Imprimerie de Androsio, Naples 1861, 15x23cm, relié.
Edition originale rare. Envoi autographe signé d'Alexandre Dumas sur la page de faux-titre rempliée qui seule n'a pas été rognée par le relieur pour conserver l'intégralité de la dédicace. Plusieurs textes politiques ont été reliés avec : L'indépendance de la magistrature - Affaire Séguier; Articles publiés dans le journal La Presse et lettres diverses par Emile Ollivier; L'Empire parlementaire est-il possible par Gustave Chaudey; Les décrets du 22 janvier 1852 par M. Reverchon; Défense du droit de propriété par M. Degouve Denuncques; Qu'est-ce donc que la commune? Reliure en demi chagrin rouge, dos lisse orné de filets, pointillés, roulettes et fleurons dorés, larges filets noirs, plats de papier à la cuve, tranches frottées, reliure de l'époque. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. (août 1841), 13,4x20,5cm, une page sur un feuillet.
Lettre autographe signée d'Alexandre Dumas, adressée au secrétaire particulier de la Princesse royale.Unepage à l'encre noire, adresse autographe au verso et tampons postaux en date du 30 août 1841. Petite déchirure marginale dûe au décachetage, plis inhérents à l'envoi. "Très cher, Ci jointes sous votre couvert deux lettres : une que je vous prie d'envoyer au colonel Brahant par Joseph en le priant d'attendre la réponse. L'autre pour M. Pascal, que vous aurez la bonté de faire passerchez vous et qui vous donnera aussi, séance tenante la réponse. Ces deux réponses très cher, vous me les enverrez. A vous de coeur, Dumas J'avais préparé mon travail pour le 2e et le 17e afin que Mr les ait tous deux en octobre envoyez moi les épreuves si vous faites imprimer avant que je ne sois à Paris". Esthétiquelettre datant de l'exil florentin de Dumas. - Photos sur www.Edition-originale.com -
[Paris], Avenue Frochot, n°7, s.d. (1850), 13,4x20,5cm, une page sur un feuillet.
Lettre autographe signée d'Alexandre Dumas, adressée à un magistrat de la deuxième Chambre du Tribunal de Commerce de Paris.Unepage à l'encre noire sur un bifeuillet de papier bleu,adresse autographe de l'écrivain en partie inférieure. Discrets plis inhérents à l'envoi. Quelques taches en marge extérieure, sans gravité. Intéressante lettre de Dumas, en pleine débâcle après la faillite de son théâtre. S'apprêtant à comparaître devant le tribunal,ilfait appel à son correspondant magistrat pour tenter d'intercéder en sa faveur. En 1846, Dumas avait fait construire son propre théâtre à Paris, le « Théâtre-Historique » sis au boulevard du Temple. Le théâtre est inauguré en février 1847 et devient un haut lieu du drame romantique. On yjoue du Shakespeare, Goethe, Calderon, Schiller mais égalementses pièces qui rencontrent un vif succès : La Reine Margot sera jouée 93 fois,Les Trois Mousquetaires tout autant, et Monte-Cristo connaîtra pas moins de 123 représentations. Ses gains servent à financer sa malheureuse campagne électorale, puis son journal politique "Le Mois", mais surtout àédifier le château de Monte-Cristo, cette"folie du temps de Louis XV, mais exécutée en style Louis XIII, et avec des ornements Renaissance" selon les dires de Balzac.Lorsque la Révolution éclate, les recettes se font rares et le 23 novembre 1850, quatre de ses acteurs l'assignent en faillite devant le Tribunal de Commerce de la Seine. Malgré cette lettre, il sera condamné, neuf jours après le coup d'état de Louis-Napoléon - et évitera l'incarcération par l'exil politique. Monsieur, Vous rappelez vous que le jour où j'eus l'honneur de vous rencontrer chez M. Vauquelin je vous racontai quelques uns des détails de cette malheureuse faillite du théâtre historique et alors vous m'offrîtes vos services par de mes juges. Je suis en cause mercredi. Je vais devant la seconde Chambre où vous êtes substitut. Pouvez-vous quelque chose pour moi ? - mes juges sont MM. Delahaye [président de la cour d'appel], Espivan, Desparties, Partharieu-Lafosse, Monsarrat, Pierron et Pinard. Pouvez-vous me revenir, un de ces jours de cinq heures du soir à minuit. Je serai heureux de vous voir, et de vous montrer des pièces d'une certaine importance. Veuillez agréer(...) Superbe témoin manuscrit sonnant le glas de l'ambitieuse entreprise théâtralede Dumas, écrivain prolifique qui participa à deux révolutions, fonda quatre journaux et construisitun château à la mesure de son extravagance. - Photos sur www.Edition-originale.com -
29 mai [1866], 10,4x13,2cm, une page sur un bifeuillet.
Lettre autographe signée d'Alexandre Dumas à son amante Marie Richon, dont le nom figure en partie inférieure du feuillet. 12 lignes sur une page d'un bifeuillet. Retranscrite par la Société des Amis d'Alexandre Dumas, dans le cadre de l'exposition "Dumas et les femmes" au château de Monte-Cristo. « Ma chère petite Religieuse, Je suis parti sans te dire adieu et je me suis plus d'une fois reproché ce crime, mais comment aurais-je pu partir après une nuit passée avec toi. Tu sais bien que c'eût été chose impossible. Je t'écris ce mot pour te donner de mes nouvelles, te dire que je t'aime et que je te baise sur toutes les coutures. Fais-moi de bons vers pour mon retour. A toi » On ne sait rien de cette liaison avec Marie Richon, seulement connue grâce à de rares billets enflammés de l'écrivain adresss à cette amante de toute évidence sensible aux belles-lettres («Fais-moi de bons vers pour mon retour », lui réclame-t-il ici). Actrice, femme du monde ou de savoir, le mystère reste entier autour de ce personnage qui inspire chez l'insatiable Dumas une correspondance torride.Il donnait notamment rendez-vous à sa conquête en son domicile du 107 Boulevard Haussmann, où il s'était installé à partir de 1865. Une phrase de Dumas sur un autre billet nous apprend qu'elle rencontra même la fille de Dumas, qui vivait avec son père et subissait les visites de ses amantes («elle t'adore - ou plutôt nous t'adorons» lui écrira-t-il). On peut situer cette missive probablement dans le courant de l'année 1866, alors que l'écrivain adapte au théâtre son roman Gabriel Lambert et mentionne dans une lettre une lecture de la pièce, créée à l'Ambigu-Comique le 16 mars 1866.Les dernières années de sa vie ne démentent pas son incommensurable amour des femmes; durant cette période riche en aventures, il partageait également ses nuits avec la féministe et gérontophile Olympe Audouard, ainsi que la fameuse Adah Isaacs Menken, dont les portraits aux côtés de l'écrivain furent divulgués par leur indiscret photographe. Précieuse et ardente missive du grand écrivain, en proie à la plus vive passion pour cette amante encore inconnue des biographes. - Photos sur www.Edition-originale.com -
lundi soir [1866 ?], 13,3x20,9cm, une page sur un bifeuillet.
Lettre autographe signée d'Alexandre Dumas à son amante Marie Richon. 6 lignes sur une page d'un bifeuillet de papier vergé, aux initiales couronnées de l'écrivain. « Chère amoi [sic] Ton ami arrivé moulu brisé de deux nuits de voitures et de chemins de fer. Il t'attend demain soir mardi. Oh ce sera avec grand bonheur qu'il s'assurera que toutes choses sont dans l'état où il les a laissées a toi» On ne sait rien de cette liaison avec Marie Richon, adressés à cette amante de toute évidence sensible aux belles-lettres («Fais-moi de bons vers pour mon retour », lui réclame-t-il dans un autre billet). Actrice, femme du monde ou de savoir, le mystère reste entier autour de ce personnage qui inspire chez l'insatiable Dumas une correspondance torride. Il donnait notamment rendez-vous à sa mystérieuse conquête à son domicile Boulevard Haussmann, où il s'était installé à partir de 1865. Une phrase de Dumas sur un autre billet nous apprend qu'elle rencontra même la fille de Dumas, qui vivait avec son père et subissait les visites de ses amantes («elle t'adore - ou plutôt nous t'adorons» lui écrira-t-il). On peut situer cette missive probablement dans le courant de l'année 1866, alors que l'écrivain prépare l'adaptation théâtrale de son romanGabriel Lambertet mentionne dans une lettre une lecture de la pièce, créée à l'Ambigu-Comique le 16 mars 1866.Les dernières années de sa vie ne démentent pas son incommensurable amour des femmes; durant cette période riche en aventures, il partageait également ses nuits avec la féministe et gérontophile Olympe Audouard, ainsi que la fameuse Adah Isaacs Menken, dont les portraits aux côtés de l'écrivain furent divulgués par leur indiscret photographe. Esthétique billet rempli d'anticipation, de la main du grand écrivain et adressé à une mystérieuse amante encore inconnue des biographes. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.d. [1866 ?], 10,7x13,6cm, une page sur un bifeuillet.
Lettre autographe signée probablement inédite d'Alexandre Dumas à son amante Marie Richon. 23 lignes sur deux pages d'un bifeuillet de papier vergé. Traces de pli inhérentes à l'envoi. « Bonjour mes amours chéris Vous convient-il que je sois rue des Bernardins 24 et vous ramener rue ou plutôt Boulevard Malesherbes n° 107. Là quelqu'un qui vous aime fort se permettra de vous tutoyer ce qu'il n'ose faire dans une lettre et vous dira : - Sois la bienvenue ma bien aimée, mon coeur et mon corps sont à toi - Est-ce assez ou veux-tu encore autre chose ? Je ne te dis pas de venir demain [...] je ne sais pas à quelle heure je pourrais être à toi. Ainsi donc vendredi soir -aimez moi- un peu - et si vous vous ennuyez venez me voir une heure demain dans la journée de midi à deux heures. A toi ma chérie Bon voilà que je me rappelle que demain je lis ma pièce à l'Ambigu demain de midi à 3 heures [...] » On ne sait rien de cette liaison avec Marie Richon, seulement connue grâce à de rares billets enflammés de l'écrivain adressés à cette amante de toute évidence sensible aux belles-lettres («Fais-moi de bons vers pour mon retour », lui réclame-t-il dans une autre lettre). Actrice, femme du monde ou de savoir, le mystère reste entier autour de ce personnage qui inspire chez l'insatiable Dumas une correspondance torride. Il donne ici rendez-vous à sa mystérieuse conquête à son domicile Boulevard Haussmann, où il s'était installé à partir de 1865. Une phrase de Dumas sur un autre billet nous apprend qu'elle rencontra même la fille de Dumas, qui vivait avec son père et subissait les visites de ses amantes («elle t'adore - ou plutôt nous t'adorons» lui écrira-t-il). On peut situer cette missive probablement dans les premiers mois de l'année 1866, alors que l'écrivain prépare l'adaptation théâtrale de son romanGabriel Lambertet mentionne ici dans le post-scriptum une lecture de la pièce à l'Ambigu-Comique, le théâtre où elle est créée le 16 mars 1866.Les dernières années de sa vie ne démentent pas son incommensurable amour des femmes; durant cette période riche en aventures, il partageait également ses nuits avec la féministe et gérontophile Olympe Audouard, ainsi que la fameuse Adah Isaacs Menken, dont les portraits aux côtés de l'écrivain furent divulgués par leur indiscret photographe. Superbe et expansive déclaration d'amour du grand écrivain, adressée à une mystérieuse amante encore inconnue des biographes. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.d. [1866 ?], 8,6x11,1cm, une page sur un bifeuillet.
Lettre autographe signée probablement inédite d'Alexandre Dumas à son amante Marie Richon. 13 lignes sur deux pages d'un bifeuillet. Trace de pli horizontale inhérente à l'envoi. « Mon amour chéri Penses tu à moi Veux tu me garder ta soirée de demain [...]nous irons au spectacle en tous cas viens en arlaisienne [sic] Je t'écrirai demain, pour te redire que je t'aime. Ma fillea été on ne peut plus touchée de ton explosion vis à vis d'elle. Elle t'adore - ou plutôt nous t'adorons Aime moi» On ne sait rien de cette liaison avec Marie Richon, seulement connue grâce à de rares billets enflammés de l'écrivain adressés à cette amante de toute évidence sensible aux belles-lettres («Fais-moi de bons vers pour mon retour », lui réclame-t-il ici). Actrice, femme du monde ou de savoir, le mystère reste entier autour de ce personnage qui inspire chez l'insatiable Dumas une correspondance torride. Il donnait notamment rendez-vous à sa mystérieuse conquête à son domicile Boulevard Haussmann, où il s'était installé à partir de 1865. Une phrase de Dumas sur cette missive nous apprend qu'elle rencontra même la fille de Dumas, qui vivait avec son père et subissait les visites de ses amantes («Ma fillea été on ne peut plus touchée de ton explosion vis à vis d'elle.Elle t'adore - ou plutôt nous t'adorons» écrit-t-il ici). On peut situer cette missive probablement dans le courant de l'année 1866, alors que l'écrivain prépare l'adaptation théâtrale de son romanGabriel Lambertet mentionne dans une autre lettre une lecture de la pièce à l'Ambigu-Comique, le théâtre où elle est créée le 16 mars 1866.Les dernières années de la vie de Dumas ne démentent pas son incommensurable amour des femmes; durant cette période riche en aventures, il partageait également ses nuits avec la féministe et gérontophile Olympe Audouard, ainsi que la fameuse Adah Isaacs Menken, dont les portraits aux côtés de l'écrivain furent divulgués par leur indiscret photographe. Esthétique et débordante déclaration d'amour du grand écrivain, adressée à une mystérieuse amante encore inconnue des biographes. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.d. (circa 1860), 20,6x27,6cm, un feuillet remplié.
Poème manuscrit autographe signé d'Alexandre Dumas portant le titre "Naïs et Chloé", 84 vers à l'encre noire sur feuillet remplié bleu. Quelques infimes déchirures sans manque de texte dues aux pliure inhérentes à la mise sous pli. Le poème autographe est présenté sous une chemise en demi maroquin vert sapin, plats de papier marbré, contreplats doublés d'agneau vert, étui bordé du même maroquin, ensemble signé Goy & Vilaine. Rarissime manuscrit d'un long poème inédit retraçant les amours de Naïs et Chloé et dont l'écriture est régie par l'admiration et l'hommage qu'Alexandre Dumas rend à l'une des plus grandes figures de la poésie antique, Sappho. Romancier prolifique, Dumas s'est rarement essayé au genre poétique, «Naïs et Chloé», par sa longueur, constituant un hapax dans la production littéraire de l'écrivain. Le texte demeure inédit à ce jour et se trouve ici enrichi de l'élégante calligraphie de son auteur. Le poème est constitué de 21 quatrains parmi lesquels se distingue une remarquable insertion des vers les plus célèbres de Sappho, «à la femme aimée», dont le titre est conservé dans le corps même du texte. Cet enchâssement participe de la verve avec laquelle Dumas défend la force poétique et évocatrice de l'écriture de Sappho qu'il élève au rang d'«étoile du monde» de la Poésie : «Il est au sein des mers s'appuyant à l'Asie Entre l'heureuse Smyrne et la sombre Lemnos Une île aux bois fleuris chers à la Poésie A qui Venus donna le doux nom de Lesbos. Quand du chantre divin la voix fut étouffée Que du nom d'Euridice elle eut frappé l'écho Le flot roula tête et la lyre d'Orphée Sur la rive où plus tard devait naître Sapho Sapho naquit la lyre en ses mains fut remise Les sons qu'elle en tira jusqu'à nous sont venus» Traduits par les soins consciencieux de l'auteur, le poème empruntéà Sappho, où émerge le vers le plus célèbre, "Celui-là, je le dis, il est l'égal des dieux",se retrouve en plusieurs endroits de l'uvre de Dumas, notammentdans le chapitre intitulé «les vers saphiques» de la San Felice et dans un recueil d'articles dédié aux grandes figures féminines où elle siège parmi Jeanne d'Arc et Marguerite d'Anjou. Il s'agit pour Dumas de demeurer fidèle aux vers écrits et de leur rendre leur sensualité, souvent estompée par les traducteurs antérieurs: «Les traductions de ces deux poëtes [...] nous paraissent non seulement manquer de couleur antique mais insuffisantes comme ardeur lesbienne» (Les étoiles du monde, Galerie historique des femmes les plus célèbres de tous les temps et de tous les pays) Par-delà la traduction qu'il propose, Dumas s'imprègne de la plume lyrique de Sappho sans se défaire de sa propre veine romanesque et peint les amours saphiques de Naïs et Chloé sous un jour érotique: «Oh seule palpitante, échevelée et nue Une main sur ma gorge et l'autre... Oh ma Naïs Serre moi dans tes bras et sois la bien venue Car à force d'amour... tiens... tiens je te trahis Et l'on n'entendit plus alors dans la nuit sombre Que le bruit des baisers répétés par l'écho Car Nais et Cloé se taisaient et dans l'ombre Clinias s'enfuyait en maudissant Sapho» Le poème s'inscrit dans la continuité de l'intérêt que les auteurs de la fin du XIXe siècle portent au saphisme et au personnage-lecteur voyeur, ici incarné par Clinias, et dont la plus célèbre occurrence demeure la Nana de Zola Exceptionnel et long poème autographe saphique d'Alexandre Dumas. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Barba, Paris 1830, 13,5x22,5cm, relié.
Edition originale. Reliure à la bradel en plein cartonnage chocolat, dos lisse, pièce de titre moderne de basane noire, discrètes restaurations sur les mors et les coins, reliure de l'époque. Rare envoi autographe de l'auteur à son ami le sculpteur David (d'Angers). L'envoi autographe, dont l'encre a pâli, reste lisible. Exemplaire complet de sa lithographie de Raffet en frontispice. Rousseurs éparses. - Photos sur www.Edition-originale.com -
DUMAS Alexandre (fils) - Paris 1824 - Marly le Roi 1895 - écrivain français
Reference : GF17889
1 page in8 - bon état -
"M. Giraud qui édite 'Diane de Lys' ne peut en ce moment, par suite de mon traité avec lui, faire tirer que trois mille exemplaires". Il précise cela pour éviter toute erreur ou malentendu -
1854, 6,5x10,5cm, une feuille.
Portrait photographique original d'Alexandre Dumas avec envoi autographe signé, au format carte de visite, sur papier albuminé contrecollé sur un carton du studio de Charles Reutlinger à Paris. Très bel envoi autographe signé en partie inférieure du cliché : "A Madame aimée Persat, A. Dumas" La dédicataire est certainement la femme en secondes noces de Maurice Persat, officier ayantparticipé aux guerres napoléoniennes et aux guerres révolutionnaires en Amérique latine,en Espagneet en Grèce où il rachèta une jeune esclave turque, Adélé. De retour en France, elle fut placée au couvent sous la protection du gouverneur de Marseille et convertie au catholicisme alors que Persat, libéral et agitateur, était contraint de s'exiler. Dumas s'est très certainement inspiré de son histoire, relayée dans la presse marseillaise, pour sa célèbre héroïne du Comte de Monte-Cristo, Haydé. Adélé, quant à elle, meurt avec son enfant de phtisie en 1832. Persat se remaria en 1854 avecHenriette Charles Latour, à laquelle ce portrait de Dumas est certainement adressé. - Photos sur www.Edition-originale.com -
[Typographie Ferdinand Thibaud] - DUMAS-AUBERGIER, Dr. ; LECOQ, Henri
Reference : 45490
(1869)
Avec 60 gravures, 1 vol. in-8 br., Typographie Ferdinand Thibaud, Clermont-Ferrand, 1869, 251 pp. avec 2 longues vues dépliantes
Rare exemplaire de l'édition originale dédicacé par Dumas-Aubergier. Etat moyen (couv. fort. frottée et abîmée, petite mq. angulaire aux premiers ff., discrète mouill. sur une vue, bon état intérieur par ailleurs, exemplaire méritant reliure).
[ Société d'Editions Littéraires et Artistiques, Librairie Paul Ollendorff] - DUMAS, Charles
Reference : 60758
(1906)
1 vol. in-12 br., Société d'Editions Littéraires et Artistiques, Librairie Paul Ollendorff, Paris, 1906, 210 pp.
Très bel envoi de l'auteur "à mon ami Gustave Babin, en souvenir des mauvais jours mieux supportés ensemble en témoignage de haute estime et de vive affection". Un long poème autographe signé intitulé "Soir", dédié à Gustave Babin (un feuillet replié, format 24 x 31 cm) a été monté en début d'ouvrage. Ce poème a été publié dans l'Anthologie des Poètes Français morts à la guerre, pubié chez Malfère (tome 2, p. 245). Le poète Charles Dumas (1881-1914) meurt sur la Somme en octobre 1914. Son premier recueil de poésie , l'Eau Souterraine, avait obtenu le prix Sully Prud'homme en 1903. Le journaliste et critique d'art Gustave Babin (1865-1939) travailla notamment pour le journal l'Illustration. Etat très satisfaisant (couv. un peu faible avec petites usures en mors).
MONTPELLIER IM.DU PETIT MERIDIONAL 1911 -IN12 br.104p.-envoi aut.aut.
Marly-le-Roi 1894, 11,3x8,9cm, une carte recto-verso.
Carte autographe signée d'Alexandre Dumas Fils adressée au comte Joseph Primoli. Enveloppe jointe. Jolie carte dans laquelle Dumas Fils remercie son ami pour le prêt d'un volume et l'invite à le visiter dans la semaine. C'est au salon de la Princesse Mathilde (d'ailleurs mentionnée dans cette carte : "Tendresses respectueuses à la Princesse") que Dumas Fils et Joseph Primoli firent connaissance. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Michel Lévy frères 1872 1 vol. Relié in-8, demi-maroquin cerise, dos à nerfs, tête marbrée, non rogné, XXXVII + 285 pp. Belle édition de luxe, revue et corrigée, illustrée en frontispice d'un portrait de Marie Duplessis gravé par Le Rat. Tirage limité à 526 exemplaires, celui-ci numéroté sur Hollande avec un amusant envoi autographe signé de Dumas fils à "de Forge, l'ami du père et du fils", qui s'adresse certainement à Henry de Forge, préfet de la Nièvre, dont le fils également prénommé Henry fera carrière dans les lettres. Une lettre autographe signée de l'auteur au même est monté sur onglet en tête de l'exemplaire (enveloppe conservée). On joint aussi une caricature de Dumas fils sur papier calque avec ex-dono de l'artiste daté de 1883 et signé (nom illisible). Bel exemplaire de ce classique.
3 pages in-12, 130 x 85.
Lettre d’Alexandre Dumas fils (1824-1895), à un certain Vialon, peut-être l’homme de lettre Prosper Vialon (1811-1873). Il est très déçu par le cheval qu’il vient d’acquérir qu’il décrit sur le ton de la dérision comme un vieux baudet qui se traîne : « J’ai envoyé ce matin votre cheval. Il y a évidemment eu un malentendu, car pour aucun prix je ne garderais un cheval de quatre ans surtout qui a la tête plus basse que la croupe, qui était en nage au bout d’une heure après avoir fait le tour du lac, qui a besoin du fouet à chaque instant et qui en donnant toute sa vitesse a mis six minutes et demie pour descendre les Champs Élysées à 8 heures du matin, c’est à dire quand rien n’embarrasse la route. »
1 page in-8, s.l.n.d. En réponse à une demande de place pour la représentation d'une de ses pièces. "Je reviens du Gymnase où je n'ai rien trouvé pour un jour plus prochain que celui auquel on vous a remise vous même. Une fois la pièce jouée et devant une location comme celle qui se fait en ce moment, l'auteur rentre dans la catégorie commune. Je regrette, Madame, de ne pouvoir vous rendre le petit service que vous avez bien voulu me demander"...
Calmann Lévy, Paris 1882, 14,5x20,5cm, broché.
Edition originale, un des 30 exemplaires numérotés sur Hollande, seuls grands papiers après 12 Chine, 12 Japon et 1 peau de vélin. Agréable exemplaire à toutes marges. Envoi autographe signé d'Alexandre Dumas fils à mademoiselle Maremon. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Michel Lévy 1872 1 vol. Broché plaquette in-12, brochée, non rognée, 29 pp. Édition originale avec un envoi autographe signé de l'auteur à une "Madame H. Lepic". Couverture légèrement usée avec infime manque de papier au second plat, sinon bon exemplaire, bien complet du catalogue de l'éditeur in-fine (36 pp.).
The letter is a responce to a lady, who has contacted him" written very politely.
Paris Fellens et Dufour 1847 1 vol. Relié in-8, plein maroquin vert à grain long, dos lisse orné d'un décor doré en long, triple filet doré en encadrement sur les plats, coupes filetées, encadrement intérieur de filets dorés, tête dorée, couvertures conservées, non rogné (P. Vié). Edition originale du premier livre de l'auteur, dédié à son père, au-delà du ressentiment que Dumas éprouva toute sa vie en tant que "fils illégitime" reconnu par ses parents seulement à l'âge de 7 ans. Bel exemplaire, bien relié.
Quatre charmantes lettres pour décliner les invitations de la comtesse. « Je dîne jeudi et je passe la soirée chez Madame Monnier, 80 rue Taitbout, vous le voyez, je fais comme les accusés, je constate mon alibi. C’est qu’il faut bien prouver son innocence quand on refuse un plaisir comme celui que vous m’offrez... ». C’est aussi la révélation d’un habitué des soirées chez la comtesse. « Comme vous êtes aimable, Madame, et comme vous avez eu raison de penser que je passerais de nouveau une soirée chez vous, malheureusement, je suis pris tous les mardis par quelques amis qui dînent régulièrement chez moi... ».
L’ensemble des 4 lettres
Toulouse Editions des Cahiers Libres 1925 1 vol. broché in-8, broché, 31 pp. Edition originale illustrée de 5 bois gravés par Morell et tirée uniquement à 300 exemplaires, celui-ci numéroté sur vergé Bouffant avec un bel envoi de l'auteur à Georges Normandy. Couverture un peu salie. Sinon très bon état.
Paris , Librairie A. Durand et Pedone -Laurel, 1878 ; grand in-8° broché, couverture grise imprimée en noir; (4), 299pp.Petites salissures au 2ème plat de la couverture, très rares au 1er plat; piqûres en début et fin de volume.Exemplaire non coupé.
Biographie de l'auteur italien Giuseppe Parini ( 1729 - 1799).Edition originale comportant sur le titre un envoi autographe signé de l'auteur à M.Zévort. (GrG)