur un bois gravé de Gauguin en page 4 du manuscrit (et son croquis original collé en page 51), évoquant une scène similaire. Le bois définitifservira de tête au chapitre IV de la véritable édition originale illustrée deNoa Noa, parue chez Crès en 1924, premier ouvrage illustré d'après Paul Gauguin et majestueux hommage à l'un des précurseurs de l'art moderne. Superbe gravure synthétisant une aquarelle du manuscrit original de Noa Noa, inspirée du mythe de Diane et Actéon, gravée par le plus proche ami et exécuteur testamentaire de Gauguin, l'artiste Georges-Daniel de Monfreid, héritier de l'album qu'il offrira en 1927 à l'Etat Français. Cette épreuve, probablement unique, fait partie des 17 bois d'essais connus duprojet de publication précoce deNoa Noa, tous réalisés sur divers papiers fins et annotés par l'artiste. C'est à partir du manuscrit illustré original de Noa Noa rapporté de Tahiti par Segalen à la mort de l'artiste en 1903 que Monfreid entreprit, dès 1904, la réalisation de cette uvre fondamentale. Il s'agit de la seconde version de ce carnet « à lire et à regarder ». Le premier manuscrit, rédigé au retour de son premier voyage et confié par Gauguin à Charles Morice en 1893 répondait à un projet différent. Gauguin n'avait composé que le texte, entrecoupé de pages blanches destinées aux poèmes de Morice. Mais, après plusieurs années sans nouvelles, celui-ci préféra publier en 1901 une version entièrement réécrite par ses soins. Gauguin recopia donc son manuscrit et l'illustra lors de son second séjour en Polynésie, de croquis, aquarelles et collages. Cet album, que l'artiste enrichit et conserva précieusement jusqu'à sa mort, est aujourd'hui au Musée d'Orsay. C'est donc d'après ce manuscrit, le seul illustré, que Monfreid composa l'édition du Noa Noa de Gauguin. Cependant, si le projet de publication de Monfreid fut précoce, il mit plus de vingt ans à le mener à bien, en partie à cause d'un conflit de droit d'auteur avec Charles Morice qui souhaitait figurer comme co-auteur de l'édition en préparation et dont les poèmes seront finalement conservés. Fruit de plusieurs années de réflexion et de travail, l'édition de 1924 se veut à la fois fidèle aux aquarelles et bois gravés illustrant le précieux manuscrit, mais également à l'ensemble de l'uvre tahitienne de Gauguin, mort dans l'indifférence. Monfreid grave ainsi plusieurs dessins du cahier original et l'enrichit de bois réalisés à partir des autres uvres dont il est le dépositaire. Certaines de ces compositions associent plusieurs peintures, tout en respectant scrupuleusement le trait de l'artiste, transformant l'ouvrage en véritable voyage à travers les uvres du peintre. Le choix même de la gravure sur bois est un hommage à cette technique prisée par Gauguin qui réalisa à Pont-Aven 10 bois pour illustrer son manuscrit entre ses deux séjours polynésiens. Les bois intermédiaires, jusqu'alors inconnus, témoignent du lent travail de composition pour restituer la richesse artistique de l'uvre de Gauguin par son plus fidèle compagnon artistique et premier défenseur : «Quand je vis Gauguin pour la première fois, je fus fortement déconcerté par les données d'art émanant de ses uvres aussi bien que des conversations de cet homme extraordinaire... En lui tout de suite on sentait le Maître » (In L'hermitage, 1903) Epreuve unique du bois gravé d'après une aquarelle réinterprétant le mythe de Diane surprise au bain par Actéon. Monfreid a pris soin de conserver, dans la gravu
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s. d. [1924] | 9.30 x 7.80 cm | autre
Epreuve originale probablement unique de cet état intermédiaire d'un bois dessiné et gravé d'après une aquarelle de Paul Gauguin par Georges-Daniel de Monfreid. Tiragesur vergé crème fin, annotation de l'artiste au crayon en marge gauche. Bois dessiné et gravé d'après une aquarelle du manuscrit de Noa Noa, contrecollée sur une page de texte du célèbre album. Le bois définitifservira de tête à l'édition originale illustrée deNoa Noa, parue chez Crès en 1924, premier ouvrage illustré d'après Paul Gauguin et majestueux hommage à l'un des précurseurs de l'art moderne. Superbe et importante gravure reprenant une aquarelle très particulière du manuscrit de Paul Gauguin, véritable percée graphique dans le texte,gravé par son plus proche ami et exécuteur testamentaire, l'artiste Georges-Daniel de Monfreid, héritier de l'album qu'il offrira en 1927 à l'Etat Français. L'aquarelle initiale était découpée en ondulations autour de la figure féminine et collée sur le dernier chapitre pour en empêcher la lecture et ainsi remettre le récit en route. Gauguin avait d'ailleurs ajouté des traits sinueux partant de l'aquarelle sur la page de texte, donnant ainsi l'impression d'une grotte percée dans la page, par le pouvoir psychique de la femme assise dont la tête diffuse des rayons ondulants. Monfreid décide de la placer en tête de l'ouvrage accompagnée de deux oiseaux tirés d'autres uvres, pour illustrer le pouvoir de l'artiste et de son imaginaire. Cette épreuve, probablement unique, fait partie des 17 bois d'essais connus duprojet de publication précoce deNoa Noa, tous réalisés sur divers papiers fins et annotés par l'artiste. C'est à partir du manuscrit illustré original de Noa Noa rapporté de Tahiti par Segalen à la mort de l'artiste en 1903 que Monfreid entreprit, dès 1904, la réalisation de cette uvre fondamentale. Il s'agit de la seconde version de ce carnet « à lire et à regarder ». Le premier manuscrit, rédigé au retour de son premier voyage et confié par Gauguin à Charles Morice en 1893 répondait à un projet différent. Gauguin n'avait composé que le texte, entrecoupé de pages blanches destinées aux poèmes de Morice. Mais, après plusieurs années sans nouvelles, celui-ci préféra publier en 1901 une version entièrement réécrite par ses soins. Gauguin recopia donc son manuscrit et l'illustra lors de son second séjour en Polynésie, de croquis, aquarelles et collages. Cet album, que l'artiste enrichit et conserva précieusement jusqu'à sa mort, est aujourd'hui au Musée d'Orsay. C'est donc d'après ce manuscrit, le seul illustré, que Monfreid composa l'édition du Noa Noa de Gauguin. Cependant, si le projet de publication de Monfreid fut précoce, il mit plus de vingt ans à le mener à bien, en partie à cause d'un conflit de droit d'auteur avec Charles Morice qui souhaitait figurer comme co-auteur de l'édition en préparation et dont les poèmes seront finalement conservés. Fruit de plusieurs années de réflexion et de travail, l'édition de 1924 se veut à la fois fidèle aux aquarelles et bois gravés illustrant le précieux manuscrit, mais également à l'ensemble de l'uvre tahitienne de Gauguin, mort dans l'indifférence. Monfreid grave ainsi plusieurs dessins du cahier original et l'enrichit de bois réalisés à partir des autres uvres dont il est le dépositaire. Certaines de ces compositions associent plusieurs peintures, tout en respectant scrupuleusement le trait de l'artiste, transformant l'ouvrage en véritable voyage à travers les uvres du peintre. Le choix même de la gravure sur bois est un hommage à cette technique prisée par Gauguin qui réalisa à Pont-Aven 10 bois pour illustrer son manuscrit entre ses deux séjours polynésiens. Les bois intermédiaires, jusqu'alors inconnus, témoignent du lent travail de composition pour restituer la richesse artistique de l'uvre de Gauguin par son plus fidèle compagnon artistique et premier défenseur : «Quand je vis Gauguin pour la première fois, je fus fortement déconcerté par les données d'art
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s. d. [1924] | 9.30 x 7.80 cm | autre
Epreuve originale probablement unique de cet état intermédiaire d'un bois dessiné et gravé de Paul Gauguin par Georges-Daniel de Monfreid. Tiragesur vergé crème fin, annotation de l'artiste au crayon en marge gauche. Bois dessiné et gravé d'après deux uvres différentes. La femme de dos étant une reprise exacte d'une encre de la page 92 du manuscrit de Noa Noa, tandis que la femme allongée reprend le célèbre thème de la femme aux manges, Te Arii Vahine-Opoi, que Gauguin représenta en peinture mais aussi en gravure. Le bois définitifservira de tête au chapitre V de la véritable édition originale illustrée deNoa Noa, parue chez Crès en 1924, premier ouvrage illustré d'après Paul Gauguin et majestueux hommage à l'uvre d'un des précurseurs de l'art moderne. Superbe et importante gravure rassemblant deux thèmes majeurs de l'uvre tahitienne, dont le dessin central du manuscrit de Noa Noa, gravé fidèlement par le plus proche ami et exécuteur testamentaire de Gauguin, l'artiste Georges-Daniel de Monfreid, héritier de l'album qu'il offrira en 1927 à l'Etat Français. Cette épreuve, probablement unique, fait partie des 17 bois d'essais connus duprojet de publication précoce deNoa Noa, tous réalisés sur divers papiers fins et annotés par l'artiste. C'est à partir du manuscrit illustré original de Noa Noa rapporté de Tahiti par Segalen à la mort de l'artiste en 1903 que Monfreid entreprit, dès 1904, la réalisation de cette uvre fondamentale. Il s'agit de la seconde version de ce carnet « à lire et à regarder ». Le premier manuscrit, rédigé au retour de son premier voyage et confié par Gauguin à Charles Morice en 1893 répondait à un projet différent. Gauguin n'avait composé que le texte, entrecoupé de pages blanches destinées aux poèmes de Morice. Mais, après plusieurs années sans nouvelles, celui-ci préféra publier en 1901 une version entièrement réécrite par ses soins. Gauguin recopia donc son manuscrit et l'illustra lors de son second séjour en Polynésie, de croquis, aquarelles et collages. Cet album, que l'artiste enrichit et conserva précieusement jusqu'à sa mort, est aujourd'hui au Musée d'Orsay. C'est donc d'après ce manuscrit, le seul illustré, que Monfreid composa l'édition du Noa Noa de Gauguin. Cependant, si le projet de publication de Monfreid fut précoce, il mit plus de vingt ans à le mener à bien, en partie à cause d'un conflit de droit d'auteur avec Charles Morice qui souhaitait figurer comme co-auteur de l'édition en préparation et dont les poèmes seront finalement conservés. Fruit de plusieurs années de réflexion et de travail, l'édition de 1924 se veut à la fois fidèle aux aquarelles et bois gravés illustrant le précieux manuscrit, mais également à l'ensemble de l'uvre tahitienne de Gauguin, mort dans l'indifférence. Monfreid grave ainsi plusieurs dessins du cahier original et l'enrichit de bois réalisés à partir des autres uvres dont il est le dépositaire. Certaines de ces compositions associent plusieurs peintures, tout en respectant scrupuleusement le trait de l'artiste, transformant l'ouvrage en véritable voyage à travers les uvres du peintre. Le choix même de la gravure sur bois est un hommage à cette technique prisée par Gauguin qui réalisa à Pont-Aven 10 bois pour illustrer son manuscrit entre ses deux séjours polynésiens. Les bois intermédiaires, jusqu'alors inconnus, témoignent du lent travail de composition pour restituer la richesse artistique de l'uvre de Gauguin par son plus fidèle compagnon artistique et premier défenseur : «Quand je vis Gauguin pour la première fois, je fus fortement déconcerté par les données d'art émanant de ses uvres aussi bien que des conversations de cet homme extraordinaire... En lui tout de suite on sentait le Maître » (In L'hermitage, 1903) Epreuve unique du bois gravé d'après deux uvres majeures: la fameuse femme aux mangues dont Gauguin tira lui-même une première gravure en 1898 et la grande encre bleue au centre de l'album manuscrit de Noa Noa. En rassemblant
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s. d. [1924] | 9.30 x 7.80 cm | autre
Epreuve originale probablement unique de cet état intermédiaire d'un bois dessiné et gravé d'après une aquarelle de Paul Gauguin par Georges-Daniel de Monfreid. Tiragesur vergé crème fin, annotation de l'artiste au crayon en marge gauche. Bois dessiné et gravé d'après la première aquarelle du manuscrit de Noa Noa, contrecollée sur le contreplat de la reliure du célèbre album. Le bois définitifservira de tête au chapitre X de la véritable édition originale illustrée deNoa Noa, parue chez Crès en 1924, premier ouvrage illustré d'après Paul Gauguin et majestueux hommage à l'uvre de ce précurseur de l'art moderne. Superbe et importante gravure de l'uvre ouvrant le manuscrit de Paul Gauguin,gravé par son plus proche ami et exécuteur testamentaire, l'artiste Georges-Daniel de Monfreid, héritier de l'album qu'il offrira en 1927 à l'Etat Français. Cette épreuve, probablement unique, fait partie des 17 bois d'essais connus duprojet de publication précoce deNoa Noa, tous réalisés sur divers papiers fins et annotés par l'artiste. C'est à partir du manuscrit illustré original de Noa Noa rapporté de Tahiti par Segalen à la mort de l'artiste en 1903 que Monfreid entreprit, dès 1904, la réalisation de cette uvre fondamentale. Il s'agit de la seconde version de ce carnet « à lire et à regarder ». Le premier manuscrit, rédigé au retour de son premier voyage et confié par Gauguin à Charles Morice en 1893 répondait à un projet différent. Gauguin n'avait composé que le texte, entrecoupé de pages blanches destinées aux poèmes de Morice. Mais, après plusieurs années sans nouvelles, celui-ci préféra publier en 1901 une version entièrement réécrite par ses soins. Gauguin recopia donc son manuscrit et l'illustra lors de son second séjour en Polynésie, de croquis, aquarelles et collages. Cet album, que l'artiste enrichit et conserva précieusement jusqu'à sa mort, est aujourd'hui au Musée d'Orsay. C'est donc d'après ce manuscrit, le seul illustré, que Monfreid composa l'édition du Noa Noa de Gauguin. Cependant, si le projet de publication de Monfreid fut précoce, il mit plus de vingt ans à le mener à bien, en partie à cause d'un conflit de droit d'auteur avec Charles Morice qui souhaitait figurer comme co-auteur de l'édition en préparation et dont les poèmes seront finalement conservés. Fruit de plusieurs années de réflexion et de travail, l'édition de 1924 se veut à la fois fidèle aux aquarelles et bois gravés illustrant le précieux manuscrit, mais également à l'ensemble de l'uvre tahitienne de Gauguin, mort dans l'indifférence. Monfreid grave ainsi plusieurs dessins du cahier original et l'enrichit de bois réalisés à partir des autres uvres dont il est le dépositaire. Certaines de ces compositions associent plusieurs peintures, tout en respectant scrupuleusement le trait de l'artiste, transformant l'ouvrage en véritable voyage à travers les uvres du peintre. Le choix même de la gravure sur bois est un hommage à cette technique prisée par Gauguin qui réalisa à Pont-Aven 10 bois pour illustrer son manuscrit entre ses deux séjours polynésiens. Les bois intermédiaires, jusqu'alors inconnus, témoignent du lent travail de composition pour restituer la richesse artistique de l'uvre de Gauguin par son plus fidèle compagnon artistique et premier défenseur : «Quand je vis Gauguin pour la première fois, je fus fortement déconcerté par les données d'art émanant de ses uvres aussi bien que des conversations de cet homme extraordinaire... En lui tout de suite on sentait le Maître » (In L'hermitage, 1903) Epreuve unique du bois gravé d'après l'aquarelle inaugurant l'un des plus beaux albums de peintre et symbolisant l'art de vivre tahitien, entre mer nourricière et plaisirs terrestres. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. d. [1924] | 9.30 x 7.80 cm | autre
Epreuve originale probablement unique de cet état intermédiaire de "Tehura", bois dessiné et gravé d'après le tableauMerahi metua no tehamanade Paul Gauguin par Georges-Daniel de Monfreid. Tiragesur vergé crème fin, annotation de l'artiste au crayon en marge gauche. Le bois définitifservira de tête au chapitre VI, Le Conteur parle, page 81 de la véritable édition originale illustrée deNoa Noa, parue chez Crès en 1924, premier ouvrage illustré d'après Paul Gauguin et majestueux hommage à l'uvre d'un des précurseurs de l'art moderne. Très important et tout premier bois du célèbre tableau de Paul Gauguin,gravé par son plus proche ami et exécuteur testamentaire, l'artiste Georges-Daniel de Monfreid, auquel Gauguin offrit cette toile après deux infructueuses expositions. Cette épreuve, probablement unique, fait partie des 17 bois d'essais connus duprojet de publication précoce deNoa Noa, tous réalisés sur divers papiers fins et annotés par l'artiste. C'est à partir du manuscrit illustré original de Noa Noa rapporté de Tahiti par Segalen à la mort de l'artiste en 1903 que Monfreid entreprit, dès 1904, la réalisation de cette uvre fondamentale. Il s'agit de la seconde version de ce carnet « à lire et à regarder ». Le premier manuscrit, rédigé au retour de son premier voyage et confié par Gauguin à Charles Morice en 1893 répondait à un projet différent. Gauguin n'avait composé que le texte, entrecoupé de pages blanches destinées aux poèmes de Morice. Mais, après plusieurs années sans nouvelles, celui-ci préféra publier en 1901 une version entièrement réécrite par ses soins. Gauguin recopia donc son manuscrit et l'illustra lors de son second séjour en Polynésie, de croquis, aquarelles et collages. Cet album, que l'artiste enrichit et conserva précieusement jusqu'à sa mort, est aujourd'hui au Musée d'Orsay. C'est donc d'après ce manuscrit, le seul illustré, que Monfreid composa l'édition du Noa Noa de Gauguin. Cependant, si le projet de publication de Monfreid fut précoce, il mit plus de vingt ans à le mener à bien, en partie à cause d'un conflit de droit d'auteur avec Charles Morice qui souhaitait figurer comme co-auteur de l'édition en préparation et dont les poèmes seront finalement conservés. Fruit de plusieurs années de réflexion et de travail, l'édition de 1924 se veut à la fois fidèle aux aquarelles et bois gravés illustrant le précieux manuscrit, mais également à l'ensemble de l'uvre tahitienne de Gauguin, mort dans l'indifférence. Monfreid grave ainsi plusieurs dessins du cahier original et l'enrichit de bois réalisés à partir des autres uvres dont il est le dépositaire. Certaines de ces compositions associent plusieurs peintures, tout en respectant scrupuleusement le trait de l'artiste, transformant l'ouvrage en véritable voyage à travers les uvres du peintre. Le choix même de la gravure sur bois est un hommage à cette technique prisée par Gauguin qui réalisa à Pont-Aven 10 bois pour illustrer son manuscrit entre ses deux séjours polynésiens. Les bois intermédiaires, jusqu'alors inconnus, témoignent du lent travail de composition pour restituer la richesse artistique de l'uvre de Gauguin par son plus fidèle compagnon artistique et premier défenseur : «Quand je vis Gauguin pour la première fois, je fus fortement déconcerté par les données d'art émanant de ses uvres aussi bien que des conversations de cet homme extraordinaire... En lui tout de suite on sentait le Maître » (In L'hermitage, 1903) Epreuve sans doute unique du bois gravé d'après le chef-d'uvre de Gauguin, Merahi metua no Tehamana, représentant l'épouse du peintre et son principal modèle tahitien. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paul Ollendorff | Paris 1890 | 12.50 x 19 cm | relié
Edition originale, un des 20 exemplaires numérotés sur Hollande, seuls grands papiers. Reliure en demi basane caramel, dos lisse orné d'un riche décor de motifs typographiques dorés, pièce de titre de chagrin marine comportant un petit manque, quelques légères traces de frottements sur le dos, doubles filets dur les plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tête dorée sur témoins, reliure de l'époque non signée mais attribuable à Lancelin. Envoi autographe signé de Paul Gaulot à madame Paul Ollendorff. Exemplaire à toutes marges agréablement établi. Provenance : bibliothèque de Paul Ollendorff. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paul Ollendorff | Paris 1895 | 12.50 x 19 cm | relié
Edition originale, un des 5 exemplaires numérotés sur Hollande, seuls grands papiers. Reliure en demi maroquin noisette à coins, dos à cinq nerfs sertis de pointillés dorés, de filets noirs, ainsi que de fleurons dorés, frises dorées en tête et en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à effet moiré, couvertures conservées, tête dorée sur témoins. Envoi autographe signé de Paul Gaulot à madame Paul Ollendorf. Bel exemplaire à toutes marges agréablement établi. Provenance : bibliothèque de Paul Ollendorff. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paul Ollendorff | Paris 1890 | 12.50 x 19 cm | relié
Edition originale, un des 20 exemplaires numérotés sur Hollande, seuls grands papiers. Reliure en demi basane caramel, dos lisse orné d'un riche décor de motifs typographiques dorés, pièce de titre de chagrin marine comportant de petits frottements, doubles filets dur les plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tête dorée sur témoins, reliure de l'époque non signée mais attribuable à Lancelin. Envoi autographe signé de Paul Gaulot à madame Paul Ollendorff. Exemplaire à toutes marges agréablement établi. Provenance : bibliothèque de Paul Ollendorff. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Payot | Paris 1908 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Rare envoi de Paul Gaultier. Légères piqûres marginales sur le premier plat ainsi que sur le dos. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Plon | Paris 1908 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale sur papier courant. Ouvrage orné d'un portrait de M. de Staël et établi d'après les lettres de M. de Montmorency à Mme. de Staël. Manques en tête et en pied du dos, deux petits manques marginaux sur le premier plat, agréable état intérieur. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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1864 | 14.50 x 22.20 cm | une feuille
Dessin original attribué à Gavarni réalisé pour la série carnaval. Ce dessin apparait en effet gravé dans l'album publié Gens de Paris, Carnaval (1864), et repris dans la second tirage du Diable à Paris en 1868. Nous donnons une photographie de la gravure dans le descriptif. Technique de dessin par hachures qui permet une reproduction fidèle par le graveur, et souvent utilisé par Gavarni. Une feuille cartonnée. Trace de montage au dos. Ensemble légèrement bruni. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Galerie Vero Dodat | Paris 1837 | 25.50 x 35.50 cm | relié
Rare suite de 21 lithographies réunissant l'ensemble des 18 gravures des maris vengés, dont 3 en double état (le second état en couleurs), la troisième en double état avec deux tirages en couleurs différents. En tout 8 lithographies coloriées à la main. Afin de réunir cette collection complète du recueil, le collectionneur a bien sûr puisé dans celle parues uniquement dans le Charivari, la 13, la 14 et la 16. Toutes les gravures sont à la même adresse et numérotées de 1 à 18 (excepté une numérotée à la main, et la dernière ne portant aucun numéro) : Chez Aubert, Galerie Vero Dodat. Cartonnage moderne, à l'imitation d'une reliure d'époque, en demi percaline verte, les plats de toile cirée avec multiples encadrements à froid. Titre doré sur le dos et sur le plat supérieur. 8 gravures montées sur un feuillet correspondant à la taille des plus grandes gravures en feuilles. La n°1 et la n°4 portant des brunissures, les autres bien fraîches, sur papier fort, hormis celles extraites du Charivari. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Imprimerie d'Aubert | Paris s. d. [1839] | 26.40 x 34.50 cm | une feuille
Lithographie originale réhaussée en couleurs et gommée, pour Le Charivari, imprimée sur papier fin. Armelhaut et Bocher 904. Planche uniformément ombrée. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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