[Cherbourg ?], 1849. In-folio, [14 db. ff.], cartonnage à dos de toile brune, plats de percaline verte (frottements et manques au cartonnage, petites rousseurs, taches).
Cahier de leçons calligraphié par Joséphine Lavigne, alors âgée de 15 ans, élève à la Maison de la Providence. Chaque leçon s'étend sur une double page, rédigée à l'encre et se déployant dans un encadrement élaboré. On y trouve un cours relatif au temps de conjugaison, un sur l'analyse grammaticale, un sur l'analyse logique, des leçons de mathématiques-comptabilité (compte de recettes et dépenses, intérêt), de l'histoire religieuse, un tableau des départements de France et un second dans lequel on précise le nombre d'habitants, les spécialités et industries des départements, une chronologie des rois de France. Elle a découpé, collé et rehaussé de couleurs une mappemonde et une carte de la France. Face à cette dernière elle a fabriqué une montre géographique, une volvelle, permettant de déterminer l'heure dans plusieurs lieux dans le monde. Intéressant et joli témoignage de l'éducation des jeunes filles en France à la moitié du XIXe siècle. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Paris Seghers, coll. "Poésie 50" 1950 1 vol. broché plaquette in-12, agrafée, couverture à rabats en couleurs sur fond crème, 35 pp. Edition originale. Envoi à G.-E. Clancier. Dos et couverture légèrement jaunis, sinon bon état.
Paris Seghers, coll. "Poésie 52" 1950 1 vol. broché plaquette in-12, agrafée, couverture à rabats en couleurs sur fond crème, 30 pp. Edition originale. Envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Dos et couverture légèrement jaunis, sinon bon état.
1907 Paris, Emile-Paul, éditeur, 1907; in-8 broché de 240pp.; couverture bleu pâle illustré d'une vue ancienne , titre imprimé en noir et rouge au 1er plat en noir au dos. Illustré de photographies et hors texte. Envoi autographe signé de l'auteur. Dos cassé , manque de papier au dos.
Edition originale. (CO1/CH1)
1917 Limoges, Imprimerie Guillermot et de Lamothe, 1917 ; brochure in-8° agrafée, couverture gris-vert imprimée en noir; 7pp. Photographie en frontispice et dessin de blason reproduit à pleine page à la fin.
Envoi autographe signé sur le 1er plat de la couverture.( couverture jaunie, petite déchirure en marge des feuillets , très petits manques de papier , sans aucune atteinte au texte). ( Cl Gr)
Paris, Alphonse Lemerre, 1892 ; in-12°, broché, couvertrure jaune imprimée en noir; (4), II, 108pp., 1f.Très petits acrocs en marge de la couverture,avec manque au dos en pied et tête; petit pli au 1er plat, rares piqûres
Edition originale, comportant au faux-titre un envoi autographe de l' auteur à E. Gallus . (GrD)
Paris Léon Vanier 1889 1 vol. relié in-16, bradel demi-percaline rouge à coins, tête dorée, couvertures illustrées en couleurs et dos conservés, 158 pp. Edition originale avec un envoi de l'auteur. Epidermures au cartonnage. Sinon bon état, intérieur très frais.
paris hachette 1916 in12 XXVIII+345 pp demi basane , dos lisse ornés de triples filets dorés, titre doré, avec un envoi autographe
bon état, agréable reliure
Paris, Hachette, 1879 ; in-8°, broché, couverture vert d'eau imprimée en noir; (4), XI, 324pp., (2)ff. Dos de la couverture jauni, quelques taches de poussière noire au 2ème plat, le premier et dernier feuillets blancs de garde sont très roussis, sinon très rares piqûres au texte, petite tache ronde d'1 cm de diamètre en bordure de la marge externe des 4 premiers feuillets.
Edition originale. Rare envoi autographe signé de l'auteur au faux-titre. ( GrD2)
1 Cahier manuscrit, sans lieu ni date, in-12, broché, couverture quadrillée, 28 pp. (non paginé).
Fragilités et taches à la couverture.
Choix traduit et présenté par Lorand Gaspar et Sarah Clair. Paris : Gallimard (Collection Poésie), 1996. Nouvelle édition bilingue augmentée. Format poche, 298 pages. Avec un envoi autographe signé de Loran Gaspar adressé à Jacques Réda. Bon état.
Paris Gallimard, coll. "Du monde entier" 1949 1 vol. broché in-12, broché, non coupé, 231 pp., 8 planches en noir hors-texte. Edition originale française en service de presse avec un envoi de la traductrice "Pour Georges Bataille, en toute sympathie. Th. Aubray". Prière d'insérer joint.
Sommières 12-02-1971 | 10.50 x 14.50 cm | une carte postale et enveloppe
Carte postale autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre rouge, au verso d'une reproduction d'affichette Mystification imaginée par Jacques Yonnet "... Maintenez la tête hors de l'eau - L'immersion prolongée du nez et de la bouche peut provoquer une asphyxie mortelle", coupure de presse scotchée "en direct avec une glande virile...", enveloppe jointe. L'écrivain renseigne sa jeune amante montpelliéraine sur ses prochains déplacements : "Buttons. Je ne vous crois pas ! je suis ici pour 15 jours encore - puis Genève pour une semaine". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Sommières 2 février 1979 | 12.70 x 8.10 cm | une carte de visite sous enveloppe
Carte de visite autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Quelques lignes à l'encre. Enveloppe jointe. L'encre a légèrement bavée, l'enveloppe ayant sans doute été mouillée. L'écrivain adresse cette carte depuis Sommières, sa retraite languedocienne, à son amante Janine Brun : "Janine est-ce que vos dates sont fixés [sic] ? Je ne sais pas si je suis de retour de Londres avant le 10 samedi - écris moi pour me dire - Love, Larry" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Sommières circa 1970 | 9.50 x 6.50 cm | une carte de visite sous enveloppe
Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Sommières circa 1970 | 9.50 x 6.50 cm | une carte de visite
Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. L'écrivain donne l'adresse de son éditeur londonien à sa jeune amante française afin qu'il l'acceuille à son arrivée : "ALAN THOMAS [...] si le taxiteur n'est pas sûr dites lui que Hobury St se trove [sic] directement en face du pub WORLD'S END dans le KING'S ROAD." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Sommières 18 octobre 1971 | 15 x 10.50 cm | une carte postale
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre bleu, au verso d'une citation de Nietzsche soulignant une image humoristique. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Sommières 20-04-1971 | 10.50 x 14.50 cm | une carte postale et enveloppe
Carte postale autographe de Lawrence Durrell signée "Dracula"adressée à Jani Brun, rédigée à l'encre bleue, reproduction d'un dessin de Marcel Vaysse "Ils sortent...tous les soirs", enveloppe jointe. L'écrivain nargue avec humour sa jeune amante montpelliéraine : "Darling Janie - maintenant qu'il fait beau la saison est ouverte et malgré mon age je reçois pas mal des invitations; souvent les filles de dix ans m'envoient des propositions inscrites par télégramme. J'estime que le rôle de papa gâteux me va bien ("le gâtisme c'est le relachment des sphinctères" (Dictionnairemedicale - Pujot)". Je vais en Grèce avec, une, 2, 3, 4 fille(s) plus fidé(?) que vous pour faire des reportages appellation contrôlée. D'avoir soixante ans et d'être aimé (très mal d'ailleurs) par les vampires - n'est pas que c'est splendide ? Dracula" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Sommières 20 juin1968 | 14.60 x 10.20 cm | une carte postale
Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photographie surmontée de la légende humoristique "Finies les vacances !! Les blés sont fauchés / Les vacanciers aussi !!" L'écrivain tente de revoir sa jeune amante française entre deux déplacements : "Dear and pretty chapeau jaune. je suis au mazet vendredi mais chez moi le soir. Vendredi je suis seul. phone-moi veux-tu ? si possible ? Car je m'en vais à Paris dimanche soir pour trois jours mais j'attends un coup de téléphone de là bas pour décider". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. d. [circa 1970] | 12.70 x 8.10 cm | une carte de visite
Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir et comportant quelques taches. L'écrivain informe sa jeune amante française d'un imminent départ à Londres, où il venait fréquemment visiter son éditeur : "Je suis chez Alan Thomas. 16 Holbury St. Chelsea. Faites moi signe quand tu veux [sic] Love, Larry" . Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Rhodes Octobre 1979 | 21 x 10 cm | une carte postale
Suggestive carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre bleu, au verso d'une reproduction de sculpture représentant une fontaine aux hippocampes de Rhodes. Petites traces de pliures angulaires sur la carte postale. "Rhodes ! J'arrive à Paris Dimanche 19 pour deux nuits. Sera tu la [sic]? Disponible ?Je decend chez l'hotel Royale comme d'habitude. Le tournage est fini ce soir ! Ouf ! Love. Larry." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Sommières 6-10-1971 | 10.50 x 15 cm | une carte postale
Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une reproduction d'un dessin d'Eben "Etes-vous con...ducteur?". L'écrivain donne rendez-vous à sa jeune amante montpelliéraine : "... j'arrive vers midi à l'Hôtel Royale [...] si tu es occupée viens me chercher au Coupole le soir. Tout est arrangé avec Liege pour nous recevoir ! J'espère que la pièce mérite notre déplacement. Love. Larry". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Sommières 16 septembre 1971 | 17.90 x 12.80 cm | un feuillet
Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre bleu. L'écrivain présente ses excuses à sa jeune amante française, à qui il avait promis un voyage : "Je suis vraiment navré pour le voyage. mais un peu plus tard. L.D." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Sommières 10 novembre 1969 | 13.90 x 10.10 cm | une carte postale, enveloppe jointe
Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir au verso d'un dessin humoristique. Enveloppe jointe. L'écrivain donne des nouvelles de sa vie dans sa maison de Sommières à son amante française : "Je me force de [sic] travailler un peu - c'est à dire je tripote des livres, des nuages, des femmes, et des calembours [...] Il pleut. Je coupe du bois aussi et bientôt il faut que je ramasse les mûres. Much love, Larry D". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Malibu s. d. | 10.50 x 15 cm | une carte postale
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo d'une plage de Malibu. "Buttons hola ! L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui. Pourtant on est très bien traités et je joue un peu le rôle de Scott Fitzgerald à Malibu.". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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