S.N. S.L. (Mexique) 1941 In-12 ( 165 X 115 mm ) de 111 pages, broché sous couverture illustrée. Edition originale sur papier d'édition ( pas de grands papiers annoncés ) publiée anonymement au Mexique. Très bel exemplaire enrichi d'un double bel envoi autographe signé de ETIEMBLE. De toute rareté.
Gallimard Paris 1992 In-8 ( 205 X 140 mm ) de 337 pages, broché. Edition originale sur papier d'édition ( pas de grands papiers annoncés ). Très bel exemplaire enrichi d'un bel envoi autographe signé de ETIEMBLE sur une carte collée sur la première garde.
Christian Bourgois Editeur Paris 1988 In-8 ( 200 X 120 mm ) de 283 pages, broché sous couverture illustrée en couleurs. Edition originale sur papier d'édition ( pas de grands papiers annoncés ). Très bel exemplaire enrichi d'un très bel envoi autographe signé de ETIEMBLE sur 2 pages.
Paris Collection Idées, NRF, Gallimard 1964 In-12 Broché
Avec ENVOI AUTOGRAPHE SIGNE. Bon 0
Arléa Paris 1994 In-8 ( 205 X 140 mm ) de 94 pages, broché sous couverture illustrée. Edition originale sur papier d'édition ( pas de grands papiers annoncés ). Très bel exemplaire enrichi d'un double bel envoi autographe signé de ETIEMBLE.
PUF - Ecrivains Paris 1984 In-8 ( 215 X 135 mm ) de 159 pages, broché sous couverture rempliée. Edition originale sur papier d'édition ( pas de grands papiers annoncés ). Bel exemplaire enrichi d'un très bel envoi autographe signé de ETIEMBLE. Il semblerait que cette édition ai été pilonnée à la demande d'ETIEMBLE.
Paris Gallimard, coll. "Les Essais" 1950 1 vol. broché in-12, broché, 302 pp. Nouvelle édition en service de presse avec un envoi des auteurs : "Pour Georges Bataille, cordialement. Etiemble. Yassu Gauclère". Dos fendillé.
Paris Les deux animaux 1984 1 vol. broché in-8, broché, couv. illustrée, 158 pp, dessins en noir de Hiro Soumita. Edition originale sans gand papier. Long envoi autographe signé de l'auteur à Maurice Nadeau couvrant la page de garde recto-verso, et une annotation p. 105. Très bon état.
Paris Arléa 1988 1 vol. broché in-8, broché, couverture illustrée, 331 pp. Edition originale avec un envoi autographe signé de l'auteur. Très bon état.
Paris Gallimard 1974 1 vol. Broché in-8, broché, couverture à rabats, 252 pp. Edition originale de ce recueil d'études sur le siècle des Lumières. Un des 25 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre, seul tirage en grand papier. En parfait état.
1953 2 pages in-4 dont une autographe et une page in-8 tapuscrite, les trois à l'en-tête imprimé de l'univesité de Montpellier, entre 1953 et 1959). Une amusante recension de coquilles qui ressemble à un inventaire à la Prévert : "Leçons d'orthographe pour leçons d'orthodoxe est rigolo. Mais 'leur rendait bonne conscience' pour 'leur vendait bonne conscience' est un peu trop édulcoré. Mais 'la condition humaine imposée au prolétariat' pour 'la condition inhumaine' n'est pas rigolo du tout".
Folio 1977 1 vol. Poche in-12, broché, 309 pp. Exemplaire du service de presse. Envoi du préfacier.
Seghers . Paris 1986
Très bon état Ouvrage broché enrichi dun envoi autographe signé et daté ainsi que de deux lettres manuscrites datées et signées par lauteur et adressées vraisemblablement à lancien propriétaire de ce livre . Edition hors commerce éditée à loccasion de lexposition Autour dun gisant Poésie Envoi Autographe Signé Lettre Originale Manuscrite - largeur/hauteur :12x18,5 cm - poid : 130 g - nombre de pages : Env 80 p. - langue : Français
1 page in4 - Trés bon état -
Il est heureux qu'il s'intéresse à son travail et lui signale un ouvrage qui vient de paraitre : Etienne Hajdu par Ionel Jianou chez Arted... - "J'aimerai savoir ce que vous faites dans la vie" -
Taizé Les Presses de Taizé 1985 1 vol. broché in-16, broché, couverture illustrée à rabats, non paginé, dessins en noir de Jacques Truphémus. Edition originale avec un envoi autographe signé de l'auteur à Paul de Roux. Très bon état.
1 vol. in-8 cartonnage éditeur illustré, Fédération Historique du Sud-Ouest, Bordeaux, 1995, 657 pp.
Bon exemplaire enrichi d'une dédicace à un éminent universitaire. Consacrés à l'histoire gallo-romaine de Bordeaux et de l'Aquitaine, ce recueil d'articles de l'historien girondin Robert Etienne (1921-2009), grand spécialiste du monde romain antique, est du plus grand intérêt.
Vevey, L'Aire, Michel Moret éditeur, 1996. In-8 broché de 95 pages, couverture ornée d'une vignette couleurs. Parfaitement neuf.
Nouvelles en édition originale dont l'une, "Les lapins de Cléopâtre", a été sélectionnée par les concours de contes érotiques La rosée d'Eros en 1995. Avec un envoi autographe signé de l'auteur, sans mention de nom, n'importe qui peut dire que c'est pour lui !.
Vevey, L'Aire, 1998. In-8 broché de 108-[4] pages, couverture à rabats gris perle imprimée. Parfaitement neuf, non coupé.
"C’est l’histoire d’un homme un peu anormal que vous allez suivre. Une île de mille mots et de deux cents mètres de rayon qui part à la recherche de son passé. Un livre sur la mémoire perdue, sur la pauvreté et le mystère des mots ainsi que sur l’impossibilité de nommer ce qui est en nous". Edition originale de ce Prix de la revue littéraire (VWA), avec un envoi autographe sympathique signé d'Eugène à Isabelle Martin, journaliste culturelle d'ici.
Vevey, L'Aire, collection le Coup de dés, 1995. In-8 broché de 115 pages, couverture imprimée. Petite griffure au premier plat, ceci mis à part, parfaitement neuf.
Edition originale de ce premier recueil (de nouvelles) de l'auteur. Avec un envoi autographe signé marrant d'Eugène, sans mention de nom, n'importe qui peut dire que c'est pour lui !.
Vevey, L'Aire, coll. L'Aire bleue, 2005. In-8 broché de V-108-[6] pages, couverture bleue imprimée en deux tons. Parfaitement neuf.
Prix de la revue littéraire (VWA), avec un envoi autographe signé d'Eugène à Isabelle Martin, journaliste culturelle d'ici. «C’est l’histoire d’un homme qui a encore quelques velléités à être un homme normal. C’est pourquoi à soixante-trois ans il décide de mener en cachette une enquête sur sa propre vie. Parce qu’il se soupçonne». Du pur Eugène.
Eugène BRIEUX - [Paris 1858 - Nice 1932] - Ecrivain, journaliste et voyageur français
Reference : 33663
1 page in12 - trés bon état -
Il sera absent mercredi et l'attendra jeudi vers 10 heures -
Eugène BRIEUX - [Paris 1858 - Nice 1932] - Ecrivain, journaliste et voyageur français
Reference : 33664
1 page in12 - enveloppe - trés bon état -
Il lui demande de l'autoriser à joindre son nom "à ceux des autres auteurs joués au Théatre Libre" pour une pétition aux Beaux Arts ainsi conçue: "Nous demandons la Croix pour Antoine" - [André Antoine, le fondateur du Théatre Libre en 1887] -
Eugène BRIEUX - [Paris 1858 - Nice 1932] - Ecrivain, journaliste et voyageur français
Reference : 33665
1 page 1/2 in12 - enveloppe - trés bon état -
Il le remercie de l'honneur qu'il lui fait en lui demandant son opinion pour ses lecteurs - Mais le public se fiche de connaitre son sentiment "à ce sujet" - Il demande à être dispensé de le faire connaitre -
1 page in8 - bon état -
Il le remercie de son "mot charmant" et considère que "l'incident est clos" - Cette affaire lui aura permis de faire "la connaissance du très aimable homme" qu'il est - Il compte bien le revoir à la rentrée le plus souvent qu'il voudra -
s. d. [ca 1823] | 12 x 18.20 cm | Six pages sur deux feuillets rempliés
Lettre autographe presque totalement inédite du peintre Eugène Delacroix à sa passion de jeunesse, la mystérieuse «Julie», désormais identifiée comme étant Madame de Pron, de son nom de jeune filleLouise du Bois des Cours de La Maisonfort épouse de Louis-Jules Baron Rossignol de Pron et fille du marquis de LaMaisonfort, ministre de France en Toscane, mécène de Lamartine et ami de Chateaubriand. 90 lignes, 6 pages sur deux feuillets rempliés. Quelques biffures et deux annotations de bibliographe au crayon en partie supérieure de la première page («no114»). Cette lettre est l'une des dernières à son amante en main privée, l'ensemble de la correspondance de Delacroix à Madame de Pron étant conservé au Getty Research Institute (Los Angeles). Seules neuf des quatre-vingt-dix lignes de cette lettre inédite furent transcrites dans le Burlington Magazine de septembre 2009, à l'occasion du long article de Michèle Hanoosh, Bertrand et Lorraine Servois dont les recherches révélèrent enfin l'identité de la fameuse destinataire. Sublime lettre d'amour d'Eugène Delacroix âgé de vingt-quatre ans, adressée à son amante Madame de Pron, de douze ans son aînée, qui déchaîna chez lui la plus vive passion. Cet épisode de jeunesse du peintre, alors considéré commel'étoile montante du Romantisme, est longtemps demeuré un mystère dans la biographie de Delacroix, qui prit soin de conserver l'anonymat de son amante grâce à divers pseudonymes: la «Cara», «la dame des Italiens», ou encore «Julie», comme dans cette lettre, en référence au fameux roman épistolaire Julie ou la Nouvelle Héloïse de Rousseau. Pour des raisons évidentes, Delacroix ne signa aucune lettre de son nom dans sa correspondance avec la dame. Grande figure de l'aristocratie légitimiste, la destinataire de cette lettre enfiévrée est Madame de Pron, fille du marquis de LaMaisonfort, ministre de France en Toscane, mécène de Lamartine, ami de Chateaubriand. Sa beauté fut immortalisée en 1818 par Élisabeth Vigée-Lebrun, qui réalisa son portrait au pastel, coiffée à l'orientale. La rencontre de Delacroix et de Madame de Pron eut lieu en avril 1822 lors de la commande du portrait du fils de celle-ci, Adrien, élève au lycée Impérial (actuel lycée Louis-le-Grand). Delacroix avait été commissionné pour le portrait par son ami intime Charles Soulier, amant de Madame de Pron, qui bien malgré lui servit d'entremetteur à Delacroix. En l'absence de Soulier parti en Italie, le peintre et la jeune femme nouèrent une relation amoureuse intense. La commande de portrait devint un prétexte à leurs tendres rendez-vous dans son atelier de la rue de Grès tandis que nulle trace de peinture de l'enfant n'a encore été retrouvée à ce jour. Leur aventure dura à peine plus d'une année, mais fut l'une des plus intenses passions de la vie de l'artiste. Notre missive doit sans doute correspondre aux derniers feux de leur relation, au mois de novembre 1823. Après une de ses visites au terme d'un hiatus de plusieurs mois, Delacroix lui réécrit sous le coup de l'émotion : «Je rentre le cur tout bouleversé, quelle bonne soirée! [...]Quelques fois je me dis: pourquoi l'ai-je revue? Dans la paisible retraite où je vivais, même au milieu des lieux invisibles que je m'étais formé [...] je parvenais à faire taire mon cur». Madame de Pron avait en effet décidé de mettre un terme à leurs relations intimes (voir sa lettre du 10 novembre 1823: «Je veux de l'amitié bien douce [...] je ne veux pas vous tourmenter», (Getty Research Institute). Perdant tout discernement et avec une dévotion aveugle, Delacroix tente de faire renaître leur liaison: «Fais-moi mentir, prouve-moi que ton âme est bien celle de la Julie que j'aie vue autrefois, puisque la mienne a retrouvé ses émotions charmantes et ses inquiétudes». Mais le peintre se heurte à Soulier et au général de Coëtlosquet, eux aussi amants de Madame de Pron. Delacroix avait évité de justesse une brouille définitive avec Soulier, qui ava
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