Edouard Couturier | s. l. [Paris] s. d. [1899] | 13.90 x 9 cm | une carte postale
Edition originale de cette carte postale appartenant à la série intitulée "Histoire d'un crime" (n°18) ; elle a été réalisée par Edouard Couturier et rehaussée en couleurs. Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
[ Imprimerie du "Progrès du Nord"] - Anonyme ; [ LAPLACE, Emile ]
Reference : 54649
(1910)
1 vol. in-12 br., Imprimerie du "Progrès du Nord", 1910, 3 ff., 105 pp. et 1 carte dépliante de la Lune "vue à la lunette terrestre"
Bon état pour cet exemplaire enrichi d'un envoi de l'auteur "A mon excellent ami M. Cousteille" (et signé, puis daté et signé en fin d'ouvrage). Né à Cadouin en 1843, Emile Laplace, qui fut de son vivant économe au collège Henri IV de Bergerac, avait un nom prédestiné à l'astronomie ! Dans ce très curieux ouvrage, il évoque ses longues observations lunaires, mêlant la rigueur de l'observation scientifique à l'émotion du poète. L'auteur évoque toutes les questions posées alors par l'observation attentive de la Lune. L'ouvrage est de toute rareté.
2 cahiers d'écolier format in-8 manuscrit, circa 1946-1947
Intéressant ensemble des notes de cours, manuscrites, prises vers 1946-1947 par un étudiant girondin de la mathématicienne Jacqueline Lelong-Ferrand (1918-2014). Normalienne (Ulm), reçue première (avec Roger Apéry) à l'agrégation de mathématique en 1939, Jacqueline Lelong-Ferrand sera notamment chargée de cours à l'université de Bordeaux à partir de 1943. On joint trois coupures de presse (articles de Mme Lelong-Ferrand)
[ Librairie Hetzel] - ANONYME ; Louise Adélaïde d'Eckmühl Marquise de BLOCQUEVILLE
Reference : 67493
(1863)
1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-chagrin à coins rouge, Librairie Hetzel, Paris, 1863, XIV-662 pp.
Exemplaire dédicacé par Louise Adélaïde d'Eckmühl Marquise de Blocqueville "à M. Louis Bouchut, souvenir de la reconnaissante... de la toute malade [ auteure ? ]", le 16 janvier 1885. L'ouvrage recueille les ingénieuses méditations de l'auteur sur l'âme, l'amour, la famille, les devoirs, etc... Chaque chapitre est placé sous le règne d'une couleur : azur, rose, rouge, vert, neutre, gris, noir, blanc, lilas... Bon état (très petits frott. en dos, qq. rouss., très bon état par ailleurs).
1 vol. in-12 oblong reliure pleine chevrette imitation plein maroquin rouge à grain long, circa 1852, une dizaine de pages manuscrites, la plupart manifestement en allemand ou en dialecte alsacien, ou en français, avec plusieurs scènes découpées sur papier contrecollées sur papier de couleur, un dessin joint, une fleur séchée contrecollée avec texte, etc.
Etat satisfaisant (premiers ff. découpée, charmant document par ailleurs)
5 cahiers d'écolier format in-8 manuscrit, circa 1947
Intéressant ensemble des notes de cours, manuscrites, prises vers 1947 par un étudiant girondin du mathématicien français, normaline, major de l'agrégation en 1932 et futur spécialiste de la théorie des nombres Charles Pisot (1910-1984), alors jeune maître de conférences à l'Université de Bordeaux. Bon ensemble.
S.n., [14 juillet] 1790 Manuscrit autographe anonyme. 2 pages. 36 vers (6 strophes de 6 vers) 1 bi-feuillet 21,7 x 16,8 cm. parfait état. Belle écriture parfaitement lisible. Pièce autographe inédite non encore attribuée.
Nous donnons ci-dessous l'intégralité de ce cantique jamais publié. Ils sont enfin brisés les fers Qu’avait forgés la tyrannie ; Sur les noirs cachots entr’ouverts De la Bastille démolie, Les braves français ont planté L’étendard de la liberté. Princes, ministres, courtisans, Déprédateurs de nos finances ; Nobles, seigneurs et intendants, Lâches oppresseurs de la France, Comme ils sont tous épouvantés A l’aspect de la liberté ! Ducs, chevaliers, comtes, marquis, Héros du nom de la naissance ! Vos vains titres sont abolis. On ne reconnait plus en France Que cette sainte égalité Qui convient à la liberté. Grand dieu qui fait régner les rois, Maître de tout ce qui respire ; Aujourd’hui courbés devant toi, Les citoyens de cet empire Prononcent en un chœur sacré Le serment de la liberté. Nous jurons tous respect aux lois, Fidélité à la patrie ; Nous jurons d’obéir au roi, De sacrifier notre vie Pour le maintien de la sûreté La garde de la liberté. Sois le vengeur de nos serments, Ô dieu qui punit les parjures ; Des despotes et des tyrans Purges à jamais la nature ; Fais luire à l’univers entier, Le flambeau de la liberté. Cette pièce en vers de circonstance a été écrite pour servir "pour le 14 juillet 1790". Le 14 juillet 1790 célèbre le premier anniversaire de la prise de la Bastille. C'est ce qu'on appelle alors la Fête de la Fédération, organisée par La Fayette alors Commandant de la Garde nationale de Paris. La prise de la Bastille fut l'un des événements inauguraux et emblématiques de la Révolution française. La fête de la Fédération fut organisée sur le Champs-de-Mars, à Paris. Louis XVI, roi de France, assiste à cette fête et y prête serment à la Nation et à la loi dans un climat d'unité nationale, en présence des députés des 83 départements de l'époque. Dès le 1er juillet 1790, 1 200 ouvriers commencent les travaux de terrassement. Ils sont nourris, mais mal payés et, quand on leur reproche leur lenteur, ils menacent de quitter le chantier. Il s’agit de transformer le Champ-de-Mars en un vaste cirque, d’une capacité de 100 000 spectateurs, au centre duquel doit s’élever l’autel de la patrie. On fait appel à la bonne volonté des Parisiens. Ils répondent en masse. Louis XVI vient de Saint-Cloud donner un coup de pioche, La Fayette, en manches de chemise, travaille comme un ouvrier. C'est bientôt une fourmilière humaine, où les ouvriers du faubourg Saint-Antoine côtoient les nobles, où les moines côtoient les bourgeois, où les courtisanes donnent la main aux dames des beaux quartiers. Les charbonniers, les bouchers, les imprimeurs viennent avec leurs bannières décorées de tricolore. On chante le Ah ! ça ira et autres couplets patriotiques. Les soldats se mêlent aux gardes nationaux. On héberge les fédérés venus de la province ; ils sont au moins 50 000. Les fédérés défilent avec leurs tambours et leurs drapeaux ; ils sont 100 000, y compris ceux de Paris. Les Parisiens prennent place sur les talus qu’on a élevés autour de l’esplanade.? La Fayette, commandant de la Garde nationale, en grand uniforme, arrive sur un cheval blanc et monte sur l’estrade. Il prête serment le premier, au nom des gardes nationaux fédérés : « Nous jurons de rester à jamais fidèles à la nation, à la loi et au roi, de maintenir de tout notre pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi et de protéger conformément aux lois la sûreté des personnes et des propriétés, la circulation des grains et des subsistances dans l'intérieur du royaume, la prescription des contributions publiques sous quelque forme qu'elle existe, et de demeurer unis à tous les Français par les liens indissolubles de la fraternité. ». Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, évêque d’Autun, célèbre la messe, entouré de 300 prêtres en surplis de cérémonie. En montant sur l'estrade, il aurait dit à La Fayette : « Par pitié, ne me faites pas rire ». Puis c'est au tour du président de l'Assemblée de prêter serment au nom des députés et des électeurs. Enfin, le roi prête à son tour serment de fidélité aux lois nouvelles : « Moi, roi des Français, je jure d'employer le pouvoir qui m'est délégué par la loi constitutionnelle de l'État, à maintenir la Constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par moi et à faire exécuter les lois ». La reine, se levant et montrant le Dauphin, déclare : « Voilà mon fils, il s'unit, ainsi que moi, aux mêmes sentiments ». Le Marquis de Ferrières se souvient que : « ce mouvement inattendu fut payé par mille cris de : vive le roi, vive la reine, vive Monsieur le dauphin! » La multitude prête serment et on entonne un Te Deum, puis on se sépare au milieu des embrassements et des vivats dont beaucoup s’adressent à Louis XVI. Ferrières raconte : « C’était un spectacle digne de l’observation philosophique que cette foule d’hommes venus des parties les plus opposées de la France, entraînés par l’impulsion du caractère national, bannissant tout souvenir du passé, toute idée du présent, toute crainte de l’avenir, se livrant à une délicieuse insouciance. » On connait la suite ... Le 6 juillet 1880, le 14 juillet devient officiellement jour de la Fête nationale française, sur proposition du député Benjamin Raspail. L'année 1789 (prise de la Bastille chère aux républicains) ou 1790 (fête de la fédération chère aux conservateurs) n'est pas spécifiée par la loi afin de satisfaire les deux courants de l’époque. Cette période d'effervescence et d'euphorie révolutionnaire et patriotique fur l'occasion de centaines de chants et chansons patriotiques défendant la liberté, la patrie et le roi (ce qui changera bientôt). Malgré nos recherches nous n'avons trouvé aucune trace de ce cantique pour le 14 juillet 1790 commençant par "Ils ont enfin brisés les fers qu'avait forgés la tyrannie ..." et s'achevant par "Sois le vengeur de nos serments, Ô dieu qui punit les parjures ; Des despotes et des tyrans Purges à jamais la nature ; Fais luire à l’univers entier, Le flambeau de la liberté." L'écriture est belle et affirmée. Un grand nom de la révolution française se cache-t-il derrière ces quelques lignes ? C'est une possibilité qui mériterait d'être étudiée de très près. Plusieurs auteurs de renom se sont essayé aux chants révolutionnaires, notamment Marie-Joseph Chénier qui composa le Chant (hymne) du 14 juillet qui commence par ces vers : "Dieu du peuple et des rois, des cités, des campagnes, De Luther, de Calvin, des enfants d’Israël, Dieu que le Guèbre adore au pied de ses montagnes, En invoquant l’astre du ciel ! [...]". Notre Cantique n'a rien à envier aux meilleures productions versifiées de l'époque. ON JOINT : CHANSON DE TABLE, Pour la Fédération du 14 juillet 1790. Par J. S. L***, natif de Paris, garde nationale de Beaumont-sur-Oise. 4 pages in-8 (en feuilles). De l'imprimerie de Devaux, rue des Boucheries Saint-Honoré, N°7. Cette pièce en vers semble fort rare. Nous n'en n'avons trouvé la trace que dans un recueil factice de pièces révolutionnaires. Le thème de cette chanson et la loi, la liberté, la nation et le roi, le tout roulant sur un fond bacchique des plus réjouissants. Distribué aux passants dans la rue ces feuillets soumis aux vents, à la pluie et au temps n'ont pour ainsi dire pas été conservés et sans doute de très nombreux ont été perdus à jamais. Très rare. Cantique autographe inédit pour le 14 juillet 1790, pièce unique importante pour l'histoire de la révolution française, à laquelle on adjoint une Chanson imprimée pour la Fédération, pièce devenue introuvable. Ensemble des plus rares et évocateur d'une période révolutionnaire remplie d'effervescence et de fortes espérances.
Phone number : 06 79 90 96 36
ANONYME ; [ SAUVESTRE, Charles ; SAUVAITRE, Nicéphore Charles ]
Reference : 44521
(1861)
2 cahiers manuscrits in-8 format à l'italienne, de 15 et 13 feuillets, premier cahier daté du 14 septembre 1861
La provenance (du fonds de l'éditeur Edouard Dentu) et la date tendent à attribuer le manuscrit à l'écrivain Charles Sauvestre, qui publia plusieurs diverses éditions des Monita Secreta chez Dentu à partir de 1861. Les deux cahiers semblent avoir rédigés par Sauvestre et communiqués à l'éditeur, dans le cadre d'une défense contre des accusations de plagiat dans sa traduction.
1 vol. in-12 br., Editions Spes, Paris, s.d. [ 1934 ], 364 pp.
Exemplaire dédicacé par Vérine à l'écrivain bordelaise Jeanne Alleman alias Jean Balde (1885-1938). Proche du milieu littéraire bordelais réunit autour de Mauriac et de jean de La Ville de Mirmont, Jean Balde est la petite-nièce du folkloriste de la Gascogne Jean-François Bladé (ce qui explique son pseudonyme). Etat satisfaisant (couv. lég. frottée avec date au stylo en queue)
Exemplaire du service de presse marqué S.P., 1 vol. in-12 br., La Table Ronde, Paris, 1959, 209 pp.
Très bel envoi de Jean Anouilh à Marcel [Achard ] : "Pour Marcel dos-vert qui fournit à la fois à l'amateur de plongées sous-marines, les hublots, les bulles visées et le poisson sont vieux sire triste affectueux". Bon état (couv. un peu frottée)
Un des 50 exemplaires sur vélin pur fil Lafuma, un des 20 numérotés de I à XX (n° VI), 1 vol. in-12 br., La Table Ronde, Paris, 1954, 94 pp.
Exemplaire sur grand papier du premier tirage séparé, enrichi d'un superbe envoi autographe signé de Jean Anouilh à la journaliste, fondatrice du magazine ELLE et épouse de Pierre Lazareff : "Pour Hélène Gordon-Lazareff, en souvenir d'une jeune fille repechée ensemble. Avec les sentiments reconnaissants de l'autre pêcheur... Ouf ! Je n'en sortais pas !"
1935 Rares lettres de jeunesse adressées à Robert de Saint-Jean, rédacteur en chef de La Revue hebdomadaire, à qui Anouilh (1910-1987) a promis un texte depuis plus d'un an : "J'ai mené une vie de voyou puis ces derniers temps presque une vie de clochard (pas sous les ponts, pas pour les litres de rouge). J'ai peur de ne plus avoir de pensées assez désintéressées pour écrire un article de revue. J'avais commencé quelque chose sur la convention au théâtre - cette chose magnifique qui est le sang même du théâtre et dont les imbéciles ont fait un épouvantail. Je vais tâcher de le finir, mais - je parle comme un enfant - j'ai peur de ne pas pouvoir. J'ai une pièce de fantaisie pas trop loufoque qui s'appelle le "Bal des voleurs". Je vais vous la porter si vous publiez des pièces inédites. En tout cas ma première pièce est naturellement à vous, avant tout autre."Dans la seconde lettre, il adresse finalement le texte d'une nouvelle, "Le Coeur net", qui semble être resté inédit (voir Robert de Saint Jean, Passé pas mort, Paris, Grasset, 1983, p. 233-235).
Intéressant ensemble de 4 lettres autographes signées du dramaturge Jean Anouilh (1910-1987) à l’agent théâtral Robert de Machiels (1880-1965) écrites aux alentours de 1938. Malgré l’insistance de Machiels pour faire entrer Anouilh dans son catalogue d’auteurs, ce dernier campe sur ses positions. Dans les deux lettres qui apparaissent comme des réponses à une sollicitation de Machiels, Anouilh défend, d’une plume sans équivoque, la liberté de jouir de ses pièces dans son propre intérêt : « Je ne peux que vous redire ce que je vous ai dit l’année dernière pour Le Voyageur sans bagage : je suis en rapports personnels avec … et … depuis l’achat de Y’avait un prisonnier et vous comprenez bien qu’il est tout naturel d’éviter, pour moi, sur cette affaire, des frais d’agence qui – en cas de réussite – je l’ai hélas constaté, sont tout à fait disproportionnés avec la présentation d’un manuscrit. » Créée pour la première fois en 1933 au Théâtre de l’Athénée, la pièce Y’avait un prisonnier avait été achetée par la Métro Goldwyn Meyer, permettant à l’auteur de s’installer un an en Angleterre avec femme et enfant.« La métro G. M. ne m’a demandé aucune option sur mes prochaines pièces j’aime donc mieux leur laisser courir leur chance dans l’aimable ambiance de l’offre et de la demande au lendemain de la générale. C’est pour cette raison – non pas pour d’hypothétiques coupures – que je préfère pas (sic) communiquer tout de suite le texte de La Sauvage. »Pliures, quelques déchirures aux pliures sans manque.
Paris La Table Ronde 1953 1 vol. broché in-8, broché, couverture illustrée rempliée, 228 pp. Edition originale. Un des 1400 exemplaires numérotés sur Roto blanc Aussédat, celui-ci hors commerce (n° HC XCVI) avec un bel envoi autographe signé de l'auteur à Pierre Brasseur : "Merci Pierre, voilà une image pour avoir - en plus - été sage. Affectueusement, Jean Anouilh, 3 nov. 1955". L'envoi est daté du jour de la répétition générale d'Ornifle ou le Courant d'air, la pièce suivante d'Anouilh dans laquelle Pierre Brasseur incarnait le rôle-titre aux côtés de Louis de Funès et de Jacqueline Maillan. Dos très légèrement passé, sinon excellente condition.
1 vol. in-12 br., Calmann-Lévy, Paris, 1947, 412 pp.
Exceptionnel exemplaire provenant de la bibliothèque de l'écrivain bordelais Michel Suffran, dans lequel celui-ci a monté en tête (par adhésif) un superbe billet autographe signé de Jean Anouilh (1931-2018) : "A Michel Suffran, qui a bien tort de croire aux dédicaces mais a deux ans seulement de la philosophie, c'est encore pardonnable. Sympathiquement. Jean Anouilh".
Les Hautes Plaines de Mane, Robert Morel, coll. Le Bien, 1972. In-12 carré, pleine toile grège avec titre en brun, gardes noisette, signet. Pages légèrement gondolées, feuillet de titre avec 2 petites déchirures sans manque.
Edition originale au tirage limité à 3000 exemplaires. Agrémenté d’un envoi autographe de l’auteur.
ANQUETIN Louis - [Etrepagny 1861 - Paris 1932] - Peintre français
Reference : GF26838
1 page in8 - (tache en bas à gauche avec atteinte partielle au texte) -
Accaparé par une grande toile il n'a pu "trouvé complétement votre Centaure" - Il demande quelques jours encore -
Paris GLM 1948 1 vol. broché in-8, broché, 44 pp. Edition originale, un des 585 exemplaires numérotés sur alfama, seul papier après 15 vélin, celui-ci avec un envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Très bon état.
Anselme PETETIN - [Morzine 1807 - Lyon 187] - Journaliste, avocat, conseiller d'Etat, écrivain, directeur de l'imprimerie français
Reference : 33451
1 page in8 - adresse au dos - trés bon état -
Il approche du "I": "Vous savez que je vous dois l'article invasion" - Il aimerait être averti du moment ou il le lui faudra - Il a encore les articles "légitimité", "monarchie", "municipal" et "municipalité" à faire - "Est ce tout ce que vous voulez m'attribuer?" -
Anselme PETETIN - [Morzine 1807 - Lyon 187] - Journaliste, avocat, conseiller d'Etat, écrivain, directeur de l'imprimerie français
Reference : 33452
19 pages in4 - râtures et corrections - trés bon état -
Important article pour le Dictionnaire politique de Pagnerre qui paraitra en 1841 : "Le fait de la Noblesse comme l'esclavage, comme le droit d'ainesse, comme la tutelle de la femme, se retrouve à l'origine de la plupart des peuple, mais non pas tous"..- "C'est donc un fait naturel mais non pas nécessaire" - suivent de longs développements sur le sujet tant en France que dans le monde -
Lausanne, L'Abbaye du livre, 1943. In-4 broché non paginé, couverture illustrée.
Abondante illustration en noir par Géa Augsbourg, très souvent à pleine page. 84 portraits des membres de l'OSR en seconde partie. Rarissime édition originale de ce bel ouvrage imprimé en deux tons. Exemplaire truffé de 2 menus datés du 3 décembre 1968, à l'occasion du cinquantième anniversaire de l'Orchestre de la Suisse Romande. L'un des deux comporte au verso un dessin original, portrait à la pipe, suivi des mots "Je suis contre le paternalisme universitaire, Magnenat prof." Légèrement insolé en bords au second plat, pour le reste en très belle condition. !!! !!! Du 3 octobre au 24 octobre il n'y aura pas d'expédition de colis: le libraire est en voyage. La librairie reste ouverte et nous répondrons sporadiquement aux emails. Merci pour votre compréhension. ––> From 3 October to 24 October, there will be no parcel deliveries as the bookseller will be travelling. The bookshop will remain open and we will respond to emails sporadically. Thank you for your understanding.
Lausanne, L'Abbaye du livre, 1943. In-4 broché non paginé, couverture illustrée.
Nombreux dessins en noir par Géa Augsbourg illustrant la biographie ainsi que de 22 dessins à pleine page figurant le chef d'orchestre Ansermet illustrant son texte sur le geste. A la suite on trouve 84 portraits des membres de l'OSR en seconde partie. Rare édition originale de ce bel ouvrage imprimé en deux tons. Il est enrichi de quatre envois autographes! Le premier de Géa Augsbourg, qui l'a agrémenté d'un dessin "Pour Jacques Norbert ces quelques planches sur lesquelles je lui souhaite du succès. Géa Augsbourg 5. 2. 45". Paul Budry a ajouté en dessous "Moi itou" et apposé sa signature. Plus tard le-dit Norbert (?) a fait dédicacer l'exemplaire par Ernest Ansermet: "En souvenir d'Ernest Ansermet, 10 oct 49". Enfin, en 1951, Igor Stravinsky a inscrit, "Bravo, " devant le titre est signé daté, "I. Stravinsky, Genève / 51". Couverture légèrement insolée, léger choc en tête et en queue. !!! !!! Du 3 octobre au 24 octobre il n'y aura pas d'expédition de colis: le libraire est en voyage. La librairie reste ouverte et nous répondrons sporadiquement aux emails. Merci pour votre compréhension. ––> From 3 October to 24 October, there will be no parcel deliveries as the bookseller will be travelling. The bookshop will remain open and we will respond to emails sporadically. Thank you for your understanding.
Paris, Acropole, 1985. In-8, broché, 355 pp.
Premier roman de cet auteur mauritanien. Envoi autographe à Robert Cornevin. Photos sur demande.
Port Louis - Ile Maurice, Général Printing and Stationery, 1932 ; in-4° (285 mm), broché ; [4], 37 pp., [1] f. achevé d’imprimer, [1] f. photographie tirage collé, [5] f. de reproduction photographique, couverture crème illustrée.
Edition originale rare, exemplaire N°108 des 250 contenant une photographie de B. Herchenroder et cinq photogravures. Envoi autographe signé “à mon jeune ami Paul Carié. Souvenir de l’auteur. G. Antelme 5 oct/1932”. Dos de couverture légèrement déchiré et recollé. (Toussaint, A. Bibliography of Mauritius, A 1546 ; absent à Ryckebusch ; absent à Thiébaud ; Mouchon 1049 indique une photographie de l’auteur, en réalité il s’agit d’un tirage argentique d’une photo de Herchenroder, “très rare”). Quelques rousseurs marginales sinon bon exemplaire.
Phone number : 06 60 22 21 35
Genève, Quiquandquoi, 2007. Très fort (dans tous les sens du terme) volume in-8, cartonnage couleurs. Infimes frottements aux coins et aux mors, belle condition générale. BIen complet du CD inséré en début de volume, par la merveilleuse fanfare du Loup.
"Une galerie de 488 portraits assemblés aléatoirement à des phrases choisies au hasard dans le Frankenstein de Mary Shelley. Au final un cadavre exquis littéraire et pictural dont chaque lecteur recrée le fil narratif autant que la relation texte-image. La Fanfare du Loup a réalisé, pour accompagner ces portraits, un cadavre exquis musical. Chaque musicien de ce collectif de jazz a composé quelques minutes de musique et en a donné les huit dernières mesures au suivant pour débuter sa propre partition / A collection of 488 portraits, each randomly matched to a sentence arbitrarily taken out of Mary Shelley's Frankenstein. The result is an « exquisite literary and pictorial corpse » allowing each reader to recreate the narrative of the story as well as the relationship between text and image. La Fanfare du Loup - a jazz collective - bas set these portraits to music, creating an « exquisite musical corpse ». Each musician composed several minutes of music and gave the last eight bars of his segment to the next musician who used these bars to form the beginning of the following segment." Un coup de coeur de votre libraire, d'autant que notre exemplaire est agrémenté d'un dessin original signé de l'auteur.