Paris 1912-1913 | 19 x 24.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé et signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 18 x 24 cm | une feuille
Estampe originale en couleur très finement rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 18 x 24 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 18 x 24 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Le Vasseur et Cie | Paris 1937 | 18 x 22.50 cm | 10 volumes brochés sous étuis
Edition illustrée de 144 compositions originales en couleurs de Georges Lepape, un des exemplaires numérotés sur vélin de Rives à la forme. Agréable ensemble en dépit de petites traces de salissure sur les tranches inférieures des étuis. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Lucien Vogel éditeur | Paris Août 1913 | 19 x 24.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris 1912-1913 | 19 x 24.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, rehaussée à l'or et au palladium, tirée sur papier vergé et signée en bas à droite en dehors du cadre de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails
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Paris 1912-1913 | 19 x 24.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé et signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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1905 PARIS, Calmann-Lévy - 1905 - E.O. - 1 vol. in-8 - Broché - Couverture rempliée - Frontispice & portraits protégés par serpentes - Bandeaux, Culs-de-lampe - XXXII-402 pages - A l'état de neuf -
Claude-Philibert Barthelot, comte de Rambuteau, (1781-1869 ; ). - Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Librairie Blériot | Paris s. d. [1900] | 12 x 18.50 cm | broché
Edition originale. Rare et agréable exemplaire malgré de légères piqûres marginales sur les plats. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1963 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1963 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1963 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Agréable exemplaire en dépit du dos légèrement insolé. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1946 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale, un des 13 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Rare et bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Fontaine | Paris 1945 | 11.50 x 14 cm | broché
Edition originale, un des 25 exemplaires hors commerce sur papier vert, tirage de tête avec 25 Arches. Couverture illustré par Mario Prassinos. Marges très légèrement et marginalement éclaircies sans gravité. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1938 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers, un des exemplaires du service de presse. Rare et précieux envoi autographe signé de Georges Limbour à Germaine Krull. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Verve | Paris 1961 | 22.50 x 30 cm | reliure de l'éditeur
Edition originale. Reliure de l'éditeur en plein cartonnage, dos lisse muet, plats illustrés de 2 lithographies originales d'André Beaudin. Ouvrage illustré de 10 lithographies originales en couleurs d'André Beaudin (dont 2 en couverture) ainsi que de 157 reproductions de ses oeuvres. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Editions Anthologie | Liège s. d. | 13.50 x 18 cm | agrafé
Edition originale. Plats légèrement et marginalement passés, sinon rare et agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Editions de la "Revue des indépendants" | Paris 1920 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale pour laquelle il n'est pas fait mention de grands papiers. Précieux envoi autographe signé de Georges Lionnais à Henri Béraud. Ouvrage illustré d'un portrait photographique de l'auteur en frontispice. Petits manques de papier et taches sur le second plat, carte de visite de l'auteur jointe. Provenance : de la bibliothèque rétaise d'Henri Béraud. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Chez Deterville | A Paris 1801- 1802 | 9 x 14 cm | 36 volumes reliés
Nouvelle édition imprimée par Crapelet et illustrée de 349 figures dont un portrait au frontispice du tome 1, l'ensemble en coloris d'époque au pinceau. Cette édition a connu ensuite des rééditions in-8 plus tardive avec 263 planches en noir. Cette édition a été commençée en 1799 et s'est étalée jusqu'en 1804, car aux volumes de Buffon, sont venus s'adjoindre plus tard L'histoire naturelle de Bloch, L'histoire des coquilles de Bosc, L'histoire naturelle des vers, etc... Elle devait comprendre toutes les histoires naturelle écrites, en 80 volumes. Il est bien entendu fort rare de trouver un exemplaire aux figures coloriées, la plus grande majorité étant en noir. Les dessins ont été réalisés par De Sève, et la mise en couleurs est précise et très fine, les coloris sont très frais. Chaque planche est protégée d'une serpente. Il y a généralement au moins 2 figures par planche. Le plus grand nombre de planches a été destiné aux oiseaux, environ 130, puis aux poissons, environ 110. Cette collection contient L'histoire de la terre, L'histoire de l'homme, L'histoire des quadrupèdes jusqu'au tome X, Les oiseaux tomes XI à XXVI, les minéraux tomes XXVII à XXXI, les poissons tomes XXXII à XXXVI, dont l'auteur sont cette fois Eugène Melchior et Louis PATRIN Reliure en plein veau marbré d'époque. Dos lisse orné de 4 fleurons centraux dans des losanges et de rinceaux, filets et roulettes. Pièce de titre et de tomaison en veau chocolat. Grecque d'encadrement sur les plats. tranches marbrées. Mors supérieur du tome I fendu, et mors inférieur fendu en queue. Coiffe de tête du tome V élimée. Un manque en tête du tome X. Tomes XIX et XXII, tête en partie élimée. Au tome XXIV, mors supérieur en tête étroitement fendu. Tome XIII, un manque le long du mors supérieur en queue. Papier bien frais et blanc dans l'ensemble, parfois quelques rares piqûres dans les marges. Au tome XXIV, trace de mouillure en marge interne de la page de titre, débordant sur le texte. Au tome II, P;119 à 144, trace de mouillure jaune pâle au coin bas, ébordant sur la page. Tome XIX, trace de mouillure de la page 1 à 34 sur les 2/3 de la page. Tome XX, mors supérieur légèrement fendu en partie. Quelques coins émoussés. traces de frottement. Bel ensemble de cette reliure Empire. Rare collection aux figures coloriées. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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A. Eymery | Paris 1825 -1828 | 13.50 x 21 cm, longueur totale de la série 103 cm | 26 volumes reliés
Edition complète en 25 tomes illustrée de 245 planches, dont le portrait de l'auteur par Deveria en frontispice, 216 planches en couleurs coloriées à la main (certaines avec des rehauts d'or) dont 91 pour les mammifères, 126 pour les oiseaux, 13 en noir et 4 cartes géographiques repliées. Rare exemplaire complet du volumes supplémentaire paru en 1828 avec 12 planches en couleurs. Reliure en plein veau glacé. Dos à nerfs orné de 3 fers restauration à froid mosaïqué de points d'or, roulettes en queue et tête, sur les nerfs et formant les caissons. 2 pièces de titre en veau blond. Grand médaillon à froid sur les plats et frise d'encadrement à froid. Dos comportant des traces de décoloration, petits manques ou minuscules manques de fragments à 8 coiffes de tête (9, 11, 23, 1, 5, 24...) avec au tome 26, une déchirure au mors en coiffe supérieure, idem en queue. Papier relativement frais avec quelques rousseurs éparses. La plupart des planches sont en parfait état de fraîcheur, certaines brunies avec quelques rousseurs. Au tome 3, 4, 5 et 10, quelques feuillets brunis et brunissures. Une déchirure au t.11 p. 63, et des feuillets brunis. Dos avec des traces de décoloration. Quelques rousseurs éparses. Ex-libris Comte Chevreau d'Enraigues. La plupart des planches en couleurs sont l'oeuvre de Gabriel Prêtre, le peintre du museum d'histoire naturelle et de la ménagerie de l'impératrice Joséphine. Ces oeuvres complètes sont enrichies d'une vue générale des progrès de plusieurs branches des sciences naturelles mises en ordre par le Comte de Lacépède, augmentées d'un volume contenant le précis des merveilles de la nature découvertes depuis Buffon jusqu'à nos jours. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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De l' imprimerie des Bâtiments du roi | à Paris 1788 | 20 x 25.50 cm | relié
Édition originale de ce traité, paru à la suite des quatre tomes dont les dates éditoriales se succèdent de 1782 pour le premier volume à 1788 pour le dernier, en l'occurrence le Traité de l'aimant, qui de ce fait manque souvent à la série. Reliure en plein maroquin rouge d'époque. Dos à nerfs richement orné. Pièces de titre et de tomaison en maroquin noir. Triple filet d'encadrement sur les plats. Roulette sur les coupes et intérieure. tranches dorées. Papier dominoté à étoiles dorées. Coins frottés. Très bel exemplaire, parfaitement relié dans une reliure de maître, très frais. Le Traité de l'aimant est le dernier ouvrage publié du vivant de l'auteur et qui vient clore l'Histoire naturelle dont l'édition s'est étalée sur cinquante ans, et qui eut un succès comparable à l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert. Le traité proprement dit est suivi de nombreuses tables d'observations sur l'inclinaison de l'aiguille aimantée (avec les noms des voyageurs et navigateurs), dans l'hémisphère austral et boréal, suivant des latitudes différentes... Le traité débute par un exposé des forces magnétiques et électriques. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon - Jacques de Sève - Philibert Guéneau de Montbeillard
Reference : 89949
(1770)
Imprimerie royale | Paris 1770-1783 | 20 x 26.4 cm | relié
Édition originale de l'Imprimerie royale, complet de ses neuf volumes in-4 et de ses 262 planches gravées en noir. Reliures en plein veau glacé et granité d'époque, dos à nerfs guillochés ornés de fers dorés dans les compartiments, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge, triple filet doré en encadrement des plats, double filet doré sur les coupes, gardes et contreplats de papier marbré, tranches marbrées. Quelques infimes variations sur les fers du volume 3. Dans cette ensemble, quelques coiffes manquantes, mors fendus en pied du volume 1 sur 6 cm, en pied du volume 2 sur 6,5 cm et 6 cm,et en tête du volume 3 sur 3,5 cm,coins émoussés, griffures et restaurations marginales sur les plats, dont une plus importante sur le volume 7 de 11 cm, brunissure en marge gauche du second plat du volume 4. À l'intérieur des volumes : quelques galeries de ver, plusieurs mouillures à travers l'ensemble des volumes, certaines plus importantes dans les volumes 1, 3 et 8, quelques déchirures, restaurées sur la page de titre ainsi que sur les pp. ix etxxiii du volume 1, également restaurées sur la p. 496 du volume 2, sur les pp. 259 et 260 du volume 3, sur les pp. 481 et 482 du volume 4 et sur les pp. 173 à 176 du volume 5. Exemplaire augmentées de quelques annotations marginales : au volume 2, note de bas de page manuscrite à lencre ajoutée à la p. 541 (« **Voyez les Planches enluminures n°491 »), datations manuscrites à l'encre erronées dans les volumes 2 et 8, nombre « 18 » annoté à l'encre à langle supérieur droit de la dernière garde du volume 9. Exemplaire richement illustré des dessins de Jacques de Sève, gravés par Robert de Launay, Lucas, Michel, Madeleine-Thérèse Rousselet, C. Baron, Hubert, Catherine Haussard, Carl Gottlieb Guttenberg, Jean-Guillaume Blanchon, Menil, Dufour, Louis Claude Legrand, Claude Mathieu Fessard, Elisabeth Haussard, François Hubert, A.-B. Duhamel, Mlle Mansard, C. Baquoy, Heinrich Guttenberg, Laurent Guyot, Benazeth, Schmitz, Marie-Anne Rousselet (M. R. veuve Tardieu), Louis-Gabriel Monnier, Pierre-Étienne Moitte, Jean-Louis de Lignon, Levillain, N. du Four, Thomas Chambars, Nicolas Thomas, Luigi Valperga ou encore George Louis Biosse. On joint deux planches supplémentaires, réhaussées en couleurs, numérotées XX et XXII, provenant d'un volume 7 de l'Histoire naturelle des oiseaux. * L'uvre principale de l'illustrateur Jacques de Sève fut incontestablement l'Histoire naturelle, générale et particulière, pour laquelle il exécuta près de 2000 dessins. À la différence des illustrations qu'il réalisa pour les autres volets de l'uvre monumentale de Buffon, fait avant tout à partir de modèles empaillés,le travail accompli sur l'avifaune fut essentiellement réalisé à partir d'oiseaux vivants. Pour mener à bien ce vaste projet, Jacques de Sève s'inspira des uvres du "Peintre ordinaire" du roi, Jean-Baptiste Oudry. Décision judicieuse, qui lui permis de gagner les faveurs de la reine, grande admiratrice du maître de la peinture animalière. En insérant des petits amours à la Boucher dans les vignettes introductives de certains des volumes deHistoire naturelle des oiseaux, Sève s'attira également les bonnes grâces de la maîtresse du roi. Ces dernières illustrations, à la fois décorative et savante, figurant dans l'édition originale ci-contre, ne seront pas retenues dans l'édition in-12. Superbe exemplaire complet de l'Histoire naturelle des oiseaux de Georges-Louis Leclerc de Buffon, le Pline français.Comme l'écrivait Ferdinand Hoefer, cet ouvrage conserve la « même magnificence de style » que les autres publications de l'Histoire naturelle, générale et particulière. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, Paris 1973. 1 volume de 336 pages, in-12, relié cuir souple, jaquette blanche illustrée, rhodoïd, étui. 480 illustrations en héliogravure. Album n°12 de la Bibliothèque de la pléiade.
Douzième album de la Pléiade publié hors-commerce. Excellent état de conservation.
Imprimeries Cerf | Paris s. d. [1902] | 16 x 24 cm | agrafé
Edition originale imprimée à petit nombre de ce tiré à part de la 'Revue de synthèse historique'. Envoi de l'auteur, dos renforcé à l'aide d'un scotch. Rare. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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