CLARKE Henri-Jacques-Guillaume, Ministre secrétaire Général de la Guerre, Maréchal, Duc de Feltre
Reference : 21764
(1815)
Paris 1815 document manuscrit à l'encre brune et préimprimé en noir sur parchemin vélin, format : 34,5 x 23 cm, fait à Paris le 1 Novembre 1815, signature manuscrite de CLARKE Henri-Jacques-Guillaume, Ministre secrétaire Général de la Guerre, Maréchal, Duc de Feltre, cachet royal à l'encre noire "Caisse des Invalides de la Guerre" aux Armes Royales + Cachet sec gauffré du Ministère de la Guerre "aux Armes Royales",
RARE DOCUMENT......en bon état (good condition). bon état
CLARKE Henri-Jacques-Guillaume, Ministre secrétaire Général de la Guerre, Maréchal, Duc de Feltre
Reference : 21765
(1815)
Paris 1815 document manuscrit à l'encre brune et préimprimé en noir sur parchemin vélin, format : 36 x 24,5 cm, fait à Paris le 25 Décembre 1815, signature manuscrite de CLARKE Henri-Jacques-Guillaume, Ministre secrétaire Général de la Guerre, Maréchal, Duc de Feltre, cachet royal à l'encre noire "Caisse des Invalides de la Guerre" aux Armes Royales + Cachet sec gauffré du "Ministère de la Guerre" aux Armes Royales,
RARE DOCUMENT......en bon état (good condition). bon état
1 vol. in-8 cartonnage sous jaquette illustrée, Independent Books, Bromley, 1993, VII-291 pp.
Very good copy, signed by the author to a general.
Paris, 27 vendémiaire, an XIV (19 oct. 1805) in-4, 1 page.
Épouse de Joseph Bonaparte depuis le 1er août 1794, la discrète Julie Clary (1771-1845) devient reine de Naples de 1806 à 1808 et reine d'Espagne de 1808 à 1810.Dans cette lettre elle s'enquiert des talents d'une jeune actrice, Mademoiselle de Weck, et elle demande à ce qu'elle touche son dût "puisque c'est le seul moyen par lequel le talent puisse se faire connaitre". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1 vol. in-12 reliure de l'époque plein maroquin vert protégé sous un étui à carte, dos à 5 faux nerfs dorés estampés à froid, roulette d'encadrements sur plats estampée à froid, encadrée de deux filets dorés, toutes tranches dorées, coupes ornés d'un semis d'étoiles, chasses ornées, 1827 [ le premier manuscrit lég. antérieur), 213-122 pp. et 6 ff. blancs
Très beau manuscrit autographe calligraphié par Zénaïde Clary (1812-1884), daté de sa main de mars 1827 en page de titre des "Résolutions". Fille du Général Comte Justinien Clary et par là-même nièce de Julie (l'épouse de Joseph Bonaparte) et de Désirée Clary, la célèbre maîtresse de Napoléon et épouse du Roi de Suède Bernadotte, Zénaïde Clary épousera le 29 juin 1831 Napoléon-Alexandre de Wagram, fils du Maréchal Berthier et Pair de France. Un beau manuscrit établi dans une reliure de très grande qualité, d'une provenance prestigieuse.
Les Editeurs Français Réunis 1977 Paris -Les Éditeurs Français Réunis - 1977 - In12 ( 13 x 11 cm) - pleine toile de l'éditeur - 94 pages - Bel envoi autographe signé de Claude Adelen en page de faux titre -Tirage à 2200 Ex.
Bon Dédicacé par l'auteur
Lausanne Clairefontaine 1947 In8 - broché - non coupé - Préface d'Aragon et frontispice de Cocteau - Envoi autographe signé de l'auteur à Yves Montand et Simone Signoret - Édition originale numérotée . Claude-André Puget ( 1900/1975) fut scénariste et écrivain .
Bon Dédicacé par l'auteur Edition originale
1 page in4 - bon état -
Tout se sait au théatre - En particulier qu'il a exprimé à son égard des sentiments d'estime et de sympathie - Il a "le plus vrai désir de le connaitre" - "Cela me donnerait de la joie" - Jacques DEVAL (ou Jacques Boularan) (1866 - 1972) était un dramaturge, scénariste et réalisateur français par ailleurs père de Gérard de Villiers -
Paris SAVEL 1946 In12 - broché - 62 pages - Édition originale numérotée - envoi autographe signé de Claude Aveline au philosophe René Maublanc
Bon
Claude Bonaventure VIGNERON - [Genevreuille 1750 - Vesoul 1832] - Procureur général et Député de la Haute Saone
Reference : 32903
1 page grand in8 -
Il adresse expédition d'un arrêté du Directoire du Département du 28 juin 1791 par lequel il nomme les Commissaires qui doivent vaquer dans leur district à l'execution du décret du 21 du mois de juin "pour la sureté extérieure et intérieure de l'Etat" -
Flammarion, collection "Le signet d'or", 1928. In-8° broché de 310 pages. Tiré à 500 exemplaires, celui-ci sur papier vergé de Rives porte le n°304. Orné de gravures sur bois, le frontispice est de Ahü, les bandeaux et culs-de-lampe de Renefer. Sur la page de garde petite tache de crayon gras. Cet exemplaire comporte un magnifique envoi autographe de l'auteur. Bon etat.
1 page in8 - bon état -
"Avez vous bien reçu ma nouvelle "Histoire Héroique"?" - Vu le désordre qui règne chez lui, il n'est pas sûr qu'elle soit partie - ..."Autant en emporte le vent ?" -
328 pages in-folio et 20 pages de notes préparatoires, sur papier bleu, corrigées à l'encre rouge - Reliure en maroquin havane à encadrement, dos plat, plats de papier peigné - tête dorée - trés bon état -
Manuscrit autographe de ce roman d'anticipation situé dans le 3e millénaire - L'Angleterre est une république, son roi Arthur III éxilé au Canada, etc...-
Toulon 30 Mars 1908 | 13.50 x 21.50 cm | 8 pages sur deux doubles feuillets + une enveloppe
Longue lettre autographe signée de Claude Farrère, 160 lignes environ à l'encre bleue (8 pages sur deux doubles feuillets), à son ami Pierre Louÿs le remerciant notamment pour sa délicatesse. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli, enveloppe jointe. Claude Farrère loue la délicatesse de son ami à son égard : "Merci pour votre lettre... non seulement parce qu'elle est exquise, - six fois plus que vous ne pouvez le croire, - mais bien davantage parce que je sais très bien que vous me l'avez contée pour "ne pas m'inquiéter..." comme vous dites." et s'étonne des problèmes soulevés par ces récents articles : "Soit dit entre parenthèses, je suis tout ahuri de celle qui a trait à des articles de polémique. Non seulement je n'en ai point écrit." Il s'inquiète plus des suspicions qu'il suscite à propos de sa prétendue consommation d'opium :"J'ai été informé par mon propre commandant que le ministère, sur la foi de mon premier livre, supposait que l'opium ne m'était pas étranger. Le même commandant a protesté, arguant que, depuis tant de mois que je servais sous ses ordres, il avait la certitude absolue que je n'avais pas commis le moindre péché ! Mais je doute que sa parole soit très appréciée à Paris..." et de la haine que lui voue un officier. Malgré ces problèmes, Claude Farrère tient à rasséréner son ami : "Je tiens, mon bien cher ami, à ce que vous soyez absolument en paix à mon propos. Je m'en fiche moi-même absolument." tout en se désolant que ce dernier délaisse le sud de la France cette année : "Tamaris sans vous, comment voulez-vous que la mécanique céleste continue de tourner ? Et moi (?) Vous me pousseriez systématiquement au suicide. N'oubliez pas que je fais un bouquin tout à fait sanglant, et que je vis dans l'inique société de gens qui, pour un demi-oui ou un quart de non, s'ouvrent le ventre ! " Il achève sa lettre par de nouvelles rumeurs le concernant : "Bien entendu, madame de X a supposé gratuitement des choses horribles : je ne suis pas l'amant de l'autre dame de chez la modiste. Voyons ! comment un jeune homme tel que moi, décent, et trop bien élévé (cf opinion de madame P.L.) etc..." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Toulon 21 Août 1908 | 11.50 x 15.50 cm | une page rempliée
Lettre autographe signée de Claude Farrère, 22 lignes à l'encre bleue, à son ami Pierre Louÿs. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. "Samedi, mon cher, cher ami, je suis dans le navrement de vous savoir malade. Dès demain je vous enverrai une longue lettre ; et d'ici à quarante jours, je vous promets d'aller vous voir. Je vais, moi, mal : crise d'arthritisme, eczéma au visage, et le reste. Atroce. Je travaille peu. La chaleur m'accable. La vie est une sale invention. Ma mère est souffrante aussi. Toute mon affection fidèle vous suit. Mon cher ami, je voudrais tant que vous fussiez heureux ! Je vous en supplie faites toujours fond de moi plus que de vous. C.Bargone." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Toulon 4 Août1908 | 13.50 x 21.50 cm | 16 pages sur quatre doubles feuillets + une enveloppe
Très longue lettre autographe signée de Claude Farrère, 260 lignes environ à l'encre bleue (16 pages sur quatre doubles feuillets), à son ami Pierre Louÿs. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli, enveloppe jointe. Claude Farrère évoque la lettre qu'il a reçue de son ami et celle qu'il vient de lui expédier : "Je vous écrivais, moi, ce même vendredi, une lettre couleur de sang...[...] une lettre rutilante et dépourvue de tout sang-froid." Il revient, avec humour, sur la fâcherie entre Pierre Louÿs et un certain Augusto (probablement Auguste Babut de Rosan) dont il pensait être le responsable : "Notez bien, cher ami, que j'étais persuadé au fond, malgré vos dénégations à tous deux, de mon influence personnelle dans votre brouille. La vanité humaine ne rate jamais des coups analogues. Et c'est avec quelque honte que je confesse m'être cru, deux bonnes journées durant, le pivot du monde." Claude Farrère fustige sa propre candeur et son manque de discernement : "Quoique je sois de la prudence que vous connaissez, je me fais prendre en flagrant délit tout le temps... [...] la petite jeune fille divorcée que je vous ai jadis montrée au cinématographe a eu l'imprudence de me donner rendez-vous dans des rues désertes... le père de l'enfant, officier supérieur, comme juste, nous y a rencontrés...", pressentant que cette ingénuité finira par lui jouer des tours : "... ça finira mal. Je fais de l'épée toutes les fois que j'y pense." Puisqu'il vient de recevoir la missive de son ami Pierre Louÿs, il poursuit la rédaction de sa lettre afin de lui répondre et s'étonne de ce qu'il vient d'y lire : "Donc lorsque quatre ou cinq jours après, je trouve votre première dépêche "suis brouillé" avec - pour motif que vous pouvez deviner...", je demeure stupéfait, et creuse vainement ma tête. N'ayant pas deviné, je suppose. Je suppose à tort... Reahurissement. J'ai reçu, la semaine dernière, soixante quinze letrres dont vingt à peu près vous concernant de près ou de loin." Dans cet embrouillamini d'amitiés froissées et déchirées, Claude Farrère décrit aussi le grand désarroi d'un autre de leur ami commun, un certain V qui vient enfin éclairer la lanterne de l'écrivain sur le malentendu opposant Louÿs et Babut de Rosan : "Là-dessus, brusque changement de V. Il était plus que frappé. Je le voyais sur la margelle du suicide. Il se redresse immédiatement, reprend son sang-froid, saute dans un train. Et en attendant l'heure du départ, il reprend son récit. et je comprends." Voilà Claude Farrère presque soulagé et rasseréné : "Maintenant, je crois avoir compris. Pas tout à fait tout... Celle que je me suis mêlé de ce qui ne me regardait pas. je vous en demande pardon, mon ami et vous supplie de l'oublier. Votre affection m'est si chère que je serais abominablement malheureux de la sentir refroidie, même d'un seul degré ! Dites moi s'il faut que je craigne cela, et dites le moi tout de bon." mais toujours aussi triste pour Augusto : "Augusto est en ce moment presque fou de douleur, parce qu'il croit votre amitié perdue pour lui. J'ai profondément pitié de ce pauvre enfant." Très belle lettre symbolisant les touments des amitiés tumultueuses de l'entourage de Pierre Louÿs et Claude Farrère. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Grenade 1908 | 20.50 x 27 cm | huit pages sur deux doubles feuillets + une enveloppe
Humorristique lettre autographe signée de Claude Farrère, alors en croisière en Méditerranée et postée depuis Hôtel Washington Irving de Grenade, 8 pages sur deux doubles feuillets, dans laquelle il évoque notamment ses exploits auprès de la gent féminine. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli, enveloppe jointe. Claude Farrère quittant Tanger pour Grenade via Gibraltar, lui narre avec humour sa toute dernière conquête féminine et sa rivalité avec un autre soupirant : "Hier matin comme le Cassini allait quitter Tanger - where I had a delicious flirtation with a young girl !! [...] Nous aperçumes un être humain sur la dunette..., lequel être humaion criait comme un cochon de lait pris, quant à la queue, dans une porte. C'était mon successeur... Supposez que ce brave homme eût eu de moins bons poumons : nous ne l'entendions pas..." Il remercie Pierre Louÿs pour son dernier courrier auquel il s'empresse de donner suite: "J'ai cueilli votre lettre hier. Et vous voyez, je n'attends pas vingt-quatre pour vous répondre. Je constate en effet que dès qu'on est éloigné plus de quinze jours, toute causerie devient impossible. Jugez-en !!!" tout en clarifiant les choses à propos des trop nombreuses femmes qu'il a séduites au point que Pierre Louÿs ne s'y retrouve plus : "J'aurais juré sur ma vie que je vous avais narré par le menu mon aventure avec Mlle M. ; j'ai dû chercher une bonne heure dans mes souvenirs ce que pouvaient représenter les initiales CG !!! Voilà où nous en sommes. C'est affolant." Mais Claude Farrère s'expose parfois aux risques de ses pléthoriques victoires sentimentales et vante ironiquement ses déboires :"M.M. possède à peu près vingt lettre de moi... une au moins dont je me souviens, et qui est une profession de sadisme. Je n'en dors plus. Fiez vous après ça au jolies personnes très flirt qui vous écrivent des horreurs délicates pour se procurer de la prose à publier posthumement !!!" Il lui détaille aussi, de manière enjouée et épique, sa dernière soirée à bord du Cassini et les marques de sympathie qu'il a reçues : "Mon départ du Cassini a été la chose la plus parfaitement grotesque de la terre, et même des cinq océans... Toasts, effusions, agapes... R. m'informe solennellement que je suis "chaleureusement" proposé pour la croix par lui et l'amiral. Moi (qui le savais), stupéfaction classique et pénétrée. Là-dessus, la baleinière accoste, mes valises embarquent, je les suis... l'équipage dormait depuis deux heures théoriquement. Mais à peine la baleinière pousse-t-elle, hurlements sauvages, clameurs, vivats, hourrahs. Sans rien dire tous ces braves gens avaient attendu patiemment qu'il fût l'heure de crier. Naturellement je me suis mis à pleurer. Enfin l'idiotie totale." Il achève cette missive en énumérant les villes andalouse qu'il visitera : "Je oars après demain pour Séville, ensuite Cordoue et Tolède..." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Toulon 20 Juillet 1908 | 13.50 x 21.50 cm | deux pages et demie sur un double feuillet + une enveloppe
Lettre autographe signée de Claude Farrère, alors sous les drapeaux, 47 lignes à l'encre bleue, rédigée depuis Toulon à son ami Pierre Louÿs. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli, enveloppe jointe. Le soldat Claude Farrère remercie son ami de l'avoir défendu lors d'un différend l'opposant à un certain sieur B même si cela ne valait guère la peine de lui consacrer autant d'importance : "Le sieur B a lu, dans une quelqconque Annales, que son ennemi féroce était en train de guerroyer à Safi contre les Musulmans... Par une guigne inouïe, il se trouva que j'étais revenu de là-bas. Sa stupeur fut alors si grande qu'il perdit la tête..." , "Maintenant je ne vous dirai jamais à quel point j'ai été ému de votre rôle à vous, et du rôle de V. dans toute l'affaire..." Sûr de ses qualités d'escrimeur et de tireur, Claude Farrère se permet cette gentille et humoristique pique à l'adresse de son ami, et tient à le rasséréner au risque de sombrer dans l'anachronisme : "Perdez la funeste habitude de me voir tué chaque fois qu'on parle l'épée à l'entour. C'est au contraire moi qui tuerai les autres... Je fais d'abord beaucoup d'épée, à présent. Et je tire le pistolet comme feu Guillaume Tell. Donc be quiet. Voilà. A quand?" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
s. n. | s. l. s. d. [1970] | 10.5 x 15 cm | Une carte postale
Carte postale photographique en couleurs représentant Claude François. Bel exemplaire. Une coupure de presse a été encollée au verso qui comporte aussi des traces de colle. Signature manuscrite de Claude François au feutre noir accompagnée d'une petite fleur dessinée et du mot "bises". Provenance : du fonds du grand collectionneur d'autographes Claude Armand. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Phalsbourg 28 ventôse an 9 (19 mars 1801) | 18.40 x 22.70 cm | deux pages sur un feuillet
Lettre autographe signée du général Claude Jacques Lecourbe.2 pages àl'encre noire sur un feuillet filigranéà en-tête "Liberté / Egalité / Au Quartier Général / Le Général Lecourbe / Commandant l'aile droite de l'armée du Rhin"; datée à la plumedu 28 ventôse an 9 (19 mars 1801) dans l'en-tête, écrite à Phalsbourg (Moselle). Traces de plis inhérentes à l'envoi, nom du destinataire effacé. Le général Lecourbe intercède pour le compte d'un valeureux commissaire des guerres afin qu'il soit réformé. Il appuie ici la demande de Pierre-Christophe Souvestre, né à Guingamp en 1745, ancien sergent, devenu sous la Révolution commissaire des guerres à Neuf-Brisach à Belfort, et à l'armée de l'Erguel ; sous la recommandation de Lecourbe ici présente, il est réformé l'année suivante (an X). Il sera pourtant aussitôt réintégré, et employé jusqu'en 1823. Il fut également le beau-père d'une amie du célèbre général Kléber. "Le citoyen Souvestre père, comissaire des guerres, mérite la bienveillance du gouvernement, et la vôtre, mon cher ordonnateur, père de 32 enfants dont 14 vivants. Lui ont acquis les droits d'être conservé et des égards de la part du gouvernement. Il serait possible cependant qu'il subit la Réforme. S'il dépend de vous, veuillez lui être utile. En attendant, faites lui le plaisir de le placer provisoirement en activité à Proventry? ou du moins dans le dpt du Haut Rhin, en activité. Il sollicitera ensuite cette faveur du gouvernement [...]" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Claude LEVI-STRAUSS - [Bruxelles 1908 - 2009] - Anthropologue et ethnologue français
Reference : 35063
Carte format 10,5 x 15 cm - En tête: Claude Levi-Strauss de l'Académie française -
Il l'assure de l'intérêt qu'il a pris à la lecture de son livre "consacré à la vie d'un homme qu'il aime et admire depuis de très nombreuses années" - (sans doute s'agit d'André Chamson] -
Paris Armand Colin 1971 1 vol. broché in-8, broché, 674 pp., bibliographie et index. Edition originale. Envoi autographe signé de l'auteur à René Pintard. Cachet (annulé) de la Bibliothèque du Collège de France, avec étiquette de cote collée au dos. Bon exemplaire.
1907 Paris Mercure de France 1907 In-12, broché, couverture imprimée.Edition originale, dont le tirage sur grand papier a été limité à 12 hollande. Exemplaire paraphé par l'auteur (initiales a l'encre rouge
bon état
Paris Gallimard 1925 1 vol. Broché in-4 tellière, broché, 205 pp. Première édition collective, en partie originale. Un des 109 exemplaires de tête réimposée et numérotés sur vergé pur fil Lafuma-Navarre, avec un envoi autographe signé de l'auteur.
Montevideo Asociacion de Estudiantes y Profesionales Catolicas. 1946 In-4 Broché, couverture illustrée rempliée
Edition originale de cette traduction castillane de Roman Vinoly Barreto. Illustration de Adolfo Halty : couverture en couleurs, reprise en noir en titre, et 7 hors-texte en couleurs. Exemplaire numéroté du tirage pour le commerce. ENVOI AUTOGRAPHE signé en français de Halty à André Warnod, daté 1953 Bon 0