Calmann Lévy Calmann Lévy, 1892. In-8 relié demi-chagrin bordeaux, dos à nerfs. IV + 328 pages. Avec index alphabétique. Dos légèrement frottée sinon Bon état.
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ÉMILE FABRE (1869-1955) [Administrateur général de la Comédie Française]
Reference : DMI-491
(1931)
ÉMILE FABRE (1869-1955) [Administrateur général de la Comédie Française], trois lettres autographes signées à la comédienne Berthe Cerny, à en-tête de la Comédie Française, Paris, [1930-1931], 3 double f., 8 pages. L'administrateur général de la Comédie Française adresse trois lettres relatives à la retraite de Berthe Cerny (pensions, fisc, remerciements, etc.), intéressantes puisque relatives à la fin de la carrière de la comédienne. * ** Hélène-Lucie de Choudens, dite Berthe Cerny, a fait ses premières armes auprès de Gustave-Hippolyte Worms au Conservatoire dont elle sort en 1885 avec un premier prix de Comédie. Engagée à l'Odéon, puis au Vaudeville, puis sur d'autres scènes, elle fait pendant vingt ans une brillante carrière sur les boulevards et se fait remarquer dans les pièces de Paul Hervieu, Marcel Prévost, Georges de Porto-Riche. Elle entre à la Comédie-Française en 1906, demandée par Maurice Donnay dont elle crée Paraître. Elle s'impose dans le répertoire classique en interprétant Célimène, Suzanne, Alcmène, mais aussi dans La Parisienne de Becque et atteint l'apogée de son succès avec son interprétation d'Araminte des Fausses confidences de Marivaux. Dans la comédie moderne, elle incarne à merveille les héroïnes passionnées d'Henri Bataille (parmi lesquelles la baronne Irène dans Maman Colibri), de Paul Géraldy, François de Curel, etc. Elle se retire, en 1930, et est aussitôt nommée sociétaire honoraire. Elle a été la compagne de Raoul William Johnston, Aristide Briand et Paul Reynaud.
ÉMILE FABRE [Administrateur général de la Comédie Française]
Reference : DMI-486
(1924)
ÉMILE FABRE (1869-1955) [Administrateur général de la Comédie Française], lettre autographe signée à la comédienne Berthe Cerny, à en-tête de la Comédie Française, Paris, 3 août [1924], 1 double f., 2 pages. L'administrateur général de la Comédie Française aimerait que Berthe Cerny interprète Madame de Saint-Genis dans la pièce Les Corbeaux de Henry Becque, pour la création de la pièce à la Comédie Française le 9 février 1925, et s'inquiète de ne pas recevoir sa réponse : "Il serait bon que l'interprète de La Parisienne parut dans la nouvelle oeuvre de Becque et lui prêtât l'appui de son talent". Berthe Cerny ne donna pas suite à cette sollicitation et c'est finalement Catherine Fonteney qui interpréta le rôle pour la reprise de la pièce à la Comédie Française après sa création initiale à l'Odéon quinze ans plus tôt. Berthe Cerny avait en effet remporté un fier succès dans La Parisienne de Henry Becque en 1919. Intéressante lettre sur les coulisses de la création d'une pièce de théâtre à la Comédie Française dans les années 20. * ** Hélène-Lucie de Choudens, dite Berthe Cerny, a fait ses premières armes auprès de Gustave-Hippolyte Worms au Conservatoire dont elle sort en 1885 avec un premier prix de Comédie. Engagée à l'Odéon, puis au Vaudeville, puis sur d'autres scènes, elle fait pendant vingt ans une brillante carrière sur les boulevards et se fait remarquer dans les pièces de Paul Hervieu, Marcel Prévost, Georges de Porto-Riche. Elle entre à la Comédie-Française en 1906, demandée par Maurice Donnay dont elle crée Paraître. Elle s'impose dans le répertoire classique en interprétant Célimène, Suzanne, Alcmène, mais aussi dans La Parisienne de Becque et atteint l'apogée de son succès avec son interprétation d'Araminte des Fausses confidences de Marivaux. Dans la comédie moderne, elle incarne à merveille les héroïnes passionnées d'Henri Bataille (parmi lesquelles la baronne Irène dans Maman Colibri), de Paul Géraldy, François de Curel, etc. Elle se retire, en 1930, et est aussitôt nommée sociétaire honoraire. Elle a été la compagne de Raoul William Johnston, Aristide Briand et Paul Reynaud.
ÉMILE FABRE (1869-1955) [Administrateur général de la Comédie Française], lettre autographe signée à la comédienne Berthe Cerny, à en-tête de la Comédie Française, Paris, sans date [après 1920], 1 double f., 3 pages. L'administrateur général de la Comédie Française souhaite à sa sociétaire Berthe Cerny un prompt rétablissement après avoir reçu de mauvaises nouvelles de sa santé. * ** Hélène-Lucie de Choudens, dite Berthe Cerny, a fait ses premières armes auprès de Gustave-Hippolyte Worms au Conservatoire dont elle sort en 1885 avec un premier prix de Comédie. Engagée à l'Odéon, puis au Vaudeville, puis sur d'autres scènes, elle fait pendant vingt ans une brillante carrière sur les boulevards et se fait remarquer dans les pièces de Paul Hervieu, Marcel Prévost, Georges de Porto-Riche. Elle entre à la Comédie-Française en 1906, demandée par Maurice Donnay dont elle crée Paraître. Elle s'impose dans le répertoire classique en interprétant Célimène, Suzanne, Alcmène, mais aussi dans La Parisienne de Becque et atteint l'apogée de son succès avec son interprétation d'Araminte des Fausses confidences de Marivaux. Dans la comédie moderne, elle incarne à merveille les héroïnes passionnées d'Henri Bataille (parmi lesquelles la baronne Irène dans Maman Colibri), de Paul Géraldy, François de Curel, etc. Elle se retire, en 1930, et est aussitôt nommée sociétaire honoraire. Elle a été la compagne de Raoul William Johnston, Aristide Briand et Paul Reynaud.
ÉMILE FABRE [Administrateur général de la Comédie Française]
Reference : DMI-488
(1923)
ÉMILE FABRE (1869-1955) [Administrateur général de la Comédie Française], lettre autographe signée à la comédienne Berthe Cerny, à en-tête de la Comédie Française, Paris, 1923, 1 double f., 4 pages. L'administrateur général de la Comédie Française recadre sèchement sa sociétaire Berthe Cerny, dans une longue lettre de 4 pages, après la polémique suscitée par sa dernière lettre dans laquelle elle accuse l'administrateur général de ne pas l'avoir informée que Madame Roggers allait reprendre le rôle de la Baronne Irène de Rysbergue dans Maman Colibri de Henry Bataille dont elle était jusque-là la titulaire (création le 29 décembre 1920), ce dont l'intéressé se défend avec force, preuves à l'appui. Il est aussi question, dans la lettre, de la pièce La Parisienne de Henry Becque et des représentations des Fausses Confidences en Belgique. Très intéressante lettre sur les coulisses de la Comédie Française dans les années 1920. * ** Hélène-Lucie de Choudens, dite Berthe Cerny, a fait ses premières armes auprès de Gustave-Hippolyte Worms au Conservatoire dont elle sort en 1885 avec un premier prix de Comédie. Engagée à l'Odéon, puis au Vaudeville, puis sur d'autres scènes, elle fait pendant vingt ans une brillante carrière sur les boulevards et se fait remarquer dans les pièces de Paul Hervieu, Marcel Prévost, Georges de Porto-Riche. Elle entre à la Comédie-Française en 1906, demandée par Maurice Donnay dont elle crée Paraître. Elle s'impose dans le répertoire classique en interprétant Célimène, Suzanne, Alcmène, mais aussi dans La Parisienne de Becque et atteint l'apogée de son succès avec son interprétation d'Araminte des Fausses confidences de Marivaux. Dans la comédie moderne, elle incarne à merveille les héroïnes passionnées d'Henri Bataille (parmi lesquelles la baronne Irène dans Maman Colibri), de Paul Géraldy, François de Curel, etc. Elle se retire, en 1930, et est aussitôt nommée sociétaire honoraire. Elle a été la compagne de Raoul William Johnston, Aristide Briand et Paul Reynaud.
ÉMILE FABRE [Administrateur général de la Comédie Française]
Reference : DMI-489
(1918)
ÉMILE FABRE (1869-1955) [Administrateur général de la Comédie Française], lettre autographe signée à la comédienne Berthe Cerny, à en-tête de la Comédie Française, Paris, [1918/1919], 1 double f., 1 p. L'administrateur général de la Comédie Française demande à Berthe Cerny d'interpréter "Léandre, du beau Léandre" de Théodore de Banville. * ** Hélène-Lucie de Choudens, dite Berthe Cerny, a fait ses premières armes auprès de Gustave-Hippolyte Worms au Conservatoire dont elle sort en 1885 avec un premier prix de Comédie. Engagée à l'Odéon, puis au Vaudeville, puis sur d'autres scènes, elle fait pendant vingt ans une brillante carrière sur les boulevards et se fait remarquer dans les pièces de Paul Hervieu, Marcel Prévost, Georges de Porto-Riche. Elle entre à la Comédie-Française en 1906, demandée par Maurice Donnay dont elle crée Paraître. Elle s'impose dans le répertoire classique en interprétant Célimène, Suzanne, Alcmène, mais aussi dans La Parisienne de Becque et atteint l'apogée de son succès avec son interprétation d'Araminte des Fausses confidences de Marivaux. Dans la comédie moderne, elle incarne à merveille les héroïnes passionnées d'Henri Bataille (parmi lesquelles la baronne Irène dans Maman Colibri), de Paul Géraldy, François de Curel, etc. Elle se retire, en 1930, et est aussitôt nommée sociétaire honoraire. Elle a été la compagne de Raoul William Johnston, Aristide Briand et Paul Reynaud.
ÉMILE FABRE [Administrateur général de la Comédie Française]
Reference : DMI-490
(1924)
ÉMILE FABRE (1869-1955) [Administrateur général de la Comédie Française], lettre autographe signée à la comédienne Berthe Cerny, à en-tête de la Comédie Française, Paris, [1924], 1 double f., 3 pages. L'administrateur général de la Comédie Française aimerait que Berthe Cerny interprète Madame de Saint-Genis dans la pièce Les Corbeaux de Henry Becque, pour la création de la pièce à la Comédie Française le 9 février 1925 : "On me demande de faire une distribution exceptionnelle des Corbeaux dont la reprise est attendue avec tant de curiosité [...] accepteriez-vous de jouer le rôle de Madame de Saint-Genis ? Il y a dans l'oeuvre de Becque une scène capitale où Madame de Saint Genis parait. Il faut là une artiste d'autorité, d'adresse, c'est pourquoi j'ai songé à vous ". Berthe Cerny ne donna pas suite à cette sollicitation et Émile Fabre s'en inquiéta (cf. l'autre lettre que nous propos à ce sujet). C'est finalement Catherine Fonteney qui interpréta le rôle pour la reprise de la pièce à la Comédie Française après sa création initiale à l'Odéon quinze ans plus tôt. Berthe Cerny avait en effet remporté un fier succès dans La Parisienne de Henry Becque en 1919. Intéressante lettre sur les coulisses de la création d'une pièce de théâtre à la Comédie Française dans les années 20.
Étienne Bartet, envoi autographe signé à la comédienne Berthe Cerny, sur un feuillet volant provenant d'un exemplaire de son livre La Tramontane / Notes sur l'Italie. Provenance : Fonds d'autographes de la comédienne Berthe Cerny (1868-1940) "A Mlle Berthe Cerny du Théâtre français à Colibri Hommage de l'auteur Bartet Paris 2 février 1921" Tous les envois autographes signés à Berthe Cerny ou Aristide Briand provenant du fonds de la comédienne ont malheureusement été détachés des livres. * ** Hélène-Lucie de Choudens, dite Berthe Cerny, a fait ses premières armes auprès de Gustave-Hippolyte Worms au Conservatoire dont elle sort en 1885 avec un premier prix de Comédie. Engagée à l'Odéon, puis au Vaudeville, puis sur d'autres scènes, elle fait pendant vingt ans une brillante carrière sur les boulevards et se fait remarquer dans les pièces de Paul Hervieu, Marcel Prévost, Georges de Porto-Riche. Elle entre à la Comédie-Française en 1906, demandée par Maurice Donnay dont elle crée Paraître. Elle s'impose dans le répertoire classique en interprétant Célimène, Suzanne, Alcmène, mais aussi dans La Parisienne de Becque et atteint l'apogée de son succès avec son interprétation d'Araminte des Fausses confidences de Marivaux. Dans la comédie moderne, elle incarne à merveille les héroïnes passionnées d'Henri Bataille (parmi lesquelles la baronne Irène dans Maman Colibri), de Paul Géraldy, François de Curel, etc. Elle se retire, en 1930, et est aussitôt nommée sociétaire honoraire. Elle a été la compagne de Raoul William Johnston, Aristide Briand et Paul Reynaud.
Étienne Corot, envoi autographe signé à la comédienne Berthe Cerny, sur un feuillet volant provenant d'un exemplaire de son livre La Ville en sang / Autour de la Révolution Russe paru chez Fasquelle en 1913. Provenance : Fonds d'autographes de la comédienne Berthe Cerny (1868-1940) "A Mademoiselle Berthe Cerny / en souvenir de la première / branche de laurier cueillie par / François, ce 23 octobre 1915" François Johnston (1898-1936) est le second fils de Berthe Cerny. Il faisait ses armes au lycée Louis-le-Grand pour préparer l'Ecole des Mines lorsque la guerre vint l'arracher à ses études. Brillant officier, il rapporta la Croix de Guerre, entra à l'Ecole des Mines et fit une courte carrière en tant qu'ingénieur des Mines avant d'être emporté par la maladie en 1936, laissant sa mère dans un grand désespoir. Tous les envois autographes signés à Berthe Cerny ou Aristide Briand provenant du fonds de la comédienne ont malheureusement été détachés des livres. * ** Hélène-Lucie de Choudens, dite Berthe Cerny, a fait ses premières armes auprès de Gustave-Hippolyte Worms au Conservatoire dont elle sort en 1885 avec un premier prix de Comédie. Engagée à l'Odéon, puis au Vaudeville, puis sur d'autres scènes, elle fait pendant vingt ans une brillante carrière sur les boulevards et se fait remarquer dans les pièces de Paul Hervieu, Marcel Prévost, Georges de Porto-Riche. Elle entre à la Comédie-Française en 1906, demandée par Maurice Donnay dont elle crée Paraître. Elle s'impose dans le répertoire classique en interprétant Célimène, Suzanne, Alcmène, mais aussi dans La Parisienne de Becque et atteint l'apogée de son succès avec son interprétation d'Araminte des Fausses confidences de Marivaux. Dans la comédie moderne, elle incarne à merveille les héroïnes passionnées d'Henri Bataille (parmi lesquelles la baronne Irène dans Maman Colibri), de Paul Géraldy, François de Curel, etc. Elle se retire, en 1930, et est aussitôt nommée sociétaire honoraire. Elle a été la compagne de Raoul William Johnston, Aristide Briand et Paul Reynaud.