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‎[MANUSCRIT] ‎

Reference : 219357

‎Relation de la bataille de Champaubert. (10 février 1814)‎

‎S.l., s.d. (1914-1916) grand in-folio (56 x 40 cm), en feuilles. ‎


‎Cet ensemble d'amateur, mêlant texte manuscrit (écriture fine et lisible), illustrations et coupures de presse, se compose de la façon suivante :I. Six bifeuillets chiffrés [Planche] 7-13, comportant chacun un titre, un exposé et/ou une iconographie :1. Relation de la bataille de Champaubert (planche 7) : [2] ff. de texte, plus un encart volant sur le monument commémoratif érigé dans la localité.2. Charge des cuirassiers du général Bordesoule (planche 8) : une page dde texte, avec une petite carte contrecollée et en plus une gravure de Pourvoyeur d'après Langlois, contrecollée.3. Convois de prisonniers de guerre et de blessés français à Paris, mars 1814 (planche 9) : une page de textes (extraits de Houssaye, des souvenirs du peintre Lamy, et des Mémoires d'un bourgeois de Paris), avec 3 cartes postales contrecollées.4. Bataille de Montmirail. Le champ de bataille (planche 10) : une page de texte sur trois colonnes agrémenté de 6 cartes postales et accompagné d'une grande gravure lithographiée par Motte, d'après Marin Lavigne.5. Les Gardes d'honneur à la Bataille de Montmirail (11 février 1814) (planche 12) : une page de texte, avec 3 cartes contrecollées, dont deux en couleurs, un feuillet volant (Les Marie-Louise de la campagne de 1814) et une grande photogravure à double page.6. Les Cosaques aux armées alliées, Campagne de France (planche 13) : une page de texte sur deux colonnes (extrait d'un texte de Jean Richepin, daté de 1916), et 2 illustrations dont une en couleurs.II. Un feuillet isolé , non chiffré : 7. Regroupant deux extraits de presse (le numéro 284 du Journal politique du département de l'Aube, 19 septembre 1822 ; un extrait du Journal de l'Aube, même date). Sur des cérémonies commémoratives des déprédations de 1814 dans le département.Il semble que l'on ait affaire à un pot-pourri composé à partir de pièces diverses par un amateur de la Campagne de 1814. La numérotation des parties montre qu'il nous manque plusieurs éléments. Faut-il appliquer à l'ensemble ou seulement à la planche 7 ce qui est dit dans le feuillet isolé sur le monument ? En voici le texte : "Ce qui précède a été extrait d'une série d'articles (il y en a 13 ou 14) intitulés ''Il y a cent ans : autour de la bataille de Montmirail" de Edgar Grosjean (...) publiés entre le courant de janvier et la fin de février 1914, à l'occasion de la restauration de la colonne commémorative". En réalité, le texte de Grosjean parut d'abord en 1900 à l'adresse de Châlons-sur-marne, et connut ensuite plusieurs rééditions (1905, 1908). Il est possible que l'ouvrage n'ait fourni que les explications de la planche 7. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT]. ‎

Reference : 228910

‎Relation de la mort de Mademoiselle Louise Marie de Charnacé. décédée au presbytère de Grez-en-Bouère [Mayenne], le 8 août 1848, à l'âge de 35 ans‎

‎S.l., s.d. petit in-8, [30] ff. anopisthographes, couverts d'une écriture fine, régulière, moyennement lisible (environ 25 lignes par page), quelques biffures et ratures, 17 ff. vierges, broché sous couverture d'attente. ‎


‎Anonyme récit des derniers moments d'une jeune demoiselle évidemment de moeurs célestes et confite dans la plus parfaite dévotion, narré selon les thèmes alors en usage dans la littérature compassionnelle à la mode. L'auteur ne se nomme pas, mais est prêtre, et même apparemment le curé du lieu (cf. f. [5] : "je venais de célébrer la sainte messe et je me disposais à aller visiter un confrère voisin .."), ce qui explique le luxe de précisions sur les vertus quasi angéliques de la défunte .."Mademoiselle Louise-Marie de Charnacé, âgée de 35 ans, était d'une forte constitution, et jouissait d'une santé parfaite, lorsqu'un horrible accident est venu l'enlever à la tendresse de sa mère et de ses frères, avec qui elle vivait, loin du monde, et dont elle faisait les délices".Les 30 pages du texte détaillent les événements du 5 au 8 août 1848, c'est-à-dire depuis sa dernière confession jusqu'à l'expiration ; c'est dire si rien ne nous est épargné de ses derniers moments, depuis l'accident de voiture qui occasionna sa perte. Eu égard aux lieux, il s'agit certainement d'un membre de la famille Girard de Charnacé, originaire de Poitou, mais fixée dans le Maine et l'Anjou ; il est difficile de préciser davantage : un de ses frères se nomme Charles de Charnacé, un autre est prêtre ou religieux, mais ces maigres renseignements sont insuffisants pour tracer sa biographie et ses apparentements. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎Manuscrit ‎

Reference : 14855

‎Remède contre le choléra.‎

‎ s.l., s.n., s.d. (XVIIIème ou début XIXème), 1 1 cahier. 2 pages manuscrites. ‎


Librairie Ancienne du Vivarais - Saint Etienne de Boulogne

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‎MANUSCRIT ‎

Reference : 27928

‎Revenus du Roy [Etat de la dépense du Roy] pendant l'année 1724 ‎

‎S.l. s.d. in-folio en feuilles ‎


‎paginé 238-245, écriture moyenne et lisible (environ 35 lignes par page).Après un état des recettes et dépenses royales pour 1724,le document se termine par une préconisation : "On propose de retrancher dix millions sur l'article de 19 millions de pensions ; on a déjà fait des retranchemens dans les écuries, dans les tables, dans les hardes, dans les gendarmes, dans les chevau-légers, et dans les mousquetaires, et le tout afin de mettre sagement la dépense annuelle au niveau du revenu annuel". L'équilibre financier fut toujours le point faible de la monarchie française, plus encore après la fin de l'expérience Law ‎

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‎MANUSCRIT]‎

Reference : 117057

‎Rhetorica.‎

‎ S.l.n.d. (France, milieu du XVIIe siècle) 1 vol. Relié in-12 (16,8 x 10,3 cm), maroquin vieux rouge, triple filet doré en encadrement des plats, dos à nerfs orné, dentelle intérieure dorée, tranches dorées (reliure de l'époque), 214 feuillets. Manuscrit réglé d’un traité de rhétorique en 5 livres copié vers 1650.L’ouvrage se divise comme suit : I. De inventione / II : De dispositione / III. De elocutione/ IV. Speciales de tribus causarum generibus / V. De oeconomia orationis.Aux trois grandes parties de la rhétorique s’ajoutent une section sur les différents types de discours (discours pour un mariage, discours de remerciement etc.) et une sur la structure du discours. L’ouvrage reprend les grands principes fixés par Aristote, Cicéron et Quintilien (ce dernier est cité au début de l’ouvrage à propos de l’ordre de la rhétorique). Une introduction générale et un « Appendice sur la manière d’imiter et de lire Cicéron » (Appendix de modo imitandi et legendi Ciceronem) complètent la rhétorique. La typologie des figures insiste en particulier sur la rhétorique de la description (hypotyposis, prosopopeia), trait propre aux rhétoriques du XVIIe siècle. Les développements sur l’invective (notamment la section « Les moyens de susciter l’indignation », Quomodo concitatur indignatio) se retrouveront, en des termes assez similaires, dans la rhétorique (De arte rhetorica libri quinque) publiée par Dominique de Colonia à Lyon en 1704.Au dernier feuillet de texte figurent quelques phrases latines mémorables dont le célèbre palindrome Robur ave tenet, et te tenet Eva rubor (le texte, difficile à traduire, oppose Ave et Eva, robur « force » et rubor, « rougeur ») : Honoré d’Urfé le communiqua par exemple à Étienne Pasquier qui le rapporte dans ses Recherches de la France (VII, chap. 13) et on le retrouve encore dans le Journal de Claudel en 1944 (J, II, 497). Ex-libris manuscrit ancien de Pierre Cuissot.Rare manuscrit de rhétorique dans sa reliure en maroquin rouge de l’époque un peu usée (coiffe de tête arrachée et coins cassés).‎


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‎MANUSCRIT. ‎

Reference : 1212

(1692)

‎Ritus administrandi viaticum… ‎

‎[Rouen, 1692] ; in-12 de 78 pp, reliure de l’époque maroquin rouge à la Duseuil, dos à nerfs orné, tranches dorées. ‎


‎Joli manuscrit entièrement calligraphié aux encres rouge et noir, donnant la méthode pour administrer le viatique et l’extrême onction. Il est difficile au XXIe siècle de se figurer combien la « bonne mort » était essentielle aux yeux des croyants dans l’Ancien Régime. La terreur de mourir accidentellement sans avoir rempli ces rituels était presque universellement répandue. La dernière page indique : Scripsit Le Painteur Presb. Rothomagensis. Anno 1692 le 18 mai. Le calligraphe s’appelait-il Le Painteur ou était-il prêtre de la paroisse Saint-Nicolas - Le Painteur de Rouen, où se rassemblaient peintres et enlumineurs ?Frottements aux angles et aux charnières, sinon charmant exemplaire en maroquin à la Duseuil. Signature Ponce sur le titre.‎

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‎[MANUSCRIT]. ‎

Reference : 239690

‎Réflexions morales..‎

‎S.l., s.d. (vers 1720) fort vol. in-8, [905] pp. en pagination multiple, couvertes d'une écriture moyenne, très lisible (environ 25 à 30 lignes par pages), avec des ratures et des biffures, veau fauve, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, pièce de titre, encadrement de simple filet à froid sur les plats, tranches dorées (reliure de l'époque). Coiffes rognées, charnière supérieure frottée, coins abîmés.‎


‎Important manuscrit de réflexions religieuses.Le volume commence par le récit de ce qui arriva brusquement à un gentilhomme au service du duc du Maine, un certain M. de Milan, sans doute prénommé Antoine (il qualifie saint Antoine du Désert de son "patron"), et âgé de 34 ans, qu'un exempt de la Prévôté de l'hôtel, muni d'une lettre de cachet du Roi, conduisit au matin du 12 mai 1709 à la prison de Saint-Lazare (la prison des "fils de famille" à cette époque). C'est sur place et dans un grand mouvement d'indignation qu'il apprit que la lettre de cachet avait été demandée et obtenue par sa propre soeur (leurs parents étant décédés), en raison de la dilapidation du patrimoine effectuée au jeu par l'intéressé : "Il me revenoit bien dans l'esprit que j'avois fait la folie de joüer, que la fortune du jeu m'avoit été très contraire, que j'avois fait des pertes très considérables, que mesme j'avois contracté des dettes".À quelque chose, malheur est bon : une fois le premier choc passé, le jeune homme va vite considérer cette épreuve comme "la plus favorable et la plus heureuse qui me soit jamais arrivée", puisqu'elle va lui permettre de rentrer en lui-même, et de songer à son salut. En sortit donc cette longue méditation provoquée par cette "retraite" involontaire, entrecoupée d'oraisons et de considérations annexes, qui interrompent à plusieurs reprises le cours du texte principal. Le chiffrage en est donc particulièrement complexe, comme on pourra en juger par le détail des différentes parties :I. Récit de l'avanture arrivée à Mr de Milan qui luy a fourni l'occation de faire les réflections suivantes [Avec:] Réflections de M. de Milan entré en retraite le 12 may 1709 à huit heures du matin : C pp., puis pp. 15-66, puis 67-106, puis 107-206, puis 207-528.II. Sur les bienfaits reçeus de Dieu : pp. CI-CXI, intercalées entre les pp. 66 et 67.III. Oraison avant la sainte communion : pp. CXVII-CXXXVI, intercalées entre les pp. 106 et 107.IV. Sur les misères de la vie présente : pp. CXXXII-CC.V. Dialogue d'un homme au lit de la mort, avec une âme damnée, sur la rigueur épouvantable, et sur la durée éternelle de ses tourmens : pp. CCI-CCXVIII.VI. Acte d'acceptation de la mort : pp. CCXXIX-CCXXXII, ces trois dernières parties entre les pp. 206 et 207.VII. La vie de Notre Seigneur Jésus Christ le saint des saints : 64 pp. VIII. Vie de Saint Antoine le Grand abbé et patriarche des religieux : pp. 593-624.IX. Pro sapientiae studiosis in salvanda ratione, et indaganda veritate, criterium semper in manibus habendum (traité entièrement en latin) [Et :] Table des matières contenues dans ce volume : 28 pp., puis pp. 653-675.Le contenu de toutes ces méditations relève de la spiritualité la plus classique, avec une insistance - elle aussi attendue - sur les fins dernières, le passage de la mort et la crainte de l'enfer, merveilleux shiboleth des prédicateurs de ce temps, et ce, jusqu'au milieu du XIXe siècle.Exemplaire provenant de la bibliothèque des ducs d'Orléans, puis du roi Louis-Philippe au Palais-Royal (avec cachet humide "Bibliothèque du Roi. Palais royal"), mais vendu en mars 1852 (annotation manuscrite sur les premières gardes). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT] ‎

Reference : 176153

‎Régiment de Cambrésis, composé d'un bataillon. Livret pour la revue du 3 8bre 1777. faite par M. de [Gironville] pour servir au payement de la subsistance‎

‎S.l., s.d. (1777) in-folio, [5] ff. n. ch., un feuillet vierge, demi-basane aubergine, dos lisse orné de filets dorés (reliure du XIXe s.). Dos insolé, accrocs aux deux coiffes.‎


‎Cette pièce est mi-imprimée mi-manuscrite : il s'agit en fait d'un formulaire pré-imprimé destiné à être renseigné à la main pour les revues, et il a de fait été rempli à la fois des données chiffrées exigées et de nombreuses indications de noms et de qualités des officiers. C'est en 1776 que le second Régiment de Cambrésis vit le jour par amalgame de deux bataillons du Régiment de Flandres (le premier à porter ce nom fut réformé en 1775). Ce sera l'ancêtre du 20e de Ligne (1791).Reliés à la suite deux états similaires : I. [MANUSCRIT] Inspection de 1777. Infanterie. Régiment de Bresse. Revüe faite à Crozon par Mr le Mis de Langeron lieutenant gnéral des armées du Roy le 11 septembre 1777. S.l.n.d. [1777], [7] ff. n. ch., entièrement manuscrits, trois feuillets vierges. II. [MANUSCRIT]. Régiment de Bresse. Etat de messieurs les officiers dudit régiment par rang d'ancienneté. 1780. S.l.n.d. [1780], [12] ff. n. ch. et régés, entièrement manuscrits, avec une collette complémentaire entre les ff. 11 et 12.Créé en 1776 également à partir de deux bataillons du Régiment du Poitou, le Régiment de Bresse est l'ancêtre du 26e Régiment d'Infanterie. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT]. ‎

Reference : 234190

‎Répertoire chronologique (et alphabétique) des ouvrages relatifs à Suresnes et au Mont-Valérien.. 1580-1935‎

‎S.l., s.d. (1935) in-12 oblong (14 x 21 cm), [25] ff. anopisthographes n. ch., écriture fine et lisible sur papier réglé, 78 numéros disposés par ordre chronologique de parution, broché, avec deux rivets. ‎


‎Sans nom d'auteur, ce petit répertoire contient la plupart des notices et textes sur le Mont-Calvaire et ses ermites. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎MANUSCRIT ‎

Reference : 141661

(1863)

‎Souvenir‎

‎ Manuscrit daté Manuscrit daté 1863 au nom d'Augusta Déseuret, seconde classe. In-4 oblong relié demi-basane noire, dos muet. Manuscrit d'Histoire reprenant sous forme de tableau les grandes périodes ou grands noms, grandes familles. Bas-Empire : 12 tableaux. Empire Ottoman : 4 tableaux. Espagne : 8 tableaux. Portugal : 4 tableaux. Allemagne : 9 tableaux. Mélange : 6 tableaux (religion). Souverains Pontifes : 2 tableaux. Merveilles du monde : 1 tableau. Les douze travaux d'Hercule : 1 tableaux. L'ensemble partfaitement calligraphié, colorié et mis en valeurs. Très beau travail personnel. ‎


‎ Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo. ‎

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‎[MANUSCRIT]. ‎

Reference : 228957

‎Souvenir. Voyage de Bordeaux et de Lorraine..‎

‎S.l., 1802 - 1817 fort vol. in-4, 195 pp., d'abord chiffrées à l'encre à l'époque (jusqu'à la page 100), puis au crayon de bois par un amateur de la fin du XIXe, puis [6] ff. n. ch., 28 pp., [27] ff. n. ch., 95 pp., [218] ff. n. ch., le tout couvert d'une écriture moyenne, cursive, de lecture malaisée, demi-basane fauve, dos lisse orné de guirlandes et d'urnes dorées, pièce de titre noire, coins en vélin (reliure de l'époque). ‎


‎Texte composite et très touffu, centré autour de la relation à sa femme ou à sa fille des déplacements d'un père au cours de l'année 1802 ; elle est rédigée essentiellement en italien, et adressée à une Ninetta (ou Nina). En tout cas, sa fille prend à son tour la parole en français à la fin du volume (f. 178v, et sqq. "Le 28 prairial papa arrive de Bordeaux ; je le reconnais et lui souris après un moment de surprise, il me couvre de caresses et trouve que j'ai ma petite intelligence bien développée pendant son voyage .." La narration se partage entre description des lieux visités, nouvelles de proches, détails des inconvénients et retards des trajets.Elle se compose de nombreuses parties mal reliées entre elles, et également au chiffrage erratique :1. Premier cahier de voyage. Nivôse à Pluviôse an X [janvier-février 1802]. Paris-Orléans : pp. 1-46, entièrement en italien.2. Deuxième cahier de voyage. Pluviôse-Ventôse an X [février-mars 1802]. Vierzon, Bourges, Issoudun, Châteauroux, Argenton, Limoges, La Coquille, Périgueux, Mussidan, Montpont [= Montpon-Ménestérol], Libourne, Bordeaux : à partir de la p. 48, également entièrement en italien.3. Curiosités à Orléans : ff. 1-6, en français.4. Aide-mémoire. Quelques notes sans prétention sur mon voyage de Paris à Bordeaux, et de Bordeaux à Paris, dans le cours de Pluviôse, Ventôse et Germinal 1802 : 28 pp.5. Souvenirs de Londres que malheureusement je constate [sic] seulement en 1817, c'est-à-dire après mon voyage : ff. 1-5.6. Premier cahier depuis le retour à Paris, Floréal an X [mai 1802] : ff. 10-26, en italien.7. Deuxième cahier. Floréal à Prairial an X [mai-juin 1802] : 95 pp. en italien.8. Troisième cahier. Prairial, Messidor, Thermidor an X [juin-août 1802] : ff. 1-59, en italien.9. Quatrième cahier. Thermidor & Fructidor an X [août-septembre 1802] : ff. 60-102, en italien.10. Cinquième cahier. Fructidor an X, Vendémiaire, Brumaire an XI [septembre-novembre 1802] : ff. 103-146, en italien.11. Sixième cahier. Brumaire à Frimaire an XI [novembre et décembre 1802] : ff. 147-176, en italien.Les ff. 178-218 renferment diverses pièces (dont un journal de la jeune fille destinataire des récits, ff. 178-190. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎MANUSCRIT. ‎

Reference : 6262

‎«Staat van goed ten sterfhuyze van joffrou Isabelle Josepha Vanden Baese echtgenoote van dheer Jacobus Josephus Derkinderen». [Gent, 1766]. Etat des biens au décès d'Isabelle Josepha Vanden Baese épouse de Monsieur Jacobus Josephus Derkinderen. [Gand 1766].‎

‎ Un volume manuscrit 32 x 19,5 cm : [c. 535] ff. y compris quelques ff. vierges, (quelques taches d'humidité et trous de vers). Vélin d'époque, dos lisse avec titre à l'encre, cordelettes de lin (légèrement salies). Sinon bon état.État complet de la succession d'une femme de la bourgeoisie gantoise, décédée le 26 juillet 1766.32 x 19,5 cm: [c. 535] ff. incl. enkele blanco ff., papier, Nederlands (enkele vochtvlekken en wormgaten). Contemp. perkament, gladde rug met titel in inkt, linnen snoeren (licht bevuild). In goede staat.Omvangrijke staat van goed van een niet onbemiddelde vrouw uit de Gentse middenklasse, overleden op 26 juli 1766. ‎


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‎[MANUSCRIT] ‎

Reference : 223241

‎[Succession Carnot].‎

‎La Charité-sur-Loire, 25 février 1803-20 août 1803; 5 pièces in-4 ou in-8, en feuilles. ‎


‎Petit dossier qui réunit cinq pièces, toutes écrites par un certain Berger-Chamille soit au marchand-tapissier Gattebois, son ami, soit à l'avoué Godot, et concernant le défaut de paiement de rentes viagères de la part d'un certain Guillard, avec lequel ils avaient fait affaire dans le cadre d'une succession Carnot (Berger-Chamille a épousé Marie-Josèphe Carnot), sans que l'on puisse préciser s'il s'agit des Carnot issus de Jean-Baptiste Carnot (1672-1735), souche de la célèbre lignée républicaine.1. Lettre du 25 février 1803 à Gattebois (un bifeuillet in-4 entièrement écrit) : le rédacteur fait le point sur les pièces demandées par Gattebois dans un litige qui les oppose à Guillard, repreneur d'une maison leur ayant appartenu.2. Lettre du 9 germinal an XI à Gattebois [30 mars 1803] (un bifeuillet in-4 écrit sur 3 pp.) : "Je crois que c'est trop tôt pour te demander des nouvelles de notre petite affaire contre Guillard. Mais comme ce n'est pas tout à fait en mon nom seul que je t'en demande, je me trouve forcé par les sollicitations des citoyens Dard et Carnot de te prier de nous instruire, ou faire instruire par le deffenseur que tu as chargé où en sont les choses". 3. Billet du 26 germinal an XI à Gattebois [16 avril 1803] (un bifeuillet in-8 écrit au recto du premier) : annonce l'envoi de trois titres par la diligence du 27 germinal.4. Longue lettre du 26 germinal an XI, à Gattebois (5 pp. in-4) : "D'après ta lettre du 17 germinal, nos affaires ne sont pas plus avancées qu'elles étoient, et ce par délicatesse pour Guillard (...). Je ne vois pas pourquoi vous auriez des égards pour Guillard, cet homme n'en a point pour vous ; il est donc inutile de le ménager". Suivent le détail de pièces envoyées par diligence, et un exposé de la situation juridique de la succession Carnot.5. Lettre du 20 août 1803, à l'avoué Godot, en service auprès des tribunaux de première instance de la capitale (un bifeuillet in-8 écrit sur 2 pp.) : "J'aurais voulu sçavoir quels sont les moiens que Guillard employe pour ne pas payer".. Le principal destinataire est François Gattebois, marchand-tapissier installé 56, rue de la Verrerie à Paris, dont l'inventaire de décès date de 1808. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT] ‎

Reference : 217794

‎TABLEAU de la FRANCE.‎

‎ (ca 1780) 67 x 163 cm, Encadré de bois noir et doré (encadrement moderne). Quelques restaurations au papier mais bon état général.‎


‎Très impressionnant tableau manuscrit sur l'état de la France à la veille de la Révolution.Entièrement manuscrit à l'encre et surmonté des armes royales aquarellées, il propose de nombreuses informations distribuées en colonnes, le tout encadré au trait : - Les provinces, avec pour chacune une colonne avec ses subdivisions administratives et ses principales villes.Ces tableaux sont complétés par une Récapitulation des villes par chaque gouvernement ou province et un dénombrement des paroisses et habitants renfermés dans chaque Généralité du Royaume. Chaque province a son résumé historique.- État du Clergé Séculier et Régulier de France.- État Militaire des troupes de France.- État des Parlements.- État des Chambres des Comptes, Cour des Aides, Cours des Monnaies, Conseils Supérieurs.Doument rare et didactique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[Manuscrit]‎

Reference : 558437

‎Table des documents et notices. Cabinet de Monsieur St Allais. A - G.‎

‎ [Paris, début XIXe siècle]. Fort volume petit in-folio, reliure pastiche de l'époque (ou de réemploi du XVIIIe siècle), [310] feuillets écrits à l'encre au r° et au v°. ‎


‎Important inventaire formant une partie de l'index (Lettres A à G) d'une ancienne collection de documents héraldiques et généalogiques. Elle appartenait à Nicolas Viton de Saint-Allais (Langres 1773 - Paris 1842), qui tint à Paris, de 1808 à 1820, un cabinet de généalogie, le Bureau général de la Noblesse de France. Saint-Allais fut également l'auteur d'importants ouvrages sur la question nobiliaire. A raison d'une dizaine de noms cités à chaque page, ce manuscrit signale plus de 6200 noms de famille.Cachet du Collège héraldique de France au titre ; ex-libris armorié gravé au contreplat, de la Société héraldique. Dos détruit, plats volants ; rares rousseurs et qq. salissures ordinaires ; exploitable en l'état. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €) ‎

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‎MANUSCRIT]‎

Reference : 5692

‎[Terrier pour la Seigneurie de la Rivière du Sud - Aveu et dénombrement de Montmagny, 1822]‎


‎In-folio, 32cm, 198p. et 16 f. blanc. Vergé filigrané. Cartonnage de toile et liseuse de basane. :: Copie du coseigneur Jacques Fournier. :: Livre terrier dressé par Nicolas-Gaspard Boisseau (1765-1842), notaire en la paroisse de St-Thomas (comté de Devon [Montmagny]). Les coseigneurs de la Seigneurie sont : Catherine Couillard des Islets, Jean-Baptiste Couillard de Beaumont et Jacques Fournier. La demande royale (George IV), signé par Montizambert, date du 16 septembre 1822. L'entreprise de Boisseau débute le 3 novembre 1822. :: Les censitaires recensés de 1822 à 1825, sont au nombre de 44, la majorité étant cultivateurs, soit : Joseph Fournier dit Belony, Louis Morin dit Valcourt, Charles Bernier, Angélique Cloutier veuve de Jean-Baptiste Chartier, Joseph Côté fils, Jacques Mercier, Pierre Gagnier, Pierre Proux, Jean Servais et Pierre Talbot, Joseph Picard Destroismaisons, Joseph Létourneau père, Bonaventure Morin, Jacques Bernier, Marie Josepte Bernier veuve de François Gagnier, Joseph Lefebvre dit Boulanger, Louis Blais, Charles Gendron fils, Abraham Laruë écuier (notaire demeurant au Cap St-Ignace), Alexandre Thibault, Abraham Fournier (second mari de Angélique Fontaine veuve de Antoine Langlois), Joseph Fournier fils de Pierre, Joseph Pruneau (second mari de veuve André Coquère), Jacques Bernier fils d'Isidore, Marcel Thibault, François Talbot dit Gervais, Charles Bouchard, Augustin Couillard Després, Luc Fournier, Joseph Kirouac dit Breton, Jacques Boulet au nom de Paschal Proux mineur, Benoit Gaudreau menuisier, Julien Gaiguë, Louis Bellanger (mari de veuve Abraham Talbot), Joseph Gagnier dit Bellavance, Jean-Baptiste Côté, Jean-Baptiste Lefebvre (tuteur de quatre mineurs de François Côté), Marcel Coulombe, Louis Lacombe et Louis Coulombe (concession donnée le 14 février 1824), Jean-Baptiste Heins, Louis Mercier (concession donnée le 6 décembre 1824), Jean-Baptiste Blais et Augustin Larivée (concession donnée le 23 décembre 1824), Joseph Coulombe et Hiacinthe Picard destroismaisons (concession donnée le 24 janvier 1825), François Paquet (concession donnée le 28 mars 1825), et Antoine Bouffard et François Mercier (concession donnée le 28 novembre 1825). :: La Seigneurie de la Rivière du Sud fut donnée en 1646. Elle est bordée par celle de Bellechasse à l'ouest, de St-Joseph à l'est et de Lespinay au sud. ‎

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‎Manuscrit‎

Reference : 164204

(1787)

‎Tractatus de contractibus - Compendium de contractibus‎

‎ Sans éditeur Manuscrit, 1787. In-12 relié plein vélin à liens de 184 pages. Daté 8 avril 1787 Sub Dno (Subdivision ?) - De Langre. (probablement le nom de famille du rédacteur). Des annotations manuscrites, en français, sur une page de garde et sur la dernière page laissent à penser une origine soit de Rodez, soit de Toulouse. Entièrement en latin, très lisible. Bon état‎


‎ Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo. ‎

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‎[MANUSCRIT] ‎

Reference : 209656

‎Traicté de l'agriculture.‎

‎S.l.n.d. (XVIIIe s.) in-folio, [4] ff. n. ch., couverts d'une écriture moyenne, calligraphiée, très lisible (environ 40 lignes par page), texte sur deux colonnes, en feuilles, légèrement ébarbées. ‎


‎Très bref, ce petit manuscrit se présente comme une suite de techniques pratiques ; sont exposées successivement :1. La méthode pour tracer des fossés [trous] arborés, planter des arbres et de les entretenir. - 2. La manière d'enter et de cultiver plusieurs types d'arbres (ormes, chênes, vigne, amandiers, noizilliers [= noisetiers], châtaigners, cerisiers, coigniers [= cognassiers], figuiers, pommiers, néfliers, mûriers, noyers, pêchers, pins, poiriers, pruniers, sorbiers, lauriers). - 3. La manière de cultiver certaines plantes, comestibles ou non (roses, melons, abricots, etc.). - 4. Une recette "pour faire frutifier un arbre qui ne porte fruit".Belle écriture. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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Reference : 203498

‎Traité de mariage du 26 avril 1790.‎

‎S.l., s.d. (avril 1790) in-4, [3] pp. n. ch. écrites sur peau de vélin, graphie cursive et moyennement lisible, en feuille. ‎


‎Grosse du contrat de mariage passé devant le notaire royal et tabellion du bailliage de Dieuze, entre le cordonnier Nicolas Houpert et Anne-Marie Chrisman. Le bailliage de Dieuze, enclavé dans le temporel de l'Evêché de Metz, n'exista comme entité administrative de la Lorraine que de 1751 à 1790. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎MANUSCRIT.‎

Reference : 793

(1837)

‎Voyage d'Italie.‎

‎ 1837 1837. Carnet in-4 (env. 17 x 22 cm) de 231 pages, et (4) pages de table, demi-toile grise, étiquette de titre manuscrite sur le premier plat.Ce journal, anonyme, féminin, décrit un voyage en Italie commencé le 22 janvier 1837, depuis Aix en Provence, par Ancone, Poligno, Spoletto... , Rome, Capone et jusqu'au 29 avril 1838 à Naples. L'écriture est fine et lisible, et il y a peu de ratures.La voyageuse, qui accompagne un ami, s'attarde avec précision sur les descriptions des monuments et de leurs décorations, mais décrit aussi avec plaisir les paysages ; ses considérations religieuses, grâces et prières sont également très présentes. La majeure partie de cette relation de voyage (près de 120 pages) concerne la capitale italienne, et l'auteure évoque avec ferveur St Pierre, le Colisée, la villa Médicis, le Vatican, les antiquités, les nombreuses églises, les palais romains, etc. ‎


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‎[MANUSCRIT]. ‎

Reference : 226986

‎Voyage en Italie.. 1768. Deuxième volume‎

‎S.l., s.d. (1769) in-4, 175 ff., couverts d'une écriture cursive, moyennement lisible (environ 20 lignes par page), ratures et biffures, cartonnage d'attente de papier marbré, dos à nerfs (reliure de l'époque). Coiffes rognées, charnière supérieure entièrement fendue, coins et coupes abîmés.‎


‎Notre manuscrit documente la seconde partie d'un tour en Italie, laquelle se déroula du 19 octobre 1768 au 26 mai 1769, selon l'itinéraire suivant :I. Route de Florence à Rome par Lorette (ff. 1-17). - II. Route de Rome à Naples (ff. 18-22). - III. Naples (ff. 22-54). - IV. Route de Naples à Rome (ff. 55-56). - V. Rome (ff. 57-145). - VI. Route de Rome à Livourne (ff. 146-153). - VII. Livourne (ff. 154-156). - VIII. Pise (ff. 157-160). - IX. Lucques (ff. 160-162). - X. Gênes (ff. 163-171). - XI. Route de Gênes à Antibes et à Marseille (ff. 172-175). La graphie n'étant pas toujours régulière, il présente certaines difficultés de lecture pour quelques vocables.Le début du texte permet de fixer exactement l'époque du périple : "Beaucoup de personnes nous querellèrent de ce que nous n'attendions pas à Florence l'arrivée de l'Empereur qui devoit accompagner en novembre l'archiduchesse Reine de Naples. Comptant nous trouver à Rome pour les fêtes que l'on préparoit à l'Empereur, et à Naples pour celles que l'on devoit faire à l'occasion du mariage du monarque, nous avions pris note parti de renoncer à celles de Florence". Il s'agit en effet des festivités célébrées dans les différentes cours de la Péninsule pour le mariage de Marie-Caroline d'Autriche (une des filles de Marie-Thérèse) avec Ferdinand IV de Naples, qui avait eu lieu par procuration le 12 mai 1768, avant l'acheminement de la princesse dans ses nouveaux États. 1. De Florence à Rome. Les étapes de nos voyageurs sont bien fixées et classiques : Imola, Faenza, Ravenne, Forli, Césène, Savignano, Rimini, Fano, Senigaglia, Ancône, Lorette (longue description), Macerata, Tolentino, Foligno, Spolète, Terni, Città Castellana. Chacune de ces localités a droit à une description sommaire, et parfois à une anecdote se déroulant en son sein (procès à Imola, vente de vin à Forli, évidemment le pèlerinage à Lorette, les fêtes des Apennins, cascade des Marmore, etc.). Le rédacteur est bien un "Aufklärer" en tout cas, comme en témoignent ses réflexions sur les dévotions à Lorette : "À la vérité, les pèlerins donnent dans des enfantillages en faisant un certain nombre de fois le tour de la Santa Casa sur leurs genoux à nud ; mais ils sont moins blâmables que les gens instruits à la tête de la maison qui en dépend, lesquelles doivent entretenir la foy et la dévotion par de bonnes exhortations, et non en autorisant des pratiques purement extérieures".Le premier séjour romain des voyageurs ne dura que douze jours, à l'issue desquels ils voulurent profiter de la clémence de l'arrière-saison pour gagner Naples.2. De Rome à Naples. Ils passèrent donc par Frascati, et les villas Tuscolane, par le monastère du Mont-Cassin, par Capoue et Caserte. Suit la première partie principale du manuscrit, consistant en la description de Naples, méthodiquement explorée selon deux axes (d'une part, les églises, palais et autres monuments ; d'autre part, "les antiquités et les curiosités naturelles"). Les églises sont ma foi la chose la plus commune à Naples, et notre rédacteur d'égrener les visites, sans pourvoir prétendre à l'exhaustivité (plus de 500 bâtiments consacrés au culte dès l'époque baroque) : Duomo San Gennaro, Saint-Philippe-de-Néri, Saint-Laurent, Saint-François-Xavier, le Saint-Esprit, Sainte-Marie des Âmes du Purgatoire, San Paolo Maggiore, Saint-Jean-l'Évangéliste, les Saints-Apôtres, San Giovanni a Carbonara, le Gesù Nuovo (à propos duquel est annexée une longue relation de l'expulsion des Jésuites le 19 novembre 1767), Santa Chiara, Il Carmine [Santa Maria del Carmine Maggiore], L'Ascension, etc. Ici, comme cela vaudra plus tard pour les sanctuaires de Rome (cf. infra), et conformément au goût de l'époque, ce sont les tableaux exposés dans les chapelles, absides, ou sacristies, qui retiennent le plus l'attention du narrateur.Suivent les palazzi (du moins une partie) : Palais royal, Palazzo della Torre, Palazzo della Rocca, Palazzo Francavilla, etc. ; puis les monuments des environs : Chartreuse San Martino, le Château Saint-Elme, le "Tombeau de Virgile", Pouzzoles, les localités du Golfe, le Lac d'Agnano (drainé en 1870), le Vésuve (avec une relation de l'éruption des 19-20 octobre 1767, la plus récente alors enregistrée).Mention obligatoire en cette seconde moitié du XVIIIe siècle : les sites d'Herculanum ("l'ancienne Herculée") et de Pompéi occupent les ff. 48-49. Enfin, le récit se termine par la présentation (des plus sommaires) des visiteurs à la Cour de Naples : "Le Roy habitait Portici quand nous eûmes l'honneur de luy être présenté le 3 de décembre par M. de Choisieul [sic] notre ambassadeur [= Renaud-César de Choiseul-Praslin, 1739-1791]. Nous nous [?] avec deux abbés de condition, Lorrains, en face de la table où le Roy dînoit. Sa grande occupation fut de nous examiner les uns après les autres pendant plus d'une demi-heure : en sortant de table, au lieu d'entrer tout de suite dans son appartement, il se détourna à gauche, nous fit une légère inclination de tête sans nous parler et rentra sur le champ. L'on nous avoit prévenus que c'étoit la manière dont il recevoit les étrangers ..."3. De Naples à Rome. "Voulant revenir à Rome avant les grandes pluies, nous quittâmes munis de passeports Naples le 13 de décembre, enchantés de la beauté du climat. Nous prîmes la route de la poste". Elle les mena de Fondi à Velletri à travers la zone de ce qui était alors les fameux Marais Pontins (Agro Pontino). Ce n'est qu'à l'occasion de ce second séjour que le rédacteur donne une description détaillée de la ville de Rome. Il commence évidemment par les églises, qu'il chiffre à 330 ("en tout, y compris les couvents, hôpitaux et les chapelles"), ce qui semble très sous-estimé (il en existe plus de 900 aujourd'hui, et, même en retranchant les constructions du XIXe et du XXe siècle, on est loin du compte). En tout cas, le paradoxe de la situation est bien posé : "Ce nombre prodigieux de lieux saints, continuellement ouverts, beaucoup trop considérable pour le peu d'habitants, est la cause que l'on ne voit jamais que très peu de personnes dans les temples. Saint-Pierre même, où la majesté divine réside dans le sanctuaire le plus attirant, réunit à peine cent personnes à la fois dans le temps des offices." Ceci dit, il commence sa description par Saint-Pierre évidemment (ff. 60-65), continue par les palais du Vatican et le Château Saint-Ange (ff. 65-69), puis détaille un certain nombre de sanctuaires et de monuments remarquables. À savoir, dans l'ordre d'exposition (qui correspond grosso modo à une exploration en escargot depuis Saint-Pierre) : San Pietro in Montorio, et son tempietto [Janicule] ; Sainte-Marie du Transtévère ; Sainte-Cécile ; San Francesco a Ripa [Transtévère] ; San Giovanni Battista dei Fiorentini ; le Palais Farnèse ; le Palais Corsini ; le Palais Spada ; Saint-Philippe-de-Néri ; la Trinité des Monts [Pincio] ; villa Médicis ; villa Ludovisi ; villa Borghese ; villa Albani ; villa Barberini ; San Andrea al Quirinale ; Santa Maria della VIttoria ; Saint-Nicolas-des-Lorrains ; Saint-Louis-des-Français ; le palais Giustiniani ; Santa Maria in Campitelli ; Saint-Pantaléon ; Sainte-Agathe-des-Goths ; San Lorenzo in Damaso ; Saint-Romuald ; Sant'Andrea della Valle ; San Carlo ai Catinari ; Santa Maria sopra Minerva (avec la place et le Panthéon) ; Santi Ambrogio e Carlo al Corso ; Santa Maria del Popolo ; le Gésù ; Saint-Ignace et le Collège romain ; le Palais Ruspoli ; le Palais Borghèse ; le Palais Doria ; le Palais de l'Académie de France ; le Palais de Monte Citorio ; le Palais Albani ; le Palais Colonna ; le Capitole ; l'Aracoeli ; San Pietro in Carcere ; les vestiges romains du Campo Vaccino ; Saint-Jean-de-Latran et la Scala santa ; villa Giustiniani ; Sainte-Marie-Majeure ; Saint-Pierre-aux-Liens ; Sainte-Praxède ; Sainte-Croix de Jérusalem ; Sainte-Bibiane [Esquilin] ; Saint-Eusèbe [idem] ; San Stefano Rotondo [Celio] ; villa Mattei ; Sainte-Agnès-hors-les-Murs ; Saint-Laurent-hors-les-Murs ; Saint-Sébastien-hors-les-Murs ; Sant'Urbano alla Caffarella ; San Gregorio al Celio ; Saint-Paul-Hors-les-Murs et ses environs ; Sainte-Marie-in-Cosmedin et le temple de Vesta.Suit un long passage su les places publiques et les fontaines qui les ornent (ff; 119-129). Les dernières pages sont consacrées aux environs immédiats de la ville (Tivoli, Este, Albano, Castello [= Castel Gandolfo], l'abbaye de Grottaferrata).Enfin, cette partie se termine par des réflexions générales sur le gouvernement de l'État romain, le style de vie des cardinaux, de la noblesse romaine, et de la bonne bourgeoisie,le genre d'occupations des Romains (les théâtres, les opéras, une description du Carnaval, passage obligé, se trouve à la fin).Comme à Naples, les voyageurs furent officiellement présentés au pape le 27 décembre 1769. Le Souverain Pontife était alors le célèbre Clément XIV Ganganelli, qui venait juste d'être élu le 18 mai précédent, et devait se signaler par l'immortel bref Dominus ac Redemptor. Voici le détail de l'audience pontificale : "Nous fûmes présentés avec deux abbés lorrains par monsieur le chevalier de Laparelli, Florentin, maître de chambre de l'ambassade de France. Notre introducteur garda son épée ; nous autres, nous la quittâmes ; nous fîmes les trois génuflexions d'usage, et arrivés aux pieds de Sa Sainteté qui étoit assise à un bureau couvert d'un dais, nous baisâmes successivement une croix d'or brodée sur sa mule de velours rouge. Le pape, sans avoir l'air de faire attention à cet acte d'humilité auquel sont soumis tous ceux qui veulent luy parler, nous entretenoit de diverses choses relatives à notre voyage. Nous restâmes debout pendant un demi quart-d'heure. Il nous combla de bénédictions pour nous et notre famille (...). Nous le quittâmes en baisant sa mule une seconde fois, et nous nous retirâmes en arrière, en faisant encore les trois génuflexions". C'est en somme moins sommaire que le protocole expéditif de Ferdinand IV. 4. Voyage de retour.Il s'effectua à partir du 11 avril, soit après les cérémonies de la Semaine sainte (longuement décrites à la fin de la partie précédente), et passa par Ronciglione, Caprarola, Viterbe, Montefiascone, Aquapendente, San Quirico, Sienne (où les voyageurs s'attardèrent davantage, ff. 149-154), Livourne (ff. 154-156), Pise (ff. 156-160), Lucques (ff. 160-162). De Livourne, on abandonna la voie de terre pour s'embarquer en direction de Gênes (ff. 163-172), puis de Gênes à Antibes (2 mai), port-frontière entre le comté de Nice et la France (en passant, une brève description de Monaco). À partir d'Antibes, le voyage s'effectue de nouveau par voie de terre (Fréjus, Marseille, Aix, Orange, Montélimar, Valence, Vienne, Lyon, et Paris, rejoint le 26 mai au soir).En conclusion, "Notre voyage a été des plus heureux ; nous n'avons désiré de le voir achevé que pour goûter la douce satisfaction de revoir nos parents, nos bons amis et nos connaissances". Ainsi-soit-il. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT]. ‎

Reference : 240037

‎Voyage en Norvège.. 15 juillet - 10 août 1898.‎

‎S.l., s.d. (1898), in-8, 82 pp., [4] ff. n. ch. [Réflexions et notes], le tout couvert d'une écriture moyenne et très lisible, d'abord au crayon de bois, puis à l'encre (à partir de la p. 14), avec 17 petits croquis en noir à l'encre, et une petite collette comportant deux dessins colorisés de fjords, toile grise modeste, dos lisse, étiquette de titre contrecollée au centre du plat supérieur Accroc en coiffe supérieure, exemplaire légèrement déboîté, des ff. détachés?‎


‎Le nom de l'auteur figure à l'encre au dos : M. Zimmerman. Le début du texte montre qu'il exerce la profession de journaliste, et sans doute de pigiste : le 14 juillet, juste avant le départ, il s'emploie à terminer un papier. "De plus, l'article que j'ai commencé sur les chemins de fer d'Afrique doit être terminé ; il ne sera pas dit que j'aurai perdu encore une fois sans résultats 29 jours de travail. Le 14 juillet, je me lève à 4 H 1/2 et je commence un des plus intenses efforts que j'ai donnés de ma vie, le matin dix pages sont écrites, le soir une trentaine (...). Je dépêche cette pauvre Nette pour me porter cela, soit à la Quinzaine, soit au Correspondant, soit à la Nouvelle revue ; je suis à me demander si on voudra l'accepter ..." Mais il n'est pas sûr que son périple en Norvège obéisse à des motifs professionnels ; ses notations sentent trop le touriste.Après cette introduction, se déroule un éphéméride où absolument tout incident est noté, depuis le voyage en train de Paris à Lille, puis l'embarquement à Dunkerque, et l'arrivée en rade de Bergen dès le 17 juillet. Dès lors, notre homme ne cesse de s'étonner naïvement du contraste entre la réalité observée et les stéréotypes qu'il avait dû cultiver avant le voyage. Qu'on en juge par ces lignes assez sidérantes, écrites donc en 1898 et non en 1598 : "On aurait cru entrer dans un pays barbare, et l'on tombe dans une ville européenne, où rien, ou presque rien ne rappelle les moeurs ou usages locaux. Dans le grand jardin de l'Exposition (...), un terrain de promenade sur lequel les jeunes filles de Bergen promènent leurs atours plus ou moins comme des jeunes filles parisiennes à la musique des Tuileries ou du Luxembourg. Toilettes entièrement européennes. L'air des figures ne me paraît même pas exotique, je trouve beaucoup plus de bruns que j'aurais cru, et les figures proprement norvégiennes, ou du moins telles que je me figurais les Norvégiennes, sont rares ..." On rencontre au fil du récit nombre de notations du même acabit ; le grand nombre de bruns et de trapus perturbe manifestement notre journaliste ("L'homme n'est pas tel que je me le figurais : grand et élancé ; le type le plus commun est plutôt massif, un peu lourd"), qui se réjouira de ne rencontrer - enfin - que des blonds dans l'extrême nord ("Tout le monde ici est blond, a les yeux bleus ... Évidemment, à Tromsö et à Hammerfest, le type a été beaucoup moins mélangé qu'à Bergen").L'itinéraire suivi par voie maritime mène de Bergen à Moldö, puis à Trondheim, à l'île de Torghatten, à celle de Senjen, à l'archipel des Lofoten, à Tromsö, au Lyngenfjord, à Hammerfest, au Cap Nord (Nordkapp) et au Porsangerfjord, étapes ultimes du périple vers le pôle. Le retour s'effectua lentement à partir du 26 juillet : Tromsö de nouveau, puis Harstad, Henningsvaer, le glacier du Svartisen (qui a droit à pas moins de 3 croquis), Naes, Molde et le Romsdal, le Sognefjord, Gudvangen, Stalheim (où notre voyageur apprend par les journaux la mort de Bismarck). À partir du 4 août, l'expédition revient à Bergen, retour agrémenté de notations toujours aussi fines pour cette "vraie ville" : "On éprouve en rentrant à Bergen, lorsqu'on revient de l'extrême nord, sans s'être arrêté à Trondheim, l'impression de rentrer dans la civilisation". Pour le moins.Les derniers jours mènent vers le sud : Odda et Stavanger, et enfin Christiania [= Oslo, nom porté uniquement depuis 1925], où ils abordent le 7 août. C'est sur la visite de cette capitale que se termine la narration, non sans remarques infiniment dédaigneuses de Zimmerman qui, en-dehors des paysages, fjords et montagnes du nord, semble ne rien trouver de bien dans la ville. Il semble que deux ff. ont été coupés, ce qui nous prive du trajet de retour en France.Pour résumer, l'intérêt du narrateur se porte presque exclusivement sur les aspects géographiques et géologiques de la côte norvégienne, et ses dessins reproduisent exclusivement montagnes, glaciers et fjords. Ces parties forment incontestablement le plus intéressant de la narration. À noter toutefois, une visite à un campement lapon effectué à l'occasion de l'escale de Tromsö (et là encore, Zimmerman s'ébaubit de trouver les paysans exactement semblables physiquement à ceux de France ...). Les aspects culturels ou la vie de la population ne semblent absolument pas éveiller quoi que ce soit en lui. En résumé, notre auteur présente toutes les caractéristiques du "touriste de base", espèce déjà apparue en cette fin du XIXe siècle, destiner à se multiplier infiniment de façon anarchique, et qui se figure au départ que la Norvège est aussi exotique que l'arrière-pays yéménite ; il la découvre "européenne" avec émerveillement. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎MANUSCRIT]‎

Reference : 51576

‎[Éléments chimiques, métalliques et minéraux : descriptions]‎

‎S. l, fin du XIXe siècle, in-12, non paginé (155 feuillets env.), demi-basane maroquinée vert sombre, dos lisse et muet, Ce petit manuscrit renferme un recueil de descriptions, de formules et de préparations chimiques, peut-être rédigées à l'occasion d'un cours de chimie. Il est dépourvu de titre et ouvre sur une partie intitulée "Recherche de l'arsenic (suite)" : les parties précédentes n'ont pas été conservées. Ces notes comprennent notamment des courts aperçus historiques sur la découverte de certains éléments. On y trouve notamment l'arsenic et l'antimoine, le carbone, silicium, bore, zizcomium, etc. Cachet de la papeterie des arts & métiers Hte Garolle, Paris. Dos usé. Couverture rigide‎


‎Bon non paginé (155 feuillets‎

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‎[MANUSCRIT]‎

Reference : 11492

(1756)

‎État de l'école royale militaire.‎

‎ [1756]. 1 vol. in-8. Plein maroquin havane, dos à faux-nerfs orné, pièce de titre de maroquin rouge, roulette dorée en encadrement sur les plats, tranches dorées. 24pp (Édit du roi), [1]f, [7]ff (table alphabétique), [1] f tableau, [1]f titre, 45ff, [1]f titre, 21pp. ‎


‎Intéressant manuscrit faisant état de la composition de l’École royale militaire au XVIIIe siècle. D’une belle écriture italique, le texte réglé en rouge commence par la copie de l'édit du Roy, portant création d'une École royale militaire, donné à Versailles au mois de Janvier 1751. Il comprend 24 articles en 24 pages et a été rédigé par Ysabeau. Une table alphabétique puis un tableau présentant l’état, par compagnie, de Messieurs les élèves de l’École royale, au 1er juillet 1756. Viennent ensuite un état des faits justifiés par Messieurs les élèves pour leur admission puis l’État des personnes attachées à l’hôtel : État-Major, chapelle, langue latine, danse, intendance, grands et petits commensaux, apothicairerie, boulangerie, buanderie… 20 gravures du XVIIIe siècle contrecollées ornent l’ouvrage. On joint huit autres gravures non contrecollées ainsi qu'une lettre du relieur Bénard datée de 1894, indiquant notamment le prix pour la restauration de cet ouvrage : " Restauration de la reliure, du texte, remettre des gardes etc. coutera 25 f. environ. " Un doux prix qui fait rêver. Fondée en 1751 sur le modèle des académies de cadets de Saint-Pétersbourg et de Berlin, à l'instigation du financier Pâris-Duvernier et de Mme de Pompadour, l’École royale militaire de Paris est l’un des rares exemples d’écoles citées dans l’Encyclopédie . Elle y est même présentée comme un modèle idéal : l’organisation spécifique des enseignements et la place accordée au corporel en font l’une des premières mises en oeuvre des principes d’éducation des philosophes des Lumières.Gardes à recoller, coins émoussés. ‎

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Reference : 21871

‎Étude de la Géographie sur les cartes et sur la mappemonde : manuscrit du XVIIIe siècle‎

‎ S.l. 14-21 octobre 1772. In-4, [44] ff., broché, couverture originale manuscrite (taches, petits manques ou déchirures dans les marges). ‎


‎Manuscrit pour l'enseignement de la géographique. Une mention manuscrite à la couverture explique qu'il a été rédigé par M. de Ceritoin [?] et qu'il appartient à M. de Coulons. Les trois derniers feuillets comportent des dessins de géométrie ainsi que deux petits profils à l'encre. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve. ‎

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