à l’encre violette : in-8, 3pp., s.d. ; papier toilé à en-tête “Cette lettre vient de CHEZ LES ZOAQUES qui se trouvent à Yainville-Jumières dans la Seine Inférieure.”
“Mon vieux René. Je veux tout de suite répondre à ta lettre.Tu m’as écrit exactement ceci ; Mon cher Sacha te..... tes..... tu.... tu.. te....et tu as ajouté : a bientôt j’espère en votre Normandie et mes tendresses à l’heureux ménage.Ce que tu as ajouté, je l’ai parfaitement compris : C’est que tu nous aimes et que tu (rature) viendras nous voir (ce qui nous fera grand plaisir).Mais la première partie de ta lettre me surprend beaucoup. Que signifient ces : Tu... tes, toi... tu..??? que tu as intercalés dans un texte dactylographié que je ne me suis pas permis de lire .Viens me donner en déjeunant un de ces jours (rature) l’explication de ce mystère. Affectueusement Sacha Guitry”Petite marque de pli au coin supérieur et plis d’expédition.
Phone number : 06 60 22 21 35
2 pages in8 + enveloppe - bon état -
Remerciements pour son livre "Voyage au centre du monde". "Vous avez deviné que j'étais avide de philosophie. Les économistes en ont tellement besoin..."..."L'être, l'avoir, le faire, le savoir-faire...Au lieu de parler naivement des inégalités, je souhaite que les prétendus réformateurs méditent votre livre..."-
1955 un volume, broché (paperback) in-octavo , dos et couverture vert pomme imprimés en noir (couverture légèrement défraichie), envoi autographe manuscrit de l'auteur sur la page de faux-titre à l'encre noire adressé à Jean Pierre Foucher (Poète Nantais fondateur de la revue Horizon), sans illustrations, 153 pages, 1955 Paris Grasset Editeur,
bel exemplaire.......en bon état ( good condition)
1 page in8 + enveloppe - bon état -
Belle lettre religieuse: "Je vois que vous sentez le mystère comme moi, qui crains Dieu...ce qui n'empêche pas d'aimer et d'avoir une immense espèrance en sa miséricorde;...Soignez vous bien et livrez vous à l'abandon qu'enseigne Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus"..
Sur papier à en-tête Lou Brus (journal dont il était le responsable. La lettre datée du 4 décembre 1879 est en provençal; À propos de la publication d'une fable de benezt Bruneau. en feuille Très bon Aix 1879
ADMINISTRATEURS DU DIRECTOIRE DU DISTRICT DU BOURG. 1792. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Une lettre ancienne manuscrite en 2 pages. 24 x 18 cm. Ecrite à la plume sur papier à la forme. Signée.. . . . Classification Dewey : 91-Manuscrits
NOTA : LE 26 BRUMAIRE DE L'AN II equivaudrait au calendrier au 16 / 11/ 1792. (sous reserve). Classification Dewey : 91-Manuscrits
ADMINISTRATEURS DUDIRECTOIRE DU DISTRICT DU BOURG. 1793. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Une lettre ancienne manuscrite de 4 pages, de 31 x 20 cm, écrite à la plume sur papier à la forme. Signée.. . . . Classification Dewey : 91-Manuscrits
NOTA : 7ième jour du second mois de la 2ième année equivaudrait au calendrier au 28 / 10/ 1793. (sous reserve). Classification Dewey : 91-Manuscrits
Paris,, mars 1835. une page in-4, en-tête du ministère de l'Instruction Publique.
La ville de Moulins retire ses subventions allouées à l'École de dessin fondée par Dufour. « Il résulte des renseignements qui m'ont été transmis, que cette école a été fondée par vous, que la ville vous a aidé dans l'exécution de vos vues et qu'elle vous a même alloué à cet effet, des subventions ; mais il n'est pas moins incontestable que cet établissement n'a jamais pu être considéré comme dépendant de l'Université ; qu'il existait en vertu d'un accord tacite entre vous et la commune, laquelle était libre de retirer la subvention, d'organiser une nouvelle école de dessin et de désigner un autre professeur ...». - Document en bon état.
Citta del Vaticano, Biblioteca Apostolica Vaticana 1955 xxviii + 541pp., original 1955-edition, 25cm., in the series "Studi e Testi" volume 182, original softcover, pages are still uncut, text and interior are clean and bright, good condition, weight: 1kg., R120063
s. l. s. d. | 18 x 21.50 cm | un feuillet
Lettre autographe signée de Gus Bofa à l'une de ses connaissances, 16 lignes à l'encre violette accompagnées d'un dessin au crayon à papier. Pliure inhérente à la mise sous pli, déchirure sans manque au niveau du dessin. Adressée à une amie de Gus Bofa et de son épouse, qui semble avoir subi «un long voyage dans la tempête!», la lettre est empreinte de l'humour de son auteur: «nous y joignons deux bons baisers bien chaud pour achever de vous sécher». La missive est enrichie d'un dessin original de Gus Bofa représentant deux oiseaux posés sur un radiateur dont l'un s'écrit «Spring has come!» - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
GUS BOFA - [Gustave Henri Emile Blanchot dit] - [Brive-la-Gaillarde 1883 - Aubagne 1968] - Illustrateur français
Reference : GF32685
1 page in4 - pour la lettre et 15 pages in4 pour le manuscrit -
Lettre: il peut venir chercher les bouquins quand il veut en fin de matinée - Manuscrit: (inédit?) - Il s'agit d'une sorte de projet de dictionnaire d'aphorismes sur les articles suivant: "Automatisme", "bonté", "Du danger d'obliger les gens", "le courage militaire", "la Foi", "Justice", "jeunesse", "passé", "avenir", "clèmence", "la route", "le Leviathan", "le présent", "vie imaginaire", "snobisme", "solitude", "travail", "paresse", "vérité" - ex: "il est plus dangereux de s'habituer à travailler qu'à ne rien faire parce que le paresseux peut toujours s'amuser à travailler s'il s'ennuie..." -
Gustave BOULANGER - [Paris 1824 - 1888] - Peintre orientaliste français
Reference : 33376
1 page in12 - trés bon état -
Comme il le prévoyait, le Ministre était absent, probablement depuis déjà quelques jours - "Je lui ai laissé ma carte cornée" -
Gustave CLAUDIN - [La Ferté sous Jouarre 1823 - 1896] - Journaliste et romancier français
Reference : GF29768
2 pages in8 - bon état -
Il a remis son épreuve corrigé au metteur en pages - "Vous seriez bien aimable de me faire passer ce soir" - Il trouvera dans le Moniteur un mot trés sympathique de Villemot -..rare -
1874 | 13.20 x 20.70 cm | 4 pages sur un double feuillet
Lettre autographe signée de Gustave Doré adressée à Paul Dalloz. Quatre pages rédigées à l'encre noire sur un double feuillet de papier blanc, enveloppe jointe. Belle lettre pleine de tourments, dans laquelle Gustave Doré redoute d'être à nouveau appuyé pour le grade d'officier à la Légion d'Honneur, lui qui fut fait chevalier en 1861 après la publication deL'Enferde Dante et grâce à l'intervention de Paul Dalloz. Doré le remercie d'ailleurs de cette influence passée : "Je viens te remercier encore et du plus profond de mon cur de l'amitié toute dévouée que vous m'avez témoignée dans ces dernières circonstances ; et je t'assure que je te conserve pour ce fait des sentiments aussi reconnaissants que pour le service que tu m'as si spontanément et cordialement rendu il y douze ans."Il lui demande néanmoins de ne le proposer pour le grade d'officier : "Mais je viens réclamer de toi les mêmes amitiés te priant, te suppliant même de t'arrêter complétement et absolument ce qui je n'en doute pas te coûtera plus encore qu'autre chose. J'ai beaucoup pensé à tout ce que tu m'as dit hier et je trouve que je me suis trompé tout à fait en te laissant t'engager si obligeamment dans ces démarches." Gustave Doré sera cenpendantnommé officier de la Légion d'honneur le 15janvier1879...sur l'intervention de Paul Dalloz. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
s. l. (Paris) s. d. [5 ou 12 janvier 1860] | 13.60 x 21 cm | deux pages sur un feuillet remplié
Lettre autographe signée de Gustave Flaubert adressée à l'archéologue Charles-Ernest Beulé. Deux pages rédigées à l'encre noire sur un feuillet remplié. Le destinataire de cette lettre a apposé neuf lignes manuscrites, brouillon de sa future réponse, à la suite de la lettre de Flaubert. Cette lettre a été retranscrite et reproduite sur le site internet du Centre Flaubert de l'Université de Rouen. Le transcripteur de cette missive précise: «Les lignes écrites sous la signature sont-elles de Beulé ou de Flaubert-lui-même ? L'écriture ressemble à la sienne. Stéphanie Dord-Crouslé suggère que Flaubert a pu aller voir Beulé et écrire sous sa dictée ces éléments qui répondent aux questions posées.» Cette hypothèse nous semble peu probable dans la mesure où l'on connaît la réponse de Charles-Ernest Beulé à ce courrierelle-même numérisée par le Centre Flaubert et datée du 10 février 1860. Cette réponse ne nous paraît pas induire une visite de Flaubert chez Beulé. Il nous semble plus vraisemblable que Beulé ait inscrit sous la lettre de Flaubert un brouillon de sa future réponse du 10 février 1860 qui ne sera qu'une reformulation élégante de ses notes. Beau et important témoignage des recherches colossales qu'entreprit Flaubert pour la rédaction deSalammbô. «Commencé en 1857, le roman paraît en 1862, période où l'Antiquité revient à la mode et où Carthage est « au goût du jour » grâce aux fouilles récentes de Charles-Etienne Beulé à Byrsa (1859) et dans les ports puniques.» (Vanessa Padioleau, «Flaubert et Carthage : Salammbô, roman polymorphe» in Revue Flaubert, n° 9, 2009) C'est donc à l'un des spécialistes de la question que Flaubert adresse ses questions, commentant sa récente lecture d'Ammien Marcel: «J'ai appris, dans ce même Ammien, que les Carthaginois ont pris Thèbes, en Egypte [...] Qu'est-ce que cela veut dire? Ce passage est, je crois, peu connu?» La tâche de Flaubert n'est pas mince: on ne connaît à l'époque rien ou presque sur la période de la Révolte des Mercenaires qui s'étendit sur deux années, de 240 à 238 av. J.-C. Il entame alors un travail de fourmi, appuyant ses recherches sur les textes des grands historiens de l'Antiquité qu'il lit en latin dans le texte. La lettre que nous proposons en montre d'ailleurs sa grande maîtrise : « J'ai appris, dans ce même Ammien que les Carthaginois ont pris Thèbes, en Egypte, livr[e] xvii, ch. iv. "Hanc inter exordia pandentis se late Carthaginis, improviso excursu duces oppressere Poenorum" [« À l'époque où Carthage commençait sa large expansion, les généraux des Phéniciens vainquirent celle-ci par une attaque à l'improviste »]. » Malgré ces recherches des plus approfondies, la porte de Carthage ne connaîtra qu'une très brève description dans la version finale deSalammbô. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris 9 mai 1877 | 13.50 x 20.50 cm | 2 pages sur un feuillet remplié
Lettre autographe signée de Gustave Flaubert adressée à Léon Cladel. Enveloppe jointe. Quelques soulignements et corrections manuscrites de l'auteur. Minuscules taches d'eau. Trois petites restaurations à l'aide d'adhésif sur la seconde page ainsi que deux traces de pliures inhérentes à la mise sous pli du courrier. Amusante lettre dans laquelle Gustave Flaubert, dont la renommée littéraire n'est plus à faire, apporte son soutien à son ami Léon Cladel qui peine à faire publier l'un de ses ouvrages. Le « maître » - c'est ainsi que Léon Cladel nomme son confrère - démarre cette lettre avec enthousiasme: « J'ai commencé votre bouquin hier à 11 heures il était lu, ce matin à 9 ! ». Le « bouquin » dont il est ici question est L'Homme de la Croix-aux-Bufs que Flaubert avait accepté de relire pour son ami le 30 avril; il en avait d'ailleurs réclamé le manuscrit déposé chez l'éditeur Georges Charpentier à ce dernier: « Cladel m'a écrit pr me dire qu'il désirait que je lusse (pardon du subjonctif) le roman en feuilles qui est chez vous. Donc envoyez-le-moi, ou apportez-le-moi. » (Lettre du 3 mai 1877). Léon Cladel, très proche de Gustave Flaubert, semble lui avoir fait part des craintes de l'éditeur édouard Dentu quant à la publication de son ouvrage: « Et d'abord il faut que Dentu soit fou, pr avoir peur de l'im le publier. » En familier aguerri de l'impitoyable monde de l'édition, Flaubert se place en professionnel et déclare : « Rien n'y est répréhensible soit comme politique, soit comme morale. Ce qu'il vous a dit est un prétexte ? » Cette question de la répréhension morale n'est pas sans faire écho au célèbre procès intenté à l'auteur de Madame Bovary. Tel un critique littéraire dithyrambique, Flaubert complimente son confrère : « Je trouve votre livre, un vrai livre. C'est très bien fait, très soigné, très mâle. & je m'y connais mon bon. » Lecteur scrupuleux, il se permet néanmoins quelques remarques sur le manuscrit de Cladel (« J'ai deux ou trois petites critiques à vous faire (des niaiseries) - ou plutôt des avis à vous soumettre.») avant de se raviser : «Qqfois, il y a des prétentions à l'archaïsme et à la naïveté. C'est l'excès du bien. » L'attitude de Flaubert est ici quasi paternelle et en tout cas bienveillante: conscient des capacités de son ami il souhaite l'encourager et voir la publication de son ouvrage aboutir : « Mais encore une fois, soyez content & dormez sur vos deux oreilles - ou plutôt ne dormez pas - et faites souvent des uvres pareilles.» L'écrivain bienveillant évoque également dans cette missive un autre éditeur, Georges Charpentier : « Quant à Charpentier (auquel je remettrai vos feuilles vendredi - jour où je dîne chez lui) je vais lui chauffer le coco violemment, & en toute conscience, sans exagération & sans menterie. » Charpentier qui édite Flaubert depuis 1874 est devenu un proche ami de l'écrivain avec lequel il entretient une riche correspondance. En ce mois de mai 1877, il vient juste de publier Trois contes qui fut pour Cladel l'occasion d'une émouvante célébration de son maître ès Lettres : « Où diable avez-vous pris ce rutilant pinceau dont vous brossez vos toiles, les petites comme les grandes, et cette sobriété que certains latins vous envieraient ? Être à la fois Chateaubriand et Stendhal, et de plus Flaubert ». Cette admiration est réciproque et Flaubert éprouve pour ce «véritable artiste» une estime non feinte : «La fin est simplement sublime! - & du plus gd effet.» Il réitèrera, quelques semaines plus tard ses compliments : «C'est travaillé, ciselé, creusé. L'observation, chez vous, n'enlève rien à la poésie ; au contraire, elle la fait ressortir.» En effet, Cladel s'affirmera comme le véritable héritier du style flaubertien, bien plus que Zola qui lui reprochera justement de «travaille[r] sa prose avec acharnement » et de « s'efforce[r] de rendre parfaite chaque phrase qu'il écrit». C'est finalement Edouard Dentu qui publiera le manuscrit de L'Homme de la Croix-au
Phone number : 01 56 08 08 85
s. l. s. d. [ca 1860] | 19.60 x 31.70 cm | deux pages sur un feuillet
Manuscrit autographe de Gustave Flaubert intitulé"De l'état de l'église en Gaule au Ve et VIe siècle", rédigé à l'encre noire des deux côtés d'une feuillet. Pliure transversale. Abondant manuscrit de notes probablement rédigées en vue de la rédaction deLa Légende de Saint Julien l'Hospitalier. Précieux manuscrit, témoignage de la méthode de travail de l'écrivain. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Gustave KAHN - [Metz 1859 - Paris 1936] - Poète et critique d'art français
Reference : 34362
1 page in8 - enveloppe - bon état -
Il lui demande une dizaine de jours pour lui envoyer sa collaboration au numéro spécial [Mercure de Flandre] sur Marcel Batilliat -
Gustave KAHN - [Metz 1859 - Paris 1936] - Poète et critique d'art français
Reference : 33347
2 pages in8 - assez bon état - quelques piqures -
Il l'a aperçu sans pouvoir le joindre à la représentation d'Adam - Il aimerait avoir un fragment de son prochain livre pour "la Société Nouvelle" - ll n'a pu faire l'étude qu'il voulait lui consacrer - "Ce sera à l'occasion de votre prochain volume" -
Gustave LE BON - [Nogent-le-Rotrou 1841 - Marnes-la-Coquette 1931] - Anthropologue et sociologue français
Reference : GF27234
1 page in12 (carte-lettre) + adresse au dos -
Trés interessante et amicale lettre sur l'éducation de l'inconscient: Ils sont souvent d'accord meme si les mots sont différents - "Il faut apprendre à l'enfant à se trouver lui-même" - "Il faut dresser nos inconscient" - Laisant croit trop que la raison nous guide alors que nous sommes menés par l'inconscient - D'ou l'idée de "fabriquer" un bon inconscient grâce à des "méthodes" qui seraient l'apanage de "parfait éducateurs" -
Gustave SIMON - [Marie Charles Stéphane Suisse dit] - [Paris 1848 - 1928] - Ecrivain français
Reference : 33738
1 page in12 - trés bon état -
Il se permet de lui adresser un article "qui peut intéresser les lecteurs du Journal" - Il le place sous sa "haute protection" -
Gustave SIMON - [Marie Charles Stéphane Suisse dit] - [Paris 1848 - 1928] - Ecrivain français
Reference : 33739
1 page in8 - trés bon état -
Il se permet d'appeler son attention sur le roman de Maurice Simart: "L'entresol de M. Perrucot" - "C'est, je crois, une oeuvre qui se distingue des romans habituels parce qu'elle apporte une formule neuve et ingènieuse" - Mr Simart sollicite le prix Goncourt -
Gustave SIMON - [Marie Charles Stéphane Suisse dit] - [Paris 1848 - 1928] - Ecrivain français
Reference : 33740
1 page 1/2 in8 - trés bon état -
Il vient de lire son "admirable article sur Guernesey" - Il est "vibrant et profondèment émouvant" - Il le remercie pour le courage qu'il lui donne dans "la laborieuse tâche" qu'il poursuit et qu'il espère mener jusqu'au bout - (ses travaux sur Victor Hugo] -
Gustave SIMON - [Marie Charles Stéphane Suisse dit] - [Paris 1848 - 1928] - Ecrivain français
Reference : 33741
2 pages in8 - trés bon état -
Il vient lui demander s'il lui ferait "l'honneur d'être membre du Comité de Direction de la Fondation Victor Hugo" - Son nom est celui qui s'impose avec le plus d'éclat dans le palmarès car il compte parmi ceux "qui ont écrit les plus beaux, les plus brillants et.. les plus émouvants articles sur notre grand poète" -