1. Fondation de Toulon par les Camatalans. 2. Par les Phocéens. 3. Par Telo. 4. Toulon-Glanum. 5. Toulon-Taurentum. 6. Toulon-Portus-Citharista. 7. Fondation de Toulon par les Romains. 8. Conclusion. 90 pages. II. Livre Premier: Administration romaine 139-479. III. Livre Deuxième: Invasion des Barbares. IV. Livre troisième: Domination des Francs 536-879. V. Livre Quatrième: Régime féodal (869-1261. 158 pages. Les livres cinquième et sixième manquent. III. Livre septième: Monarchie des Valois 488-1596 pages 253 à 328. IV. Livre VIII: Maison de Bourbon, Henri IV et Louis XIII 1590-1643, pages 329 à 357. V. Plus de titre, 15 pp. chiffrées et 28 pp. non chiffrées. Il semble que l'auteur n'a pu finir son ouvrage. Vers 1860. Ensemble de plus de 400 pages in-4 (235 x 360 mm) non reliées, à l'écriture très lisible, mais variable passant de la calligraphie à une cursive droite ou en italique, parfois très soignée, plus brouillonne dans les dernières pages. Ratures et corrections surtout à partir du livre 7, de plus en plus nombreuses en fin d'ouvrage. Les dernières feuilles sont souvent abîmées sur les bords sans perte de texte.
L'auteur, dont je n'ai pu trouver le nom, est sans doute un historien toulonnais qui en 1835 a assisté à des fouilles opérées sur le terrain de l'esplanade du cimetière neuf de la porte d'Italie par les ouvriers de l'atelier de charité... (page 21 du Livre premier). L'auteur nous dit avoir fait un travail que nous avons publié, la même année, sur cette découverte. Ce manuscrit incomplet (feuilles perdues ou texte inachevé) date certainement d'avant 1892 car parmi les nombreuses références citées, n'apparaît à aucun moment l'Histoire de Toulon de Gustave Lambert, d'ailleurs l'auteur dans son introduction regrette que personne ne se soit attaqué à cet ouvrage. Ce manuscrit constitue peut-être la première tentative d'écrire l'Histoire de Toulon. Je laisse aux érudits historiens toulonnais le soin de déterminer le nom de l'auteur.
S.l., s.e., 1929 ; in-folio, Avec l'enveloppe. Elie Faure est un historien de l'art né en 1873 et mort en 1937. Il est très reconnu dans le domaine de l'histoire de l'art. La plupart de ces ouvrages restent d'actualité encore aujourd'hui. Il était le neveu d'Elisée et de Elie Reclus et il eut Henri Bergson comme professeur de philosophie. Il fut également médecin et c'est en cette qualité qu'il rejoint le front en 1914. Bon état.
Paris, Draeger, 1973; in-folio, cartonnage de l'éditeur.
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Dublin, 1909 xliv + 515pp., original softcover, 25cm., some foxing on edges, VG
London, Historical Manuscripts Commission 1905 xxxv + 393 + xi pp., original softcover, 25cm., VG
1 page in4 - bon état -
A propos de la traduction de ses textes en espagnol - Elle est la première à le demander - "Vous vous intéressez particulièrement à un article traitant des formes yin et yang et ce texte me tient à coeur le plus" - Il demande si elle lit ses textes en vietnamien ou dans une traduction française - Il vient d'achever un essai sur la culture et le développement de la civilisation - (le cas du Viet-Nam) - Il peut lui envoyer le texte -
HOCHART, Bernard ; SAUVAIGE, Jehan ; BEHU, Noël ; [ MONTEIL, Amans-Alexis ; DELZANT, Alidor ]
Reference : 65863
(1563)
1 vol. long in-folio (41,5 x 20,5 cm) reliure XIXe demi-vélin blanc, 8 ff. manuscrits sur vélin, interfoliés de 8 ff. de papier vergé XIXe portant la retranscription manuscrite du texte original
On trouve ce beau recueil décrit en 1835 par l'historien Amans-Alexis Monteil (1769-1850) dans son « Traité des Matériaux manuscrits de divers genres d'histoire » : « C'est un de ces précieux manuscrits qui disent beaucoup depuis la première jusqu'à la dernière ligne quand on sait les faire parler ». Alexis Monteil déduit de nombreux renseignement intéressant de ce manuscrit, par exemple qu'il n’y avait pas encore de registres d'état civil', que « en prêtant serment on donnait la main à celui qui le recevait », que l'on « donnait à ferme les droits de douane », qu'il y avait « sur l'Escaut, au passage de Condé, deux péages, deux droits, dont l'un, le grand, appartenait aux bourgeois de la ville si aujourd'hui vous ne voulez plus les appeler les seigneurs, et l'autre, le petit, appartenait au seigneur de la Marche ». On trouvera dans ce manuscrit le rôle (liste) du visnaige par eau, du visnaige par terre, mais aussi deux rôles de tonlieux et d'étalages. L'ouvrage a été relié (on a conservé l'ancienne pièce de vélin qui servait probablement de dos au document d'origine) et interfolié (avec la transcription partielle mais néanmoins assez complète), par Alexis Monteil lui-même. Dans un de ces catalogues de vente, Monteil écrivait d'ailleurs à propos de ses manuscrits : « Les manuscrits historiques sur parchemin ont leurs feuillets séparés par des feuillets en papier d'égale dimension, sur lesquels ont été extraits les passages les plus intéressants dont on a eu besoin ». La provenance de de cet important document est remarquable : des bibliothèques d'Alexis Monteil puis d'Alidor Delzant, avec sur la couverture d'origine du document sa signature autographe précisant « Bibliothèque de Paraÿs, Lot et Garonne, juillet 1898 » et son bel et grand ex-libris gravé en garde. De plus, un petit billet manuscrit rédigé par Delzant fournit des hypothèses à propos de Noël Béhu et précise : « Voir mes papiers relatifs à Condé Maltôtes 1570 et le rôle qui me vient de la vente d'Alexis Monteil ». Secrétaire et exécuteur testamentaire des frères Goncourt et du grand critique et écrivain Paul de Saint-Victor, Alidor Delzant (1848-1905) est né à Condé-sur-Escaut (Nord) et meurt à Parays (Lot-et-Garonne). Beau document, bien relié, de belle provenance. Monteil, Traité, 150 s.
Paris, Lavigne (imprimerie de Lacour), 1846 ; in-12 (173 mm), demi-chagrin maroquiné rouge, dos à nerfs décoré et doré, titre doré (Bruyère) ; XII, 419 pp.
Edition originale, la Préface du traducteur est signée d'Epinay, novembre 1845. Liste des contes : Les manuscrits du chat Murr ; Le pot d'or ; L'élixir du diable ; Le spectre fiancé ; Les mines de Falun ; Le pèlerin pensif ; Maître Floh ; Le royaume des ombres ; Le casse-noisette ; Histoire d'un ministre ; Maître Wacht. Rousseurs claires.
Phone number : 06 60 22 21 35
, Paris, 35 avenue de l’Opéra, Ch. Ducher & Cie [circa 1930], 35 X 23 cm, Lithographie sur vélin fort, signature au crayon en bas à gauche, (très lég. marques de plis), bon état.
Phone number : 01 43 29 46 77
1946 1946,manuscrit tapuscrit avec 10 cartes manuscrites,traduction non publiée de l'ouvrage en allemand du 22 /09/1938,52p+bibliographie
edition originale manuscrit tapuscrit Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Atlanta, Scholars Press 1996 301pp., 24cm., publisher's hardcover in orange cloth (upper corners slightly bumped) with gilt lettering, in the series "Texts and Translations" volume 40 & "Pseudepigraphia Series" volume 14, text and interior are clean and bright, good condition, R120107
Paris, Le Club français du Livre, 1948. Coll. "Romans", vol. 26. In-8 cartonné marron, 254 p. Traduit du néo-norvégien par Judith Gérard. Exemplaire N° 1232 / 3000. Edition en tirage limité hors commerce réservée exclusivement aux membres du club français du livre. Parfait état.
illustrée par la céramique grecque,dessins de NOTOR(pseudo de Vicomte de ROTON)préface de J.P ALAUX. In 4 pleine reliure à la bradel façon vélin,titre doré. Faux-titre,titre illustré,243 pages,non rogné,tête dorée, 216 pages de dessins dans et hors texte de NOTOR noir et couleur,couverture conservée.Collection du Galion d’Or. Aux éditions Delmas 1942 exemplaire nominatif(du peintre Jean DUPAS)envoi manuscrit de jean Paul ALAUX.Un des exemplaire numérotés sur papier Impérial du japon.Très bon état
Paris, Pierre Lanauve de Tartas, 1949 ; petit in-4 en feuilles, couverture crème rempliée, chemise-étui de l'éditeur ; 188 pp. , (1) f. achevé d'imprimer ; portrait de Benjamin par André Jacquemin gravé à la pointe sèche, daté de juin 1943, et deux planches hors-texte du même et de Guy Arnoux.
Edition originale, tirage unique à 153 exemplaires sur Annam de Rives, celui-ci N°72 contenant l'état définitif des illustrations. Exemplaire enrichi de la correspondance de René Benjamin à André Chagny, abbé, historien, journaliste, professeur, conférencier à Lyon, du 25 février 1932 au 21 septembre 1948, soit douze longues lettres manuscrites, dont quatre avec enveloppe. La dernière lettre, du 21 septembre 1948, de Tours, clinique Saint-Gatien, est l'ultime adressée à André Chagny, deux semaines avant son décès : Benjamin lui fait fait part de l'immense souffrance physique qu'il est en train d'endurer. Ecrivain, journaliste et conférencier, René Benjamin reçut le Prix Goncourt en 1915 pour son roman «Gaspard» qu'il écrivit à l'hôpital de Tours alors qu'il avait été grièvement blessé dès le mois de septembre 1914. Membre de l'académie Goncourt depuis 1938, ami de Maurras et de Léon Daudet, il soutint le Maréchal Pétain pendant l'occupation allemande et eut quelques ennuis à la Libération, étant en résidence surveillée à Paris, son procès n'eut pas lieu et le dossier étant vide, le juge d'instruction conclut à un non-lieu. Benjamin a laissé quelques ouvrages majeurs comme son Balzac et son Molière. En fin d'ouvrage, nous assistons à une magistrale critique de Sacha Guitry, lui aussi membre de l'académie Goncourt et qui en démissionna à cette occasion. Bel exemplaire.
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s. d. [ca 1839] | 13 x 8 cm | une feuille
Lettre autographe signée d'Honoré de Balzac adressée à Louis Desnoyers rédigée sur un feuillet de papier blanc à l'encre noire. «Mon cher monsieur Desnoyers, par extraordinaire, j'assiste aujourd'hui à un dîner diplomatique de bons enfants qui veulent rire et boire, et comme je suis hébété de travail je n'ai pas le courage de me refuser cette débauche; je ne serai donc pas chez moi. Venez dimanche matin de bonne heure. / Tout à vous / de Balzac» Louis Desnoyers joua un rôle important dans la fondation de la Société des gens de lettres, qui visait à la protection de la propriété littéraire et artistique et la création d'un fonds de solidarité. Honoré de Balzac soutint la création de cette Société dont Desnoyers fut le vice-président. Amusante lettre, témoignage de l'amour de Balzac pour la bonne chère. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. l. [Passy] « mardi matin » [28 décembre 1841] | 13.50 x 21.60 cm | une page sur un double feuillet, enveloppe jointe
Lettre autographe signée d'Honoré de Balzac adressée à Jean-Baptiste Violet d'Epagny, directeur du théâtre de l'Odéon. Une page rédigée à l'encre noire sur un bifeuillet. Est jointe et collée sur la seconde page l'enveloppe qui accompagnait cette lettre, rédigée de la main de Balzac. «Mon cher directeur, aux termes de nos conventions, je suis prêt à lire, j'ai choisi demain mercredi et j'ai dit à votre régisseur les noms des comédiens auxquels je confie notre pièce. J'ai un peu fait votre métier, j'ai conquis madame Dorval qui vous enrichira, je l'amènerai moi-même. Trouvez ici, mon cher d'Épagny, mille amitiés, je vous ai donné les preuves de notre ancienne connaissance en vous choisissant Les Ressources de Quinola, j'attendrai du retour dans nos relations et j'ai droit à bien du zèle.» Les Ressources de Quinola, c'est tout à la fois Les Fourberies de Scapin et Les Noces de Figaro. L'ambition de Balzac à partir des années 1840 et jusqu'à sa mort fut en effet de conquérir une renommée semblable à celle de ses illustres prédécesseurs Molière et Beaumarchais. Espoir aussi vain que tenace, il ne douta pourtant jamais, échec après échec, de l'imminence de son succès. « Le 15 juillet 1841 d'Épagny obtint le privilège de la direction de l'Odéon [...] ainsi que tout directeur de théâtre l'eut fait à sa place, [il] profita des vacances estivales pour organiser sa campagne d'hiver. Il demanda une pièce à Balzac et celui-ci se rendit à ses désirs en choisissant les Ressources de Quinola. [...] On sait quel tapage se fit autour de la pièce de Balzac, avec quelle enfantine naïveté l'auteur voulut organiser une salle composée de la plus haute société parisienne et de l'élite de la colonie étrangère afin de donner aux snobs l'envie de se joindre à une si brillante assemblée. [...] Madame Dorval, plus avisée que l'auteur, refusa, dès la lecture faite par Balzac [...] le rôle qui lui était destiné. Elle fit bien car jamais échec ne fut plus complet. » (L'Amateur d'autographes, mai 1911) Intéressante lettre révélant les dessous de la création des Ressources de Quinola et le système de lecture de l'uvre par l'auteur soumise à l'appréciation des comédiens qui à la suite d'un vote acceptaient ou refusaient la pièce. Provenance : collection Arthur Meyer, puis « AGR » (tampon sur la lettre et l'enveloppe). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. l. [Neuchâtel] [29 septembre 1833] | 13.40 x 21.10 cm | une page sur un double feuillet
Lettre autographe signée dHonoré de Balzac adressée à son ami lécrivain Charles de Bernard. Une page rédigée à lencre noire sur un bifeuillet. Au verso du dernier feuillet, figure ladresse du destinataire [Charles de Bernard du Grail] rédigée de la main de Balzac, ainsi que des tampons postaux et le cachet portant les armes des Balzac dEntraigues, que lécrivain sétait appropriées. Quelques infimes trous sans atteinte au texte, traces de plis inhérentes à lenvoi. Publiée dans sa correspondance (Paris, Calmann Lévy, 1876, CXIV, p. 252-253). Balzac écrit cette missive quatre jours après sa toute première rencontre et son premier baiser avec Madame Hanska à Neuchâtel, à la suite de longs mois déchanges épistolaires. «?Jai été très heureux ici. Je suis très content de ce que jai vu, le pays est délicieux?; mais vous savez que Jupiter a deux tonneaux et que les dieux nont point de faveurs qui soient pures.?» * Deux ans après la première lettre de «?lÉtrangère?» Éveline Rzewuska, un Balzac enamouré quitte Paris pour la retrouver en Suisse. Lécrivain faisant une «?escale?» à Besançon, servant de prétexte à son départ de la capitale, y avait brièvement vu son correspondant Charles de Bernard?: «?Il me semble que je vous ai bien peu remercié de la bonne journée que vous mavez donnée?; mais jespère vous prouver que je ne suis point un ingrat. À mercredi donc?; vous devez penser que jaurai bien du plaisir à vous revoir, vous qui avez fait que mon voyage à Besançon na pas été inutile et que jy ai trouvé du plaisir?». Après cette journée à Besançon et un voyage en malle-poste chaotique, Balzac rencontra enfin sa belle, quil dut malheureusement partager avec son mari le comte Hanski. Profitant dune absence de ce dernier, lécrivain échangea, sur un antique banc de pierre de la colline du Crêt, un baiser tant attendu avec Madame Hanska. Tout au bonheur de cette première rencontre, il ne peut sempêcher cependant de citer lomineuse fable de la Fontaine dans cette lettre?: «?mais vous savez que Jupiter a deux tonneaux et que les dieux nont point de faveurs qui soient pures?». Ses amours avec Madame Hanska ne seront pas, en effet, dun calme olympien, comme le résumera Gonzague Saint Bris?: «?dix-huit ans damour, seize ans dattente, deux ans de bonheur et six mois de mariage?». De Neuchâtel, ils garderont limage dun lieu symbolisant leur union. La ville figurera dans une soixantaine de leurs lettres?: «?Neuchâtel, cest comme le lys blanc, pur, plein dodeurs pénétrantes, la jeunesse, la fraîcheur, léclat, lespoir, le bonheur entrevu?», lui écrira-t-il. De Bernard, qui avait arrangé son transport vers la Suisse, est de nouveau missionné pour le retour de Balzac?: «?Jaurai le plaisir de vous revoir mercredi, 2 octobre. Voulez-vous avoir lobligeance de me retenir une place à la malle pour Paris???». Le voyage le séparant de nouveau de sa bien-aimée sera particulièrement misérable?: «?La Malle-poste était retenue pour 6 jours, en sorte que mon ami de Besançon [Charles de Bernard] na pu my avoir une place?; jai donc fait la route sur limpériale dune diligence en compagnie de 5 Suisses du canton de Vaud qui mont traité corporellement comme un animal quon mène au marché et qui ont singulièrement aidé les paquets à me contusionner?» (lettre à Madame Hanska, 6 octobre 1833). Balzac livre dans ces lignes sa toute première impression de ses premiers moments passés avec lobjet de sa plus vive passion, à qui il devait plus tard donner son nom. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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, Steenbrugge Sint-Pietersabdij , 1993 Gebonden, linnen met stofwikkel, 269 pp., illustraties in kleur / z/w.,***Met groet en gesigneerd door de auteur !*** zeer goede staat. ISBN X.
KORTE INHOUD De handschriften uit de voormalige Ter Duinenabdij Beschrijving Via mgr. Boussen kwam een hele partij manuscripten en gedrukte boeken van het fonds van de Duinenabdij in de Seminariebibliotheek terecht. De catalogus van de Codices Dunenses, door Antonius Sanderus in 1638 opgemaakt, getuigt van de glorievolle tijd (13de-14de eeuw), toen Ter Duinen een centrum van studie was en sommige van zijn doctores Parisienses aan de Sorbonne afstond. Getuigen ook van de bloei van het scriptorium Dunense. De Codices Dunenses zijn slechts voor een vijfde deel in het Seminarie terechtgekomen. De Stadsbibliotheek van Brugge bezit er een goede 300 van, het Seminarie 82. Treffend is vooral het feit dat de ge llustreerde codices bijna zonder uitzondering tot het fonds De Roover van het Seminarie behoren. Tot de Bibliotheca Dunensis behoorden sedert de unie met de Abdij Ter Doest (1627) ook de codices van deze abdij. Van de 171 manuscripten van Ter Doest zijn er 21 in de bibliotheek van het Seminarie bewaard. Ook een aantal andere handschriften van andere vroegere abdijen behoort tot deze collectie.
Hotel Drouot In-4 Couverture souple Paris 1957
Très bon 96 pages. Petite déchirure à l'une des planches. Bon catalogue de vente, nombreuses reproductions en n. et b. d'ouvrages romantiques, d'illustrés modernes et de reliures d'art.
, Brussel, Koninklijke Bibliotheek Albert I, 1982, Originele uitgeversomslag geillustreerd, 18,5x25,5cm, 179pp + 88 platen z/w.
Tentoonstellingscatalogus : Galerij Houyoux, van 7 juli tot 21 augustus 1982. In goede staat.
Bruxelles, Bibliothèque Royale Albert 1er, 1982. 18 x 25, 173 pp., 88 illustrations en N/B, broché, très bon état.
Bruxelles, Bibliothèque Royale Albert 1er, 1982. 18 x 25, xiv-173 pp., 88 illustrations (planches en N/B), broché, très bon état.
in 8 broché,183 pages,Imprimerie Saint-Aubin.Saint-Dizier 1896,envoi de l’auteur
in 12 broché,faux-titre,titre,92 pages,édition Eugène Figuière à l’enseigne des deux figuiers collection les anthologies du XXème siècle.Sans date envoi manuscrit tirage sur alfa limité à 20 exemplaires(n°9)
Lettre Autographe Signée d'Arsène Houssaye à en-tête de la Revue de Paris (l'Artiste), dont il fut directeur à partir de 1843. Lettre adressée à Bocage (1799-1862), acteur, puis directeur du Théâtre de l'Odéon.1 page format in-8°(21x14) sous chemise biographique. Très bon état.-De l'ancienne collection A. Baron, assureur, puis syndic-liquidateur à Bourges.Arsène Houssaye, de son vrai nom Arsène Housset, né le 28 mars 1815 à Bruyères-et-Montbérault, mort le 26 février 1896 à Paris est un homme de lettres français. Il est également connu sous le pseudonyme d'Alfred Mousse. Il a dirigé le quotidien populaire La Presse. Baudelaire lui a dédié les poèmes en prose du Spleen de Paris. En 1848, il participe au mouvement réformateur qui précède la révolution. De 1849 à 1856, il est nommé administrateur général de la Comédie-Française, où il fait entrer les pièces de Victor Hugo, d'Alexandre Dumas père, d'Alfred de Musset de François Ponsard ou de Léon Gozlan.