1853 Paris: Delahaye, 1853. 374pp.,grand IN8 relié.demi-chagrin noiir/vert, dos orné de caissons de filets et petits fers dorés,tranches dorées. - Nouvelle édition illustrée de 25 hors-texte et de nombreuses vignettes par Tony Johanot. Bel illustré romantique. exemplaire, frais, avec quelques rares piqûres éparses. xxii, (2), 374 p., (1) f. de tables, qqs rouss., frontispice, 25 planches hors texte, vignettes dans le texte. Bonne édition, illustrée par Tony Johannot, bon exemplaire, bien relié à l'époque,dos leg.frotté
New illustrated edition of 25 inset and numerous vignettes by Tony Johanot. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
In 12 demi-chagrin à la bradel, pièce de titre chagrin marron.4 filets à froid en long au dos, filets à froid sur les plats.447 pages, non rogné, tête dorée.2 eaux fortes de G.CHARPENTIER & Cie 1884.couverture conservée
MAME 185’;In-8,reliure plein chagrin,dos orne de caissons dores;plats estampés a filets dores, 380p.; 3 incisioni in rame f.t. ed una nel testo;
bon etat, Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1929 Paris, Fernand Nathan, 1929 ; in-folio, plein cartonnage éditeur illustré en couleurs sur les deux plats, dos muet de toile bleue; 48 pages non chiffrées, chacune encadrée d'un filet gras jaune et illustré de dessins de couleurs par l'auteur. Les illustrations sont à pleine page avec texte imprimé au dessous. Les coins sont un peu frottés sinon bon exemplaire.
Cet ouvrage destiné aux enfants, est très bien illustré, mais foncièrement colonialiste, très représentatif de l'époque, caricatural des hommes et femmes du continent africain, sans respect et prônant sans vergogne la destruction de sa faune, avec un “humour“ outrancier. (GrF)
Sans lieu vers 1944. In-8 broché 294pp. Orné de 15 planches hors texte réunissant 30 illustrations, 1 plan dépliant. Bon état dans l'ensemble.
Les exemplaires en maroquin sont particulièrement rares puisque RBH, ABPC et le fichier Berès ne recensent en maroquin que l'exemplaire Jacques Bemberg. Paris, Guillaume Desprez, 1756. In-folio de (2) ff., 1 frontispice gravé, xii pp., 103 pp., 107 planches gravées dont 31 sur double page. Maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, fleurs de lys dorées aux angles, grandes armoiries impériales russe au centre, dos à nerfs orné de six grandes fleurs de lys, filets or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées, doublures et gardes de moire bleue. Reliure parisienne de l’époque. 420 x 280 mm.
L’exemplaire offert par le roi Louis XV à l’Impératrice de Russie Élisabeth 1ère (1741‑1762). Titre imprimé en rouge et noir, fleurons, vignettes, culs-de-lampe et lettres ornées, gravés par Cochin. Illustration : frontispice avec un portrait de Louis XIV d'après Cazes gravé par Cochin et 107 planches dont 31 imprimées à double page. Elles sont gravées par Cochin, Lucas et Hérissent et d'autres d'après les dessins de Mansart, Pierre Dulin, Robert de Cotte, Maler, Charles de La Fosse, B. Boulogne, Louis de Boullongne, Jean Jouvenet, Nicolas Coypel et divers autres artistes. En 1670, Louis XIV désigna Louvois (1641-1691), Secrétaire d'État à la Guerre depuis 1656, pour la mise à exécution de l'un de ses plus grands projets : la construction d'un hôpital destiné aux blessés de guerre. Le Roi réconcilierait ainsi d'un même geste la France, le peuple démuni des très nombreux blessés et l'armée, ouvrant ainsi la voie à des projets de conquêtes grandioses par un État-nation unifié. Louvois avait réorganisé les armées et les contrôlait d'une main de fer. L'architecte en chef du projet, Libéral Bruant (1635-1697), choisi par Louis XIV et Colbert parmi huit projets, propose pour l'Hôtel des Invalides un plan quadrillé sur le modèle de l'Escurial, motif sur lequel il avait déjà travaillé au cours d'un autre chantier : l'hôpital de la Salpêtrière. Les vocations de ces deux institutions se rejoignent. Elles doivent offrir la charité aux délaissés, supprimer la mendicité et masquer les soldats mutilés de la funeste Guerre de Trente ans que l'on voyait traîner dans Paris. Tandis que le cardinal Mazarin avait souhaité réunir les misérables à la Salpêtrière, les vétérans, auparavant livrés à leur propre sort, seront dorénavant nourris et logés aux Invalides. Depuis l'entrée principale située au nord, on accède à la cour royale. Les bâtiments qui encadrent cette grande place abritent au rez-de-chaussée les réfectoires, tandis qu'au troisième on trouve les manufactures et les ateliers occupent les pensionnaires : une cordonnerie, une tapisserie, mais aussi un atelier de calligraphie et d'enluminure qui se rendra célèbre bientôt. L'ordre s'imposait : tous les invalides devaient participer à la vie de l'institution. Les chambres des soldats, des officiers et des moines étaient réparties dans différents bâtiments. Les plus faibles trouvaient quelques soins et repos dans les infirmeries placées à l'est de la chapelle royale et organisées selon un plan en croix. Des jardins sont plantés de l'autre côté, à l'ouest. Symboliquement, l'église des soldats et la chapelle royale se situent au centre de la composition. Dès 1674, ce gigantesque ensemble occupe, sur la plaine de Grenelle, une superficie de plus de treize hectares. Il comprend une caserne, un couvent, un hôpital, une manufacture, un hospice, une église, une chapelle, et même une boulangerie. À la fin du XVIIe siècle, environ quatre mille personnes vivent à l'hôtel des Invalides. La mort de Colbert permet à Louvois d'écarter le Libéral Bruant et de confier le chantier à son protégé Jules Hardouin-Mansart. Il crée la célèbre chapelle royale et son dôme fameux. Elle forme l'un des édifices les plus complexes et le plus richement décoré du XVIIe siècle français, qui abrite aujourd'hui le tombeau de Napoléon. À l'origine réservée à l'usage exclusif de la famille royale, elle communiquait avec l'église des soldats au nord par le chœur où les offices étaient célébrés. Louis XIV ordonne un programme décoratif tout entier tourné vers la gloire de la nation, de l'armée, de l'Église catholique et de lui-même. L'entrée nord, par exemple, est traitée comme un arc de triomphe, où l'on retrouve en haut la figure du Roi Soleil et Louis XIV prenant les traits d'un empereur sur sa monture. Le plan de la chapelle est centré : une croix grecque s'inscrit dans un carré presque parfait. Tous ces éléments attirent le regard vers le haut pour admirer la coupole - ou dôme - qui coiffe la croisée (point de convergence des travées). Il s'agissait de la plus haute construction de Paris avant l'érection de la tour Eiffel en 1889. Au soir de sa vie, Louis XIV écrit dans son testament que l'hôtel des Invalides est l'œuvre la plus utile de son règne. Il est fier d'avoir réuni, sous un même toit, charité, assistance, gloire des armées et de la Nation : «Entre différents établissements que nous avons faits dans le cours de notre règne, il n'y en a point qui soit plus utile que celui de notre Hôtel royal des Invalides». Les Invalides furent loués dans tout le pays, et même au-delà. Le tsar Pierre le Grand ne manque pas de visiter l'ensemble en 1717 et s'attarde même à table avec les soldats. L'Europe entière construisit des ensembles similaires comme à Chelsea en 1682 (commandité par Charles II), à Pest en 1724, à Vienne en 1727, à Prague en 1728, à Berlin en 1748, à Ulriksdal en 1822, à Runa en 1827, ou encore à Madrid en 1837. L'immense programme décoratif des Invalides ne fut terminé qu'au milieu du XVIIIe siècle. L'hôpital et son église furent en effet ornés de peintures et de sculptures exécutées par les plus grands artistes du temps. C'est cette splendeur d'art que le talentueux graveur Cochin a voulu ici restituer. Gabriel-Louis Calabre Pérau (1700-1767) achève en effet avec sa Description historique de l'hôtel royal des Invalides (1756) les travaux d'édition effectués auparavant par Le Jeune de Boulencourt (Description générale de l'Hostel Royal des Invalides, 1683), Jean-François Félibien des Arvaux (Description de la nouvelle église de l'hostel royal des Invalides, 1706) et Jean-Joseph Granet (Histoire de l'hôtel royal des Invalides, 1736). Pérau écrit dans son Avant-propos : «On avait la vérité historique de l'établissement, la description et les plans tant généraux que particuliers. Mais lorsque la Peinture et la Sculpture eurent orné l'église du dôme de toutes leurs richesses, les amateurs parurent souhaiter que par le secours de la Gravure, on mit les Curieux en état de parcourir & d'examiner dans le silence du cabinet les différents chefs-d'œuvres que les Arts réunis ont répandu de toutes parts dans ce somptueux Monument». Les exemplaires en maroquin sont particulièrement rares puisque RBH, ABPC et le fichier Berès ne recensent en maroquin que l'exemplaire Jacques Bemberg. Le célèbre exemplaire offert par le roi Louis XV à Élisabeth 1ère Impératrice de Russie qui fait entreprendre la construction du palais d'Hiver et du couvent Smolny dans la capitale, qui comptait à l'époque 75 000 habitants et réaménage Peterhof et Tsarskoïé Selo. C'est le fameux style Élisabeth, magnifique et baroque, qui allait donner son empreinte à cette époque brillante. Les bals de la Cour sont renommés dans toute l'Europe. Son règne marque aussi le début de la francophilie et de l'usage de la langue française dans la noblesse qui allait durer jusqu'à la révolution de 1917. Le premier théâtre russe est fondé, beaucoup de pièces traduites du français sont jouées, comme celles de Molière. L’impératrice fait venir de Paris la compagnie dramatique de Charles Sérigny en 1742. Les acteurs français recevaient un contrat de deux à cinq ans. La compagnie demeura seize ans à Saint-Pétersbourg, tandis que d’autres s'installaient. Ce flot ininterrompu durera jusqu'en 1918, notamment au théâtre Michel. Élisabeth donne aussi l'impulsion au renouveau de la musique d'Église, mais pour le reste, il s'agit d'une culture massivement importée dont la greffe demandera encore du temps. L'image de la cour est brillante et francisée, mais il s'agit parfois d'une façade, car les courtisans - comme dans d'autres cours - ne sont pas tous cultivés et préfèrent rivaliser par le luxe de leurs dépenses. Certains possèdent leurs propres troupes de théâtre et leurs orchestres de chambre. D'autres possèdent des bibliothèques immenses et se font construire des palais néoclassiques par des architectes italiens. Les dames de la cour s'habillent comme à Versailles. Bibliographie: Katalog der Ornamentstichsammlung 2513; Millard I 385-387; Cohen de Ricci 788 (fausse collation).
Paris, Editions Erasme, 1954, in-8 de 237 pages, reliure plein skyvertex, titre et filets dorés sur dos lisse, couverture et illustrations d'Arsène Lecoq. 1ère de couverture de l'édition brochée conservée. Corps frais, reliure solide et en bon état, 1 tampon en tête de la 1ère page de garde. C700g. Bel exemplaire.
Tous nos ouvrages sont collationnés et complets, sauf mention particulière.
P., Éditions Galilée, 1976, grand in-8, broché, 176 p. Nombreuses illustrations en couleurs et en noir par Dado. Edition originale. Bel envoi a.s. de l'auteur à Jean Queval “ouliponnement”.
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Editions Hier et demain | Paris 1978 | 26.50 x 27.50 cm | reliure de l'éditeur
Edition originale de la traduction française. Reliure de l'éditeur en pleine toile beige, dos lisse orné de filets dorés, exemplaire complet de sa jaquette illustrée qui comporte de petites déchirures marginales sans gravité. Agréable exemplaire. Ouvrage illustré de nombreuses reproductions d'oeuvres de Joan Miro. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris Éditions Surréalistes 1927 1 vol. Broché plaquette in-8, brochée, couverture illustrée, non paginée, chemise de maroquin bleu nuit à petits coins, étui bordé. Édition originale du premier livre illustré par Yves Tanguy comprenant 14 dessins, dont la couverture (répétée en page de titre) et 3 hors-texte. Tirage limité à 205 exemplaires, celui-ci numéroté sur vergé, signé par l'auteur et l'artiste. Précieux exemplaire avec les 5 compositions à pleine page rehaussées de gouache par l'artiste, et enrichi d'un bel envoi de Benjamin Péret à Roger Caillois en forme de cadavre exquis. Caillois a fréquenté le groupe surréaliste de l'automne 1932 à décembre 1934, date de la fatidique querelle des haricots sauteurs : Breton, Lacan et Caillois sont assis à la terrasse d'un café ; le premier pose sur la table une boîte, rapportée du Mexique par un ami, dont il sort plusieurs fèves agitées comme si elles étaient prises de convulsions. Émerveillé, il déclare qu'il ne veut rien savoir qui puisse percer un si parfait mystère... Caillois, au contraire, préconise une dissection. Le 27 décembre, il rompt avec le mouvement dans une lettre qui sera publiée en 1974 dans Approches de l'imaginaire (Gallimard, p. 35). Très bel exemplaire
Paris Calmann Lévy sans date vers 1904. In-8 III 530pp. Demi basane brune marbrée, dos à nerfs, pièce de titre grenat, reliure de l'époque. Portrait en frontispice. Mouillure claire en bordure du frontispice. Bel exemplaire malgré le défaut signalé.
Paris Calmann Lévy 1891. In-8 XXXII 544pp. Demi basane bleu nuit, dos lisse orné de quatre filets dorés à la place des nerfs, reliure de l'époque. Avec un portrait en frontispice. Pâles rousseurs au verso du faux-titre et du portrait, intérieur frais.
Bel exemplaire complet du texte et du portrait dans une reliure sobre en très bon état.
Paris, Rombaldi, 1944. In-12 broché. Edition origianle. 27 gravures sur bois rehaussées au pochoir de Pierre Gandon. Tiré à 950 exemplaires, celui-ci sur vélin.
1925 Paris, Chez G. & A. Mornay, 1925, 29e titre paru dans la collection "Les Beaux Livres", in-8 carré de (4)-230-(2) pp., reliure de l'époque signée G. LEVITZKY, de demi-maroquin vert-havane à coins, dos (très légèrement passé) à 4 nerfs, date en pied, tête dorée, couverture imprimée et illustrée en couleurs et dos conservés, très bel exemplaire.
Première édition illustrée par Henri BARTHELEMY de nombreux bois gravés, la couverture et 4 hors-texte sont en couleurs dont le frontispice, les autres en 2 tons sont dans le texte, et comprennent des bandeaux et lettrine. Tirage à 1095 exemplaires numérotés. Celui-ci (n°906), est l'un des 899 exemplaires numérotés sur Rives.
Gallimard "Grands textes illustrés" 1977, grand in-4 (31,5 x 24 cm) cartonnage illustré de l'éditeur, 111 p. (très bon état) Texte sur deux colonnes. Première édition illustrée par Claude Lapointe ; ses nombreuses compositions NB et couleurs font merveille.
P., Editions de La Mappemonde, 1947. In 8 broché, couverture illustrée et rempliée, 343 pp.
Tirage limité numéroté. Illustré en couleurs.
Paris Aux Editions de l'Homme Honnête 1975-1976. 4 volumes in-8 (sur 5) 419pp 2 feuillets non chiffrés dont table, 399pp 3 feuillets non chiffrés dont table, 463pp 2 feuilles non chiffrés dont table, 455pp 3 feuillets non chiffrés dont table. Reliure de pleine peau chagrinée verte bradel de l'éditeur, filets dorés et fleurons à froid sur le dos, jolie frise dorée sur les plats, tête dorée, sous étui recouvert de suédine rouge. Orné de 40 belles illustrations en couleurs par Steinlen. Exemplaire sur papier vergé (le justificatif de tirage se trouvant dans le 5e tome qui manque à notre exemplaire). Bel exemplaire frais, chaque volume que nous proposons est complet de son texte et de ses illustrations. (4590)
Paris Editions du Club de l'honnête homme 1975 5 vol. relié 5 vol. in-8, simili-chagrin vert éditeur, ornementations dorées en encadrement sur les plats, dos lisses, sous étui rouge moiré. Edition illustrée par Steinlen.
Editions Martinsart Editions Martinsart, 1965. 7 volumes In-4 reliure éditeur bordeaux à plats décorés (profil de chien dans un encadrement par Jean PICART LE DOUX), reliure du Maître relieur PRACHE. Chaque volume environ 250 pages et 77 pages pour le supplément regroupant des textes sur Louis PERGAUD de Henri FAURE, Pierre DESVALOIS, Emile PRADEL, Roger DENUX, André LOYEN + illustrations. 1: Le Roman de Miraut, chien de chasse illustrations originales de Gaston Barret (267 pages. Volume 2: La Vie des bêtes - Lebrac bûcheron - Le Miracle de Saint-Hubert - Léon Deubel - La Fontaine et la psychologie des bêtes - Choix de poèmes, illustrations originales de Steinlein (222 pages). Volume 3: La Guerre des boutons, illustrations originales de Fontanarosa (250 pages). Volume 4: De Goupil à Margot - La Revanche du corbeau - Dernières histoires de bêtes, illustrations originales de Michel No (289 pages). Volume 5: Les Rustiques - Les Petits gars des champs - Nouvelles villageoises posthumes - Ebauches, illustrations originales de Decaris (239 pages). Volume 6: Correspondance - Correspondance de guerre, illustrations originales de Claude Tabet (246 pages). Volume 7 : Plaquette de l'Edition du Cinquantenaire, avec des photographies en noir et blanc et illustrations hors-texte (77 pages). Exemplaire numéroté. Ensemble en très bel état. Exemplaire numéroté sur Vélin pur fil de Hollande Van Gelder Zonen. Bel ensemble en très bon état, bien complet en 7 volumes.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Miasino Dante Albieri 1997 1 vol. broché in-folio, en feuilles sous emboîtage illustré, non paginé, 15 compositions en couleurs à pleine page de Tullio Pericoli. Edition originale. Un des 480 exemplaires numéroté, seul tirage après 120 enrichis d'une oeuvre originale. Très bonne condition.
Paris Félix Alcan 1918. In-8 broché IV 238pp. Orné de 12 planches réunissant 18 illustrations, 1 carte hors texte.
Né près de Castres en 1877, l'auteur devint l'un des pionniers de l'archéologie moderne de l'Amérique Centrale et du Sud. Il fut chargé en 1913 d'une mission archéologique, ethnologique, statistique et économique au Costa Rica. Il mourut au Brésil, à Sao Paulo en 1935. Numa Broc Amériques page 251.
Editions Athéna, Collection Athéna Luxe. Paris 1950, In-8° broché, couverture rempliée et illustrée. Illustrations, Bandeaux et culs de lampes d'après les originaux de Claude Chopy. Tirage à 2000 exemplaires numérotés sur Vélin.
Phone number : 01 43 20 55 30
1932 Paris, Flammarion, 1932 ; In-4°, broché, couverture rempliée blanche imprimée en noir et vert au 1er plat et dos(1), 141pp., (1). Frontispice et illustrations dans le texte gravées à l'eau-forte par Paul Perraudin, certaines parties du texte sont encadrées d'un filet vert dont l'auteur dit dans on avertissement : “Les parties du texte encadrées seront projetées sur l'écran. Tout le reste devra s'exprimer par le jeu des acteurs et les ressources de la mise en scène.Sauf indication particulière, dans le texte même, les scènes devront se dérouler sur le rythme ordinaire des événements de la vie. On se gardera surtout de cette précipitation uniforme et pénible que trop de gens semblent tenir pour une des conventions essentielles de l'art cinématographique…“
Ouvrage tiré à 200 exemplaires + 15 hors commerce , celui-ci 1 des 165 sur velin d'Arches. Petits accrocs au dos de la couverture en tête et pied, rares rousseurs marginales à quelques feuillets, bon exemplaire.(Res1)
1860 Lefèvre. sans date(ca 1860). In-12 Cartonnage d'éditeurs. Etat d'usage. Couv. convenable. Dos satisfaisant. Quelques rousseurs. 208p.illustrées de 12 gravures en tête de chapitre, frontispice., dos et couverture décors tres passés.Tranches dorées.- La Belle au bois dormant, le petit chaperon rouge, la barbe bleue, le chat botté, les fées, Cendrillon, Riquet la Houpe, Le petit poucet, Peau dâne, les souhaits ridicules,la belle et la bete,la petite souris blanche le prince Saphir
Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Paris chez Claude Aveline 1923.In-12 broché XII 228pp. Orné de 10 illustration de J-L Perrichon gravées sur bois, inspirées de celles de l'édition de 1697. Exemplaire sur papier Alfa teinté Lafuma non justifié. Bel exemplaire frais, complet, non coupé. (4780)