1921 Paris, Chez G. & A. Mornay, 1921, 8e titre paru dans la collection "Les Beaux Livres", in-8 carré de (4)-248-(2) pp., reliure de l'époque signée G. LEVITZKY, de demi-maroquin Havane à coins, dos à 4 nerfs, date en pied, tête dorée, couverture imprimée et illustrée et dos conservés, très bel exemplaire.
Ouvrage illustré par DARAGNES de beaux bois gravés sur fond de couleur dans le texte, culs-de-lampe et en-têtes, dont un frontispice. Tirage à 1035 exemplaires numérotés. Celui-ci (n°537), est un des 954 exemplaires numérotés sur Rives.
à Moulins, éditions Ipomée, 1986.
Série complète de 5 volumes in-8 reliés (230x170mm), couverture velours marron, titres dorés au dos et sur les plats, vol1:275pp;vol2:355pp;vol3:431pp;vol4:294pp;vol5:270pp. Illustrations en couleurs hors-texte et en noir dans le texte de Jacky Poinson. Préface volume 1 de Jean-Pierre Chabrol et avant-propos de A. Pajault, bibliographie in fine. Le volume premier rédigé par David Roe, biographique, relate la vie et l'oeuvre de Charles-Louis Philippe, sa correspondance littéraire -avec le poète Vandeputte- et celle à Emma -Emma Mc Kenty, ''le petit lampadaire d'amour de Philippe''- et s'achève par l'inventaire des écrits dispersés. Les tomes 2 à 5 regroupent les oeuvres suivantes : La Bonne Madeleine et La Pauvre Marie, Quatre Histoires de pauvre amour, La Mère et l'Enfant, Le Père Perdrix, Bubu de Montparnasse, Croquignole, Marie Donadieu, Contes de matin, Dans la petite ville, Les Chroniques du Canard Sauvage, Charles Blanchard. Si les poètes symbolistes, de René Ghil à Stéphane Mallarmé, incitèrent Charles-Louis Philippe à la poésie, l'auteur n'en fit qu'à sa tête et s'illustra dans des récits, souvent pathétiques, où il recrée "à sa manière poétique, la vie désespérée". Charles-Louis Philippe meurt en 1909 âgé de 35 ans, à la suite d'une fièvre typhoïde mal diagnostiquée. "Lorsqu'on ouvrait la porte et qu'on entrait dans l'unique chambre, on apercevait d'abord tout ce qu'elle ne contenait pas. Il n'y avait pas là cette paix qui fait qu'après le travail, on rentre chez soi, l'on s'assied et l'on sent que on est éloigné des soucis. Il n'y avait pas là cette lumière qui semble vous appartenir, qui est celle de votre maison et ne ressemble pas à la lumière des maisons voisines" (in Charles Blanchard). C'est Nicole Meymat qui a fondé à Moulins-sur-Allier la maison d'édition Ipomée où parurent, entre 1973 et 2004 plus d'une centaine de titres. Avec l'imprimeur Dominique Beaufils, elle sut s'entourer d'illustrateurs talentueux (Frédéric Clément, Claire Forgeot ..). Exemplaires en très bonne condition.
MORNAY 1921 1 Bois gravés de DARAGNES. Paris, Mornay, collection "Les Beaux Livres", 1921, in-12, broché, couverture rempliée, illustrée en noir, 248 pp.
Huitième ouvrage de la collection "Les Beaux Livres". Un des 954 exemplaires numérotés sur papier de Rives. Tache à la couverture, coiffes cassées, usures à la couverture et petites déchirures.
L’un des rarissimes exemplaires de luxe contenant les 29 figures gouachées tirées sur vélin des Amours de Daphnis et Chloé, l’un des plus célèbres livres illustrés du XVIIIe siècle. Paris, de l’Imprimerie de Monsieur, 1787. Petit in-folio de (1) f. bl., viii pp., (1) f., 175 pp., 29 planches hors-texte en couleurs numérotés, protégées par des serpentes. Maroquin rouge, filet et guirlande dorés encadrant les plats, dos lisse finement orné, pièce de titre de maroquin vert, coupes décorées, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Etui. Reliure de l’époque. 319 x 240 mm.
Très belle édition du plus célèbre livre illustré français du XVIIIe siècle, imprimée sur la presse privée de Monsieur, comte de Provence, frère de LouisXVI, futur LouisXVIII, ornée de 29 copies au trait des figures originales du Régent, gravées par Martini. Un des rarissimes exemplaires de luxe contenant les 29 figures gouachées tirées sur vélin. Les peintures sont d'une extrême fraîcheur. «L’éditeur Lamy fit gouacher des suites de ces gravures au trait tirées sur vélin et les inséra dans des exemplaires de luxe.» (Cohen, 655). L'imprimerie de Monsieur était dirigée par Pierre-François Didot (dit Didot jeune) depuis 1779. Dans ce roman grec de Longus (fin du IIe siècle après Jésus-Christ), l’auteur raconte l’histoire de l’amour simple et naïf de Daphnis et Chloé, deux pauvres enfants abandonnés. La particularité de l’ouvrage de Longus, par comparaison avec les autres ouvrages du même genre c’est d’avoir laissé les péripéties au second plan, et d’avoir donné tout le relief aux aventures sentimentales des protagonistes. Daphnis et Chloé ont découvert, en une lente progression, leur sexualité, et le roman s’achève précisément sur l’accomplissement de l’acte charnel. Le roman célèbre Éros, bien sûr, mais aussi Pan et les Nymphes. Ce livre, traduit dans toutes les langues, fut remis au goût du jour en France par le Régent, Philippe d’Orléans et connut plusieurs belles éditions illustrées tout au long du XVIIIe siècle. La présente édition offre une traduction nouvelle par de Bure Saint-Fauxbin. Superbe exemplaire dont l’ensemble des gravures ont été gouachées à l’époque et rehaussées d’un double cadre peint en saumon et noir, conservé dans sa première reliure en maroquin de l’époque. Ce précieux exemplaire a appartenu à Napoléon III, comme en atteste son ex libris apposé au contreplat de la reliure. Charles-Louis-Napoléon Bonaparte, troisième et dernier fils de Louis, roi de Hollande, et Hortense-Eugénie de Beauharnais, et neveu de Napoléon Ier, naquit à Paris au château des Tuileries, le 20 avril 1808 et devint le 22 juillet 1832, à la mort du duc de Reichstadt, le représentant direct de la dynastie napoléonienne; d’abord fixé en Suisse où il fut nommé capitaine d’artillerie, à Berne en 1824, il essaya en 1836 à Strasbourg, de renverser Louis-Philippe dans un mouvement militaire; arrêté et envoyé aux Etats-Unis, il fit en août 1840 à Boulogne une seconde tentative qui échoua et qui lui valut l’emprisonnement perpétuel, mais il réussit à s’enfuir du fort de Ham le 26 mai 1846 et à gagner la Belgique; de retour en France lors de la révolution de 1848, il fut élu député en juin 1848, puis président de la république le 10 décembre de la même année. Le coup d’Etat du 2 décembre 1851 qu’il fit contre l’Assemblée législative lui donna la présidence pour dix ans; enfin, proclamé empereur à la suite d’un plébiscite des 21-22 novembre 1852, le 1er décembre 1852, Napoléon III épousa le 29 janvier 1853, Marie-Eugénie de Gusman, comtesse de Téba, seconde fille du comte de Montijo. Sous son règne la France jouit d’une grande prospérité industrielle et commerciale due en partie à nombre de mesures d’utilité publique prises par le gouvernement, tandis qu’à l’extérieur, une suite de guerres, dont la fin de la conquête de l’Algérie, nous donnait la Savoie, le comté de Nice et la Cochinchine. A la suite de la défaite de Sedan où l’empereur avait été fait prisonnier, la république fut proclamée à Paris le 4 septembre. Napoléon III mourut en exil à Chislehurst, en Angleterre, le 9 janvier 1873. (Olivier Pl. 2659, 15).
Philippe-François-Nazaire FABRE D'ÉGLANTINE - Jean-Jacques ROUSSEAU
Reference : 88630
(1843)
H.L. Delloye Lécrivain et Toubon | Paris 1843-1860 | 17.5 x 27.5 cm | 4 volumes reliés
Pour les trois premiers volumes, édition originale, bien complète des 84 livraisons parues de février 1842 à octobre 1843, de cette "admirable publication imprimée sur papier vélin fort [], une des plus belles du XIXe siècle, elle est très estimée à juste titre et peut être comparée aux beaux livres illustrés du XVIIIe" (Carteret), (cf Carteret III, 143-153. Vicaire II, 234-248). Pour les trois premiers volumes, reliures en plein maroquin violet, dos à cinq nerfs sertis de pointillés dorés et ornés de doubles caissons dorés et richement décorés, roulettes dorées sur les coiffes, encadrement de quintuples de filets dorés sur les plats, monogrammes dorés MG aux angles, gardes et contreplats de papier peigné, encadrement d'une dentelle dorée sur les contreplats, doubles filets dorés sur les coupes, toutes tranches dorées, magnifiques reliures signées Dunezat qui exerca entre 1870 et 1895. Les illustrations sont de Charles François Daubigny, Ernest Meissonier, Anthelme Trimolet, Adolphe Steinheil, Gustave Staal, Emy, Louis-Léopold Boilly, Charles Edouard de Beaumont, etc... Les textes de Marc-Antoine Desaugiers, Fabre d"Eglantine, Pierre-Jean Béranger, André Chénier, Florian, Sedaine, Constance de Salm, Jean-Joseph Vadé, etc., mis en musique par divers, dont André Grétry, Jean-Jacques Rousseau, Etienne Nicolas Méhul et François-Adrien Boyeldieu. La collation complète est la suivante : 1) 5 ff.n.ch. (faux-titre, titre-frontispice gravé, liste des chansons, introduction de Delloye) et 28 livraisons de 4 ff.n.ch. (28 chansons comprenant chacune une notice de 2 pp., 4 pp. de texte illustré de gravures et 2 pp. de musique, soit 4 ff.n.ch. pour chaque chanson. - 2) 5 ff.n.ch. et 27 livraisons de 4 ff.n.ch. sauf pour La Parodie de la Vestale qui comprend 10 ff.n.ch. - 3) 5 ff.n.ch. et 28 livraisons - 4) 2 ff.n.ch., frontispice gravé, xxiv et 224 pp. Les couvertures générales des séries n'ont pas été reliées dans l'exemplaire qui présente plusieurs remarques de premier tirage. Nous joignons : relié en demi maroquin violet à coins, Chansons populaires des provinces de France. Notices par Champfleury. Accompagnement de piano par J. B. Wekerlin. Paris, Lécrivain et Toubon, libraires, 1860, 2 ff.n.ch., frontispice gravé, xxiv et 224 pp. Reliure en demi maroquin violet à coins, dos à cinq nerfs sertis de pointillés dorés et ornés de doubles caissons dorés et richement décorés, encadrement de doubles filets dorés sur les plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier peigné, quelques frottements sur les coupes et tranches, toutes tranches dorées, élégante reliure non signée mais attribuable à Dunezat qui exerca entre 1870 et 1895. Très bel ensemble parfaitement relié. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris Perrin 1991. In-8 broché couverture illustrée 322pp. Illustrations hors texte. Bon état.
Des as de la guerre de 1914-1918 aux pilotes de la guerre des Malouines et de la guerre du Golfe. Histoire de l'aviation de chasse, de ses hommes, des évolutions techniques. (3434)
Nombre de critiques considèrent cette production Philippe Pigouchet - Simon Vostre comme le plus bel incunable européen illustré du temps. 22 août 1498. Petit in-4 gothique imprimé sur peau de vélin de (72) ff., a-i8, 33 lignes par page, marque de l’imprimeur sur le titre, bordures historiées pour chaque page, 21 grandes gravures à pleine page sans compter l’homme anatomique, nombreuses petites initiales enluminées à l’or sur fond rouge ou bleu. Plein maroquin havane entièrement décoré de motifs à froid avec mosaïque de maroquin brun foncé, dos à nerfs orné, coupes décorées à froid, double encadrement de filets dorés intérieurs, tranches dorées. Élégante reliure signée de Marius Michel. 208 x 145 mm.
[video width="1920" height="1080" mp4="https://www.camillesourget.com/wp-content/uploads/2023/09/Video-Heures-Pigouchet.mp4"][/video] Edition incunable en partie originale achevée d’imprimer sur peau de vélin à Paris par Philippe Pigouchet pour Simon Vostre considérée par nombre de critiques comme le plus beau livre français illustré du temps. «Le verso du titre contient l’almanach de 1488 à 1508, le recto du 2ème f. l’homme anatomique, et le verso le saint Graal différent de celui de l’édition de 1497. Il y a dans le texte 21 figures, 6 de plus que dans celle de 1497, et parmi lesquelles on remarque l’Arbre de Jessé, le Combat où Uric fut tué, le Jugement dernier et la Messe de S. Grégoire. Plusieurs des anciens sujets ont été refaits sur de nouveaux dessins meilleurs que les premiers. Dans les bordures qui sont aussi fort belles, on remarque les Vertus théologales et cardinales, la Vie de J.-C. et de la Vierge Marie, Suzanne, l’Enfant prodigue, les 15 Signes, 48 sujets de la Danse des morts, et divers ornements répétés. Il y a des exemplaires qui n’ont que 18 grandes planches. Les sujets de la Dans des morts occupent les huit ff. du cahier f. Un exemplaire sur vélin est conservé dans le cabinet de M. Didot; c’est peut-être le même que celui qui a été vendu 399 fr. Le Prévost, en 1857; un autre se trouve à la Bibliothèque impériale.» (Brunet, V, 1582-1583). Peu de temps après qu’Udalric Gering et ses deux associés eurent introduit à Paris l'invention miraculeuse de Gutenberg, perfectionnée par Fust et Schoyffer et y eurent ainsi fait succéder la régularité du composteur et l'économique célérité de la presse au travail si lent, si peu exact, et surtout si dispendieux des scribes et des rubriqueurs, les libraires de cette capitale songèrent à exploiter à leur profit un art qui, en simplifiant d'une manière si sensible la fabrication des livres, leur offrait une moisson aussi abondante que facile à recueillir. Comme ils cherchèrent d'abord à appliquer la typographie à des ouvrages d'un débit rapide, il semble qu'ils auraient dû commencer par ces livres de prières à l'usage des fidèles de toutes les classes, que plus tard ils imprimèrent sous le titre d'Horæ et d'Officium, ou sous celui d'Heures et d'Office, et qui depuis longtemps formaient la principale branche de leur commerce ; mais voici la difficulté qui retarda quelque temps l'impression de ces sortes d'ouvrages. Les livres de prières dont on se servait alors étaient tous écrits sur vélin, décorés d'initiales peintes en or et en couleurs, et presque tous aussi enrichis de miniatures plus ou moins nombreuses et plus ou moins bien exécutées. Au calendrier, c'était des petits sujets délicatement peints, où figuraient les travaux, les occupations et les jeux analogues à chaque mois de l'année ; aux fêtes mobiles, au propre des saints et à l'office des morts, se trouvaient de plus grandes miniatures représentant des sujets tirés de l'Écriture sainte, ou relatifs au mystère que l'on célébrait, ou à la vie du saint qu'on invoquait ; on y voyait presque toujours figurer, par exemple, le Martyre de saint Jean l'évangéliste, la Salutation angélique, la Naissance de Jésus-Christ, la Vision des bergers, l'Adoration des mages, la Fuite en Égypte, le Massacre des innocents ordonné par Hérode, David et Betzabée, etc. On remarquait aussi dans une partie de ces manuscrits précieux des bordures plus ou moins variées, plus ou moins riches, qui en entouraient toutes les pages, et qui offraient ordinairement des fleurs, des oiseaux, des insectes et des arabesques gracieuses, où l'or se mariait habilement aux couleurs les plus vives. Ces riches volumes étaient avec raison considérés comme des bijoux de prix, et se transmettaient par succession dans les familles, de génération en génération. Accoutumé qu'on était alors à lire ses Heures dans des livres ainsi décorés, comment aurait-on pu accueillir de simples productions typographiques entièrement dépourvues de ces ornements devenus un accompagnement nécessaire de toute lecture pieuse ? Pour réussir dans ce genre de fabrication, il fallut donc emprunter le secours de la gravure sur bois qui commençait à se perfectionner, et reproduire autant que possible les dessins répandus dans les Heures manuscrites, et en décorer les imprimées. Si jusqu'ici les bibliographes n'ont pu tomber d'accord sur la véritable date du plus ancien livre d'Heures illustré qu'ait produit la presse, ils reconnaissent pourtant généralement que l’imprimeur Philippe Pigouchet et le libraire Simon Vostre furent les premiers à Paris qui surent allier avec succès la gravure à la typographie. Il est à croire que ces deux libraires avaient déjà pratiqué par eux-mêmes la taille sur bois, et qu'ils surent s'adjoindre des tailleurs assez habiles pour donner successivement à leurs petits bois le degré de perfection auquel ils les ont portés. C'est donc à des artistes anonymes de la fin du quinzième siècle, et non pas, comme l'a prétendu Papillon, à Mercure Jollat, venu trente ans plus tard, qu'il faut attribuer la principale part dans la gravure de ces Heures si remarquables par la beauté du vélin, la qualité de l'encre, et surtout par la variété des bordures, où, à des arabesques les plus agréables, à des sujets grotesques les plus singuliers, succèdent alternativement des chasses, des jeux, des sujets tirés de l’Écriture sainte, ou même de l'histoire profane et de la mythologie, et enfin ces Danses des morts, imitées de la Danse macabre des hommes et des femmes, qui était alors dans toute sa vogue, petites compositions dont on admire encore la piquante expression. Ces bordures, qui, ainsi qu'on peut en juger par les spécimens placés autour de ces pages, sont d'ailleurs plus remarquables pour le fini de la gravure que pour le dessin, se composaient de petits compartiments qui se divisaient, se changeaient, se réunissaient à volonté, selon l'étendue et le format du volume où elles devaient figurer ; en sorte que, tout en employant presque toujours les mêmes pièces, il était cependant si facile de donner aux différentes éditions qu’on publiait une apparence de variété, qu'à peine en trouve-t-on deux qui se reproduisent exactement page par page. Les grandes planches destinées à recevoir l’embellissement de la peinture sont en général moins terminées que les petites, mais on y reconnaît toujours un même faire. Laissons parler ici un bibliographe anglais, qui a consacré cent pages au moins du plus intéressant de ses ouvrages à décrire les anciennes Heures imprimées à Paris, et à en figurer, avec une exactitude scrupuleuse, les plus curieux ornements. Voici donc comme s’exprime T.-F. Dibdin, à la page 7 de la seconde journée de son Bibliographical Decameron: «Let us howerer… suppose that some spirited Collector, or a select committee of the Roxburghe Club, should unite their tastes and purses, to put forth, from the Shakespeare press, an octavo volume of prayers from the liturgy, decorated in a manner similar to what we observe in the devotional publications just alluded to – do you think the attempt would be successful? In other words, where are the ink and vellum which can match with what we see in the Missals of old? The doubtful success of such an experiment would render it extremely hazardous; even were it not attended with, what may be called, an immensity of expense. Welcome therefore, again, I exclaim, the rich and fanciful furniture which garnishes the texts of early printed books of devotion…. » « Ces impressions parisiennes, dont les étrangers sont les premiers à reconnaître toute la supériorité…». Philippe Pigouchet a non seulement imprimé presque toutes les Heures publiées par Simon Vostre de 1488 à 1502, ainsi que plusieurs autres Heures pour Pierre Regnault, libraire de Caen, et pour Guillaume Eustache, libraire de Paris, dont on trouvera plus bas l’article; mais avant d’avoir mis sa presse au service de ces trois libraires, il avait déjà publié sous son seul nom et pour son propre compte plusieurs livres d’Heures, dont l’Almanach, indiquant les dates de Pâques, commence à l’année 1488. Le nom de Simon Vostre, qui commence à paraître l’année 1488 au plus tard, ne se trouve plus après 1520. C’est dans ce genre de publication que Simon Vostre l’a emporté sur tous ses concurrents. Nous devons à son goût éclairé les charmantes bordures en arabesques qui décorent toutes ses Heures, et les jolies petites figures qu’offrent ces mêmes bordures. D’abord peu variées, mais déjà fort remarquables dans les éditions données par lui vers 1488, ces bordures présentaient dès lors une suite de petits sujets, qui, peu à peu se multiplièrent assez pour qu’il pût enfin se dispenser de répéter plusieurs fois de suite les mêmes planches, comme il avait été obligé de le faire dans l’origine, et même pour qu’il fût possible de les varier d’une édition à l’autre. Toutes ces suites sont ordinairement accompagnées d’un texte fort court, en latin, ou de quelques vers français d’une naïveté remarquable, et où se lisent des mots qu’on est fort surpris de trouver dans un livre de piété, des mots qu’on n’oserait plus imprimer en toutes lettres maintenant, même dans les ouvrages les plus mondains. Voilà peut-être ce qui contribue le plus à faire rechercher aujourd’hui ces singulières productions, et ce qui en augmentera le prix à mesure que nous nous éloignerons davantage de l’époque de leur publication. Les exemplaires les plus curieux, à notre avis, sont ceux qui renferment un plus grand nombre de ces pieux quatrains, et qui réunissent la plus grande partie des petites suites que nous venons de signaler. Pour le choix des épreuves, pour la variété des arabesques, pour la beauté du tirage, les éditions données vers 1498 l’emportent sur les dernières. C’est là un avantage que ne négligeront ni les artistes ni les amateurs d’anciennes gravures sur bois, et qu’ils trouveront surtout dans les exemplaires en grand format, que nous leur conseillons de choisir non enluminés. «Il est un fait certain, c'est que les Heures de Pigouchet, exécutées pour Simon Vostre ont fait de tout temps l'admiration des bibliophiles et des connaisseurs. Elles portent le cachet artistique de la vieille École française. Le dessinateur, dit J. Renouvier, est entré d'emblée dans le plan de l'iconographie gothique ; il place aux premières pages les représentations que le sculpteur mettait aux marches de l'église, sur les côtés du portail, et il ajoute de son gré des motifs plus familiers et plus gais, de petits sujets de mœurs dont la gentillesse nous touche d'autant plus que nous en voyons la tradition fidèlement observée par les campagnards et par les enfants. On n'a rien fait de semblable à l'étranger ; c'est de l’art français par excellence. En tournant ces feuillets, on se croirait transporté sous les nefs de nos vieilles cathédrales gothiques. On sent vibrer, dans ces images de la vie du Christ, des Sacrements, des Signes de la fin du Monde et de la Danse macabre, la foi naïve et robuste de nos pères. Outre les bordures dont nous avons présenté des échantillons, la plupart des livres d'heures exécutés pour Simon Vostre dans la seconde manière de Pigouchet, en contiennent d'autres figurant la Danse macabre des Hommes et des Femmes. Le cycle complet de la Danse des Morts se compose de soixante-six sujets ; trente scènes sont contenues dans dix bordures pour la Danse des Hommes, et trente-six scènes en douze bordures pour la Danse des Femmes. Ce sont les mêmes personnages qui figurent dans la Danse macabre de Guy Marchant. Le dessinateur dispose adroitement ses couples dans un petit espace. Il drape la Mort d'un bout de linge, lui donne pour instruments le pic et la pelle, plutôt que la faux qui tiendrait trop de place, et il la fait grimacer comme un singe en présence d'un partenaire merveilleusement signalé par son costume. C'est un vif dialogue, une mimique piquante qu'ont avec la Mort, le Bourgeois, l’Usurier, le Médecin, l'Enfant, la Reine, la Chambrière, la Mignote, la Femme de village, tous entraînés vers la danse finale.» (A. Claudin). Claudin (Histoire de l'imprimerie en France) consacre 20 pages et de nombreuses reproductions à cette édition que l’on peut considérer comme l’une des plus belles de l’imprimerie incunable d’Occident et qui constitue une date importante dans l'évolution de l'ornementation : «des personnages fantastiques accompagnent dans leur chevauchée des chimères de toutes sortes, le tout brochant sur une flore incomparable : telles sont ces bordures d'une exquise conception » Claudin 44. Superbe exemplaire imprimé sur peau de vélin de ce livre d’heures incunable si important dans l’histoire de l’imprimerie en France, entièrement rubriqué à l’or sur fond rouge et bleu alterné. La pureté de son tirage est telle qu'il entra dans la collection du grand amateur Georges Wendling avec ex-libris. En 2004, Pierre Berès décrivait et cataloguait 130 000 € les Heures de 1498 de Simon Vostre reliées au XIXe siècle. (Réf: Pierre Berès, 15-28 septembre 2004, n°2).
PHOTOGLOB Zurich,s. d. (début XXe), pt. in-8vo, 12 orig. photographies (plusieurs belles vues du glacier du Rhône, de la route de la Furka et du St-Gotthard) collées sur carton dépliant, reliure en toile rouge, plat sup. richement orné , légèrement térni.
bon état Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Saint-Cloud, Bélin (1900). Grand in 8 demi-cartonnage crème, couverture conservée 102 pp. avec 11 planches hors texte (dont une en couleurs) et de nombreuses figures dans le texte. A la suite est relié le fascicule. Métrographie et Chronophotographie, avec les articles de Laussedat et du Dr Marey. 35 p. et 42 figures.
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1841 Paris, Aubert éditeur, Lavigne,(1841); in-21 broché de 127pp ( y compris faux-titre et titre) - (1)p. de table; couverture jaune pale imprimée en noir au dos et sur les plats, avec une vignette au 1er plat. Illustré de vignettes dans le texte.Edition originale (cf. Vicaire VI - 604).
Quelques rousseurs,dos bruni, bon exemplaire dans sa couverture illustrée d'origine. (GrF)
Rarissime suite illustrant les jeux et divertissements de la Toscane au XVIIIe siècle, entièrement aquarellée à l’époque. Florence, 1790. Firenze, Pagni, e Bardi, 1790. In-folio oblong de (1) f. de titre et 24 estampes. Relié vers 1900 en demi-basane rouge à coins, dos à nerfs orné. 328 x 452 mm.
Édition originale rarissime de cette suite consacrée aux jeux et aux divertissements en Toscane au XVIIIe siècle. Elle se compose d’un frontispice et de 24 estampes gravées et aquarellées à l’époque par Giuseppe Piattoli intitulées: La Berlina, Il Beccalaglio, La Pentolaccia, L’Altalena, Il Pallone, Le Pallottole, Il Guancialin d’oro, Bicci calla calla, Capo a nascondersi, Il Saccomazzone, La Trottola, Il Cappelletto, Madonna Fuscellina, Il Ceppo, Il Ballo, Le Befane, Le Chiavi, Il Berlingaccio, Le Rificolone, I Birilli, Trucco a terra, La Civetta, L’Infilalago et La Lotta. L’artiste et graveur Giuseppe Piattoli (1750-1815) a enseigné l’art du dessin à l’Académie de Florence de 1785 à 1807. Cette suite complète est rarissime. Elle est du plus haut intérêt tant pour l’histoire des jeux et des divertissements que pour l’histoire du costume ou de l’architecture d’interieur. L’artiste s’attache en effet à représenter chaque scène de jeu avec un grand réalisme, dépeignant de manière détaillée l’ameublement des intérieurs toscans et l’architecture des lieux. D’après nos investigations, parmi l’ensemble des bibliothèques publiques, seule la Library of Congress possèderait un exemplaire de cet ouvrage. Précieuse et rarissime suite illustrant les divertissements en Toscane au XVIIIe siècle, entièrement aquarellée à l’époque dans des tons vifs et chatoyants.
[Ribemont-Dessaignes] - PICABIA, Francis - Ribemont-Dessaignes, Georges.
Reference : 4015
(1921)
S.l. [Paris] Collection Dada s.d. [1921]. in-8 (23 x 16,4 cm) broché, 66 pp, vignette de titre contrecollée sur le premier plat de couverture. Édition originale illustrée de 3 dessins Dada à pleine page par Ribemont-Dessaignes et tirée à 1060 exemplaires, celui-ci numéroté 1057 sur papier ordinaire.
Couverture légèrement passée, sinon très bon exemplaire.
PICARD (Bernard) & (PONCELIN DE LA ROCHE-TILHAC (Jean Charles))
Reference : 3203
(1783)
A Amsterdam, Et se trouve à Paris, 1783, 1783 4 tomes reliés en 2 volumes in-folio, pleine basane dos à 6 nerfs orné de fleurons, pièces de titre de maroquin rouge et de de tomaison brune. Épidermures sur les plats , fines mouillures marginales sur quelques planches et sur les derniers feuillets du tome IV, petit accident restauré p 129 à 152 (TI) et P 139 à 195 (TII). Reliure d'époque.Volume I : (1 bl), (1 f.), 163 pp., (2 ff.), 156 pp., (2 ff.) Volume II : (1 bl), (2 ff.), 200 pp., (1 f.), 224 pp., 40 pp., 44 pp., (1 f.), (1 bl). Complet de ses 268 gravures dont quatre vignettes au début de chaque tome et 264 planches, certaines sur double pages, d'autres repliées (Dorbon, 3654)
L’histoire des cérémonies religieuses connut plusieurs formes et éditions, de 1723 à 1783 : 7 volumes plus 4 suppléments, soit 12 volumes, réduits ici en quatre tomes folio reliés en deux volumes, dans lesquels a été conservée l’intégralité du cycle iconographique des précédentes éditions. Ce livre, que l’on peut considérer comme le premier livre d’ethnologie moderne place sur un même plan les religions anciennes et modernes, mais aussi les rites sectaires et athées : adamites, flagellants, francs-maçons, et pour finir, fête des fous. Un propos on ne peut plus subversif soutenu par une très abondante et spectaculaire illustration gravée sur cuivre.
P., Edouard-Joseph, 1919. In-12 broché, 178 pp., [2] ff. Edition originale : un des 130 exemplaires sur Hollande, 2e papier après 75 Japon, accompagné d'une suite de 15 bois brochée à la fin du volume et non signalée à la justification.
Ex-libris gravé Adrien Lachenal (Suisse). Dos passé, témoins conservés, bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
P., Edouard-Joseph, 1919. In-12 broché, 178 pp., [2] ff. Edition originale : un des 100 exemplaires sur papier Lilas, 3e papier après 75 Japon et 130 Hollande, accompagné d'une suite de 15 bois sur vélin brochée à la fin du volume et non signalée à la justification.
Petites salissures sur la couv., non rogné, bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
1741 Paris, Rollin fils, 1741; 7 volumes in folio, plein veau marbré de l'époque, triple filet doré encadrant les plats, dos à nerfs très orné de tulipes et petits dorés dans des compartiments de double filet doré, titre doré sur étiquette de maroquin vieux rouge, tomaison sur étiquette de maroquin brun, tranches marbrées de bleu. Tome 1 : (2)ff., xxviii, 383, (3)pp. Frontispice ( tableau des principales religions du monde) et 29 planches hors texte dont 2 à double page et 1 dépliante. / Tome 2 : (2)ff.,468pp. ( 2)ff. 38 planches hors texte dont 3 à double page et 2 dépliantes. / Tome 3 : (2)ff., 422pp. 19 planches hors texte dont 5 à double page. / Tome 4 : (2)ff., 414pp. et 14 planches hors texte dont 4 à double page. / Tome 5: (2)ff.,430pp. et 41 planches hors texte dont 8 à double page. / Tome 6 : (2)ff., 453, (2)pp. et 44 planches hors texte dont 5 double page et 1 dépliante. / Tome 7 : (2)ff., 427, (1)pp. et 42 planches hors texte. Déchirure au titre sans manque de papier , trace de mouillure à l'angle supérieur de 4 planches surtout visisble à 1 planche et dans la marge supérieure de 5 autres, quelques rousseurs en marge de certains feuillets, sans gravité).
Pour chaque volume, titre imprimé en rouge et noir et illustré d'une vignette par Cochin, plusieurs en-têtes et culs-de-lampe dans le texte. Bien complet du beau frontispice et des 227 planches , dont 27 à double page et plusieurs dépliantes (conforme aux tables des planches figurant à la fin de chaque volume). Cette édition a été publiée sous la direction de l'abbé Banier, mais le texte est dû à l'abbé Lemascrier, les planches sont pour la plupart les mêmes que celles de l'édition de Hollande, quelques unes seulement et les vignettes ont été gravées à Paris par Duflos et autres ( cf. Brunet I-1743). Quelques défauts aux reliures, épidermures sur les plats avec parfois de petits manques de cuir, manque aux coiffes supérieures des 4 premiers volumes, les dos sont en bon état et décoratifs. Mis à part les quelques défauts signalés au Tome 7, l'intérieur des volumes est frais et les gravures sont en bon état. Bon exemplaire de cet ouvrage devenu rare complet. ( Reu- CO2)
Paris, Léon Pichon, 1920 ; in-4 ; demi-maroquin à coins rouge sang-de-boeuf, dos à nerfs, pièce de titre fauve, tête dorée, couverture et dos conservés (Yseux, succ. de Simier) ; 64 pp.
Tirage total à 421 exemplaires, celui-ci N° 65 des 370 sur vergé anglois à la forme. Très bel exemplaire pour cet ouvrage à l'illustration très réussie, dans une élégante reliure en parfait état.
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P., éditions Futuropolis, 1977, grand in-4, br., non paginé, illustrations en noir et blanc. Edition originale. Collection 30/40.
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Aux dépens d'un amateur 1965 Carnet toilé 10 x 7,5 cm, sous enveloppe de papier cartonné 11,5 x 14,5 cm, le tout sous étui de plexiglas imprimé. Fac-similé imprimé par Daniel Jacomet, d'un carnet illustré de Picasso donné à Marcel Duhamel, et tiré par ce dernier à 250 exemplaires, plus quelques exemplaires hors commerce pour l'artiste et les collaborateurs. Il est conservé dans l'enveloppe en papier fort imprimée en couleurs d'après l'enveloppe originale décorée par Picasso pour Marcel Duhamel
Tours, Arrault, 1947. In-4 broché, couv. rempliée, 100 pp., [2] ff., 6 planches en couleurs. Exemplaire numéroté sur Rives B.F.K. à la forme.
Rares rousseurs sur la couv. et les gardes, non coupé, bonne condition. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
In 8 carré brochéncouverture illustrée en couleur,32 pages,32 illustrations en noir et en couleur de l’auteur,imprimerie de l’édition et de l’indutrie 1948. (une déchirure sans gravité réparée au deuxième plat de couverture)
Cologne, Boetium, 1695. Folio (370 x 230 mm). I contemporary full sprinkled calf with five raised bands to spine. Small paper-label pasted on to top of spines. Bindings with considerable wear, worm holes to boards, leather detached from edges of boards making the wooden boards visible. Spine-ends with loss of leather, end-bands showing. With occassional browning throughout. Some papers creased. (50 - including the frontispiece), 740 (8), 276, (200) pp. (With the following errors in pagination in vol. 2: 1-84, 95-98, 199, 100-101, 202, 103-174, 171-172, 177-236, 235, 238, 237-268.). With many emblems (included in the pagination) throughout.
Fifth Latin edition, rarely found complete with both volumes as here, of Picinello’s magnificent and highly popular encyclopaedia of emblems - a cornerstone of emblematic literature and an essential guide for understanding the allegorical language of the Baroque era. “Picinelli’s intention was to compile a collection of brief interpretations which he wanted to have close to hand, especially on his travels as a preacher. From this collection of emblems, originally covering only four pages, the full reference work developed.The author wants the book to be understood not only figuratively as a book of the world: for him it really is the world, it contains the world in all its reality and, conversely, the whole world can be derived from it. In this he follows the interpretation of Romans 1,20 that, since the creation of the world, the invisible secrets of God can be perceived by the understanding mind through His works.” (Olms Online) Filippo Picinelli (1604 – 1679) was an Augustinian munk. Picinelli was born in Milan, Italy in 1604 and joined the Augustinian Order in 1614. He studied philosophy and theology at Cremona and Piacenza and lived in Milan. (Landwehr 480 - Not listing this edition, 1681, 1687, 1694 and 1715)
Couverture rigide Skira 1985 Genève 28,5x22 cm
Reliure d'éditeur pleine toile jaune, titre noir au dos, jaquette illustrée en couleur - 271 pp. Edition française du catalogue de l'exposition Van Gogh in Arles au Metropolitan Museum of Art de New-York, en 1984. Nombreuses illustrations en couleur. Bel ouvrage en parfait état.
P., Gougy, 1923. In-4 broché, couv. rempliée imprimée en or et azur, n.p., frontispice et 7 compositions à pleine page en couleurs et or, le tout imprimé sur fond bleu avec à chaque page un encadrement ornemental en noir, blanc et or. Edition originale tirée à 658 exemplaires : un des 500 sur papier vélin.
Bonne condition. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Claude Motteroz 1882 1 vol. broché gr. in-8, broché, couverture rempliée de parchemin, 108 pp. Edition originale de ce recueil de poèmes orné d'un frontispice et de 110 délicates vignettes gravées par Paul Avril et tirées en bistre. Un des 50 exemplaires de tête numérotés sur Chine. Manques de papier à la fragile couverture de parchemin au dos et en bordure, sinon très bonne condition.