Par l'auteur | s. l. 1983 | 22 x 22 cm | une feuille
Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center o
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Par l'auteur | s. l. 1981 | 22 x 22 cm | une feuille
Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center o
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Par l'auteur | s. l. 1983 | 22 x 22 cm | une feuille
Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center o
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Par l'auteur | s. l. 1981 | 21.50 x 24 cm | une feuille
Ensemble de 8 portraits de petites dimensions de Michel Foucault par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center
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Par l'auteur | s. l. 1992 | 31.50 x 46 cm | une feuille
Photographie originale en noir et blanc réalisée et tirée par Marc Trivier. Tirage argentique non signé, comme la plupart des oeuvres de Trivier. Epreuve unique tirée par l'artiste. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'inter
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Par l'auteur | s. l. 1980 | 24 x 30 cm | une feuille
Grande photographie originale en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Découpe irrégulière sur le bord droit de la photographie. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carrésouligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadrepiège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition."» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Youn
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Par l'auteur | s. l. 1980 | 22 x 22 cm | une feuille
Grande photographie originale en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carrésouligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadrepiège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition."» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photogra
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Par l'auteur | s. l. 1980 | 22 x 22 cm | une feuille
Grande photographie originale en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carrésouligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadrepiège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition."» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photogra
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Editions de Minuit, 1968, in-8°, 281 pp, broché, couv. à rabats lég. salie, état correct. Edition originale en français, augmentée d'une préface inédite de l'auteur (Vignes, 547)
Marcuse propose dans son Homme unidimensionnel une critique du monde moderne qui emporte à la fois le capitalisme et le communisme soviétique, basée sur la constatation, dans les deux systèmes, de l'augmentation des formes de répression sociale (qu'elle soit d'ordre privé ou public). Ainsi, la tendance, dans les pays supposément marxistes, à la bureaucratisation était, pour Marcuse, tout aussi opposée à la liberté que dans les pays occidentaux.
Marcus Terentius VARRON - CATON L'ANCIEN - Lucius Iunius Moderatus COLUMELLE
Reference : 46953
(1529)
Venundantur Iodoco Badio Ascensio [ Josse Bade] | s. l. [Paris] 1529 et 1524 pour les deux textes suivants | 20.50 x 31.50 cm | relié
Première édition parisienne duLibri de re rustica illustrée d'un titre-frontispice représentant une scène d'imprimerie, ainsi que diverses scènes mythologiques en encadrement. Une annotation manuscrite du temps sur la page de titre. Belles lettrines. Cette édition contientle glossaire de Giorgio Merula,les commentaires de Filippo Beroalda l'Ancien sur les treize livres de Columelle, ainsi quela table d'Alde Manuce sur la durée du jour et la taille des ombres portées, suivant les enseignements de Palladius. Troisième édition chez Josse Bade pour Macrobii Aurelii Theodosii Viri consularis, après celles de 1515 et 1519. Elle est suivie sous pagination particulière d'un opuscule de Censorin intitulé De die natali.Pagede titre-frontispice répétée.Lettrines identiques au texte précédent; un large bandeau représentant des astronomes, ainsi que plusieurs autres vignettes et schémas astronomiques in-texte. Une très importante carte de Macrobe représentant les zones climatiques. Reliure en plein vélin rigide crème d'époque. Dos à six nerfs. Titre à la plume contemporain de l'ouvrage dans le premier caisson et étiquette plus tardive dans le second. Restes de fermoirs. Toutes tranches mouchetées rouges.Quelques soulignements et annotations marginalesde l'époque.Quelques pâles mouillures et déchirures marginales sans manque. Une déchirure en coin sans perte de texte au feuillet miiii du second texte. Exemplaire particulièrement frais. Le Libri de re rustica est une réunion de textes didactiques en prose sur l'agriculture et la vie à la campagne, laissés par les quatre grands agronomes antiques Caton l'Ancien, Varron, Columelle et Palladius; y sont abordés la culture des champs et des jardins, l'élevage des abeilles, la pêche, l'économie rurale (recettes de cuisine, de médecine), ainsi que les travaux de plantation. Ces textes sont traditionnellement imprimés dans des éditions collectives et adoptent un ton scientifique et non littéraire comme avait pu le faire Virgile dans ses Géorgiques.Ainsi, dès 1472 et jusque vers le milieu du XVIIIème siècle, ces textesseront régulièrement et collectivement édités sous la coupe des plus grands imprimeurs européens, d'abord en Italie, le berceau de l'humanisme, puis en France eten Allemagne. Dans la deuxième moitié du siècle, on fit plutôt des éditions séparées, il faudra ensuite attendre le regain d'intérêt de la seconde moitié du XVIIIème pour les réalités agricoles et voir ces uvres éditées à nouveau. La seconde partie est constituée du célèbre Commentaire du Songe de Scipion par Macrobe, ainsi que des sept livres de ses Saturnales, banquet philosophique se déroulant à la période éponyme et durant lequel douze devisants dissertent sur l'histoire et la philosophie romaine, puis proposent une explication des textes de Virgile. CesSaturnalessont aussi l'occasion d'un débat sur les aliments et leurs propriétés. De die natali(« Du jour de naissance ») traite de la naissance et de la vie de l'homme, des jours, les mois, des années, des rites religieux, il s'agit d'une importante mine d'information concernant les usages de l'Antiquité:calcul du terme de la naissance, zodiaque,la théorie de Pythagoresur la musique et les planètes, et l'influence sur la durée de gestation. Il y est question de la vie divisée en périodes ou années climatériques, et de sa durée limitée à quatre-vingts ou à cent ans au plus. Censorinus fournit aussi de nombreux repères chronologiques historiques. Très bel ensemble de textes tout à fait symbolique du regain d'intérêt des auteurs de la Renaissance pour les textes antiques classiques ou mineurs, et qui confirme la vision d'une Rome idéale et harmonieuse. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Sumptibus Blaviorum Henrici Wetsteinii | Amstelaedami 1684 | 12 x 19.70 cm | 2 volumes reliés
Edition originale réalisée par Johann Georg Graevius. Un frontispice non signé. Première page de titre en rouge et noir. Les commentaires de Paul Manuce forment une partie à part, en fin du premier et du second volume. Reliure en plein velin rigide d'époque. Dos lisse janséniste. Titre et tomaison à la plume noire. Le velin du premier tome a perdu sa brillance. Bon exemplaire. Graevius fut un célèbre philologue allemand, il a donné plusieurs éditions critiques des oeuvres de Ciceron et d'autres auteurs de l'Antiquité. Les lettres à Atticus de Ciceron sont parmi les plus fameuses du rhéteur romain, Atticus étant un intime pour lequel Ciceron conserva une affection vive et sincère. De cette correspondance, il reste454 lettres (sur les 813 lettres de Cicéron qui nous sont parvenues). Graevius a rassemblé pour cette édition toutes les grandes annotations critiques depuis les premières éditions, celles d'Aldo Manuce, de Denys Lambin, de Gronovius, d'Isaac Casaubon... La masse des commentaires occupe la majeure partie des pages. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Jacobi Tonson & Johannis Watts | Londini (Londres) 1716 | 9 x 15.60 cm | relié
Edition originale de Richard Mead avec la vie de Martial par Petro Crinito. Un frontispice par Du Guernier. Page de titre en rouge et noir. Reliure en plein vélin rigide d'époque. Dos lisse janséniste avec titre à la plume rouge. Bon exemplaire. L'ouvrage contient le Liber spectaculorum, lequel rassemble 33 pièces épigrammatiques, offert à Titus lors de l'inauguration du Colisée en 80 ; Vient ensuite les Epigrammes au nombre de 1500 réparties sur 15 livres. Ces dernières sont souvent obscènes, elles portent un regard particulier sur toutes les couches de la société romaine et s'attaquent à toutes sortes de personnages. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Apud Franciscus Hackium ( Hacke) | Lugduni Batavorum (Leyde) 1656 | 10.50 x 17 cm | relié
Nouvelle édition ornée d'un titre-frontispice avec deux satyres. Cette première édition sous cette forme sera rééditée en 1661 et 1670. Reliure en pleine basane marbrée d'époque. Dos à nerfs orné. Pièce de titre en maroquin rouge. Triple filet d'encadrement. Un manque au mors supérieur en tête. Coiffe de tête fragile. Frottements. Edition qui reprend toutes les études antérieures effectuées sur Martial. Abondantes notes de farnaby et de Gronovius (qu'on ne trouverait que dans cette édition), vie de Martial par Pierre cretin. Index de Cornelius Schrevel. La meilleure édition ancienne en petit format. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Editions Le Pré aux Clercs 1947. In-12 broché de 284 pages au format 12 x 18,5 cm. Couverture noire avec titre en jaune. Dos bien carré. Infimes frottis aux mors et au coins. Intérieur parfait. Exemplaire non coupé. Un des 30 exemplaires numérotés sur pur fil ( n° 29 ), seul grand papier. Excellent roman fantastique. Rare édition originale, surtout en grand papier et dans un tel état de fraicheur, proche du parfait.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Le Dilettante | Paris 1993 | 12 x 18 cm | broché
Edition originale sur papier courant. Agréable exemplaire de cet ouvrage consacré à Django Reinhardt. Bel envoi autographe signé de Marc-Edouard Nabe : "Pour Tiberius ce petit nuage qui montera bien un jour... Marc-Edouard Nabe 4.7.93 (anniversaire de la naissance de Louis Armstrong...)" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Editions du Rocher | Paris 1999 | 14 x 20.50 cm | broché
Edition originale. Petites taches sur les plats. Ouvrage orné d'illustrations de Vuillemin. Envoi autographe signé de Marc-Edouard Nabe à un ami prenommé Jean-Loup : "... K.O. et autres contes où beaucoup de femmes souffrent ! " - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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in 12 carré broché,faux-titre, titre,frontispice,112 pages, 1 page de table des matières,illustrations en noir de Henri BOSSUT Editions Nymphéa 30 octobre 1934 non coupé sur les presses de H.Frémont & fils Verdun.Très bon état, exemplaire n°18 sur pur fil Lafuma.Edition originale.On joint une épreuve du tirage avec les corrections manuscrites
poèmes in 8 broché faux-titre,titre,29 pages,1 page de table des matières,achevé d’imprimer le 2 septembre 1941 sur les presses de l’imprimerie Nicols à Niort.Exemplaire n° 15/30 vergé d’arches seul grand papier.Envoi manuscrit autographe de l’auteur,on joint le tapuscrit de ces poèmes, sauf le dernier.4 pages de compte rendu de l’émission littéraire du 22 juillet 1947 animée par André MINGUIN consacrée à ce recueil de poèmes.Epreuve d’essai avec un titre manuscrit,ainsi que 17 poèmes,manuscrits,pour Monde fragile
In 8 broché Faux-titre,titre,142 pages,éditions René Debresse 1935.Exemplaire sur hollande XII/XX.On joint les premières épreuves avec corrections manuscrites Un cahier avec 34 poèmes manuscrits Un jour après l’autre Tome 1 Jean Mardigny Très bon état
in 12 carré broché,titre,88 pages,2 feuillets de table, quelques illustrations de Rob CADRE,éditions Ercé impressions Rob Cadoré Nancy 1939 édition originale, envoi de l’auteur à sa femme."à toi,mon amour,ma femme,sans qui je ne veux plus de roulotes ni d’auberges,ces pâles feuillets anciens"correction manuscrite:à la page 7: "s’effondre" à la place de "s’écroule",page 12:"libre je suis sans cœur" à la place de "vois j’ai l’âme méchante", page 77 ajouté "le jardin répète à l’infini sa plainte", une faute corrigée page 88.très bon état
Gallimard, Nrf, 1962. In-12 broché, 161 p. Edition originale en service de presse de ce premier roman à la forme scénaristique. Envoi signé de l'auteur à Jean Queval. Couverture piquée, rousseurs éparses sur les trois premières pages, sinon solide exemplaire, non découronné.
Editions de la Revue Blanche, 1900, grand in-8, 14.5 x 23 cm, 350 p. par volume environ, reliure demi-chagrin rouge d'époque, dos lisse orné de motifs dorés, papier légèrement jauni, certaines coiffes frottées.
Edition originale de la traduction de Mardrus. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
in 4 broché faux-titre,titre,260 pages,nombreuses illustrations dans et hors-texte dont un en couleurs au pochoir,plan dépliant en fin de volume avec addenda et errata édition numérotée Arts et métiers graphiques Avril 1958 planches en hélio et hors-texte en similigravures, pochoir coloré par Monnier (errata souvent manquant) Très bon état
MAREC, Erwan, directeur des fouilles - BARADEZ, Jean - Stéphane GSELL - BERTHIER - Christian Courtois - Eugène Albertini
Reference : 46653
(1954)
1954 ALGER, Imp. Officielle - 1954 - In-8 - broché - Plans & cartes - 68 illustrations, certaines PP - 128 pages - Bon exemplaireALGER, Imp. Officielle - 1952 - In-8 - broché - 1 grande carte dépliante HT- 52 illustrations, certaines PP - 80 pages - Bon exemplaireALGER, Imp. Officielle - 1952 - In-8 - broché - Plans - 1 carte dépliante HT - Nombreuses illustrations, certaines PP - 128 pages - Bon exemplaireALGER, Imp. Officielle - 1951- In-8 - broché - 1 grande carte dépliante HT - Nombreuses illustrations, certaines PP -56 pages - Bon exemplaireALGER, Imp. Officielle - 1951- In-8 - broché - 1 grande carte dépliante HT - Nombreuses illustrations, certaines PP - 104 pages - Bon exemplaireALGER, Imp. Officielle - 1950- In-8 - broché - 1 grande carte dépliante HT - Nombreuses illustrations, certaines PP - 112 pages - Bon exemplaireALGER, Imp. Officielle - 1950- In-8 - broché - 1 grande carte dépliante HTen couleurs -112 pages d' Illustrations PP - Bon exemplaire
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Thèse pour le doctorat ès lettres présentée à la faculté des lettres de Paris.In 8 broché faux-titre,titre,345 pages,librairie académique Perrrin & Cie 1913.Traces de scotch,séchées à la page de faux titre et pages de garde. Sinon bon exemplaire