s. l. 18 avril 1913 | 14.5 x 19.5 cm | Un double feuillet
Lettre autographe datée et signée de Cécile Sorel, 23 lignes à l'encre bleue sur un double feuillet, au chiffre de Cécile Sorel, comtesse de Ségur par son mariage. Trace de pliures inhérentes à la mise sous pli. L'actrice remercie son correspondant, journaliste au Théâtre, pour sa critique élogieuse : "Vous savez combien tout ce qui vient de vous touche le plus sensible de mon coeur, jugez de ma joie en lisant les belles lignes que vous me consacrez." Pour le remercier, elle lui adressé des fleurs et l'invite à lui rendre visite bientôt : "faites-moi la joie de venir déjeuner et causer avec moi de la pièce qui dort dans vos cartons et de laquelle j'attends une revanche." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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1 p. sur 1 f. in-4
Lettre autographe de Céline à Gen Paul, écrite depuis Camaret dans le Finistère et envoyée le 10 juin 1941 (enveloppe jointe). Il décrit à son ami peintre ses craintes pour les futures hausses de prix de l'alimentation dues à la guerre. Il déclare que son lieu de villégiature "a été un peu bombardé" malgré cela "Rien de tragique. Il ne se passe rien de sensationnel. " L'auteur et l'artiste étaient amis depuis 1932, année de la publication du Voyage au bout de la nuit. C'est Céline et son éditeur Denoël qui demandèrent à Gen Paul d'illustrer ses textes. L'auteur aurait même assisté à des séances de travail dans l'atelier de l'artiste. La relation deux hommes fut houleuse, faites de brouilles et de réconciliations. Dans son Féérie pour une autre fois I et II (parus respectivement en 1952 et 1954) Céline inventa le personnage de Jules Larpent, peintre et sculpteur cul-de-jatte, fondé sur la figure de Gen Paul dont l'une des jambes fut amputée lors de la Guerre 1914-1918. Mais l'auteur l'y mis en scène avec une telle acidité, accusant celui-ci de l'avoir laissé tomber après la fin de la Seconde guerre mondiale, que la rupture entre les deux hommes fut définitivement consommée. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
S.l., daté du 7 mai. 4 pp. in-4 (1 petite déchirure au premier f.)
Lettre autographe signée de Céline à un destinataire non identifié. Il y évoque son amertume contre Jeanne Loviton, qu'il surnomme "La Voilier" en référence à son nom de plume : Jean Voilier. Loviton était la maîtresse de Robert Denoël jusqu'à son meurtre en décembre 1945 mais elle est surtout l'actionnaire principale et la gérante des éditions Denöel alors dans la tourmente judiciaire pour faits de collaboration. Céline, comme l'épouse de Denoël, accuse publiquement Loviton d'être responsable du crime. Elle l'aurait assassiné l'éditeur afin de mettre la main sur la maison d'édition. D'autre part, Céline avait accusé son éditeur d'avoir procédé à des rééditions avant la guerre sans son accord, sans le rémunérer puis de ne pas avoir réédités ses oeuvres. Enfin, il se sent coincé avec la maison d'édition et se plaint d'être "maqué" avec Loviton qui va "[lui] tirer jusqu'à la fauche et rafler tout le pognon". Il est déçu par ses avocats ainsi que par ses amis : "Je suis défendu par des manches, ni Mik, ni Naud[ ses avocats Thorvald Mikkelsen et Albert Naud], ni Marie, ni Camus [Marie Caranavaggia et Clément Camus, ses amis] n'étaient au procès". Cette lettre souligne une fois de plus l'impécuniosité de l'auteur due à la réclusion qu'il traverse depuis la fin de la guerre. Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
PAris, Futuropolis-Gallimard, 1988. In-4, 380 pp., cartonnage éditeur illustré (petits frottements).
Première édition illustrée par Tardi. Cet exemplaire est enrichi d'un envoi autographe signé de l'illustrateur orné d'un dessin au feutre et lavis. Bon exemplaire. On joint un carton d'invitation pour une rencontre avec Tardi à la librairie Gallimard. Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
1923 Brive, Imprimerie Catholique, 1923. In-8 (228 X 150 mm) demi-chagrin havane, dos cinq nerfs, pièces de titre chagrin grenat, tête dorée, couverture conservée (reliure de l'époque) ; XIV-171 pages, (1) page, (2) ff., 4 planches hors-texte. Traces de frottements aux nerfs et à la coiffe supérieure.
ÉDITION ORIGINALE imprimée sur papier vergé et ornée de 4 PLANCHES hors-texte sur papier couché. JOINT une LETTRE AUTOGRAPHE signée de l'auteur adressée à «Monsieur le député » [Philippe-Michel Labrousse (1847-1910)], une page sur un feuillet double, datée du «21 juillet 90 ». Coupure de journal collée sur le premier feuillet blanc, extraite de "La Croix" du 1er mars 1931, relatant la vie de Jean-Baptiste Célérier, curé de Mallemort, après l'annonce de son décès. SÉDUISANT EXEMPLAIRE, bien relié à l'époque. NICE COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
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s.d. et 1812. 4 pp. 1/2 in 8°,
– À Laurent Barbé : “je t’attends à dîner demain jeudi, n’y manque pas, nous dînerons chez moi en tête à tête ou peut-être avec Mr de Villlenave. Viens de bonne heure. J’ai horriblement souffert depuis que je ne t’ai vu, je n’ai pas quitté mon canapé. Je suis un peu mieux ce matin, je n’ai vu personne de ma famille. Si tu y passes avant de venir chez moi ne manque pas de leur faire des reproches à tous. [...]»– À M. le baron Méchin, préfet du Calvados. 5 eptembre 1812: «Je présume que c’est par coquetterie que vous n’avez pas voulu répondre dans la meme langue que moi lorsque vous savez me convaincre d’une manière si gracieuse que votre prose est encore plus séduisante que les plus jolis vers. J’ai besoin de vous dire que parmi les suffrages que l’indulgence m’a quelquefois fait obtenir le vôtre est un de ceux qui me flattent le plus parce que c’est réunir à la fois celui de l’homme savant et de l’homme aimable. Je ne suis point étonnée que votre génie se soit exercé à traduire la satire sur les femmes de ce caustique Juvénal. Vous avez voulu montrer ce que peut un habile avocat plaidant contre la plus belle cause. En suivant vos seules inspirations vous nous eussiez été plus favorable. C’est un devoir que vous imposait la reconnaissance car vous êtes toujours sûr de compter au nombre de vos plus zélés partisans le sexe le plus délicat à la tête des objets remarquables que j’ai rencontré dans trois parties du monde. [...]”– LA à M. Villenave: «Il faut absolument exiger que le départ se fasse à votre bureau, la renommée suspendue n’a pas le droit de rien faire porter à la poste, il faut que ces messieurs envoient leurs bandes à votre imprimerie et que M. Guibert (?) éditeur responsable préside au premier départ et aille de grand matin à l’imprimerie. [...]»
Paris, 20 septembre 1814. 2 pp. in 8°, adresse au dos.
Elle lui adresse un mandat de 230 piastres à l’ordre de M. Nogent (mandat joint, 1 p. in 8°) et lui demande de le porter à son compte «comme héritière de nos père et mère. Ces petites sommes adoucissent ma situation… Je ne doute pas que les dettes de la succession ne soient entièrement payées… marque-moi la somme annuelle sur laquelle je puis compter car j’ai le plus grand besoin d’un revenu… Je t’enverrai par une occasion sûre une tragédie et une pièce de vers imprimée dans le Mercure de France sur le retour des Bourbons…»
Genève, Galerie Sonia Zannettacci, 1986. Grand in-8 broché, couverture argent ornée du fac-similé de signature de l'artiste en relief. Illustré de photographies in-texte en noir et en couleurs.
Exemplaire agrémenté d'un envoi autographe signé de César sur l'une des photographies, qui se prolonge en dessin complétant l'oeuvre reproduite. Publié à 1000 exemplaires.
PARIS GALLIMARD 1932 Un volume in-8 broché de 272 pages non coupées , ex. du " service de presse " ENVOI , rousseurs sur la couverture , autrement bon exemplaire . Bon Couverture souple
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Gallimard, 1933, 1 volume de 120x190 mm environ, 220 pages, broché. Un des exemplaires du Service de Presse, avec un envoi d'Eugène Dabit. Dos recollé avec plis, sinon bon état.
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Paris Gallimard 1939 1 vol. in-8, demi-maroquin havane, dos à nerfs, tête dorée, non rogné, couvertures et dos conservés (Alix), 358 pp. Édition originale. Un des 45 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre, seul tirage en grand papier. Exemplaire truffé d'une belle correspondance sentimentale inédite comprenant 6 lettres autographes signées d'une écriture très dense (10 pages in-8, s.l., 7 mars au 26 mai 1935) adressée à une mystérieuse "Domenica" qui apparaît dans le Journal intime sous les initiales P.G.Le 7 mars 1935, Dabit quitte le port du Havre pour rejoindre Southampton et revient sur la soirée qu'il a passée la veille avec sa correspondante : "C'est un souvenir pareil que celui que vous laisse un songe. Et, cependant, bien précis. Je connais trop ces rues, ces quartiers, pour ne pas les revoir, plongés dans la nuit. Mais ils m'apparaissent encore différents, à cause de vous. Quels promeneurs étrangers nous faisions dans ces rues désertes (...) Je voudrais être encore avec vous"... Le 4 avril, il a vu sa correspondante pour la quatrième fois : "Sans doute est-ce la lecture de mes romans qui vous a fait porter sur moi votre pensée. J'aurais pu ne pas être, ou très mal, "l'homme" de mes livres - que je ne prends au sérieux, ainsi que la littérature, l'art, que dans la mesure où ils m'aideront à vivre chaque journée." Il évoque la similitude d'esprit qu'il décèle chez sa correspondante et demande : "Et pourquoi donc résister à cette attirance ? Au nom de quoi ? à cause de quels principes ? quelles vertus sociales ou morales ?" ; et d'ajouter : "Je voudrais que mes lettres, moi-même, vous fassent penser, fut-ce très faiblement, qu'il n'est pas absolument vain de continuer à vivre, même quand on a perdu ce qui vous fût et vous restera le plus cher dans cette vie terrestre (...) Peut-être vivrons-nous encore quelques mois, une année, plus, je ne sais. Et si nous vivons, nous irons ensemble plus loin sur notre route"... Le 16 mai, il évoque son prochain (et ultime) roman, La Zone verte : "J'ai fini de corriger les 200 pages de mon roman (...) Je ne sais plus qu'en penser, il ne m'appartient plus ; je pense qu'il garde tout de même quelque chose de mon désir et de mon amour". Il se réjouit de revoir sa correspondante le samedi suivant. Le dimanche 26, il décrit avec moults détails pittoresques une longue flânerie à la porte des Lilas et regrette : "J'aurais tant souhaité que vous fussiez là... que vous plongiez dans ce bain"... Eugène Dabit disparaîtra prématurément dans sa trente-huitième année l'été suivant au cours d'un voyage en U.R.S.S. Très bel exemplaire.
Paris Gallimard 1934 1 vol. broché in-4, broché, 256 pp. Édition originale. Un des 16 exemplaires de tête réimposés sur vergé Lafuma-Navarre comprenant un bel envoi de l'auteur à Suzanne et Jean Raoul-Duval, assorti d'un grand portrait original à la plume du héros du livre (un petit bourgeois compassé), avec cette note "Le prochain sera plein de soleil !", en référence à son livre, "L'Ile", publié quelques mois plus tard et situé aux Baléares, loin des faubourgs de Paris ! Brunissure à un feuillet (p. 210-211) et dos très légèrement passé, sinon bel exemplaire.
Paris Gallimard 1934 1 vol. relié in-4 tellière, demi-maroquin marron à gros grain, dos à quatre fins nerfs, plats de papier marbré, tête dorée, non rogné, couvertures et dos conservés (Honnelaître), 256 pp. Édition originale de cette fiction tendrement caustique qui retrace en quatre jours (de son décès à son enterrement) la vie d'un mort. Un des 16 exemplaires de tête réimposés sur vergé Lafuma-Navarre, celui-ci truffé d'une lettre autographe signée de Jean Paulhan adressée à l'auteur (1 p. in-8 à l'en-tête imprimé de la Nrf, s.d. "Mardi") mentionnant l'ouvrage : "Je lis le Mort tout neuf, que je trouve très plein, très dru". En parfaite condition.
[Chez E. Quentin, A la Librairie Blériot] - DABOT, François, Fursy & Henri
Reference : 61611
(1899)
2 vol. in-12 reliure pleine percaline marron, reliure signée Henry-Joseph, Chez E. Quentin, Péronne, A la Librairie Blériot, chez Henri Gautier, Paris, s.d. [ circa 1899 ], 84 pp. ; 120 pp. et 1 f. Rappel des titres : Registres, Lettres et Notes d'une Famille Péronnaise [Suivi de : ] Lettres d'un Lycéen et d'un Etudiant de 1847 à 1854, pour faire suite aux Registres, Lettres et Notes d'une Famille Péronnaise
Rare ensemble réunissant les deux ouvrages en édition originale, chacun d'eux enrichi d'un envoi signé de l'auteur : "Hommage respectueux à Mr. de Chantepie de mon petit livre de raison" et ""très respectueux de mon souvenir de Louis le Grand, à M. de Chantepie, l'un de ses plus brillants élèves". Le premier titre est enrichi d'une belle note autographe du grand bibliophile Gustave Mouravit : "Les publications de l'avocat Dabot, non mises dans le commerce et fort curieuses, sont d'une excessive rareté. Je possède, avec celui-ci, les "Lettres d'un Lycéen", qui y font suite. L'un et l'autre exemplaire portant un intéressant envoi autographe à Mr. de Chantepie". En fin du second titre, on trouvera une lettre du Directeur du "Journal de Péronne" adressée à Gustave Mouravit, évoquant ces ouvrages d'Henri Dabot ("Depuis longtemps ils sont épuisés, lui même payant 10 fr. l'exemplaire à tous les bouquinistes qui parvenaient à lui en rapporter". Bon exemplaire de ce livre de raison qui couvre la première partie du XIXe siècle, et de son complément, l'ensemble provenant de la prestigieuse bibliothèque du fameux bibliophile Gustave Mouravit (1840-1920), notaire à Aix-en-Provence (il fut le notaire de la famille de Cézanne) puis établi à Marseille, avec son charmant petit cachet d'ex-libris à l'encre violette aux initiales M. et G (à l'envers).
Marseille Via Valeriano 1994 1 vol. broché in-8, broché, couverture illustrée à rabats, 85 pp. Edition originale avec un bel envoi autographe signé de l'auteur à J.-B. Pontalis. Bon état.
Ed. Denoël, Paris, 1992. 216 pages. Très bon état. Bords de couv. et dos jaunis, intérieur frais et propre, sans annotations. Envoi autographe signé de l'auteur.
Les prix indiqués sont nets, en euros. Les frais de port, calculés au plus juste, sont à la charge de l'acheteur. Envoi par Mondial Relay (France et certains pays européens), la Poste (Lettre suivie ou Colissimo, France et à l'international, tarif livres et brochures possible). Les livres sont expédiés sous emballage soigné dès réception du règlement par chèque ou Paypal.
Paris Gallimard 1992 1 vol. broché in-8, broché, 419 pp. Edition originale avec un envoi autographe signé de l'auteur. Très bon état.
Un des 1500 exemplaires sur papier Vélin d'Alfa biblio numérotés (n° 1215), 1 vol. in-8 br., A. Delayance, La Charité-sur-Loire, 1932, 79 pp. et 2 f..
Très bel envoi de Madame Alban Aribaud : "A Monsieur Jean Henri Anglade, banquier à Bordeaux, ce "Vin sous les Pharaons", ouvrage qui m'avait été dédié par mon mari. Il vous l'aurait offert en hommage du réconfort et de l'amitié, dont vous nous avez entourés". Bon exemplaire (très bon état). Propriétaire de la banque Anglade de 1938 à 1974, Jean henri Anglade fut longtemps le directeur du Grand-Hôtel de Bordeaux.
paris Editions de Flore; collection "Les Grands Romans Romanesques". 1948 1 Un volume broché de format in 8° carré de 248 pp.; couverture en couleurs conservé. Reliure de l'éditeur en pleine toile brune, titre doré au dos.
Bon état. Papier de Guerre. Très bel envoi autographe signé à un haut responsable français en Egypte. Voir les photos. Pâles rousseurs sur les gardes. Peu fréquent.
D'AGUESSEAU Henri François - [Limoges 1668 - Paris 1751] - Magistrat français
Reference : GF23610
1 page in-folio - bon état -
"Le renouvellement de zele et d'application avec lequel je suis persuadé que vous remplirez ... les fonctions de votre ministère adjoutera beaucoup au plaisir avec lequel je reçois les voeux..." -
D'AGUESSEAU Henri François - [Limoges 1668 - Paris 1751] - Magistrat français
Reference : GF23611
1 page in-folio - bon état -
Il remercie pour des voeux en se disant persuadé "que vous remplirez avec le même zele pour le bien public"...qu'avant -
maison couronne de France en la Chancellerie establie prés le Parlement de Bordeaux...Paris le onzième jour de novembre 1717. Pièce signée Daguesseau, contresignée au verso par Dupuy. Grand parchemin (50x33,5cm), un peu marqué aux plis, texte très lisible bien que lgt pâli. La pièce ne porte pas trace du sceau annoncé.
Signature autographe de
1965 Moulins, Editions des “Cahiers Bourbonnais“, 1965; in-8° broché, couverture planches, titre en noir et rouge et illustration en couleurs au 1er plat, titre en noir et rouge et dos; 142pp. - (3)ff. Illsuré de nombreux dessins dans le texte ou à pleine page en noir.Petite trace de plis aux cois de la couverture, déchirure au 2ème plat sur 1cm, très pale tache rousse au 2ème plat. Bon exemplaire de l'édition originale.
L'auteur, originaire de l'Orléanais (Lorris), venu s'installer en Forêt de Tronçais, fut membre de l'équipage La Tour d'Auvergne. Envoi autographe signé de l'auteur, daté de “Forêt de Tronçais , Les Chamignoux, 1966“. (Reu-CO1)
Carte de visite , collée dans un pli affranchi , formant enveloppe, adressé au Docteur Lescarbault à Orgères ( Eure-Loire) ( cachets postaux 29 et 31 Mars 1873), avec 4 lignes autographes monogrammées de Daguin. Il remercie " M. Lescarbault de l'envoi de la photographie et surtout de la dédicace flatteuse...".
P.A. Daguin, ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure ( 1835) fut professeur à la Faculté des Sciences de Toulouse et directeur de l‘Observatoire de Toulouse. Il est l’auteur de: Traité élémentaire de physique théorique et expérimentale avec les applications à la météorologie et aux arts industriels ... Toulouse , Privat… 1867-68 . / Cours de physique élémentaire avec les applications à la météorologie . Toulouse, Privat , 1863 . /Sur une aiguille libre et sur une nouvelle disposition de la boussole d'inclinaison, Toulouse ( 1866)., etc.Thèses de doctorat présentées en 1846: ( PHYSIQUE) Sur les propriétés physiques et la constitution moléculaire des corps solides . (CHIMIE) : De la dissolution et de la cristallisation, et des phénomènes qui se produisent quand on mélange deux dissolutions. (CLGr)