2 pages in8 - on joint une enveloppe au même - bon état -
Remerciements pour une étude dans les "Oeuvres libres": Cherchant qui dévorer - "Votre article m'a comblé.. parce qu'au delà des compliments..il témoignait d'un coeur touché." - Il est fier d'avoir interessé quelqu'un comme Robert Hamp -
1page 3/4 in8 - on joint une enveloppe au même - bon état -
Il remercie pour une critique sur "Fontaines" pleine de "sympathie humaine" - Il souhaiterait pouvoir collaborer aux "Oeuvres libres" en réponse à une ancienne proposition de son correspondant -
1 page in8 - bon état -
Envoi autographe signé sur le faux-titre détaché de "L'Horloger du Cherche-Midi" "et d'un temps introuvable"-
ESTAUNIE Edouard - (Dijon 1862 - Paris 1942) - Romancier français
Reference : GF20354
2 page in12 + enveloppe - bon état -
Il n'a jamais donné d'interview : "et je ne suis pas trés disposé...à renoncer à un effacement qui, s'il a quelques inconvénients a bien des avantages, notamment celui de vous éviter de parler sottement de vous même."- Il accepte cependant de le recevoir -
ESTAUNIE Edouard - (Dijon 1862 - Paris 1942) - Romancier français
Reference : GF20355
carte + enveloppe -
Souhaits de bonheur -
ESTAUNIE Edouard - (Dijon 1862 - Paris 1942) - Romancier français
Reference : GF16069
1 page in8 + enveloppe - En-tête de la Société des Gens de Lettres -
Remerciements pour un article et invitation: "N'oubliez pas le chemin de mon logis"...
ESTAUNIE Edouard - (Dijon 1862 - Paris 1942) - Romancier français
Reference : GF17917
1 page in8 + adresse au dos - bon état -
Il est en train d'écrire un roman "mais dont [il] ignore encore le titre et même le dénouement, car contrairement à ce qu'on a bien voulu dire parfois à [son] sujet, [il] ne fait jamais de plan" - Ce sont ses personnages qui le conduisent - Son livre préféré: "Les Choses voient" sans qu'il puisse dire pourquoi -
ESTAUNIE Edouard - (Dijon 1862 - Paris 1942) - Romancier français
Reference : GF20352
1 page in8 + adresse au dos - bon état -
Trés touché par son souvenir, il l'envie de revoir Rome et lui souhaite "Florence, seconde Athénes et merveille que la nature et les hommes ont rendue divinement belle"- Il doit courir le monde pour des conférences mais sera rentré à Paris le 1er juin -
ESTAUNIE Edouard - (Dijon 1862 - Paris 1942) - Romancier français
Reference : GF20353
1 page in8 + adresse au dos - bon état -
Il est heureux de se sentir "suivi et compris" par la jeunesse "dont vous étes" - Quant à ses projets, il préfére remettre à l'an prochain des prévisions qui d'ailleurs intéressent peu:"les oeuvres seules comptent" -
À A. Moreau sur son ouvrage sur Bazin. - en-tête Hôtel Beau-Séjour à Lausanne : il cite Marie Noël … - 1926 : il félicite Moreau pour son roman “Le fou”. - 9 février 1928 : en-tête Société des gens de lettres à propos de différents entre auteurs …
2 cartes autographes signées à Abel Moreau : l’une à propos de son ouvrage sur Laronze; l’autre à propos d’un ouvrage non cité. 2 cartes de visite autographes signées.
édition originale
Belle lettre sur Claude FARRÈRE. en feuille Très bon Paris 1933
édition originale
2 pages in-16 (Paris, "mercredi" [21 novembre 1945], avec enveloppe) et 2 pages in-8 (paris, 31 janvier 1946). Les premières armes de celui qui deviendra un critique d'art reconnu, salué en 1950 par André Breton pour son manifeste "coup de poing", "L'art abstrait est-il un académisme ?". Il évoque ici ses débuts en poésie et plus longuement un article intitulé "Jean Bazaine ou la transfiguration" à paraître dans "Seine", la première revue fondée par Jacques Brenner à Rouen.
Importante Collection de Manuscrits liturgiques en gueze vendus ensembles - Plus de 42 de tout format, dont environ un tiers sont enluminés - XVIIe au XXe siècle -
Visibles à la Galerie sur rendez vous uniquement -
1953 2 pages in-4 dont une autographe et une page in-8 tapuscrite, les trois à l'en-tête imprimé de l'univesité de Montpellier, entre 1953 et 1959). Une amusante recension de coquilles qui ressemble à un inventaire à la Prévert : "Leçons d'orthographe pour leçons d'orthodoxe est rigolo. Mais 'leur rendait bonne conscience' pour 'leur vendait bonne conscience' est un peu trop édulcoré. Mais 'la condition humaine imposée au prolétariat' pour 'la condition inhumaine' n'est pas rigolo du tout".
Broché - 13,5 x 20,5 - 122 pp - année 1995 - Editions De chire -
ETIENNE DE REY, conseiller du roy, mage et lieutenant général de la sénéchaussée de Rodez (aveyron)
Reference : 16535
(1695)
Lavaur(tarn) 1695 ATTRIBUTION D'UNE CHARGE DE NOTAIRE ROYAL : sur parchemin, format : 41 x 28 cm de 1 feuillet (2 pages), manuscrit à l'encre brune, daté de 1695, accordé à Jean Calmette, en succession de son père claude Calmette notaire Royal Héréditaire au village de Lavaur paroisse de Gabriac (Tarn), cachet fiscal noir, donné par Etienne de Rey, conseiller du roy, mage et lieutenant général de la sénéchaussée de Rodez (aveyron),
DOCUMENT ORIGINAL .....rare....En Bon Etat (good condition). bon état
Paris Ministère des Finances 1769 1 Fait à Paris au Ministère des Finances de Louis XV, de mars 1769 à Mai 1770. Un volume in 8° de 198 pp. sur vergé dont 94 manuscrites, de la même main. Le reste blanc. Reliure de l'époque en plein veau fauve, triple filet doré sur les plats, importante pièce de titre en maroquin rouge sur le premier plat orné d'un encadrement de fleurs de lys et de coeurs couronnés; fleurons aux angles. Dos lisse richement orné et doré. Filets dorés sur les coupes, Tranches dorées. Quelques taches claires ou plus sombre sur le premier plat.
Probablement le" Portefeuille " du Contrôleur Général des Finances de l'Epoque, Etienne Maynon d'Invau (1721-1820), physiocrate semble-t-il un peu dilettante placé à ce poste par Choiseul. Il fut remplacé par l'Abbé Terray en décembre 1769. Sont copiés, probablement par un secrétaire du Trésor, les recettes des Fermes Générales; les Emprunts; lettres; Billets; Rescriptions au profit de personnages connus (Necker, Choiseul, ... et les versements au Trésor Royal. Ce volume semble réunir dans ce "Portefeuille" une copie du Compte Collectif unique du Ministère, chaque rubrique étant détaillée dans le "Grand Livre Annexé". Il permettait d'avoir sous la main l'essentiel des comptes de l'état sous une forme pratique. Les Sommes mentionnées sont considérables. Voir photos.
Phone number : 06 87 58 08 12
Non Renseigné. 1859 - 1860. In-4. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Environ 100 / 125 pages pour le 1er volume, et 150 / 200 pour le 2nd. Ouvrages manuscrits à la plume. Timbres fiscaux sur chaque page, en marges. Titre et filets dorés sur demi-basane prune. Epidermures sur le cuir.. . . . Classification Dewey : 91-Manuscrits
Classification Dewey : 91-Manuscrits
Eugène BRIEUX - [Paris 1858 - Nice 1932] - Ecrivain, journaliste et voyageur français
Reference : 33663
1 page in12 - trés bon état -
Il sera absent mercredi et l'attendra jeudi vers 10 heures -
Eugène BRIEUX - [Paris 1858 - Nice 1932] - Ecrivain, journaliste et voyageur français
Reference : 33664
1 page in12 - enveloppe - trés bon état -
Il lui demande de l'autoriser à joindre son nom "à ceux des autres auteurs joués au Théatre Libre" pour une pétition aux Beaux Arts ainsi conçue: "Nous demandons la Croix pour Antoine" - [André Antoine, le fondateur du Théatre Libre en 1887] -
Eugène BRIEUX - [Paris 1858 - Nice 1932] - Ecrivain, journaliste et voyageur français
Reference : 33665
1 page 1/2 in12 - enveloppe - trés bon état -
Il le remercie de l'honneur qu'il lui fait en lui demandant son opinion pour ses lecteurs - Mais le public se fiche de connaitre son sentiment "à ce sujet" - Il demande à être dispensé de le faire connaitre -
s. d. [ca 1823] | 12 x 18.20 cm | Six pages sur deux feuillets rempliés
Lettre autographe presque totalement inédite du peintre Eugène Delacroix à sa passion de jeunesse, la mystérieuse «Julie», désormais identifiée comme étant Madame de Pron, de son nom de jeune filleLouise du Bois des Cours de La Maisonfort épouse de Louis-Jules Baron Rossignol de Pron et fille du marquis de LaMaisonfort, ministre de France en Toscane, mécène de Lamartine et ami de Chateaubriand. 90 lignes, 6 pages sur deux feuillets rempliés. Quelques biffures et deux annotations de bibliographe au crayon en partie supérieure de la première page («no114»). Cette lettre est l'une des dernières à son amante en main privée, l'ensemble de la correspondance de Delacroix à Madame de Pron étant conservé au Getty Research Institute (Los Angeles). Seules neuf des quatre-vingt-dix lignes de cette lettre inédite furent transcrites dans le Burlington Magazine de septembre 2009, à l'occasion du long article de Michèle Hanoosh, Bertrand et Lorraine Servois dont les recherches révélèrent enfin l'identité de la fameuse destinataire. Sublime lettre d'amour d'Eugène Delacroix âgé de vingt-quatre ans, adressée à son amante Madame de Pron, de douze ans son aînée, qui déchaîna chez lui la plus vive passion. Cet épisode de jeunesse du peintre, alors considéré commel'étoile montante du Romantisme, est longtemps demeuré un mystère dans la biographie de Delacroix, qui prit soin de conserver l'anonymat de son amante grâce à divers pseudonymes: la «Cara», «la dame des Italiens», ou encore «Julie», comme dans cette lettre, en référence au fameux roman épistolaire Julie ou la Nouvelle Héloïse de Rousseau. Pour des raisons évidentes, Delacroix ne signa aucune lettre de son nom dans sa correspondance avec la dame. Grande figure de l'aristocratie légitimiste, la destinataire de cette lettre enfiévrée est Madame de Pron, fille du marquis de LaMaisonfort, ministre de France en Toscane, mécène de Lamartine, ami de Chateaubriand. Sa beauté fut immortalisée en 1818 par Élisabeth Vigée-Lebrun, qui réalisa son portrait au pastel, coiffée à l'orientale. La rencontre de Delacroix et de Madame de Pron eut lieu en avril 1822 lors de la commande du portrait du fils de celle-ci, Adrien, élève au lycée Impérial (actuel lycée Louis-le-Grand). Delacroix avait été commissionné pour le portrait par son ami intime Charles Soulier, amant de Madame de Pron, qui bien malgré lui servit d'entremetteur à Delacroix. En l'absence de Soulier parti en Italie, le peintre et la jeune femme nouèrent une relation amoureuse intense. La commande de portrait devint un prétexte à leurs tendres rendez-vous dans son atelier de la rue de Grès tandis que nulle trace de peinture de l'enfant n'a encore été retrouvée à ce jour. Leur aventure dura à peine plus d'une année, mais fut l'une des plus intenses passions de la vie de l'artiste. Notre missive doit sans doute correspondre aux derniers feux de leur relation, au mois de novembre 1823. Après une de ses visites au terme d'un hiatus de plusieurs mois, Delacroix lui réécrit sous le coup de l'émotion : «Je rentre le cur tout bouleversé, quelle bonne soirée! [...]Quelques fois je me dis: pourquoi l'ai-je revue? Dans la paisible retraite où je vivais, même au milieu des lieux invisibles que je m'étais formé [...] je parvenais à faire taire mon cur». Madame de Pron avait en effet décidé de mettre un terme à leurs relations intimes (voir sa lettre du 10 novembre 1823: «Je veux de l'amitié bien douce [...] je ne veux pas vous tourmenter», (Getty Research Institute). Perdant tout discernement et avec une dévotion aveugle, Delacroix tente de faire renaître leur liaison: «Fais-moi mentir, prouve-moi que ton âme est bien celle de la Julie que j'aie vue autrefois, puisque la mienne a retrouvé ses émotions charmantes et ses inquiétudes». Mais le peintre se heurte à Soulier et au général de Coëtlosquet, eux aussi amants de Madame de Pron. Delacroix avait évité de justesse une brouille définitive avec Soulier, qui ava
Phone number : 01 56 08 08 85
[Eugène Marsan] - Renée DUNAN - [Avignon 1892 - 1942 (?)] - Ecrivain, critique, poètesse, féministe et anarchiste française
Reference : 33888
7 pages in4 dont une page de présentation - bon état -
Amusante "étude" à la manière d'Eugène Marsan, "exquis écrivain" qui a écrit "de forts jolies choses...sur les coquetels, et sur la politesse du lit" - "Les "chambres du plaisir" ont guidé maintes Madame dans de voluptueuses installations"- "Hormis sa subtile élégance, les critiques huguenots ne savent rien lui reprocher" - Le texte est une "étude" humoristique sur l'art de porter le caleçon qui "est sans doute l'art majeur pour les hommes" - Rien n'est plus difficile que de le porter avec élégance "et de le quitter à propos" - Il se porte court ou long et évidemment peut être orné de devises - "On en trouvera d'exquises dans Bonaventure des Périers et Beroalde de Verville" - Le caleçon "se quite avec des gestes onctueux, mais rapides - Il faut s'y entrainer chez soi, au chronométre" -