1 vol. in-8 br., Fayard, Paris, 1959, 251 pp.
Envoi de Robert Escarpit "en réparation d'un jugement inconsidéré". Etat très satisfaisant (traces d'adhésif en garde).
Paris Flammarion 1971 1 vol. broché in-12, broché, non coupé, 219 pp. Edition originale. Un des 25 exemplaires numérotés sur vélin alfa (seul grand papier), celui-ci, hors commerce, porte le n° 1 et un bel envoi de l'auteur à Henri Flammarion, l'éditeur de cet ouvrage. Non coupé. Très bon état.
Paris Flammarion 1971 1 vol. broché in-12, broché, non coupé, 219 pp. Edition originale. Un des 25 exemplaires numérotés sur vélin alfa (seul grand papier), celui-ci, hors commerce, porte le n° 3. Non coupé. En très bon état.
1 vol. in-8 br., Editions Universitaires, Paris, 1989, 288 pp.
Bel envoi de l'auteur "à mon ami Albert Rèche en souvenir de nos guerres. Bien fidèlement". Remarquable exemplaire, car on y joint plusieurs feuillets de notes manuscrites rédigées (dont, surtout, 6 pages format A4, auxquels on joint un feuillet ms., son journal sur le début de l'année 1944 et le décès de son père) par Albert Rèche sur son aventure dans la Brigade Carnot. Ces notes extrêmement corrigées sont du plus grand intérêt.
8 octobre 1945 : à Ladoué, à propos d’un peintre “Claude”.”... Durant quatre et même cinq ans, Claude n’a pas voulu exposer ...” 25 novembre 1953 : 2 autres lettres.
P. A la cité des livres 1926 "le roman français d'aujourd'hui" in8, broché, 180 pages, Edition originale. Envoi autographe.
[ Lot de 4 lettres autographes signées ] 1 L.A.S. de 3 pages, datée du 11 mars 1924: Raymond Escholier y présente un bref curriculum vitae, avec le détail de ses œuvres, ses collaborations aux journaux et ses décorations ; 1 L.A.S. de 1 page grand sur papier à en-tête de la «Maison de Victor Hugo», datée du 29 octobre 1930: «Mon cher ami, Vous m’obligeriez infiniment en faisant bon accueil à mon jeune ami M. Campagne, artiste en bijoux. Vous pourriez orienter ce charmant garçon, ami de J. J. Brousson et de moi-même. Il a vraiment besoin d’un coup d’épaule […]; 1 L.A.S. de 1 page grand sur papier à en-tête de la «Maison de Victor Hugo», datée du 30 janvier 1931: «Cher Monsieur Sabatier, Je suis débordé – et il me faut pourtant faire mon service de presse pour «Cantegril» (le livret). Brun m’a dit que cinquante livrets étaient à ma disposition [… ]»; 1 billet autographe signé
Journaliste, romancier et critique d’art, Raymond Escholier (1882-1971) fut conservateur de la Maison de Victor Hugo et du musée du Petit-Palais. Très intéressant lot, contenant notamment ce véritable C.V. rédigé de sa main par l’écrivain.
1904 un volume, reliure plein maroquin vert jardin in-octavo ( binding full morocco green in-octavo) (25 x 17,7 cm), Reliure d'Epoque Signée : COCHARD, dos à nerfs (spine with raised band) décoré or et à froid (gilt and blind-stamping decoration), à filets "or" et filets à froid, titre et Auteur frappés or (gilt title) avec filet "or" en encadrement, entre-nerfs à caissons composé de 3 filets fins "or" en encadrement, filet "or" en place des nerfs avec un filet à froid de part et d'autre des nerfs, petit caisson costitué d'un filet "or" en encadrement en tête et en pied, superbe fer "aux Armes de la Ville de Paris" au centre du 1er plat, dos et partie haute du 1er plat légèrement insolés (fading), double filets "or" sur les coupes (double gilt line on the cuts), triple filet "or" sur les chasses ( 3 gilt line decoration on the turn-ins), gardes de papier marbré vert, rouge et or, envoi autographe manuscrit à l'encre violette sur la première page de garde : ".... A Madame Germaine PEYROLES (Germaine Peyroles, née le 22 mars 1902 à Montaigu (Jura) et décédée le 26 octobre 1979 à Paris, est une avocate et femme politique française, membre du Mouvement républicain populaire (MRP). Elle est députée constituante de la Seine entre 1945 et 1946 puis députée du même département entre 1946 et 1951 et entre 1954 et 1956), que tous les Militants du Parti admirent et aiment; A celle qui fut l'organisatrice de la victoire, un Ami tout dévoué offre ce souvenir de la vente-Kermesse des 19 & 20 Décembre 1936...(signé)..Raymond LAURENT, président du Conseil Municipal de Paris, secrétaire Général du Parti Démocrate Populaire...( Jean Raymond-Laurent, né le 20 juillet 1890 à Nîmes (Gard) et décédé le 26 mars 1969 à Paris, est un homme politique français démocrate chrétien, cofondateur du Parti démocrate populaire (PDP) et député sous la troisième puis sous la quatrième République. Il a été secrétaire d'État aux Forces armées en 1949 et 1950), Couverture couleur illustrée par NICOLAS MARKOVITCH conservée, Envoi Autographe manuscrit de l'Auteur à l'encre noire sur la page de faux-titre : "..A Madame Germaine Peyroles, pour que son éloquence et son charme défen,dent la beauté de Paris, Hommage Respectueux..(signé) Raymond Escholier, Justification du Tirage : 1 des 20 Exemplaires sur papier des Manufactures Impériales du Japon (N°2) constituant l'EDITION ORIGINALE, Orné de 6 Aquarelles hors-texte en couleurs de Nicolas Markovitch + de Nombreuses illustrations in et hors-texte en noir (photographies), 159 pages, 1935 Paris Editions ALPINA Editeur,
SUPERBE RELIURE......Superbes Illustrations.....SUPERBE ORIGINE.......RARISSIME......en bon état (good condition).
1963 Paris Fayard, 1963 In-8, broche, couverture illustrée en couleurs 233 pp. + 8 planches hors-texte. bon exemplaire enrichi d'un envoi de l'auteur
un petit accroc sans gravité sur second plat
Paris, Grasset, 1925 ; petit in-8°, couverture vert d'eau, vignette en noir au 1er plat, titre imprimé en brun et noir; 279pp., (1)f. Illustré de 12 bois gravés dans le texte par Pierre Lissac.Couverture un peu jauni au 1er plat et dos, exemplaire non coupé.
Exemplaire du Service de Presse ( S.P. sur la couverture) avec un envoi autographe signé de l' auteur à José Germain sur le faux-titre. ( GrF)
1972 une plaquette, brochée bleue in-octavo (paperback in-8)(19,5 x 14,5 cm), dos et couverture imprimés en noir (cover printed), toutes tranches non rognées (edges no smooth) en partie non-coupé, envoi autographe manuscrit à l'encre noire sur la page de faux-titre : "...à Jean Pierre et Eliane Foucher (Poète Nantais), ce poème d'une actualité bien étrange...en témoignage d'Amitié...signé Claire Besançon...", Edition limitée à à 1160 Exemplaires, un des 25 Exemplaires de tête sur Artches (N°24), sans illustrations, 68 pages, 1972 Paris GLM (Guy Lévis Mano) Editeur,
Rare Edition........Bel exemplaire...en bon état (good condition).
Lettre Autographe militaire signée de Louis Auguste Marcel d'Esclaibes, Comte d'Hust (1783-1845). Au sujet de la Garde Royale en 1820. Avec notice biographique au verso.Louis-Auguste-Marcel D'ESCLAIBES, comte d'Hust, général et agronome français, né à Echenay, dans la Haute-Marne, en 1783, mort à Langres en 1845. Il servit dans la grande armée (1807-1808) et en Espagne, accepta du service sous la Restauration, refusa de reconnaître l'empire aux Cent-Jours, fut nommé colonel en 1826, se distingua dans l'expédition d'Alger et y fut nommé général, grade que le gouvernement de Juillet refusa de lui confirmer.Il se retira alors à Chalanay, dans la Haute-Marne, et s'y livra exclusivement à l'agriculture. En 1844, le duc de Bordeaux, qui désirait étudier l'agriculture, appela auprès de lui d'Esclaibes, avec qui il visita les principaux établissements agricoles de l'Allemagne. Il a publie un grand nombre d'articles épars dans les revues, particulièrement dans le Bulletin agricole de la Haute-Marne, dont il était le principal rédacteur.Il fut également Chevalier puis Officier de la Légion d'Honneur.A noter qu'il entre en 1870, soit 25 ans après sa mort, au « Grand Dictionnaire universel du XIX ème siècle » de Pierre Larousse, oeuvre majeure d'abord publié en fascicules entre 1864 et 1866, puis regroupé en 17 volumes de 1866 à 1876. P. LAROUSSE mit onze ans (jusqu'à sa mort) pour écrire ce dictionnaire de 22700 pages.LAS 1 page. Format in-8°(23x17). Très bon état.
Très intéressante et longue lettre adressée à l’auteur de « l’histoire du travail et des travailleurs ». Gudin informe Vinçard qu’il a bien reçu sa lettre ainsi que celle de Cyrille Bissette (l’important homme politique martiniquais, antiesclavagiste), qui lui a écrit longuement. « Oui, ainsi que vous le dites c’est à la honte de la nation française que l’esclavage subsiste encore dans nos colonies. Mais patience et courage et nous en viendrons à bout. Pour moi, je ne me reposerai que lorsque cette question sera vidée entièrement, c'est-à-dire lorsque les esclaves seront complètement émancipés et le travail réhabilité dans les colonies. ». Il lui demande de présenter à Bissette, « en mon nom et au nom de tous les abolitionnistes lyonnais ma félicitation bien sincère ». Il lui explique également que « Sa lettre m’est parvenue un peu tard pour que je m’occupe spécialement de son œuvre personnelle. D’autre part je ne sais pas jusqu’à quel point une rivalité dans cette question ne pourrait être dangereuse et nuisible à la cause de l’émancipation. Vous savez qu’il s’est formé une société qui a pris pour titre Société française de l’émancipation des esclaves dans les colonies. Présidence Odilon Barrot, député vice-présidence [Hippolyte] Passy, pair de France secrétaire Dutrône rue Taranne 12. Ce ne sont point les noms ci-dessus qui m’éblouissent par leur position mais les travaux que la société poursuit. Mr V.[ictor] Schœlcher fait partie de cette société. Depuis longtemps je corresponds avec elle et de plus j’en suis membre. Il me serait de toute impossibilité de m’occuper des cahiers que Mr Bissette m’a envoyés ; Du reste je suis porteur d’autres cahiers qui sont dans le même esprit qui réclament également l’émancipation simultanée et immédiate. Le plus d’unité possible doit aussi donner le plus de résultat. J’écris par la même occasion à Mr Bissette je lui donne quelques-unes des raisons énoncées. Soyez assez bon pour lui témoigner tout le regret que j’ai de ne pouvoir lui aider personnellement. Le but qu’il vise sera atteint et son cœur en ressentira la même satisfaction. Je ne terminerai pas la présente sans vous rappeler que nous sommes (vous et moi) en communion pour d’autres principes même que ceux de la liberté aux colonies. Il est bien des misères et des esclaves parmi nous mais je crois que l’esclavage des noirs est de droit au 1er rang. Si vous désirez savoir de quel œil j’envisage cette question, absolument et relativement, je vous prie de revoir un discours prononcé par moi au banquet commémoratif de l’anniversaire de la naissance de Fourrier [Charles Fourrier, né le 7 avril 1772], le 11 avril dernier inséré dans la réforme du 16 avril et dans la tribune lyonnaise du mois de mai… ».
ESCOFFIER (Henri), journaliste et romancier français (1837-1891).
Reference : HCLM52
A propos du roman de Dubarry « Voyage au Dahomey » parue en 1879 ; « Votre proposition me parait très acceptable et je vous prie de m’envoyer un texte de votre Voyage au Dahomey. Je suis empressé de le lire et je vous donnerai au plus vite une solution… ».
ESCOFFIER (Henri), journaliste et romancier français (1837-1891).
Reference : HCLM53
Il soutient la démarche de « son cher ami » et se joint à son appréciation « Je crois de mon devoir de m’associer entièrement à la campagne que vous avez entreprise pour que le Docteur De Beauvais soit promu Commandant de la légion d’honneur. C’est un homme de bien dans toute l’éruption du mot, un patriote et un républicain sincère. Je le connais intimement depuis de longues années, médecin en chef des loges (?), médecin de nombreuses sociétés de bienfaisance ou patriotiques, De Beauvais qui habite le 9ème arrondissement depuis trente ans, a toujours été estimé et aimé. Je serais personnellement très heureux si vous réussissez, comme je l’espère car le ministre de l’intérieur (Charles Floquet) ne peut faire un meilleur choix. ». Il termine sa lettre en déplorant le manque de temps qui les contraint à ne pas se rencontrer « Vous voilà en pleine lutte politique, mon cher ami, nous sommes malheureusement trop occupés l’un et l’autre pour nous voir… ».
Maison du bibliophile, Paris 1934, 16,5x25,5cm, broché.
Edition originale. Envoi de Maurice Escoffier, le nom du dédicataire a été habilement effacé. Petites déchirures et manques en pied et en tête du dos, plats très légèrement et marginalement passés sans gravité, bel état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1973 1973 d'après la déclaration de dépôt légal.Grand in4 broché, .- 75] p.ill. en coul., couv. ill. en coul.33 cm,envoi autographe et lettre manuscrite joint,edition originale,bon état.
Mercure de France, Paris 1913, 12x19cm, broché.
Edition originale, un des ex de première émission numérotés à la presse, fausse mention de deuxième édition. Envoi de Paul Escoube. A propos de R. de Gourmont, S. Mallarmé, P. Verlaine, J. Laforgue... Une légère déchirure en pied d'un mors et un manque en pied du premier plat, sinon agréable exemplaire complet du catalogue de l'éditeur in-fine. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1 billet autographe format in-12 oblong: Billet autographe signé daté du 2 nivôse an 13 [ 23 décembre 1804 ]: «J’ai reçu de Messieurs Giguet & Michaud la somme de Dix Huit Cent Livres, pour solde du premier payement stipulé dans notre Convention du 18 Vendémiaire an 13, à l’époque de la mise en vente du poëme de la Navigation»
Intéressante pièce autographe relative à l’ouvrage le plus fameux du publiciste et poète Joseph Esmenar (1769-1811). «Le consulat établi, Esmenard, voyant la cause des Bourbons perdu, prodigua à Bonaparte l’encens de ses vers et de sa prose. De 1802 à 1804, il remplit les fonctions de secrétaire du général Leclerc à Saint-Domingue, et de consul de France à la Martinique [ … ] Des poésies et des ouvrages dramatiques en l’honneur de Napoléon lui valurent les places lucratives de censeur des théâtres et du Journal de l’Empire, de chef de division au ministère de la police, et son entrée à l’Institut [ … ] Le meilleur ouvrage de cet écrivain est un poëme didactique en huit chants intitulé:a la Navigation (1805, in-8). On y trouve des vers élégants et châtiés, des tableaux exacts, faits sur nature et pendant les voyages de l’auteur» (Larousse, GDU, VII, 877).
Carte format 10,5 x 14 cm - trés bon état -
A propos de la mort de Pierre Benoit - "Nous perdons un ami d'une délicatesse incomparable et notre peine est profonde..." - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
14 mars 1940; à Ladoué, à propos du Salon d’automne: “... c’est une manière d’exister malgré la guerre ...” - 18 novembre 1940, à Ladoué : à propos de “vins fins et de pommes de terre ...” - 20 avril 1942, sur une décoration pour Toulouse.
”... la statue paraîtra plus grande à terre et brisée que lorsqu’elle était debout ...”; “... voici quelques mots sur mon patron ...”
2 pièces autographes signées à savoir: 1 L.A.S. de 3 pp., datée du 12 mai 1908: «Mon cher ami, il pleut, mais ton article sur le Briseur de Fers vient de nous apporter le soleil. Oh! mon cher ami, comme tu es gentil! comme je devine, en relisant ton article, le charmant parti-pris de ne voir que le bon côté de mon livre! C’est une page de camarade, évidemment, et non de critique, quoiqu’elle soit superbe et d’une habileté délicieuse. Car c’est de «l’habileté du cœur». Eh bien, tu as raison, après tout! Tu ne signales au public que les bonnes choses, puisqu’elles lui sont utiles. Leur démontrer que je n’ai pas de talent eût été peut-être un jeu d’artiste mais une grosse erreur de moraliste et de philosophe. J’ai un petit nombre, lentement, très lentement grandissant d’amis et de lecteurs. Ce que je leur dis depuis 15 ans ne peut que leur faire du bien, les raffermir ou les consoler. Je ne cherche pas à donner le goût du «militaire» mais de «l’énergique». Si j’y parviens, qu’importent mes fautes! Du reste, je connais, aussi bien et même mieux que quiconque, mes défauts. Tu peux me le mettre sous les yeux et en ajouter de nouveaux, quand tu me rencontreras. Je suis à ce point dénué de «vanité littéraire» que je t’écouterai […] Mon livre est noble et pur d’intentions, je l’ai écrit laborieusement. Il vaut bien ce qu’il coûte. Le reste n’est que de la fumée de cigare. Maintenant, je veux aller te serrer la main à l’Echo [ … ] En attendant, mon vieux Rar, je t’embrasse»; [ On joint: ] 1 réponse autographe signée au questionnaire du «Salon des Littérateurs», billet de 2 feuillets pré-imprimé: Maître idéal: «Prothée». Esthétique: «Un beau livre sur mes genoux». Prix rêvé: «Les ors et les argents sont fous! ». Devise artistique: «Simplement». Description de l’œuvre en vers de huit: «Parce que le bec de mes plumes, Dans l’orme agité du journal, Tirelire mes amertumes, Et lance un pi-huit matinal, Est-il dit qu’une œuvre m’est née? Alors j’ai volé ma journée… Parce que d’un bout de pastel, En un coin de mauve banlieue, J’esquisse le flâneur untel, Ai-je fait plus d’un quart de lieue, Vers la connaissance du bien? Holà, Dentu, je n’en sais rien! Œuvre, mot risible, oiseau rare. – Vais là-bas fumer un cigare»
Belle réunion de deux très intéressantes pièces autographes signées de l’écrivain Georges d’Esparbès (1863-1944). Fréquentant le Chat Noir, ami de Léon Bloy ou de Jean Moréas, Georges d’Esparbès exaltera l’héroïsme militaire. On joint une troisième pièce signée par son fils Robert (dit Asté d’Esparbès).
1903 Paris, E. Flammarion, (1903); In-18° de (3) ff. - 312 pp.; demi-chagrin brun, dos lisse fleuron, auteur et titre dorés. Reliure moderne (vers 1970 ?), la couverture n'a pas été conservée. Envoi autographe signé de l'auteur, le nom du dédicataire a été effacé.
Edition originale de ce recueil rassemblant de courts récits romancés mettant en scène des travailleurs, artisans et leurs outils. Il a dédié son ouvrage à "Jean Asté Tisserand".Georges d'Esparbès (Valence d'Agen 1863) ) St Germain en Laye (1944), fut du Chat Noir et donna des feuilletons au Gil Blas. Quelques rousseurs en début et fin. (CO2)
Marseille, 15 nivôse an III (4 janvier 1795) in-4, 1/2 page. en feuille.
"Je ne dois pas vous laisser ignorer que le retard de l'arrivée du numéraire que l'agence attend avec impatience est dans le cas de faire manquer l'approvisionnement du midi ..."La pièce est signée, peu avant son rappel (27 janvier 1795), par le conventionnel modéré Jean Espert (1758-1832), envoyé en mission en novembre 1794 avec Cadroy pour contrer les menées du représentant Jacques-Christophe Mariette en faveur d'une violente réaction à Toulon et Marseille.