1 page in8 - trés bon état -
Amicale lettre de félicitations - "Mon coeur se réjouit de ce que ma tête approuve"...
Acte notarié de la chancellerie Royale concernant la cession pour six ans du "bail a ferme des fruictz et revenu du domaine" du Duché d'Alençon, à compter du 1er octobre 1613 au 1er octobre 1619, comportant notamment les signatures autographes de Concini (Maréchal d'Ancre) et de Marie de Médicis. Douze pages et demi sur quatre feuillets double (215 X 300 mm) retenus ensemble par un cordon.
IMPORTANT DOCUMENT NOTARIAL qui regroupe les signatures de CONCINO [Concini], Phelypeaux [Maître Jehan, sieur de Villesanain, conseiller et secrétaire du roi], J.[ehan]-J.[acques] de Mesmes [seigneur de Roissy, conseiller du roi], Arnauld [Isaac, conseiller d'état et intendant des finances], L.[ouis] Dolle [conseiller du roi], Bullion [Claude de, sieur de Bonelle, surintendant des finances sous Louis XIII], Marescot [Guillaume, conseiller du roi], Dangloix, Morlon, [Maître Alexandre] Duplex et Marie [de Médicis]. Le fait que Concini ait signé par son prénom montre la puissance dont il jouissait ainsi que son ambition royale depuis la disparition d'Henri IV (1610). Concino Concini (Florence, 1575 - Paris, 1617) était fils d'un notaire de Florence. Sa jeunesse fut déshonorée par tous les désordres ; ruiné par la débauche, il parvint à se faire recevoir comme gentilhomme dans la maison de Marie de Médicis et suivit en France cette princesse dont il épousa la femme de chambre et la favorite, Léonora Dori, dite Galigaï. La faveur dont jouissait sa femme auprès de la reine lui permit de faire une carrière rapide après la mort de Henry IV : marquis d'Ancre, maréchal de France, il exerça le pouvoir (1611) avec tyrannie et avidité. Devenu l'amant officiel de la reine, il se retrouva à la tête d'une fortune considérable : les vastes terres d'Ancre et de Lésigny, deux hôtels dans Paris, le bâton de Maréchal de France, la charge d'intendant de la maison de la reine, les gouvernements d'Amiens, Péronne, Roye, Montdidier, etc.. Cette scandaleuse et prodigieuse fortune lui valut de solides inimitiés. Il se fit détester par la noblesse et les princes par son insolence et son ambition, du peuple par ses exactions et son despotisme, du jeune roi Louis XIII enfin par tous ces motifs et en même temps par l'avilissante tutelle qu'il prétendait faire peser sur lui. Mais le 24 avril 1617 toute cette puissance s'écroula. Conseillé par de Luynes qui n'avait de cesse de lui dépeindre Concini comme usurpateur de la puissance royale, Louis XIII ordonna son arrestation avec ordre de le tuer s'il résistait. Vitry, capitaine des gardes, dressa une embuscade et fit massacrer Concini au moment où il allait entrer au Louvre. Le cadavre de l'aventurier italien fut traîné par les rues, découpé en morceaux et brûlé devant la statue d'Henri IV (on l'accusait avec plus ou moins de vraisemblance d'avoir trempé dans le meurtre de ce roi). On prétend même qu'un furieux fit rôtir son coeur sur des charbons et le mangea publiquement. Sa femme fut condamnée à mort par le parlement et décapitée en place de Grève, où les deux parties de son corps furent livrées au bûcher et les cendres jetées au vent. Louis XIII remit alors l'autorité à son favori de Luynes et éloigna sa mère, Marie de Médicis, de la cour. BEAU DOCUMENT. La signature autographe de Concini est RARISSIME ; sa réunion avec celle de Marie de Médicis lui confère un caractère EXCEPTIONNEL. FINE COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
Phone number : 06 21 78 12 79
Affiche au format 67 x 50 cm. A été hélas mal roulée et comporte de ce fait de légers plis transversaux (voir image).
Ce défaut est compensé par le fait que l'affiche comporte la signature de Claude Confortès... Rare affiche (années 70)pour cette pièce qui fut, on le rappelle, traduite en 30 langues. Plusieurs dessinateurs en réalisèrent une affiche - il faut dire que Claude Confortès fut l'un des pionniers de l'adaptation de bandes dessinées au théâtre en portant à la scène Reiser et Wolinski.
Bédéfil, 1985. In-4 broché à l'italienne, couverture à rabats montée... à l'envers ! Couverture un peu défraîchie.
Rare exemplaire de ce tirage broché de l'édition originale, on trouve plus facilement le cartonnage couleurs. Agrémenté de la signature de Conrad et Commenge.
Paris Gallimard 1947 1 vol. broché in-12, broché, 142 pp. Edition originale en service de presse avec un envoi de l'éditeur "à M. Georges Bataille, hommage de G. Jean-Aubry".
Paris Simon Kra 1926 fort in-8 Broché Edition originale
Edition originale de la traduction française de Marc Chadourne. Exemplaire portant une mention de seconde édition, avec un ENVOI autographe signé du traducteur. Non coupé. Très bon exemplaire 0
Lyon, Paris, collection " Singuliers et mal Connus ", (N° 2), 1959. In-12, broché, non coupé, 164 pp.
Envoi autographe de l'auteur à R Wintzen. Photos sur demande.
Conseil d'Administration de la Compagnie des Chemin de Fer de l'Ouest ; BLOUNT, Edward-Charles
Reference : 41940
(1880)
1 registre in-folio reliure demi-basane marron, 400 pp. dont 18 seulement manuscrites, 1880-1883 : Détail du Contenu : Séance du 17 Novembre 1880. Commission du Budget de 1881 / Séance du 19 Novembre 1880. Commission du Budget de 1881 / Séance du 8 Février 1881. Commission du Budget de 1881 / Séance du 11 Février 1881. Commission du Budget de 1881 / Séance du 20 décembre 1881. Commission du Budget de 1882 / 3 extraits des délibérations / Séance du 1er Mai 1883. Commission du Budget de 1883. Les PV sont tous certifiés, signés par le Président Ed. Blount
Financier et diplomate britannique, Sir Edward-Charles Blount fut président de la Compagnie des Chemins de Fer de l'Ouest de 1880 à 1894. Mauvais état (reliure très abîmée avec très fortes mouill. colorées, un des feuillets manuscrits débrochés). Prix en l'état pour cet intéressant témoignage historique.
"Messieurs, le soussigné à l'honeur de vous représenter qu'ayant été nomé jugé de paix du canton de Montpézat, à la pluralité de trois cent trente-trois voix - sur cinq cent trente six, il a la douleur de voir que, par des opositions déguisées, il est dans l'impossibilité de remplir ses fonctions & de s'acquiter envers le public des devoirs que sa charge lui impose. Quelques habitants de Montpézat dont les motifs ne sont peut-être pas tout à fait désintéressés, ont formé la prétention de m'obliger à aller prêter serment devant le Conseil Général de la Comune du chef lieu du Canton, & de m'assujetier à doner trois jours de la semaine des Audiences réglées dans leur ci-devant Parquet ; et pour réussir dans leur projet, ils ont engagé Me Martine de Bonefon, Président de l'Assemblée à empêcher le Secrétaire de prendre l'extrait du procès verbal qui doit m'être remis pour l'envoyer au greffe du Tribunal du District." etc etc. , soit une lettre manuscrite de 8 pp. au format in-4, On joint : Extrait de la délibération prise par le Conseil Municipal de la Commune de Tonneins La Montagne dans la séance du 9me Pluviose, 3me Année de la République, concernant une pétition présentée par "Blavignac Père à l'adresse du district, et renvoyée à la municipalité pour avoir son avis, la dite pétition tendante à se plaindre de ce que sur la réquisition des fourrages faite en vert du 9 Nivose, le dit Blavignac est porté pour 40 quintaux"...
Deux documents manuscrits de la période révolutionnaire concernant le district de Tonneins.
CONS, Henri - MOY Léon - LECENE Henri (Documents autographes des auteurs et éditeurs).
Reference : c5281
Paris, Société française d'Imprimerie et de Librairie, sans date ( vers 1887); in-4°, demi-chagrin rouge de l'éditeur, dos à nerfs orné de fleurons dorés, auteur et titre dorés, plats de toile chagrinée rouge, tranches dorées; 317pp., ( 1)f. Illustré de 22 gravures dans le texte ou à pleine page par Sadoux.Plusieurs petites décolorations à la toile des plats, quelques piqûres.
On a joint à l'exemplaire: -1) L' Engagement manuscrit de Léon Moy et Henri Cons,devant notaire , sur papier timbré ,d'écrire pour Lecène et Oudin "le Nord Pittoresque" ( en 320pp.), daté du 26 octobre 1886 et comportant les signatures de Lecène, Cons, et Moy ( 2pp. in-8°). - / - 2) La lettre d'envoi autographe signée de Henri Lecène, à l'entête de Lecène et Oudin , du dit engagement, que Cons doit faire signer à Moy.Daté du 27 octobre 1886. 1p. in-12°. - / - 3 ) 1 carte de visite de Henri Cons, comme Recteur de l' Académie de Poitiers ( petits trous - / - 4 ) Une carte d' invitation imprimée pour venir au Rectorat. ( GrMG)
1 page in8 - bon état -
Il le prie de remettre à sa bonne les ouvrages sur l'Autriche et la Prusse qu'il a bien voulu lui prêter pour M. Victor Tissot - Ces livres lui seront rendus "trés exactement" - Il lui rappelle aussi qu'il lui a promis sa brochure sur l'Alsace - rare -
1 page 1/2 in8 - bon état -
Son frère, Justin Amero est né à Toulon, le 8 aout 1825; mais il n'était plus membre de leur société quand il est mort - Son frère, dont le caractère s'était beaucoup altéré, avait donné sa démission "pour se dérober au paiement de plusieurs années de cotisation" oubliant que la société lui était plusieurs fois venue en aide - Le Bulletin fait d'ailleurs mention de sa mort -
Préface de Paul Hervieu, de l'Académie Française. Cinquante eaux-fortes par G. Jeanniot. Tous les cuivres qui ornent cet ouvrage ont été biffés, après quoi un exemplaire a été imprimé et déposé à la Bibliothèque Nationale. Le papier de cuve fabriqué spécialement, est filigrané : "Adolphe" - "Benjamin Constant" - "G. Jeanniot" - Arche 1901".Un des 100 Exemplaires sur Arche. Frontispice en 2 états. Très bel exemplaire, bien relié. Truffé d'une Lettre Autographe Signée de l'illustrateur. Copie d'un envoi de l'auteur sur une eau-forte, signée et datée (1818).Paris, non nommé, 4 rue Picot - 1901 (page de titre) 1902 (achevé d'imprimer) - IX et 168 pages. Ex-libris H. Grandjean.Belle reliure demi maroquin prune grain long, à coins. Dos à 5 larges nerfs filetés dorés. Fleurons mosaïqués et dorés. Fers en tête et en pieds. Filet doré bordant les plats. Pas de rousseur. Parfait état. Format in-4°(28x21).Benjamin Constant de Rebecque (1767-1830), est un romancier, homme politique, et intellectuel français d'origine vaudoise. Républicain et engagé en politique depuis 1795, il soutiendra le Coup d'État du 18 fructidor an V, puis celui du 18 Brumaire. Le cahier rouge en 1807 et Adolphe en 1816 sont ses 2 romans les plus connus.Pierre Georges Jeanniot (1848-1934), est un peintre, dessinateur, aquarelliste, et graveur français. Il se lie d'amitié avec Édouard Manet, Pierre Puvis de Chavannes, Jean-Louis Forain, Paul Helleu, mais surtout avec Edgar Degas. Il a été un des collaborateurs assidus de la revue La Vie moderne qui affichait les signatures de Théodore de Banville, Alphonse Daudet, Giuseppe De Nittis, et Jeanniot.
JEANNIOT Georges
in-8, 1 p. et adresse à Monsieur Charles Dumons, élève en médecine, rue et Isle St Louis à Paris, du 8 octobre 1827; “Je suis bien sensible, Monsieur, à ce que vous m’écrivez sur Adolphe. Absent de Paris, depuis deux mois, je m’empresse de vous répondre, pour que vous n’attribuiez qu’à mon absence le retard de ma réponse. À mon retour à Paris je serai charmé de vous voir... Benj. Constant. Brumath près Strasbourg; Cachets de la poste.”
Reliée avec “Adolphe. Précédé d’une préface par M. de Lescure”, Paris, Jouaust, 1879; in-12, bradel demi-maroquin grenat, titre doré, couverture conservée, tête dorée, portrait gravé par Félix Régamey. Bon état général.
Phone number : 06 60 22 21 35
Craïova (Roumanie) 9 octobre 1900 | 14.70 x 22 cm | deux feuillets rédigées au recto
Deux lettres autographes signées de Constantin Brâncu?i adressées au Préfet du département de Dolj et rédigées à l'encre brune et noire, l'une sur un morceau de papier ligné (14,7x22cm) et l'autre sur papier blanc d'un format supérieur (27x19,5cm). La première lettre est rédigée à l'encre sur un feuillet et porte le numéro d'enregistrement «12981» suivi du sigle «pPG» et signée du nom entier de l'artiste: «Constantin Brâncu». En bas à gauche de la page se trouve une annotation manuscrite de Brâncu?i: «j'ai reçu l'ordonnance», suivie de sa signature «C. Brâncu» et non pas «Brâncusi» ou «Brâncu?i», comme il signera après son arrivée à Paris. La seconde missive est écrite à l'encre sur une demi-feuille de carnet et contient le même message, la même signature et un numéro d'inventaire similaire. Un timbre de 10 bani (centimes) est collé en haut à gauche. Le côté gauche en dessous du timbre est découpé, ainsi que Brâncu?i procédait: il retirait les timbres ou effaçait une information qu'il ne souhaitait pas conserver. Ces deux importantes lettres viennent documenter un chapitre important de la biographie de l'artiste concernant ses études financées en partie par le département de Craïova. Le 28 septembre 1898, Brâncu?i achève avec succès sa scolarité de cinq ans à l'École des métiers de Craïova - chef-lieu de sa région natale - et s'inscrit à l'Ecole des beaux-arts de Bucarest. Il obtient des bourses de l'église Madona Dudu de Craïova qui l'aident à continuer ses études. Il est vite remarqué par ses professeurs à Bucarest qui lui accordent des prix pour la réalisation de bustes, tels Laocoon et la sculpture à l'antique Étude d'après Mars Borghese. En octobre 1900, Brâncu?i adresse une demande de bourse au Préfet du département de Dolj (dont la capitale est Craïova) qui l'aide à suivre «ses études pendant le trimestre d'octobre» et précise que cette bourse lui a été accordée par le Conseil départemental du budget 1900-1901. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris 17/30 janvier 1908 | 21 x 35 cm | une page sur un feuillet
Déclaration autographe datée et signée de Constantin Brâncu?i à M. Costadi, attaché à la légation roumaine de Paris, rédigée à l'encre noire sur un feuillet de papier blanc. Timbre à sec et trace d'un tampon. Quelques pliures transversales. La déclaration est signée avec son nom complet qu'il gardera désormais: «C. Brâncusi» et datée «17/30 janvier 1908» - les deux dates témoignent de la coexistence des calendriers grégorien et julien dans les principautés roumaines du début du XXè siècle. Dans cette déclaration rédigée le 30 janvier 1908, Brâncu?i s'adresse à la légation roumaine de Paris représentée par M. Costadi. Il confirme par la présente la réception de la somme de mille deux cents lei et précise qu'il ne sollicitera plus d'aide de la Maison des Ecoles (section du futur ministère de l'Enseignement et de la culture) pour l'année en cours. Cette subvention est la dernière qui lui sera accordée par un établissement roumain. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris janvier 1914 | 21 x 28.50 cm | une page sur un feuillet
Très importante lettre autographe signée de Constantin Brâncu?i adressée au Ministère roumain des cultes, rédigée à l'encre noire sur un feuillet de papier blanc. Timbre à sec et timbre postal à l'encre. Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Dans cette lettre datée de janvier 1914 et adressée au ministre des Cultes, le sculpteur demande l'autorisation de faire entrer certaines de ses sculptures en Roumanie à l'occasion de l'exposition de la société «Tinerimea Artistica» (La Jeunesse artistique). Brâncu?i se trouve alors à Paris comme en témoigne son adresse: «54 rue du Montparnasse». Une liste des uvres étaient visiblement jointe à cette lettre mais elle a, hélas, disparu. Cette missive témoigne des liens étroits entretenus entre Brâncu?i et les artistes roumains de la «Tinerimea Artistica» qui organise depuis 1908 des expositions regroupant peintures et sculptures. En mars 1914 Brâncu?i présente six uvres dont La Prière (1907), Le Baiser (1907-08), Mademoiselle Pogany (1913) à la quatorzième exposition de cette importante société artistique. Il est déjà à cette époque un sculpteur de renom: la présence de cinq de ses uvres à l'Armory Show à New York (17 février - 15 mars 1913), où sa sculpture Mademoiselle Pogany a provoqué un scandale par sa modernité au côté du Nu descendant un escalier de Marcel Duchamp et lui a permis de devenir l'un des artistes majeurs de la deuxième décennie du XXèsiècle. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris , Les Editions Rieder, 1930 ; in-8°, broché, couverture crème imprimée en noir et rouge ; 231pp.; couverture un peu défraichie, infime manque de papier en marge d'1 feuilet en tête ( du à une mauvaise découpe),petite trace de doigt à 1 feuillet, sinon intérieur frais.
Edition originale , 1 des 700 exemplaires sur Tour Clermont Vincent Montgolfier azur, celui-ci non numéroté.Envoi autographe signé de l'auteur au faux-titre. (CO1).
Paris Rieder, Sequana 1931. In-12 broché 216pp 2 feuillets non chiffrés. Edition originale. Exemplaire spécialement tiré sur papier chiffon de Corvol l'Orgueilleux pour les Sequana Sélections. Exemplaire frais et complet, enrichi d'un envoi de l'auteur. (4479)
Paris, Les Editions Rieder, 1930; petit in-8°, broché, couverture jaune imprimée en noir et rouge; 231pp.Exemplaire non coupé.
Envoi autographe signé de l' auteur à José Germain ( CO1)
1930 RIEDER 1930 ,in8 ,E.O.-br.envoi aut.auteur-un des 700 ex.num./velin azur-leg.débroché.
edition originale Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1930 Paris Editions Rieder S.D. (1930 )in8, broché, couverture rempliée, "collection le paon blanc", .235pp illustrées de bois couleurs ht, Première édition illustrée par Pierre Falké. Un des 150 exemplaires numérotés sur vélin Vidalon.enrichi d'un envoi autographe de Maurice Constantin Weyer
1942 Paris, Emile-Paul frères, 1942 ; petit in-4° broché de 203pp., 1p.nch., 1f. Frontispice, et bois gravés dans le texte en noir par Jacques-M-Bié. Tirage total à 250 exemplaires numérotés, celui-ci 1 des 150 sur velin du Marais auquel on ajouté 2 états du frontipisce et de 2 autres bois en sépia et violine. (cf Cartret T.V).
Très petites déchirures bordure de la couverture avec un infime manque; trace de doigt au faux-titre. Ex-libris cachet. Envoi autographe signé de l'auteur (nom du dédicataire effacé). (GrD2)
Paris et Uzès Emile-Paul et Henri Péladan 1982 1 vol. broché in-8, broché, non coupé, 306 pp. Edition en partie originale. Un des 330 exemplaires de tête numérotés sur Japon mat, celui-ci hors commerce. On joint le prière d'insérer et une longue carte autographe signée de l'auteur adressée à Madame Henri Flammarion. Bel état, non coupé ni rogné.
CONSTANT Jean-Joseph- Benjamin, dit Benjamin Constant ( 1845 - 1902), peintre et graveur
Reference : 12267
Lettre de Paris,du 9 janvier 1896, . Benjamin Constant est allé au Vaudeville et félicite Henri Lavedan pour sa pièce "Viveurs" en évoquant la commédienne Réjane: " Jamais on ne s'amuse plus au dépens de ceux qui s'amusent ou qui croient s'amuser! Jamais le stupide fêtard ne reçut plus vigoureux coup de fouet! Et tout cela dans une verve à tout casser et de l'esprit à revendre. Aussi Réjane cette admirable comédienne est-elle servie à souhait par l'auteur de "Viveurs", elle serait à peindre tout le temps si elle n'était pas plus intéressante à écouter…".
1page 1/2 in 12. ( ClGr4)